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Popol => cirque

Jörg Haider, leader de l'extrême droite autrichienne meurt dans un accident de voiture La fin de l'extrême droite en Autriche? http://www.lemonde.fr/carnet/article/2008/...05619_3382.html

Salut! en effet, lorsqu'un wagon était chargé et que le chargement paraissait douteux, on déployait ce gabarit en travers de la voie et il ne fallait pas que ça touche. Au début c'était à cause des ponts et tunnels, ensuite, à cause des caténaires... Quant à méticuleux, je le suis certainement, mais surtout, je suis tenace (même quand le bout des doigts à une odeur de barbecue )

Salut! puisque me voilà immobilisé, je m'occupe à de saines activités. Mon réseau ayant une cour marchandises, il lui faut aussi un gabarit. Il en existe dans le commerce, mais c'est aussi simple de le construire soi même. Je me suis basé sur celui de Marignac (ci-dessous) et de l'article de Yann Baude dans Loco Revue n°689 Avant de commencer, voilà le plan: Ensuite, le pylone. Comme en réalité, il est fait de rails vignole. J'ai utilisé des chutes de voie Jouef, mais de la Peco 75 irait mieux. Tout d'abord, il faut souder les rails entre eux, de manière à ce que le dessous des patins soit aligné (on peut glisser le champignon d'une autre chute de rail entre les deux à fixer, en prenant garde de ne pas la souder elle aussi): Une pince à linge en bois "customisée" est bien pratique, tout comme le flux à souder: Une fois les rails soudés, on peut fixer les pivots. Le pivot du bas est plus large car il sert à verrouiller le gabarit en position ouverte ou fermée (la palque pivot est tordue sur la photo): Les pivots sont en laiton de 2/10èmes, percés avec un porte forêt à main avant mise en place puis formés à la lime: Les pivots sont soudés en place: Vient ensuite le tour de la partie mobile: L'axe et la console sont ici en corde à piano de 6/10èmes, du laiton irait mieux. Ils sont soudés à 90° puis la fixation est renforcée par un triangle en laiton de 2/10èmes. Le gabarit est mis en forme dans du profilé laiton en L de 1mm. Une simple pince à bec fin suffit et faisant attention de ne pas écraser le profilé. Pour assembler les éléments, rien ne vaut l'adhésif double face pour tous les maintenir en place au moment de la soudure. Les suspentes, normalement composées de chainettes sont ici en fil de bronze de 2/10èmes ondulé pour figurer les chaines (l'effet n'est pas top): Les deux sous ensembles peuvent maintenant être assemblés. L'axe est d'abord enfilé dans les pivots du bas et enfin dans celui du haut. On peut maintenant fixer la poignée de manœuvre. Une fois soudée, on ne peut plus démonter le gabarit. Elle repose sur le pivot du bas: Dernier détail, le hauban. Il s'agit là de fil de cuivre issu d'un câble multibrin, un peu trop souple, mais très fin et pas cher! Enfin, la mise en peinture! Du gris, passé au pinceau. La couleur varie selon les gares et le fournisseur de peinture local... Il n'y a plus qu'à placer ce gabarit dans une cour marchandises, l'axe est prévu assez long pour pouvoir le manœuvrer par dessous la table. Il faut un peu de soin pour le placer sur le réseau afin de tout faire passer dessous sans casse. Amusez vous bien!

Salut! ces rames ont peut être un arrière gout de rengaine "métro-boulot-dodo", mais elles représentent le quotidien de milliers de personnes. Il y aura du monde heureux d'en revoir une dans 10 ans, ou alors un réalisateur de film qui s'en servira comme décor où même pour tourner une scène à bord, comme pour les rames Sprague du métro. La sauvegarde du patrimoine n'est pas qu'une affaire de passionnés, c'est aussi la préservation d'une culture, voire, osons le mot, d'une civilisation. Le patrimoine permet de se retourner et de faire le point pour encore plus avancer. C'est comme si on élevait un mur en enlevant ce qui a été construit plus bas: tout dégringole! Viendrait il à quelqu'un l'idée de ferrailler une Traction Avant ou une Juvaquatre? Certaines erreurs actuelles peuvent être corrigées en reprenant les techniques de grand papa. Si on les a perdues, il faudra les réinventer. C'est du temps perdu. En tous cas, bon courage à Z 5300!

C'est assez marrant comment les lignes internationales sont actives une fois hors de la France... je pense en particulier à Pau Canfranc et à Belfort Delle...

Un diesel????

DOWN: au moins une semaine d'arrêt maladie pour une tendinite à l'épaule... bobo lapleunicheuse

Celui ci est un fourgon de 1300kg/h (de vapeur). Il en existait plusieurs unifiés (tel que celui de la photo), mais les anciennes compagnies en avaient une tripotée plus ou moins bricolés. Certains étaient même des locomotives à vapeur reconditionnées. Sur la photo ci dessous (tirée du site de Makette) on voit un fourgon chaudière de 1600 kg/h (2x800) qui a été construit par installation de 2 chaudières dans un fourgon à bagages d'origine OCEM Midi.

Salut! Une marina et une voie ferrée ne sont pas incompatibles. Les grand ports ont longtemps été équipés d'une gare maritime où les voyageurs descendaient du train pour monter directement dans le bateau amarré juste à côté. Pour le côté historique, il y a à Nantes l'association qui a préservé la machine à vapeur 141 R 1190. peut être auraient ils des idées.

DOWN: retour en Ile de France DOWN2: il pleut, ça fait 3 semaines que je n'ai pas vu ça... UP: ben... euh... le reste

Salut! je pense que tout a été dit sur cet autorail... voici une photo prise lors du dernier phototrain qu'il a assuré, début Septembre sur la côte bleue:

Salut! je ne suis pas assez connaisseur pour dire quand les skis en bois ont été remisés au profit des nouveaux matériaux, mais en randonnée, les matériaux nouveaux sont plus que jamais utilisés pour obtenir des planches au poids le plus faible possible (essaye de faire 1000m de dénivelé avec 1kg à chaque pieds et essaye avec seulement 500 grammes, tu verras que les skis en bois sont aussi obsolètes dans cette pratique. A moins que tu ne parles de la randonnée nordique qui se rapproche lus de la pratique du ski de fond...

UP: escalade avec toute la famille DOWN: une épaule en vrac UP/DOWN: reprise du boulot mardi soir

En effet, la gare de Bagnères est intéressante, en plus ses emprises ne sont pas énormes, les possibilités de manœuvres assez grandes et la voie noyée de l'embranchement Soulé est très originale. Mais je trouvais qu'elle ne représentait pas assez l'archétype des gares ex-Midi, son bâtiment voyageurs est très particulier, le plan des voies aussi.

Salut! je fais la gare de "Pimpoux Debat". Elle n'existe pas en réalité (même le nom du village est inventé), mais elle est fortement inspirée de la gare d'Arreau qui était le terminus d'une ligne venant de Lannemezan, ainsi que d'autres gares du même style, mon but étant plus de retrouver l'ambiance d'une gare terminus pyrénéenne que de reproduire au centimètre près une gare réelle, je n'avais pas la place pour ça. La place m'a aussi conduit a faire un terminus, je pouvais comme ça n'avoir qu'une seule coulisse, donc un gain de place. Par rapport à la question de Sam 68, je voulais aussi ajouter qu'il ne faut jamais être trop gourmand, un petit réseau est assez vite terminé, donc la satisfaction de l'ouvrage terminé arrive vite. La taille n'empêche pas non plus d'avoir un plan de voie assez complexe pour autoriser, voire imposer, des séances de manoeuvre, à mon goût plus plaisantes que la vision bovine du train qui tourne. Plus techniquement, il faut éviter les courbes des moins de 600mm de rayon en HO, disgracieuses à l'oeil et sources de désagrément (déraillements, accrochages, mariage de tampons...). Ensuite, sur des petits réseaux, il vaut mieux adopter du matériel court, plus adapté aux courbes serrées. Exit, donc, les voitures corails, wagons à bogies ou autorails longs. Mais ça n'enlève rien au plaisir du jeu et au charme d'un réseau bien fait, bien au contraire. Enfin, dernier conseil (pour le moment), je ne peux que t'inviter à lire la presse spécialisée ainsi que les forums s'y rapportant, qui sont des sources d'inspiration et de conseils, avec des gens très talentueux qui n'hésiteront pas à t'aider à leur tour.

Vers la détente des flux (et du reste)

Salut! avant de commencer un réseau, demandes-toi ce que tu cherches à obtenir. Est ce que tu veux voir tourner des trains, manoeuvrer, avoir un beau décor, très peu de décor... Si tu désires un beau réseau, essaie de te cantonner à une région qui te plait ou qui t'inspire, à une époque qui te convient. Par exemple, pour mon réseau, j'ai choisi une gare terminus Pyrénéenne dans les années 1970. A partir de ça, tu peux déterminer quel matériel roulant te conviendra. Il ne faut pas (à mon avis) se renfermer sur la même marque, mais choisir le matériel qui va bien à ton projet, en panachant les diverses productions. Pour l'échelle, le HO est le plus répandu, mais pas forcément adapté à tout ce que l'on veut faire. Si tu n'as pas beaucoup de place, le N est tout indiqué pour faire rouler des longs trains dans un paysage réaliste. Mais tu peux tout aussi bien loger une voie étroite en O sur 1m²... Pour le système d'exploitation, le digital est aujourd'hui incontournable tellement il présente d'avantages (câblage simplifié, diverses fonctions à bord des machines...) mais attention au système Märklin qui n'est pas compatible avec les matériels d'autres marques. Je t'ai fait une réponse de Normand, mais il est impossible de répondre catégoriquement à ce type de question tellement la construction d'un réseau est affaire de subjectivité. Décide d'abord d'un thème ou d'un lieu qui te tient à cœur et à partir de là, on pourra t'aider plus amplement. Surtout, ne te rue pas dans un magasin sans savoir, tu regretteras ton achat peu de temps après.

UP: une semaine de folie en stage de voile au large de Concarneau DOWN: dur dur de se réacclimater à la vie réelle... koiquesse

Ca rappelle des souvenirs...

La 2CC2 3402 a roulé par ses propres moyens au printemps. Bien sûr, elle n'est pas montée à Modane, peut être qu'elle n'y remontera jamais par ses propres moyens, mais à force de volonté, l'APMFS a démontré le contraire de ce que tu dis. La CC 6570 a pu tractionner sans souci après deux ans d'arrêt... Quant à la BB 9004 de Mulhouse (comme la plupart des machines électriques qui y sont présentées), elle n'est plus apte à la traction pour la bonne raison qu'elle n'a pas été recablée lors de sa restauration. Et les machines d'association ont bien souvent un entretien à faire pâlir les machines SNCF. En plus des nettoyages réguliers, les membres qui s'en occupent connaissent les moindres recoins des engins et veillent à ce que chaque élément ait un fonctionnement irréprochable.

Salut, je ne savais pas que tu étais là, je ne vois même pas qui tu peux bien être... En tous cas, ton point de vue de la Redonne est très sympa, mais sur quoi est tu monté pour avoir cette vue plongeante? A la prochaine, sur un phototrain :)

Il ne faut pas faire n'importe quoi non plus. Je n'ai pas essayé de tremper du plastique dans de l'essence F, mais pour diluer la peinture, c'est le top et ça n'attaque pas le plastque lors de l'application. Pour décaper, le mieux est le décap' four à la soude. Le polystyrène ne craint rien. Sinon, il y le décapant Interfer, plus onéreux. L'acétone sert donc à diluer la peinture, mais surtout pas à décaper une caisse en plastique! Et encore, pour diluer, ce n'est pas le top puisque ça s'évapore très vite. Par contre, si tu veux peindre une surface qui craint un peu, l'acétone permet à la peinture de sécher très vite et d'éviter des amas de diluant.

Salut! Tout le monde le sait, ce week-end, l'X 2403 des CFHA s'est baladé autour de Marseille. La journée à commencé par une virée sur les voies de desserte du port de commerce, lieu inattendu pour un phototrain, mais pourtant très photogénique! Les voies noyées dans la chaussée créent une ambiance industrielle que j'adore. Derrière l'ancienne gare maritime. L'après midi s'est déroulé sur une ligne plus commune, mais non moins photogénique: Marseille - Miramas par la Côte Bleue. Juste avant Niolon, entre les tunnels de la Vesse et des Glaïeuls, un arrêt ligne permet de prendre un peu de hauteur. Plus tard, c'est sur le viaduc du Jonquier que nous stoppons. Enfin, au prix d'une course à pieds, nous avons eu le temps de descendre sur la digue du port de la Redonne pour photographier l'autorail arrêté sur le viaduc. La remontée ne s'est par contre pas faite en courant... Le reste de le ligne n'est pas aussi spectaculaire et l'enchevêtrement d'usines et de raffineries n'est pas là pour le rendre intéressant. Cependant, le viaduc de Caronte, avec sa travée mobile,constitue un ouvrage majeur du trajet. Le retour de Miramas s'est fait par Rognac, où s'imposait la photo avec le tout dernier sémaphore P.L.M. encore en service (ligne Rognac - Aix en Provence) Le voyage s'est achevé en gare de Marseille St Charles, puis l'autorail a regagné sa rotonde tandis que les photographes retournaient à leurs pénates. Adieu, Venise provençale... Merci à toute l'équipe de l'autorail pour cette journée inoubliable, ainsi qu'aux participants qui ont rendu l'ambiance si sympathique. helpsoso

C'est pour ça qu'on a inventé le conteneur... Mais au lieu d'avoir d'énormes chantiers qui ne vont finalement pas très vite, pourquoi ne pas faire de plus petites plateformes, mieux réparties sur le territoire, d'où plus de souplesse, à condition d'avoir ensuite des triages où les trains seront traités rapidement. Le système Modalhor à mis en avant la rapidité du chargement au détriment du cout et de la complexité des plateformes d'embarquement. Or, pourquoi à-t-on besoin de charger un train en 30 minutes s'il ne doit repartir que plusieurs heures après? Le raisonnement des décideurs est décidément très difficile à saisir.