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katamiaw

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  1. La SNCF va diffuser une "charte du service public" à 2 millions d'exemplaires La SNCF va diffuser à partir du 25 octobre à deux millions d'exemplaires une "charte du service public", un document où l'entreprise nationale prend des engagements sur ses "missions de service public", a annoncé la direction lors de son séminaire annuel à Londres. Ce texte de six pages, qui sera distribué par les cheminots dans plus de cent gares françaises, ainsi qu'aux différentes institutions, élus et "personnalités économiques", présente les "principes et valeurs qui guident la SNCF" et les "engagements" vis-à-vis de la "collectivité nationale". La charte a été élaborée à partir notamment d'une "consultation" des cheminots et leurs "32.000 réponses", a précisé la direction. Elus, associations de consommateurs et entreprises publiques ont également été impliqués dans cette réflexion. "La SNCF met en oeuvre les missions de service public qui lui sont confiées par les autorités publiques et exerce également des activités commerciales (TGV, Téoz, Fret)... qu'elle définit et maîtrise elle-même", peut-on lire dans le préambule de la charte. Selon le président Louis Gallois, "la notion de service public bouge dans le temps et le débat n'est pas clos". "Nous passons d'une notion de service public à caractère régalien, qui était un peu vague, à une notion contractuelle, beaucoup plus précise et plus dynamique", a estimé M. Gallois. "Il faut lever des tabous: nous devons gagner de l'argent sur les missions de service public, il n'y a pas de honte à dégager des bénéfices pour les financer", a ajouté le président. La charte présente une série d'engagements de l'entreprise, notamment la concertation, l'équité et la solidarité, la sécurité, la ponctualité, l'information et l'environnement. Elle s'engage également à "oeuvrer par un dialogue social efficace (...) pour diminuer le nombre de trains supprimés pour cause de grève afin de mettre en oeuvre le droit au transport dans le respect du droit social". Outre la diffusion de la charte dans les gares, la SNCF va engager une campagne de presse. L'entreprise nationale a également publié son premier rapport sur le développement durable, un document d'une trentaine de pages où elle reconnaît sa responsabilité, tant environnementale que sociétale vis-à-vis des salariés et de tous". Le rapport présente notamment ses "indicateurs" sur le développement durable, portant sur l'économie, l'environnement, le sociétal et le social (effectifs, âges, conflictualité, sûreté, politique envers les handicapées, etc.) Source: Voilà
  2. Le plan de redressement du fret SNCF en ligne avec les objectifs Le plan de redressement du fret SNCF, lancé à la fin 2003, est pour l'instant "en ligne" avec ses objectifs, qui prévoient un retour à l'équilibre en 2006, a affirmé le patron de cette activité, Marc Véron, lors du séminaire annuel du comité exécutif de la SNCF avec la presse. "Le trafic du fret a été pénalisé au début de l'année par un manque de disponibilité de machines, pour cause de basculement d'un dépôt à l'autre, et au printemps par des grèves. En dehors de ces deux événements, nous sommes parfaitement en ligne avec le plan, d'autant que nous regagnons du terrain pour les volumes transportés depuis fin juin", a-t-il déclaré. Le fret est un des principaux foyers de pertes de la société nationale. Le chiffre d'affaires de l'activité fret de la SNCF, réalisé sur les cinq premiers mois de 2004, a accusé un retard de 3,4% par rapport aux objectifs, en raison notamment d'une grève nationale le 13 mai, avait indiqué la SNCF fin juin. Le chiffre d'affaires du troisième trimestre sera communiqué fin septembre. Les résultats de l'activité devraient bénéficier d'une "augmentation moyenne des tarifs de 5% en 2004, qui aura un effet favorable sur le compte d'exploitation", a précisé M. Véron. L'un des principaux axes du plan de redressement du fret, qui a accusé une perte de 451 M EUR en 2003, vise à réorienter la politique commerciale vers les trafics les plus rentables. "Les négociations sur les prix ne sont pas achevées avec tous les clients, mais la plupart sont arrivés à une décision et dans la majorité des cas nous avons conclu un accord", selon lui. "C'est une vision réductrice de s'imaginer que nous allons terminer avec 50 clients : nous allons en garder des centaines", a-t-il affirmé. Les hausses de prix du fret ferroviaire, très importantes dans certains cas, ont suscité de vives protestations de certains clients, avec même une journée d'action des professionnels de la filière bois. Le ferroviaire assure actuellement environ 20% du volume total des marchandises transportées en France. "Les augmentations globales, d'à peine 5% en moyenne, correspondent exactement à ce qu'a annoncé la Deustche Bahn", a insisté le patron du fret, tout en reconnaissant des "clarifications dans certains types de trafics et sur certains segments de marché". Pour le bois, "le véritable problème est la désorganisation de la filière, qui tente de sortir de sa difficulté par notre canal", a-t-il estimé. L'année 2005 va marquer une nouvelle étape du plan, axée sur la réduction des coûts de production avec une réduction et une modernisation du parc de locomotives, un meilleur remplissage des trains, une rotation accrue des wagons. "Nous nous y engagerons à partir du changement de service du 15 décembre, avec pour la première fois une redistribution des sillons. C'est un aspect ultra-sensible de la réussite du plan", a noté M. Véron. "Il faut trouver 191 millions d'euros de résultat d'exploitation en 2005, dont 145 M EUR par un effort de réduction des coûts de production", a-t-il précisé. Jugeant que "les premiers résultats actuels du plan fret montrent que nous n'avons pas fait fausse route", le président de la SNCF Louis Gallois a estimé qu'"à la fin 2005, nous commencerons probablement à regarder du côté de la croissance du fret". D'autant que l'activité va peut-être bénéficier d'ici là d'un plan de recapitalisation, à hauteur de 1,5 md EUR, suspendu à la décision, attendue mercredi, de la Commission européenne. "Nous attendons", a déclaré M. Gallois. "La question semble être de savoir si la Commission actuelle va trancher ou si elle va laisser le bébé à la suivante. Cela s'accompagne de discussions et de divergences entre les services", a-t-il ajouté. Source: www.laviefinanciere.com
  3. La prévention des grèves à la SNCF lance lundi l'actualité sociale de la semaine La question de la prévention des grèves à la SNCF, qui concerne des millions d'usagers, va dominer lundi l'actualité sociale, avant l'examen mardi au Sénat de la nouvelle prise en charge du handicap et l'avenir des salariés de Perrier, Vittel, Contrex, évoqué jeudi par Nestlé. Le dialogue social se poursuit à la SNCF (près de 170.000 salariés). La direction, qui vient d'obtenir un premier accord salarial depuis dix ans, retrouvera lundi après-midi les syndicats de cheminots. Au menu: un protocole d'accord pour améliorer le dialogue social et la prévention des conflits. "Il faut continuer à muscler le texte actuel, qui peut encore évoluer", avait estimé Didier Le Reste, secrétaire général de la CGT-Cheminots (majoritaire), lors d'une précédente "table-ronde", le 7 octobre. La direction s'était alors engagée à produire une "nouvelle version", "en tenant compte des commentaires des organisations syndicales", et à "finaliser" le document lundi. Les trois syndicats (Unsa, CFE-CGC et SNCS), signataires de ce protocole d'accord, devraient être rejoints par la CFDT, qui s'y était engagée, sauf si le Parlement devait voter une loi restreignant le droit de grève. Dans le secteur privé, Nestlé Waters France "informera" jeudi le Comité central d'entreprise (CCE) du groupe, en réunion "extraordinaire" à Issy-les-Moulineaux (Hauts-de-Seine), sur son "projet de filialisation" de ses "différentes entités" (Perrier, Vittel, Contrex et siège). Un CCE qui intervient après l'approbation de la fusion des établissements Nestlé Waters de Vittel (1.400 salariés) et de Contrex (800 salariés), dans les Vosges, par l'ensemble des organisations syndicales des deux sites. Jeudi également, la fédération CGT de la Métallurgie a appelé à une journée d'action et de rassemblements dans les départements devant les chambres patronales pour s'opposer à la remise en cause des 35 heures et aux délocalisations. Plus tôt dans la semaine, postiers et postières vont élire mardi leurs représentants aux commissions administratives paritaires (CAP). Concernant la protection sociale, les associations défendant les intérêts des quelque 10% de la population en situation de handicap vont suivre avec intérêt le passage du projet de loi les concernant en seconde lecture au Sénat à partir de mardi. Cette seconde lecture en sera de fait une première pour une série d'amendements du gouvernement dessinant "l'architecture institutionnelle" de la prise en charge du handicap et de la nouvelle "prestation de compensation". Ces amendements définissent l'organisation de la Caisse nationale de solidarité pour l'autonomie (CNSA) et le statut des nouvelles maisons départementales du handicap. Ils prévoient de renforcer le rôle des départements, avec l'aide des crédits de la CNSA (850 millions d'euros annoncés par an). Par ailleurs, le nouveau directeur de la future Union nationale des caisses d'assurance maladie (Uncam), Frédéric Van Roekeghem, entame mardi ses consultations des syndicats de médecins (CSMF, SML, MG-France, Alliance, FMF) en vue de bâtir la nouvelle convention qui doit régir les rapports entre l'assurance maladie et les professionnels de santé. Jeudi, la CGT (sa fédération de l'action sociale) manifeste entre l'hôpital de la Salpétrière et le ministère de l'Economie pour exiger le versement des primes d'éloignement des personnels hospitaliers issus des DOM-TOM. Source: RTL
  4. La SNCF, en accord avec Réseau Ferré de France (RFF), va ralentir ses trains sur 1.500 kilomètres de voies secondaires supplémentaires en 2005, faute de crédits suffisants pour leur maintenance, a indiqué son directeur général délégué à l'exploitation Jacques Couvert. "Actuellement, les ralentissements imputables aux allègements de maintenance portent sur 800 kilomètres de voies. Dans le cadre du budget 2005, qui est en cours de construction, on devrait atteindre 1.500 km", a déclaré M. Couvert lors du séminaire annuel du comité exécutif de la SNCF avec la presse jeudi et vendredi à Londres. Le président de la SNCF Louis Gallois a expliqué que l'enveloppe allouée à la maintenance des voies connaissait un "retrécissement de fait en dépit de gains de productivité, en raison de l'impact des 35 heures, de l'inflation, de l'allongement du réseau et de la hausse des prix de plusieurs fournisseurs". Mi-juin, il avait annoncé qu'il allait falloir ajouter 500 km de ralentissements fin 2004 aux 300 km de 2003 pour cause de moyens insuffisants. La SNCF alloue prioritairement, en accord avec RFF, les moyens dont elle dispose aux voies les plus fréquentées, devant être les plus performantes, au détriment des voies secondaires empruntées plus particulièrement par les TER. Les ralentissements portent sur des tronçons de quelques kilomètres, répartis sur l'ensemble du territoire, et entraînent un rallongement des temps de parcours intégré dans les horaires. La SNCF cherche à ce que "ces restrictions de maintenance aient les conséquences les plus acceptables", a assuré M. Couvert. "En règle générale, les retards ne dépassent pas les dix minutes", a-t-il ajouté. Depuis la réforme de 1997, qui a scindé en deux le système ferroviaire français, les investissements dans l'entretien courant des voies (1,8 milliard d'euros en 2003) et la rénovation (750 millions d'euros) sont financés par Réseau Ferré de France (RFF), établissement public chargé des infrastructures. RFF ne disposant pas des effectifs suffisants pour effectuer la maintenance, c'est la SNCF qui en a la charge. Mais le gestionnaire du réseau regrette généralement des efforts de productivité insuffisants de la part de la société nationale. Un audit international destiné à évaluer l'état de l'infrastructure, vieillissante, mais aussi l'efficacité de la SNCF pour en assurer l'entretien a été lancé début septembre par les présidents de RFF et de la SNCF. "Ses résultats seront connus en juillet 2005", a rappelé M. Gallois. La SNCF exploite au total environ 30.000 kilomètres de lignes. Source: www.laviefinanciere.com
  5. La SNCF veut pousser ses TGV à 350 km/h ETRE INVENTIVE: voilà le défi que s'est lancé la SNCF pour conquérir de nouvelles parts de marché. Pour cela, elle a déjà plusieurs projets dans ses cartons. « A la suite d'un sondage auprès de nos clients, nous nous sommes rendu compte que la SNCF était perçue comme une entreprise innovante bien plus qu'EDF, la Poste ou encore la RATP », confirme Louis Gallois, son PDG, qui a décidé de saisir la balle au bond. Bientôt un accès Internet à bord Premier propriétaire de matériel à grande vitesse en Europe, la SNCF met le pied sur l'accélérateur. « La vitesse commerciale de nos TGV est actuellement de 300 km/h mais sur le TGV Est, cette vitesse augmentera d'un cran », explique Mireille Faugères, directrice de Voyages France-Europe. « A l'ouverture de cette ligne, en 2007, tous les TGV Est circuleront à 320 km/h. » Une vitesse qui sera ensuite généralisée aux autres liaisons grande vitesse. Ce en attendant le cap des 350 km/h. « Comme les Japonais et les Espagnols, nous avons relancé les études pour passer à 350 km/h en vitesse commerciale. Mais il reste des questions d'usure de voies, de nuisances sonores et d'aérodynamisme à régler », conclut Mireille Faugères. En matière de services, la SNCF est ainsi en train d'achever l'équipement en Internet sans fil (wi-fi) de ses espaces publics. En 2005, les gares formeront le premier réseau français wi-fi. Les trains aussi vont devenir « communicants » puisque l'accès à Internet sera bientôt possible sur toutes les grandes lignes. La SNCF teste même un système de visioconférence pour permettre aux hommes d'affaires de diriger une réunion depuis leur TGV. Côté produit, la société va tester dans quelques semaines une nouvelle offre commerciale révolutionnaire : le i-TGV. Il sera désormais possible d'acheter sur Internet des Paris-Marseille-Toulon à partir de 19 € en seconde classe et 39 € en première. A condition de s'y prendre quatre mois avant le départ. Source: Le Parisien
  6. Tout à fait. Le forum reste le même, seul l'apparence sera modifiée.
  7. Pas pour ma part. Ton stage consiste en quoi ?
  8. Merci (et pour le MP aussi). La skin sera disponible assez rapidement je pense, quelques ajustements à faire, notament en ce qui concerne un bug sur Mozilla, quelques retouches de couleurs et graphique, et ça devrait rouler (le contraire serait un comble pour un CRL). ;)
  9. C'est Ok pour vous, ainsi que pour SAVIR qui bénéficie du privilège d'être notre 1er retraité. Pour tester la nouvelle skin, merci de vous rendre ici: http://www.cheminots.net//index.php?showto...view=getnewpost KaTa.
  10. katamiaw

    Palm-Bullit

    Je suis justement en train d'étudier d'autres outils pour pouvoir faire avancer le projet... et apparement il y aurait des alternatives... Je vous tiens au courant.
  11. Pour les commentaires et réactions, merci de vous rendre dans cette section: Le Forum des Cheminots > Administration du Forum > Zone de Test du Forum
  12. Ca doit être bon pour toi aussi Kriss44
  13. Vous voilà élevés au rangs de Testeurs du Forum. Dites-moi si cela a fonctionné :)
  14. Bruxelles hésite sur la recapitalisation des activités fret de la SNCF La Commission européenne hésite à donner le feu vert mercredi prochain à la recapitalisation de 1,5 milliard d'euros de la division fret de l'opérateur français de chemins de fer SNCF, les différents commissaires n'étant pas d'accord sur le sujet, selon des sources concordantes. Une étroite majorité soutiendrait la commissaire européenne chargée des transports, Loyola de Palacio, qui souhaite donner son feu vert au plan présenté par la SNCF, selon des sources communautaires concordantes. Mais au moins une douzaine de commissaires sur 30 s'y opposerait, en estimant que le dossier mérite une enquête plus approfondie, qui renverrait la décision de plusieurs mois, sous le mandat de la prochaine Commission européenne. Une dernière réunion des chefs de cabinet des commissaires doit avoir lieu lundi pour rapprocher les positions. Le dossier est en tout cas maintenu pour l'instant à l'ordre du jour de la Commission européenne pour mercredi prochain. Romano Prodi, le président de la Commission européenne, a reconnu mercredi qu'il était "impossible de dire s'il y aura feu vert ou non". Le plan de recapitalisation du fret, annoncé en janvier 2004 et notifié à Bruxelles en septembre, prévoit que le gouvernement français injecte 800 millions sur trois ans avec un apport supplémentaire de 700 millions d'euros de la SNCF elle-même. Les récalcitrants au feu vert, dont le commissaire chargé de la Concurrence Mario Monti, ne s'opposent pas au plan sur le fond, mais réclament une enquête approfondie sur le dossier. Pour eux, les opérateurs de chemins de fer historiques, héritiers des grands monopoles de jadis, doivent désormais être considérées comme des entreprises agissant dans un contexte concurrentiel, et toute subvention publique doit être examinée à la loupe. Mme de Palacio estime, elle, que le plan de la SNCF présente d'ores et déjà suffisament de garanties, et garde espoir d'arracher une décision positive. Le plan présenté par la SNCF s'accompagne de clauses interdisant notamment que l'argent du fret ne serve à financer d'autres activités. Il prévoit également des cessions d'actifs et de filiales, pour financer les 700 millions d'apport en propre de l'entreprise publique. Si le dossier n'est pas tranché mercredi, il sera repris par le prochain commissaire aux Transports, le Français Jacques Barrot. Pour l'instant, le transport de marchandises par rail n'est ouvert à la concurrence que pour les trajets internationaux sur le réseau transeuropéen de fret ferroviaire, soit 50.000 kilomètres de voies ferrées à travers l'Europe. Il sera totalement ouvert à la concurrence sur les lignes internationales le 1er janvier 2006, et sur les lignes intérieures un an plus tard, le 1er janvier 2007. Le verdict sur la SNCF devrait s'accompagner d'une décision distincte de la Commission sur le Sernam, l'ex-service de messagerie de la SNCF. En 2001, la Commission avait autorisé une aide publique de 448 M euros au Sernam, pour permettre sa cession à Geodis, autre filiale de la SNCF cotée à la Bourse de Paris. Mais Geodis n'a finalement jamais repris le Sernam et a même totalement rendu les parts qu'il détenait à la SNCF. Selon une source communautaire, Bruxelles ne demanderait pas forcément le remboursement des aides perçues, à condition que la SNCF trouve rapidement un acquéreur pour le Sernam. Source: AFP
  15. katamiaw

    Demande De Testeurs

    Salut à vous tous, Je prépare une "nouvelle" version du Forum (un nouveau graphisme en réalité) et j'aurais besoin de personnes qui se dévouent pour la tester, m'indiquer les problèmes, les bugs, ainsi que pour me donner leur avis et sur d'éventuelles corrections ou changements à réaliser. Ce n'est pas quelque chose d'extraordinaire... et je remercie par avance ceux qui voudront bien se porter volontaires :teddouille: KaTa
  16. Salut à toi, Le dossier est en cours de réalisation, il me semble qu'il me manque encore 1 ou 2 membres participants qui ne m'ont pas encore rendu leurs copies... je vérifie ça puis le dossier sera publié (un dossier sur les salaires des conducteurs de trains SNCF). A+
  17. katamiaw

    Où C'est ?

    Salut Tram21, Tu peux publier les photos comme bon te semble, de toute facon j'en fais une copie en local au cas où. Je ne connais pas Imaging, mais si tu as une solution alternative, tu peux l'utiliser. Sinon pour publier une image et non un lien, il suffit de cliquer sur le bouton "IMG" et d'insérer le lien que je te donne par mail. Sinon manuellement, il faut utiliser cette balise: [ I M G ] http://adresse_de_l'image.xxx [ / I M G ] (il faut enlever les espaces que j'ai mis ci-dessus)
  18. ... et tous dans le même train... (pour le moment)
  19. Raffarin défend sa loi et plaide pour la SNCF auprès de Romano Prodi Le Premier ministre français Jean-Pierre Raffarin a profité d'un dîner éclair avec Romano Prodi jeudi soir à Bruxelles pour défendre la loi qui porte son nom et limite les possibilités d'ouverture de grandes surfaces en France auprès du président de la Commission européenne. M. Raffarin a également abordé avec son interlocuteur le dossier du plan de restructuration de l'activité fret des chemins de fer français, sur lequel Paris attend le feu vert de Bruxelles à une recapitalisation de 1,5 milliard d'euros par l'Etat et la SNCF, a indiqué M. Prodi. Arrivé peu avant 20H00 (18H00 GMT) au siège de la Commission, le chef du gouvernement français est resté moins d'une heure et demie avec Romano Prodi, à qui il souhaitait "dire merci et parler de l'avenir de l'Europe" à un peu plus de deux semaines de la fin de mandat de l'actuelle Commission. Jean-Pierre Raffarin s'est refusé à la moindre déclaration au sortir de l'entretien. M. Prodi a laissé entendre de son côté que la Commission, qui suspecte la loi Raffarin d'enfreindre les règles communautaires, allait poursuivre ses discussions avec Paris avant d'arrêter son jugement. "Elle ne sera pas à l'ordre du jour la semaine prochaine. Nous avons une discussion en cours. Il ne faut pas prendre la décision avant la discussion. Il faut discuter et après prendre les décisions", a déclaré Romano Prodi à l'AFP. De sources concordantes, de nouvelles discussions entre les experts des deux parties sont prévues à Bruxelles le 19 octobre, ce qui devrait repousser tout verdict de la Commission au plus tôt à la dernière réunion de l'équipe Prodi le 26 octobre voire renvoyer le dossier à la prochaine Commission Barroso. La Commission a indiqué en début de semaine qu'elle s'intéresse de près à la loi Raffarin, se demandant si celle-ci n'enfreint pas les règles de liberté d'établissement et de prestation de services. A l'origine, Bruxelles s'apprêtait à envoyer mercredi un premier avertissement à la France, la mettant en demeure de fournir des explications sur cette législation, mais s'est ravisé au dernier moment. La loi "Raffarin", qui date de 1996, soumet à un système d'autorisation très contraignant toute demande d'ouverture ou d'extension de magasin de plus de 300 mètres carrés, ce qui a figé le nombre d'hypermarchés et supermarchés ces dernières années en France. Sur le dossier du fret SNCF, M. Prodi a jugé "impossible de dire s'il y aura feu vert ou non" de la Commission au plan de restructuration. "Maintenant, nous avons approfondi. Nous sommes allés (au fond du) problème et de ses implications", a-t-il dit. "La décision sera prise après toutes les discussions. Dans ce cas-ci, on va réfléchir sur les problèmes généraux et après, la discussion sera faite par les fonctionnaires sur les problèmes techniques", a-t-il ajouté. Le dossier est délicat à régler pour Bruxelles et Paris. La Commission a laissé entendre qu'elle poserait des "conditions" à son feu vert. Si son verdict n'intervient pas avant fin octobre, il reviendra après le 1er novembre au futur commissaire européen aux Transports, le Français Jacques Barrot. MM. Raffarin et Prodi se sont par ailleurs entretenus de la candidature de la Turquie à l'adhésion à l'Union européenne, vis-à-vis de laquelle l'Assemblée nationale française a confirmé jeudi après-midi ses réticences lors d'un débat en présence du Premier ministre. Source: www.agefi.com
  20. SNCF, le serpent de fer Le serpent de mer de la « route roulante » - ou ferroutage - refait surface. Ce concept écologique - installer des camions sur des trains spéciaux pour désengorger les routes - est expérimenté depuis un an dans les Alpes. Apparemment peu concluante, l'expérience ne semblait pas vouée à un grand avenir. Changement de ton cette semaine. Dans un bel ensemble, la SNCF, Réseau ferré de France (RFF) - qui gère les infrastructures ferroviaires - et la fédération des transporteurs routiers TLF ont annoncé la création d'une association pour étudier la viabilité de ce système sur des axes longs (plus de 650 kilomètres). « Nous nous donnons deux ans pour valider les techniques et réaliser des études de marché », explique le coprésident de TLF, Alain Bréau. Pourquoi ce regain d'intérêt ? Pour la SNCF, il s'agit d'explorer toute piste susceptible de redresser une activité de fret bien mal en point (450 millions d'euros de pertes en 2003). C'est qu'à force de laisser la priorité aux trains de voyageurs les trains de marchandises et leur vitesse de tortillard ont fini par décourager les clients... La SNCF doit faire mieux, et vite, car le marché français du fret pourrait être ouvert à la concurrence avec un an d'avance, dès 2006. RFF, qui croule sous la dette, est elle aussi à la recherche de nouveaux clients pour percevoir plus de péages. Quant aux transporteurs routiers, ils voient dans le ferroutage un gain possible en termes de main-d'oeuvre, les camions « roulants » n'ayant pas besoin de chauffeurs. Reste à convaincre l'Etat et les collectivités locales de mettre la main au pot pour aménager les voies. Et à attendre le résultat des études de marché Source: Le Point
  21. Bayonne: le trafic SNCF sera perturbé vendredi en raison d'une grève Le trafic régional de la SNCF dépendant de la gare de Bayonne sera perturbé vendredi en raison d'une grève du personnel pour protester contre un projet de restructuration locale, a-t-on appris jeudi auprès de la direction. Le trafic des TGV sera normal, assure la direction régionale de la SNCF dans un communiqué. En revanche, la grève entraînera des retards de 20 minutes pour les trains Corail en direction de Toulouse, ainsi que la suppression de la desserte de Peyrehorade sur cette ligne. Le trafic des TER entre Bayonne et Saint-Jean-Pied-de-Port sera lui remplacé par un service d'autocars, indique la SNCF, qui précise que la grève se déroulera de vendredi 04H00 à samedi à 06H00. Source: AFP
  22. Infos: A lire: La réaction des Syndicats Majoritaires :bye:
  23. Merci de faire vos commentaires sur ce sujet: Réactions suite à cet article
  24. Des salaires insuffisants « Toujours insuffisant ! » C’est ainsi que la Fédération CGT des cheminots a accueilli le 12 octobre la proposition de la direction de la SNCF d’augmenter les salaires de 1,8 % en 2004, 2003 restant une année sans revalorisation. La CGT, FO et SUD rail, majoritaires, se retrouvent sur les mêmes positions, faisant remarquer que « l’inflation atteint déjà 3,7 % fin août 2004 ». En revanche, les autres syndicats (CFDT, CFE-CGC, CFTC, FGAAC et UNSA) ont ratifié l’accord hier après-midi, modifiant ainsi les positions qu’elles avaient prises en juillet dernier lorsque la direction de la SNCF avait proposé 1,5 % d’augmentation. À ce moment-là, seule l’UNSA s’était déclarée favorable. Aujourd’hui, à l’instar de la CFDT, les syndicats signataires estiment qu’une « revalorisation salariale » est « en tout état de cause bienvenue, surtout après les efforts consentis par les cheminots dans le redressement des comptes de la SNCF ». Les divergences qui viennent de surgir à l’occasion des négociations salariales ne semblent pas pour autant fragiliser le front syndical qui s’est renforcé à la SNCF contre l’ensemble d’une politique de régression (effectifs, moyens matériels, plan fret...). Initiées par la frange la plus libérale du gouvernement et de l’Assemblée nationale, les pressions s’accentuent pour la libéralisation du rail au profit du routier, tout en réduisant les marges de manoeuvre du président de la SNCF, Louis Gallois, et même du ministre UDF des Transports Gilles de Robien. L’unité syndicale demeure. Lundi dernier, tous les syndicats de cheminots (CGT, CFDT, FO, CFTC, SUD rail, UNSA, CFE-CGC et FGAAC) ont confirmé qu’ils organisaient un colloque national sur le fret ferroviaire le jeudi 28 octobre à Paris au siège du Conseil économique et social. Ils se préparent également pour une manifestation nationale unitaire le 25 novembre à Paris en faveur de « la défense du service public, du fret, de l’emploi, des salaires et du droit de grève ». Enfin, ils saluent unanimement le retour de la négociation sur les salaires. « C’est lié à la mobilisation unitaire des cheminots que la CGT a poussé pour obtenir le feu vert du gouvernement », souligne Didier Le Reste de la CGT. Quant aux propositions salariales, la CGT parle « d’un léger plus par rapport au 1er juillet dernier », mais elle persiste à penser que « c’est notoirement insuffisant ». Rappelons que 57 % des cheminots gagnent moins de 1 800 euros net par mois. Source: www.humanite.presse.fr
  25. SNCF : un accord salarial qui ne fait pas l'unanimité La direction de la SNCF a obtenu hier, pour la première fois depuis dix ans, la signature d'un accord salarial, prévoyant une hausse générale des salaires de 1,8% pour 2004. Il n'est toutefois signé que par cinq syndicats minoritaires. Majoritaires, la CGT-Cheminots et Sud Rail, respectivement premier et deuxième syndicat, ainsi que FO n'ont pas signé cet accord, mais ne semblent pas envisager un recours au droit d'opposition autorisé par la loi. Après une année 2003 sans augmentation générale des salaires, une première proposition de hausse de 1%, en juillet dernier n'avait pas abouti. La SNCF s'en tenait alors aux annonces unilatérales faites en janvier d'1% d'augmentation pour 2004, provoquant la colère des syndicats. Les négociations ont été rouvertes la semaine dernière par la direction, qui a proposé une hausse générale de 1,8%, en trois temps : 0,75% de hausse rétroactive en janvier, 0,75% en juillet puis 0,3% en octobre, et enfin 0,3% au 1er février 2005. L'accord comprend aussi des mesures spécifiques pour les plus bas salaires, soit environ 22 000 agents, qui « seront majorés en moyenne de 3,8% ». Des mesures pour les retraités sont également prévues. Un certain dégel La CGT, qui se réunira demain, compte « maintenir la pression », dénonçant des mesures qui « ne maintiennent pas le pouvoir d'achat ». Sud-Rail refuse de valider « une perte sèche du pouvoir d'achat », tandis que FO dénonce des mesures « inférieures à l'évolution de l'inflation prévue (2,1%) ». « C'est davantage une démarche pragmatique qu'une d'adhésion », a commenté Bernard Aubin, de la CFTC, qui revendiquera des hausses de salaires lors de la manifestation nationale unitaire de cheminots le 25 novembre. Cet accord confirme tout de même un certain dégel du climat social dans l'entreprise, alors que les discussions sur la prévention des conflits doivent reprendre le 18 octobre. Source: www.dna.fr
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