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krisamv

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  1. Bonjour, En prenant un TGV Lyon-Grenoble cette semaine, j'ai remarqué un gigantesque graffiti sous un pont ferroviaire. C'est un graffiti blanc sur fond noir tiré du film "Fight Club", et il est écrit "on fait des boulots qu'on déteste pour se payer des merdes qui nous servent à rien". Quelqu'un serait en mesure de m'en fournir une photo? Merci d'avance. Christophe.
  2. Ni gauche, ni droite, Français! A voté!!!!
  3. Tu aurais dû appeler les flics pour être sûr que ça ne soit pas étouffé en interne, en plus ils auraient pu vérifier son taux de sang dans l'alcool.
  4. Personnellement, je suis 100% contre. Je crois que nous n'avons nullement à nous ingérer dans les affaires libyennes, et encore moins à aller bombarder leur pays ! Qu'on balaie devant notre porte avant de prétendre donner des leçons en Lybie. Comme l'a dit Kadhafi, "de quoi est-ce qu'il se mêle ce clown de Sarkozy ?!"..
  5. Ce soir, à 23h00, le Conseil de Sécurité de l'ONU donnera ou non son feu vert pour entre autres résolutions, une "zone d'exclusion aérienne", terme policé désignant tout simplement le bombardement des armes aériennes de la Lybie. Il y a quelques instants, Alain Juppe le repris de justice a déclaré que si le feu vert était donné par l'ONU, tous les moyens seraient mis en œuvre pour déchoir Monsieur Kadhafi, balayant ainsi la question de la journaliste lui demandant si on pouvait s'attendre à tout au niveau de cette intervention : bombardements "ciblés"*, troupes au sol, occupation du territoire.. Et vous, qu'en pensez-vous ? *il est bien connu que ces bombardements ciblés ne tuent personne évidemment.
  6. Quel est le rapport entre nationalisme et antisémitisme ?
  7. plus simplement, ce que je trouve affligeant dans ce débat, c'est de voir à quel point deux petites lettres peuvent provoquer autant de panique et d'éruptions cutanées, alors qu'au final ce que la plupart d'entre vous connaissent du FN, c'est..........ce que ces chers médias en disent, ces chers médias sur lesquels vous passez tant de temps à cracher quand ça vous arrange :cool:
  8. Je me permettrai également de mettre une réflexion de l'écrivain Jean Raspail, réflexion qui lui a valu les foudres des pourfendeurs de la liberté d'expression : IDÉES « Qu'est-ce qu'être français aujourd'hui ? » Une série du « Figaro » Jean Raspail : LA PATRIE TRAHIE PAR LA RÉPUBLIQUE J'AI tourné autour de ce thème comme un maître-chien mis en présence d'un colis piégé. Difficile de l'aborder de front sans qu'il vous explose à la figure. Il y a péril de mort civile. C'est pourtant l'interrogation capitale. J'ai hésité. D'autant plus qu'en 1973, en publiant Le Camp des saints, j'ai déjà à peu près tout dit là-dessus. Je n'ai pas grand-chose à ajouter, sinon que je crois que les carottes sont cuites. Car je suis persuadé que notre destin de Français est scellé, parce qu'« ils sont chez eux chez moi » (Mitterrand), au sein d'une « Europe dont les racines sont autant musulmanes que chrétiennes » (Chirac), parce que la situation est irréversible jusqu'au basculement définitif des années 2050 qui verra les « Français de souche » se compter seulement la moitié la plus âgée de la population du pays, le reste étant composé d'Africains, Maghrébins ou Noirs et d'Asiatiques de toutes provenances issus du réservoir inépuisable du tiers monde, avec forte dominante de l'islam, djihadistes et fondamentalistes compris, cette danse-là ne faisant que commencer. La France n'est pas seule concernée. Toute l'Europe marche à la mort. Les avertissements ne manquent pas rapport de l'ONU (qui s'en réjouit), travaux incontournables de Jean-Claude Chesnais et Jacques Dupâquier, notamment , mais ils sont systématiquement occultés et l'Ined pousse à la désinformation. Le silence quasi sépulcral des médias, des gouvernements et des institutions communautaires sur le krach démographique de l'Europe des Quinze est l'un des phénomènes les plus sidérants de notre époque. Quand il y a une naissance dans ma famille ou chez mes amis, je ne puis regarder ce bébé de chez nous sans songer à ce qui se prépare pour lui dans l'incurie des « gouvernances » et qu'il lui faudra affronter dans son âge d'homme... Sans compter que les « Français de souche », matraqués par le tam-tam lancinant des droits de l'homme, de « l'accueil à l'autre », du « partage » cher à nos évêques, etc., encadrés par tout un arsenal répressif de lois dites « antiracistes », conditionnés dès la petite enfance au « métissage » culturel et comportemental, aux impératifs de la « France plurielle » et à toutes les dérives de l'antique charité chrétienne, n'auront plus d'autre ressource que de baisser les frais et de se fondre sans moufter dans le nouveau moule « citoyen » du Français de 2050. Ne désespérons tout de même pas. Assurément, il subsistera ce qu'on appelle en ethnologie des isolats, de puissantes minorités, peut-être une quinzaine de millions de Français et pas nécessairement tous de race blanche qui parleront encore notre langue dans son intégrité à peu près sauvée et s'obstineront à rester imprégnés de notre culture et de notre histoire telles qu'elles nous ont été transmises de génération en génération. Cela ne leur sera pas facile. Face aux différentes « communautés » qu'on voit se former dès aujourd'hui sur les ruines de l'intégration (ou plutôt sur son inversion progressive : c'est nous qu'on intègre à « l'autre », à présent, et plus le contraire) et qui en 2050 seront définitivement et sans doute institutionnellement installées, il s'agira en quelque sorte je cherche un terme approprié d'une communauté de la pérennité française. Celle-ci s'appuiera sur ses familles, sa natalité, son endogamie de survie, ses écoles, ses réseaux parallèles de solidarité, peut-être même ses zones géographiques, ses portions de territoire, ses quartiers, voire ses places de sûreté et, pourquoi pas, sa foi chrétienne, et catholique avec un peu de chance si ce ciment-là tient encore. Cela ne plaira pas. Le clash surviendra un moment ou l'autre. Quelque chose comme l'élimination des koulaks par des moyens légaux appropriés. Et ensuite ? Ensuite la France ne sera plus peuplée, toutes origines confondues, que par des bernard-l'ermite qui vivront dans des coquilles abandonnées par les représentants d'une espèce à jamais disparue qui s'appelait l'espèce française et n'annonçait en rien, par on ne sait quelle métamorphose génétique, celle qui dans la seconde moitié de ce siècle se sera affublée de ce nom. Ce processus est déjà amorcé. Il existe une seconde hypothèse que je ne saurais formuler autrement qu'en privé et qui nécessiterait auparavant que je consultasse mon avocat, c'est que les derniers isolats résistent jusqu'à s'engager dans une sorte de reconquista sans doute différente de l'espagnole mais s'inspirant des mêmes motifs. Il y aurait un roman périlleux à écrire là-dessus. Ce n'est pas moi qui m'en chargerai, j'ai déjà donné. Son auteur n'est probablement pas encore né, mais ce livre verra le jour à point nommé, j'en suis sûr... Ce que je ne parviens pas à comprendre et qui me plonge dans un abîme de perplexité navrée, c'est pourquoi et comment tant de Français avertis et tant d'hommes politiques français concourent sciemment, méthodiquement, je n'ose dire cyniquement, à l'immolation d'une certaine France (évitons le qualificatif d'éternelle qui révulse les belles consciences) sur l'autel de l'humanisme utopique exacerbé. Je me pose la même question à propos de toutes ces associations omniprésentes de droits à ceci, de droits à cela, et toutes ces ligues, ces sociétés de pensée, ces officines subventionnées, ces réseaux de manipulateurs infiltrés dans tous les rouages de l'Etat (éducation, magistrature, partis politiques, syndicats, etc.), ces pétitionnaires innombrables, ces médias correctement consensuels et tous ces « intelligents » qui jour après jour et impunément inoculent leur substance anesthésiante dans l'organisme encore sain de la nation française. Même si je peux, à la limite, les créditer d'une part de sincérité, il m'arrive d'avoir de la peine à admettre que ce sont mes compatriotes. Je sens poindre le mot renégat, mais il y a une autre explication : ils confondent la France avec la République. Les « valeurs républicaines » se déclinent à l'infini, on le sait jusqu'à la satiété, mais sans jamais de référence à la France. Or la France est d'abord une patrie charnelle. En revanche, la République, qui n'est qu'une forme de gouvernement, est synonyme pour eux d'idéologie, idéologie avec un grand « I », l'idéologie majeure. Il me semble, en quelque sorte, qu'ils trahissent la première pour la seconde. Parmi le flot de références que j'accumule en épais dossiers à l'appui de ce bilan, en voici une qui sous des dehors bon enfant éclaire bien l'étendue des dégâts. Elle est extraite d'un discours de Laurent Fabius au congrès socialiste de Dijon, le 17 mai 2003 : « Quand la Marianne de nos mairies prendra le beau visage d'une jeune Française issue de l'immigration, ce jour-là la France aura franchi un pas en faisant vivre pleinement les valeurs de la République... » Puisque nous en sommes aux citations, en voici deux, pour conclure : « Aucun nombre de bombes atomiques ne pourra endiguer le raz de marée constitué par les millions d'êtres humains qui partiront un jour de la partie méridionale et pauvre du monde, pour faire irruption dans les espaces relativement ouverts du riche hémisphère septentrional, en quête de survie. » (Président Boumediene, mars 1974.) Et celle-là, tirée du XXe chant de l'Apocalypse : « Le temps des mille ans s'achève. Voilà que sortent les nations qui sont aux quatre coins de la terre et qui égalent en nombre le sable de la mer. Elles partiront en expédition sur la surface de la terre, elles investiront le camp des saints et la ville bien-aimée. » Jean RASPAIL
  9. On pourrait aussi citer une parole du grand De Gaulle qui doit se retourner dans sa tombe : (je ne sais pas si cette citation restera longtemps, même si elle vient d'un homme que beaucoup louent, nul doute que els bien-pensants et les collabos en seront choqués) : "C’est très bien qu’il y ait des Français jaunes, des Français noirs, des Français bruns. Mais à condition qu’ils restent une petite minorité. Sinon, la France ne serait plus la France. Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne."
  10. Bah quand je transhume en IdF, j'ai plus souvent l'impression d'être dans un wagon que dans une voiture en tout cas (tu fermes les yeux, avec l'odeur, t'y es encore plus dans un wagon à bestiaux )
  11. Et un argumentaire sur la dangerosité du FN, ou du nationalisme, le vrai, en général, on peut avoir ?
  12. Salut, Je suis du Pas-de-Calais, et si je peux me permettre un conseil, ne fais pas l'erreur de partir en région parisienne, que ce soit là-bas ou ailleurs, très difficile après de revenir d'où tu viens. Dans un message plus haut, tu parles d'Etablissement XX-XX-PARIS. Tu peux très bien avoir la chance au début de te retrouver par exemple à Amiens, et par la suite, hop, direction Paris, et tu n'aurais rien à dire, surtout que pendant trois ans, tu seras ATTACHEE = tu vas où on te dit. Ce que je peux te dire, et tu peux me croire sur parole, c'est que TOUS les ans, des TTMV sont recrutés sur la région NPDC. Pour 2011, il doit y avoir du recrutement, je ne sais pas où ça en est, mais je le répète, TOUS LES ANS des gens comme toi bac+2/+3 sont recrutés en externe pour être TTMV dans le NPDC, car le recrutement interne ne suffit pas. Tu as postulé comment pour le moment ? Uniquement via internet ? Si tel est le cas, envoie-moi un MP, je vais essayer de te trouver l'adresse à Lille. Il paraît qu'aujourd'hui les candidatures électroniques sont privilégiées, mais je connais déjà au moins deux personnes qui ont été embauchées en envoyant un courrier à Lille.
  13. C'est déjà fait ça, entre les GBE et les locs qui partent chez Akiem, c'est de plus en plus difficile, depuis quelques mois, pas un seul jour sans que plusieurs trains soient supprimés faute de loc. Il y a encore 5-6 mois, je voyais rarement un train supprimé au motif qu'il n'y avait pas de loc* à mettre en tête de la rame, on reprenait relativement facilement les trains câlés (ou en tout cas, trouver une loc ne posait pas problème) tandis qu'aujourd'hui la question en début de service c'est "combien de trous ?" Enfin bref, ça ne semble gêner personne puisqu'aux dernières nouvelles, personne ne semble décidé à réagir et à remettre des locs dans le circuit. Pendant ce temps-là, j'ai encore vu traîner un mail d'un responsable Arcelor qui ne prenait pas de gant et qui disait "qu'ils en avaient plus que marre de la SNCF, quand ce n'est pas un ADC manquant, c'est une loc manquante, voir les deux, et en attendant, chaque train supprimé ne peut se rattraper." Et il n'y a pas que ce client qui gueule. Donc en gros à l'heure actuelle, le schéma est simple : - un client A gueule très fort - on supprime le train de client B pour lui affecter une loc - quand le client B gueulera un peu trop, on supprimera les trains du client C pour avoir une loc - A ayant fini de gueuler, on va pouvoir à nouveau lui supprimer ses trains pour couvrir les train d'untel - etc ......................... En tout cas, j'ai honte d'être payé à "faire de la merde".............. *sur le porte-feuille de trains avec lequel je bosse en tout cas
  14. Je ne trouve pas cela si choquant, rappelons que le créateur du fascisme était un député socialiste italien, Benito Mussolini, qu'en France occupée, deux des collabos les plus zélés étaient Jacques Doriot, ex-secrétaire du Parti Communiste, et Marcel Déat, ex-secrétaire du SFIO. Alors qu'un mec du NPA et la CGT passe au FN, pas si choquant..
  15. Stannah étudie l'adaptabilité de son célèbre fauteuil sur rail..
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