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Le Web des Cheminots

katamiaw

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Messages publiés par katamiaw

  1. SNCF-Participations c'est 48 entreprises, plus de 690 filiales et plus de 58 000 salariés.

    Le Groupe SNCF-Participations au 1er Juin 2006:

    A2C SA 100 %

    AREP 99,99 %

    ARTESIA SAS 50 %

    AUTOROUTE FERROVIAIRE ALPINE 50 %

    CRM SERVICES 100 %

    CTC 69,36 %

    DISTRICHRONO 100 %

    ECORAIL 99,99 %

    EDIFRET 60,84 %

    EFFIA 99,99 %

    ELIPSOS INTERNACIONAL SA 50 %

    ERMEWA 49,6 %

    EUROSTAR GROUP LTD 62 %

    FRANCE WAGONS 100 %

    FRENCH RAIL INC (USA) 100 %

    FRET INTERNATIONAL 100 %

    FROIDCOMBI 48,93 %

    GARMATEX 78,42 %

    GIE SYSRAILDATA 99 %

    GROUPE GEODIS 44,78 %

    GROUPE KEOLIS 44,5 %

    GROUPE STVA 81,93 %

    iDTGV 100 %

    L’AGENCE 50,1 %

    LOGISTRA 99,80 %

    LYRIA SAS 74 %

    MAXIMILES 4,89 %

    NAVILAND CARGO 94,37 %

    NOVATRANS 38,25 %

    ORFEA 50 %

    PARVIS SAS 100 %

    RAIL EUROPE 100%

    RAIL EUROPE 4A SNC 50%

    RAIL EUROPE GROUP INC 87,12 %

    RHEALYS SA 30 %

    ROUCH INTERMODAL 98,96 %

    SAM SA 60 %

    SEAFRANCE 100 %

    SEALOGIS 100 %

    SEFERGIE 98,96 %

    SEGI 98,96 %

    SGW 67,5 %

    SHEM 59,59 %

    SNCF INTERNATIONAL 100 %

    SNEF 100 %

    STSI 94,44 %

    SYSTRA 35,87 %

    THALYS INTERNATIONAL 70 %

    VFE-COMMERCE 100 %

    VFLI 100 %

    VOYAGES-SNCF.COM 100 %

  2. Merci bcp de ce renseignement. Je n'arrive justement pas a avoir le num de l'accueil à Montpellier.Page Jaune, blanche,etc...????

    Mais deja merci pour cette adresse.

    Trouvé sur les Pages Blanches:

    Direction Sncf Montpellier

    4 r Catalan 34000 MONTPELLIER

    N° Indigo® : 0 825 800 186

    (0,15€ TTC/mn maxi)

  3. Merci pour toutes ces precisions qui me concerneront peut etre, je l'espere.

    Pour les formations, impossible d'avoir le num de la DRH à Montpellier ni aucun num d'ailleurs.Si qqun peut m'aider. J'aimerai savoir ou ca en est des embauches.

    En ce qui concerne les horaires, j'ai crus comprendre qu'on travaillait 4 jours et deux jours de repos ou je me trompe ?

    Merci encore pour votre aide

    Direction Régionale de Montpellier :

    SNCF AGENCE DE RECRUTEMENT DE MONTPELLIER - AMRO

    3 RUE PAPERE

    13001 MARSEILLE

    Ils ont peut etre un n° de tél en cherchant dans l'annuaire, sinon tu peux appeler le standard de la direction de la SNCF à Montpellier qui t'orienteront vers la bonne personne.

  4. Ces liens sont trés informatifs mais tres peut locaces sur les horaires, le salaires, les evolutions de postes, les formations et leurs lieux,etc..., question que tous futurs cheminots et technicien de circulations se posent.

    C'est toujours mieux que rien et c'est déjà un début pour s'informer, ensuite il ne tient qu'à vous de demander des prévisions helpsoso

    Les horaires dépendent de la gare/poste d'affection, généralement ils tournent en 3x8 (12h/20h - 20h/4h - 4h/12h).

  5. -est ce que dès le début de cette formation on a droit aux avantages des cheminots concernant la mutuelle (je vais quitté une mutuelle de groupe)?

    Oui, tu auras droit à la CP (caisse de prévoyance Sncf) et aux avantages concernant les facilités de circulation: http://www.cprsncf.com/

    -quel est le salaire (environ!) pendant et parès la formation (je crois qu'il y a des primes selon le nombre des découches)?

    Rémunération à hauteur de (+ ou -) 1100 € pendant la formation.

    Par la suite tu auras en gros 30% de ton salaire en primes.

  6. personne peut m aider?

    En cherchant un peu, tu aurais trouvé ça: http://www.cheminots.net/forum/index.php?showtopic=3590

    et tu aurais visité cette page spéciale technicien circulation: http://www.cheminots.net/forum/index.php?showtopic=1313

    Technicien Circulation = Aiguilleur

    Technicien Circulation FRET = Aiguilleur dans une gare de triage de trains de marchandises

    Bienvenu à toi sur ce forum ! et n'oublie pas de te présenter ici: http://www.cheminots.net/forum/index.php?showtopic=1617

  7. En fait, il me manque les chiffres de la Traction car ils sont toujours intéressants.

    Mais je n'évite pas ta question : globalement je trouve que ce n'est pas un taux exceptionnel (entre autres parce qu'il n'y a pas eu beaucoup de mouvements nationaux cette année et que l'on aurait donc pu penser que plus de ressentiment "refoulé" s'exprimerait à cette occasion).

    Savoir si cela révèle que les cheminots baissent les bras ou qu'ils n'ont pas été suffisamment motivés par les revendications, très honnetement je n'ai pas d'avis (ce n'est pas de la langue de bois c'est vrai : pas d'avis).

    Tu penses vraiment qu'il y a besoin de battre des records pour qu'une grève soit significative ?

    J'aimerai bien avoir des chiffres détaillés pour connaitre un peu plus qui sont ces grévistes....

    Plutot des Nordistes, des Sudistes, plutot des cadres (mdr) ou des exécutants... etc... etc...

    Quel est le % de cadres dans notre entreprise (donc de gars qui font jamais ou rarement grève) ?

    Plus de 55% à la traction.

    La Traction toujours en tête... 55% c'est un bon chiffre Assouan ? attention, record pas battu !!!

    Ce que j'en pense, moi, si je peux me permettre kata, c'est que je trouve anormal qu'on ai une présidente qui refuse toute discussion avec les syndicats, je ne trouve pas ça digne d'une présidente. Gallois n'aurait pas fait une chose pareille et n'aurait pas citer de tels propos comme l'a fait notre chère présidente!!!

    @+ Ferro

    Ne pas vouloir discuter et attendre de voir le taux de mobilisation c'est quand même un signe clair non ?

    En ce qui me concerne, ce topic peut être fermé par les modos, je n'y prendrai pas part.

    Je ferai part par MP de mes remarques aux forumeurs qui s'en prendront à mon implication syndicale ou à l'expression de mes convictions.

    J'approuve Pepe lapleunicheuse

  8. Bravo Kata tu as mis le doigt là ou ca fait mal...

    Ce post est, je le reconnais bien volontiers, une réaction un peu épidermique au fait que deux d'entre nos (estimés !!!) membres nous imposent leur débat bi-partite un peu partout et que... ca me fatigue un chouïa !!!

    Si cela devait poser, tu as évidemment toute lattitude pour fermer ce sujet !

    Y'a pas de problèmes avec ce sujet, mais j'insiste: tu en penses quoi de % de grévistes ?

  9. SNCF: mobilisation mitigée pour les cheminots

    Le mouvement de grève des cheminots, mercredi, a occasionné des perturbations sur tout le réseau SNCF, mais la mobilisation est restée mitigée avec près de 27% de grévistes, selon la direction de lentreprise, 33% à 35% selon la CGT, majoritaire. La situation devait revenir progressivement à la normale jeudi dans la matinée.

    La présidente de la SNCF Anne-Marie Idrac, nommée à ce poste le 12 juillet dernier, était confrontée, mercredi, à son premier conflit social, qui na pas mobilisé fortement les cheminots, malgré le fait que la majorité des syndicats dénoncent "labsence de dialogue", de la nouvelle direction.

    A titre de comparaison, selon les chiffres de la direction, les cinq journées de grève nationale à la SNCF de 2005 ont été suivies par 36,9% des personnels le 19 janvier, 29,7% le 10 mars, 25,8% le 2 juin, 32,3% le 4 octobre, et 22,8% le 22 novembre.

    Mercredi, la circulation des trains était "globalement" conforme aux prévisions annoncées par la SNCF à la veille du conflit social, avec, en moyenne, deux TGV sur trois pour les dessertes Paris-province et un sur trois pour les liaisons inter-régionales et les Corail.

    La direction avait également prévu un train sur deux pour les TER et les liaisons de la banlieue parisienne.

    Sur ce dernier secteur, ce sont les usagers de la ligne B du RER qui ont subi les désagréments les plus importants, avec seulement 20% des trains maintenus alors que la direction tablait sur 40% de trafic assuré.

    Six syndicats de cheminots sur huit (CGT, FO, CFTC, CGC, Sud et FGAAC) avaient appelé à cesser le travail, de mardi soir à 20h à jeudi matin à 8h, pour dénoncer les restructurations internes à lentreprise -notamment celle du fret- les suppressions de postes, ou encore la politique salariale de la direction.

    Les six syndicats dénoncent notamment "une multitude de réorganisations, de restructurations, que plus personne ne semble être en capacité dexpliquer", et qui "fleurissent dans tous les secteurs dactivité de lentreprise".

    Sur le plan de lemploi, les fédérations de cheminots protestent contre la suppression de 14.000 postes depuis 2002, dont 7.000 pour le fret. Sur les salaires, ils exigent la mise en place dun "véritable 13e mois".

    Les syndicats veulent également obtenir des assurances quant au maintien de leur régime de retraites, et "tiennent à rappeler leur détermination à combattre toute remise en cause, par quelque gouvernement que ce soit", du "régime spécial de protection sociale", des cheminots.

    La fédération FO des cheminots, qui estime quun cheminot sur trois sest mobilisé mercredi, prévient dans un communiqué quau "vu du mécontentement qui sexprime", elle "sollicitera les autres fédérations pour envisager les suites à donner à cette action", si aucune réponse nest donnée par la direction concernant les revendications.

    Selon la CFTC, "27 % des cheminots ont clairement affiché leur révolte (...) mais ils sont infiniment plus nombreux à exprimer leur ras le bol quotidien à leur hiérarchie. A la SNCF, le malaise et les inquiétudes sont réellement omniprésents".

    SUD-Rail a également proposé, mercredi, "aux autres fédérations une rencontre dans les jours qui viennent, pour déterminer ensemble les suites à donner à ce mouvement", se disant "favorable à une grève reconductible".

    De son côté, la direction de la SNCF a assuré, dans un communiqué mercredi en fin daprès-midi, que "lactivité fret (...) restera au sein de lentreprise publique, le scénario de la filialisation de cette activité nayant pas été retenu", et que "le développement de cette activité reste lambition de la SNCF".

    La direction souligne par ailleurs "limportance du dialogue social et de la concertation dans la conduite", des évolutions internes à lentreprise.

    En matière demploi, elle confirme "le volume de 5.600 embauches prévues pour 2006 (soit 400 de plus que prévu, et 1.000 de plus quen 2005), ce qui représente un objectif de 1.100 embauches pour les deux derniers mois de lannée".

    Par ailleurs, un comité de suivi de laccord salarial 2006 aura lieu le 14 novembre, rencontre déjà annoncée avant la grève.

    Source: http://www.euroinvestor.fr/News/ShowNewsSt...StoryId=9475646

  10. La SNCF annonce des mesures

    Après la grève des cheminots de mercredi, qui a mobilisé environ un tiers des agents, la direction de la SNCF a annoncé des mesures pour l'emploi et le fret, accueillies de façon plutôt mitigée par les syndicats.

    La SNCF s'est notamment engagée à ramener en 2007 le nombre de suppressions d'emplois de vendeurs à 200 au lieu de 1.000 initialement prévues. Elle a prévu 1.000 embauches supplémentaires en 2007 pour les métiers ferroviaires et 1.000 nouveaux stages pour les jeunes.

    Du côté des salaires, revendications phares des syndicats, l'entreprise a promis de réunir le 14 novembre prochain un comité de suivi de l'accord salarial 2006 et s'est engagée à ouvrir des négociations salariales avant la fin février 2007.

    "La SNCF a fait un effort en matière d'emplois. Sur les salaires il n'y a rien, mais on a obtenu une date. Ca va dans le bon sens. C'est un début!", a déclaré Didier Le Reste, secrétaire fédéral de la CGT des cheminots, syndicat majoritaire de l'entreprise.

    Six des huit syndicats de cheminots avaient appelé à la grève. La CFDT et l'Unsa ne se sont pas associées au mouvement.

    La Fédération générale autonome des agents de conduite (FGAAC), qui a jugé "insuffisantes" les mesures, a d'ores et déjà annoncé qu'elle poursuivrait le mouvement, en l'absence dans les "tous prochains jours" de réponses aux revendications des conducteurs. Elle a proposé aux autres organisations de l'accompagner dans son mouvement catégoriel.

    Sud-Rail, qui s'est dit favorable à une grève reconductible, a proposé une rencontre intersyndicale dans les jours qui viennent "pour déterminer ensemble les suites à donner" au mouvement.

    Entre 27 et 33% de grévistes

    Le taux de participation à la grève s'est établit à 26,8%, selon la SNCF, 33%, d'après la CGT. "C'est bien moins que lors des précédentes grèves, sauf celle de novembre 2005 où le taux de grévistes était de 22,8%", a-t-on souligné à la direction de la SNCF.

    Le secrétaire fédéral Didier Le Reste s'est dit "satisfait" de l'ampleur du mouvement.

    La FGAAC, qui a revendiqué 55% de grévistes parmi les conducteurs, s'est elle aussi déclarée satisfaite.

    La CFTC a pour sa part concédé un recul par rapport aux précédentes grèves de cheminots. "Ce n'est pas énorme, 27%. Ce n'est pas un succès extraordinaire, on a connu des mobilisations plus fortes", a estimé Bernard Aubin, secrétaire fédéral de la CFTC-Cheminots.

    Ce mouvement de grève, entamé mardi à 20 heures, doit se poursuivre jusqu'à jeudi à 8h00 du matin, heure à partir de laquelle la SNCF prévoit un retour à la normale du trafic, à l'exception des axes normands où des perturbations sont à prévoir en raison d'un mouvement social local.

    Dans la journée 70% des trains TGV ont circulé en moyenne, selon la SNCF. Sur les lignes Eurostar et Thalys, le trafic a été normal. En Ile-de-France, plus de 50% des trains ont été en service et en province un TER sur deux a circulé en moyenne. Un train Corail sur trois a été en service.

    Anne-Marie Idrac, qui fut secrétaire d'Etat aux Transports du gouvernement Juppé lors de la grande grève de 1995 à la SNCF, a essuyé mercredi sa première grève depuis sa nomination en juillet à la tête de l'entreprise.

    Source: http://www.lexpress.fr/info/quotidien/actu.asp?id=7026

  11. Grève SNCF: mobilisation moyenne, Idrac fait un geste d'ouverture

    La grève à la SNCF mercredi a été suivie par environ 30% des cheminots, une mobilisation relative, dans la moyenne des conflits de ces dernières années, qui a néanmoins débouché sur un signe d'ouverture de la part de la nouvelle présidente Anne-Marie Idrac.

    Malgré un trafic assez fortement perturbé sur l'ensemble du réseau, il n'y a pas eu de panique et de confusion dans les gares françaises et le ministre des Transports, Dominique Perben, s'est félicité que le service garanti »fonctionne bien» en Ile-de-France.

    En fin de matinée, la direction recensait quelque 26,8% de grévistes, un taux supérieur à ceux des grèves du 22 novembre 2005 (22,8%) et de juin 2005 (25,8%), mais inférieur aux mouvements du 19 janvier (36,9%), du 10 mars (29,7%) et du 4 octobre (32,3%) de la même année.

    Le ministre des Transports Dominique Perben a néanmoins qualifié cette mobilisation de »faible», estimant que »la base» n'avait »pas suivi le mot d'ordre syndical».

    En fin de journée, la CGT a surenchéri, en annonçant 33% de grévistes sur l'ensemble de la journée, tout en se félicitant d'un mouvement »sérieux et utile».

    Le mouvement, non reconductible, lancé par six des huit syndicats (CGT, Sud Rail, FO, Fgaac, CFE-CGC et CFTC, mais ni la CFDT ni l'Unsa), doit se terminer jeudi à 08H00.

    Un retour progressif à la normale interviendra à partir de jeudi matin, avec une »remise en ordre» en fin de matinée, a assuré la direction.

    Mercredi, le trafic a été assez fortement perturbé, mais globalement conforme aux prévisions: 2 TGV sur 3, 1 train grandes lignes Corail sur 3. Les trains internationaux Eurostar et Thalys ont circulé.

    En région, environ »1 TER sur 2» a fonctionné, et un train sur deux en moyenne en banlieue parisienne.

    Pour M. Perben, le »service garanti a très bien fonctionné», avec »50% des Transiliens» qui ont circulé, contre seulement 33% l'année dernière à la même époque.

    La SNCF a signé en 2005 un accord avec le Syndicat des transports d'Ile-de-France (Stif, qui dépend du Conseil régional), prévoyant un système de »bonus-malus» en cas de grève.

    »Il y a eu une vraie information du public, les prévisions ont été respectées, c'est cela l'esprit du service garanti contractuel», a commenté le ministre.

    De fait, le débat récurrent sur un service minimum supposant une réquisition des grévistes est resté en sourdine du côté de la majorité. Roger Karoutchi, sénateur UMP des Hauts-de-Seine et président du groupe UMP au conseil régional d'Ile-de-France, a demandé que soit »généralisé à l'ensemble du territoire national» le service garanti.

    Les revendications syndicales, mises en avant depuis des mois, sont multiples: défense du fret, dont la situation est jugée »catastrophique» face à l'essor du transport routier, du service public, de l'emploi et des salaires.

    Après avoir jeté de l'huile sur le feu en évoquant un dialogue social »bloqué», le »mur de Berlin» et la »guerre froide», Mme Idrac a fait un geste envers les syndicats, le jour même de la grève, leur adressant un courrier où elle a précisé un certain nombre d'engagements, qu'elle avait pris deux jours avant la grève.

    Dans ce courrier, dont l'AFP a obtenu copie, elle »confirme» notamment son »attachement au caractère intégré» de l'entreprise publique SNCF et son choix de »ne pas filialiser le fret», revendications des syndicats.

    La CGT, qui avait menacé dans la matinée de »donner des suites» à la grève, y a vu »un certain nombre de réponses aux demandes et préoccupations exprimées par les personnels».

    Source: http://www.tageblatt.lu/edition/article.asp?ArticleId=54873

  12. Sachant que un certain nombre d'entre nous vont aller bosser demain mais que ce sera ma première fois sur le terrain un jour de grève (jusque là j'étais bien au chaud dans un bureau à commenter les chiffres) :

    dois-je avoir peur ???

    (le premier qui me dit que j'ai qu'à faire grève pour ne pas avoir à me poser la question est "hors sujet" nonmais )

    Prends ton appareil photo et tu nous feras un reportage photo.... Sinon quand on fait grève on se doute quand même à quoi s'attendre de la part des clients/passagers, surtout lors d'un mouvement nationnal. Chacun assume ses choix, de faire grève ou pas, par contre il faut pas se voiler la face: tu vas avoir une journée trés difficile...

  13. Liberté chérie a pour ambition de diffuser la pensée libérale au sein de la société française, notamment la responsabilité individuelle ou l'autonomie de l'individu, et de lutter contre le socialisme, qu'elle considère être une idéologie dangeureuse.

    Le socialisme une idéologie dangeureuse ? Ils sont vraiment ailleurs eux !!!

    Elle s'inscrit dans la tradition du libéralisme politique : elle plaide pour une limitation drastique de la taille de l'État. Elle souhaite une société d'égalité des droits, de laquelle seront donc supprimées toutes sortes de privilèges et de "statuts".

    Un communisme amélioré alors ? Ou alors plutot tout le monde sur un même pieds d'égalité mais pas vers le haut, mais vers le bas.... tout le monde à 1000€ par mois...

    o Simplification du Code du travail, libre négociation des termes du contrat de travail entre l'employeur et l'employé.

    Des idées ils en ont ! Enfin, à ce moment là faut aller direct aux USA.

    * Retraites

    o Suppression des cotisations retraite obligatoires pour permettre une épargne libre et faciliter l'achat de son logement.

    o L'état subvient aux besoins de ceux qui ne sont pas parvenu à se constituer une épargne retraite.

    Comment pensez une chose et son contraire en même temps ! Comment l'état va financer les retraite de "ceux qui y sont pas pervenu" sans cotisations ? Je me demande si Garcimore a pas monté ce groupe en fait...

    * Assurance maladie

    o Suppression des cotisations maladie obligatoires pour permettre une assurance libre et concurrentielle.

    o L'état subvient aux besoins de santé de ceux qui n'ont pas de revenus suffisants et des personnes dépendantes.

    Un billet d'avion pour les USA !!!

    * Syndicalisme

    o Suppression de la présomption irréfragable de représentativité accordé à cinq confédérations.

    o Suppression des subventions publiques aux syndicats et publication de leurs comptes.

    o Liberté de choix des salariés de choisir le syndicat qui les représentera pour négocier la convention collective qui s'appliqera à son contrat de travail.

    Ils sont droles non ? :Smiley_76: Ben en fait non.... controleursncf

  14. Heureusement que le fret est en train d'être bientôt ouvert à la concurrence.

    Le FRET est DEJA ouvert à la concurence....

    Non, les cheminots ne sont ni sous-payés ni surmenés. On n'a aucune peine à en recruter, et il suffit de les observer au travail pour constater qu'ils ne sont pas surmenés.

    Comment englober tout le monde dans le même sac, on est tout cheminot à croire que c'est un métier lui-même. Quand au délit d'observation "regardez-les ils ne font rien !" c'est peut-être un peu court comme argument, car à quels cheminots de la SNCF fait-il allusion ? on ne sait pas. A moins d'être lui-même cheminot, ce monsieur parle d'un monde qu'il ne connait probablement que trés peu, a-t-il été voir les conditions de travail de nos gars qui bossent au bord et dans les voies, de ceux qui bossent dans les triages, a-t-il ouvert les portes des directions, des gares pour voir ce qu'il s'y passe exactement, est-il allé voir un poste de régulation, le métier de régulateur, etc.... etc... ??? Avant d'écrire des insanitées, peut-être faudrait-il savoir de quoi on parle.

    En réalité, les chemins de fer en France coûtent chaque année environ 13 milliards d'Euro au contribuable. Vous avez bien lu : 13 milliards, c'est à dire autant que le déficit de la Sécurité Sociale.

    Quand on annonce des chiffres, on indique ses sources... Sinon comment vérifier l'exactitudes des dires ?

    Elle a d'ailleurs déjà déclaré dans un entretien au journal interne de la SNCF, qu'elle "n'acceptera pas que les cheminots soient stigmatisés comme privilégiés". Et pourtant ils le sont, pour les horaires, les conditions de travail, les salaires, et les retraites. On peut donc s'attendre au pire si les usagers ne se défendent pas.

    C'est beau non de se défouler ainsi ? Il doit se sentir soulagé à la fin...

    Et vous, vous en pensez quoi de genre de réaction ?

  15. LIVERTE-CHERIE.COM - http://www.liberte-cherie.com/a2547-Greves...n_derision.html

    Grêves SNCF : Le Service Public tourné en dérision

    La SNCF se prépare de nouveau à une journée d'inaction nationale le 8 novembre, avec le fourre tout habituel de revendications risibles : l'avenir du fret, l'emploi, les salaires.

    Oui, l'avenir du fret est bien est un problème grave à la SNCF, et l'organisation du travail un bon sujet. Année après année les industriels se sont lassés du manque de fiabilité et des délais des trains de marchandise, dus aux rigidités des conditions de travail et aux grèves à répétition. Toutes choses dont les syndicats sont les seuls responsables. Heureusement que le fret est en train d'être bientôt ouvert à la concurrence.

    Oui, l'emploi est bien un problème grave à la SNCF, mais pas dans le sens où l'entend la CGT. Promouvoir le service public, cela veut dire aussi rechercher la productivité maximum de façon à fournir le meilleur service tout en économisant l'argent du peuple. Or les effectifs de la SNCF sont encore aujourd'hui très largement excédentaires, comme on s'en convaincra en lisant les deux articles :

    Les effectifs de la SNCF: http://federation.liberte-cherie.com/a838-...de_la_SNCF.html

    La productivité à la SNCF: http://federation.liberte-cherie.com/a2548...s_francais.html

    Non, les cheminots ne sont ni sous-payés ni surmenés. On n'a aucune peine à en recruter, et il suffit de les observer au travail pour constater qu'ils ne sont pas surmenés.

    Les syndicats torpillent le service public. Ils prennent le public en otage pour faire avancer leurs revendications corporatistes et pour se donner une raison d'être. Chacune des grèves est une véritable galère pour des dizaines de milliers de braves gens qui cherchent par tous les moyens à se rendre au travail malgré cette carence de service public : gares surpeuplées; informations arbitraires et souvent fausses sur les panneaux d'affichage; trains aux horaires aléatoires pris d'assaut par des foules plus importantes que la contenance du train, couloirs des wagons complètement remplis de personnes debout, changement inopinés de trains en cours de trajet, voyageurs étrangers et vielles dames complètement désemparés, femmes enceintes écrasées par la foule, travailleuses attendues chez elles par les enfants seuls à la maison, rendez vous manqués, nuits passées à l'hôtel, etc. Comment peut-on être assez cynique pour appeler cela la défense du service public?

    Mais les syndicats ont des circonstances atténuantes : leur direction, avec la lâche complicité de l'Etat, laisse croire que la SNCF fait des bénéfices. Or il s'agit d'une escroquerie intellectuelle à côté de laquelle la falsification des comptes d'Enron fait pâle figure. On est arrivé à ce résultat

    - en découpant à l'intérieur des chemins de fer français un sous ensemble baptisé SNCF dont les dépenses sont du même ordre que les recettes et en rejetant sur le "Réseau Ferré de France", dont personne ne regarde les comptes, les plus grosses sources de perte.

    - en faisant entrer dans les "recettes" les subventions considérables de l'Etat et des régions. En réalité, les chemins de fer en France coûtent chaque année environ 13 milliards d'Euro au contribuable. Vous avez bien lu : 13 milliards, c'est à dire autant que le déficit de la Sécurité Sociale. Pour plus de précision, Voir Société Nationale de Catastrophes Financières

    La véritable raison de cette grève est des tester Anne-Marie Idrac, la nouvelle présidente, qui vient d'être nommée en remplacement de Louis Gallois. Elle vient de la RATP, une entreprise publique qui fait chaque année un déficit de 2 milliards d'Euros, couvert par des subventions, et dont l'endettement atteint 4 milliards d'Euros. Les retraites de ses employés ne sont pas provisionnées et ne sont même pas mentionnées dans les charges hors bilan, alors qu'elles représentent une dette supplémentaire de 18 milliards d'Euros. Les salariés font moins de 30 heures de travail par semaine, les retraites se prennent en moyenne à 53,5 ans etc. Et bien que fit Mme Idrac à son arrivée? Elle augmenta les effectifs de 10% alors que le nombre de voyageurs n'augmentait pas, et elle introduisit un 13ème mois ainsi que d'autres mesures "sociales" qui n'ont fait qu'accroître le déficit. Il n'est donc pas étonnant que les cheminots aient envie de la tester et si possible de lui arracher le même genre d'avantages. Elle a d'ailleurs déjà déclaré dans un entretien au journal interne de la SNCF, qu'elle "n'acceptera pas que les cheminots soient stigmatisés comme privilégiés". Et pourtant ils le sont, pour les horaires, les conditions de travail, les salaires, et les retraites. On peut donc s'attendre au pire si les usagers ne se défendent pas.

    Liberté-chérie: définition sur wikipédia

    Idéologie

    Liberté chérie a pour ambition de diffuser la pensée libérale au sein de la société française, notamment la responsabilité individuelle ou l'autonomie de l'individu, et de lutter contre le socialisme, qu'elle considère être une idéologie dangeureuse. Elle s'inscrit dans la tradition du libéralisme politique : elle plaide pour une limitation drastique de la taille de l'État. Elle souhaite une société d'égalité des droits, de laquelle seront donc supprimées toutes sortes de privilèges et de "statuts".

    Pour Liberté chérie, la pensée libérale a été principalement représentée et développée en France par Turgot, Benjamin Constant, Jean-Baptiste Say, Frédéric Bastiat ou, plus récemment, Jean-François Revel. Mais également, à l'étranger, par John Locke, Friedrich Hayek, Ludwig von Mises, Ayn Rand ou Milton Friedman.

    Liberté chérie se veut à la fois une association politique, rassemblant les libéraux de toutes tendances, et un think tank libéral.

    Thèmes

    Liberté chérie a pour vocation de traiter des thèmes qui bloquent le plus la société française. Elle a publié sa première liste de propositions de réformes[3] sur le syndicalisme, l'éducation, l'emploi, les systèmes de retraité et d'assurance maladie.

    Quelques points jugés « clefs » et mis en avant par Liberté chérie :

    * Emploi

    o Simplification du Code du travail, libre négociation des termes du contrat de travail entre l'employeur et l'employé.

    o Amélioration du fonctionnement du système éducatif, considéré comme "usine à chômeurs".

    * Retraites

    o Suppression des cotisations retraite obligatoires pour permettre une épargne libre et faciliter l'achat de son logement.

    o L'état subvient aux besoins de ceux qui ne sont pas parvenu à se constituer une épargne retraite.

    * Assurance maladie

    o Suppression des cotisations maladie obligatoires pour permettre une assurance libre et concurrentielle.

    o L'état subvient aux besoins de santé de ceux qui n'ont pas de revenus suffisants et des personnes dépendantes.

    * Éducation

    o Autonomie totale pour les établissements scolaires (programmes, méthodes, professeurs)

    o Mise en place du chèque éducation, subventionnant l'élève et non plus l'établissement.

    * Syndicalisme

    o Suppression de la présomption irréfragable de représentativité accordé à cinq confédérations.

    o Suppression des subventions publiques aux syndicats et publication de leurs comptes.

    o Liberté de choix des salariés de choisir le syndicat qui les représentera pour négocier la convention collective qui s'appliqera à son contrat de travail.

  16. Petit rappel du statut de la SNCF:

    La SNCF devient au 1er janvier 1983 un EPIC établissement public à caractère industriel et commercial.

    On confond souvent le « service public » avec les grandes « entreprises publiques » nationales comme la SNCF ou EDF: Confusion "service public" / "entreprises publiques"

    Les Services Public du Secteur marchand : il s'agit de services financés principalement par une activité commerciale, mais qui sont considéré comme devant être sous controle de la collectivité.

    - Transports : transports urbains, transports ferroviaires régionaux (TER), ramassage scolaire, services portuaires, services aéroportuaires… ;

    - Énergie : distribution du gaz et de l'électricité ;

    - Eau potable ;

    - Services postaux ;

    - Télécommunications : téléphone, radiodiffusion.

  17. SOS USAGERS - http://www.sos-usagers.com/256.htm

    CONFLIT ANNONCÉ À LA SNCF, ET LES USAGERS ALORS?

    Le conflit annoncé à la SNCF entre la direction et certains syndicats risque une fois encore de faire oublier que la SNCF est censée être d'abord au service du public.

    C'est pourquoi notre association va présenter à la présidente de la SNCF la "PLATE-FORME REVENDICATIVE DES USAGERS" et réclamer une véritable négociation avec la direction.

    Nous détaillerons dans les prochains jours ces revendications, mais nous disons dès maintenant que LES USAGERS ONT TOUTES LES RAISONS D'ÊTRE MÉCONTENTS.

    1°) La SNCF n'est plus un service public, mais une "entreprise à deux vitesses" qui fait tout pour privilégier le TGV, Thalys et Eurostar aux dépens des trains de banlieue et des trains régionaux.

    2°) La tarification des grandes lignes est devenue une véritable "roulette russe" avec des prix incroyablement différents pour le même train selon que le billet a été acheté au guichet ou sur Internet et, pour les achats en ligne, en fonction du jour et de l'heure de la commande.

    3°) Les achats sur Internet fonctionnent mal. La FUT-SP a d'innombrables exemples d'usagers qui ont payé deux ou trois fois leurs billets parce que leur première ou seconde commande était censée avoir échoué, mais leur carte a quand même été débitée à chaque fois.

    4°) Le service de réclamations SNCF d'Arras est sans doute l'un des pires connus à ce jour et certains litiges ne peuvent être réglés que grâce à l'intervention des médias!

    Il est donc URGENT d'ouvrir une négociation dont l'objectif doit être de REFAIRE DE LA SNCF UN SERVICE PUBLIC dont la mission est de TRAITER TOUS LES USAGERS AVEC ÉQUITÉ.

    Parallèlement, la FUT-SP demande aux futurs candidats à l'élection présidentielle de dire

    1° S'ils partagent notre volonté de reconstruire le service public ferroviaire;

    2° Quelle politique ils comptent engager pour parvenir à cet objectif.

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