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Le Web des Cheminots

Jay17

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Tout ce qui a été posté par Jay17

  1. RBT=Rambouillet, BQTT=Boulon Qui Tient Tout
  2. Je crois que c'est un partenariat entre webtrains.net et le forum, mais je te concède que c'est un poil lourd ce truc... A la limite, il faudrait qu'il soit épinglé et qu'il post ses trucs à la suite dans un même sujet, libre à nous après de le citer en mettant un lien pour discuter du sujet, parce que là on se perd au milieu de ces webtrains.net...
  3. Si c'est celui que je crois, il n'est plus à TRA, à peine arrivé, il est repartit à RBT, de toute façon, s'il était resté à TRA il y aurait eu des problème avec ce TPMG.
  4. Oui Dom, j'aurai plus d'infos dans la semaine, je les mets en ligne dès que je les reçois !
  5. Le listing a été établi le 24 avril et comporte les détachés depuis le début de l'année, donc effectivement certains sont repartis.
  6. SNCF_pas_question_pour_la_CGT_de_n_gocier_une_remise_en_cause_du_droit_de_gr_ve.pdf
  7. Effectivement, la majorité des détachés de PAZ et BY ont un contrat jusqu'au 30/06/07.
  8. Sur l'ET PRG (Paris Rive Gauche) : 72 détachés : 10 de l'EMT d'Avignon 06 de l'ET Languedoc Roussillon 11 de l'ET Bourgogne Franche C 04 de l'EMT Limousin 03 de l'ET Poitou-Charente 04 de l'EMT Tours Saint Pierre 01 de l'ET Lyon-Mouche 01 de l'ET Littoral Calais 01 de l'EMT Chalindrey 06 de l'ET PE 02 de l'ET Champagne Ardenne 03 de l'EMT Auvergne 11 de l'ET Bretagne 03 de l'ET Normandie 01 de l'ET Pays De Loire 01 de l'ET Caen 02 de l'EMT Nevers 01 de l'ET LR 01 de l'ET Laroche Excusez moi par avance si le nom des ET ou EMT ne sont pas bon, ou encore s'il y a plusieurs dénominations qui correspondent au même ET ou EMT. Ces détachés sont répartis de cette façon dans les UP de L'ET PRG : 40 à TRA 13 à BY 12 à PAZ 04 à VC 02 à RBT 01 à PMP
  9. Bon, j'ai un peu plus d'informations sur l'incident et sur la DCI. Il s'agit d'un raz de terre qui aurait été franchi lors de l'évolution du tête à queue à Saumur, d'après l'agent circulation, le DUO lui aurait demandé de modifier son rapport en lui mettant le doute entre un franchissement du signal et une manoeuvre sur les aiguilles. Ce qui est sur, c'est que l'agent de Séco Rail devait se présenter à l'agent circulation pour qu'il lui ouvre le signal, et qu'il ne s'est jamais présenté (donc signal jamais ouvert) et s'est retrouvé sur son train... Je précise que les aiguilles sont manoeuvrables à pied d'oeuvre. Bien entendu lors de la DCI, le DUO refuse de parler de pressions. Pourtant, d'après les agents, la tension monte entre eux et les employés de Séco Rail, sur des écarts de ceux-ci, la direction les invitant à ne pas faire de vagues avec les incidents de l’entreprise privée... Voilà, j'attends plus d'informations en cours de semaine prochaine.
  10. Déjà, pour citer l'IFRAP, faut avoir honte rien... http://fr.wikipedia.org/wiki/IFRAP
  11. Rassure-moi, tu te forces, non ? Ce qui est dénoncé ici, ce sont d'éventuelles pressions faites sur l'agent circulation par sa hiérarchie...
  12. S'il y a DCI, c'est que les faits sont avérés... J'essaye d'en savoir plus et de récuperer le compte rendu de la DCI.
  13. Pour faire suite à ma discussion avec Vinces (dans le sujet sur les pilotages des trains spéciaux), sur l'attrape nigaud "travailler plus, pour gagner plus", voici une analyse de RENAUD BELLEVILLE, éditorialiste des « Echos », sur cette mesure : Dr Sarko and Mr CAC Il faut se méfier des idées trop simples. Elles peuvent s'avérer simplistes et générer des effets pervers. Il en va ainsi de deux des mesures économiques emblématiques du programme de Nicolas Sarkozy. Alors que le pouvoir d'achat est au centre des préoccupations de nombreux Français, la formule « travailler plus pour gagner plus » est a priori séduisante. De même, l'idée de plafonner à la moitié des revenus le montant total des impôts payés par un contribuable peut sembler équitable. En fait, l'une comme l'autre pose de nombreux problèmes. Ayant fondé sa stratégie économique sur l'augmentation des salaires pour donner du pouvoir d'achat aux Français, Nicolas Sarkozy a trouvé une formule « miracle » : libéraliser les heures supplémentaires de sorte que les salariés puissent travailler davantage sans payer davantage d'impôts, tandis que les entreprises seront exonérées des charges sociales afférentes. Cette belle mécanique butte cependant sur plusieurs obstacles. Il ne suffit pas, en effet, de claquer des doigts en disant : « Je vais faire des heures supplémentaires » pour augmenter son pouvoir d'achat. D'abord, cette mesure exclut toute une partie de la population salariée : les cadres et les employés d'un certain nombre de secteurs, qui travaillent au forfait jour ou dans des domaines où l'on ne peut pas faire d'heures supplémentaires. Ces millions de travailleurs, même s'ils ne sont pas les plus défavorisés en termes de salaires, ont souvent un pouvoir d'achat qui évolue chichement et qui mériterait d'être accru. Si la rémunération des dirigeants du CAC 40 a progressé de 215 % au cours des sept dernières années, celle des salariés dans leur ensemble n'a en effet augmenté que de 25 %, en moyenne. En dehors des catégories qui ne peuvent statutairement pas faire d'heures supplémentaires rémunérées, nombre d'autres salariés ne seront pas davantage en mesure de profiter de la manne sarkozyste. L'actualité récente en donne hélas de nombreux exemples. Comment les 10.000 salariés maintenus dans les effectifs d'Alcatel Lucent en France pourraient-ils faire des heures supplémentaires, alors que le groupe va supprimer 1.500 emplois pour réduire ses coûts ? Il en va de même pour les 18.000 qui resteront chez Airbus après 4.300 suppressions, ou pour les 3.200 qui ne seront pas touchés par la réduction de 10 % des effectifs de Lagardère Médias. Et la liste est loin d'être exhaustive, comme le montrent les récentes déclarations du patron de Peugeot-Citroën. Cela ne concerne d'ailleurs pas seulement les entreprises en difficulté. Un groupe très bien portant, comme le géant de l'assurance AXA (5 milliards d'euros de profits annuels), va ainsi supprimer 3.000 emplois au cours des cinq prochaines années, dont la moitié seront délocalisés au Maroc. Il est donc douteux que les 11.000 salariés qui resteront en France puissent faire des heures supplémentaires. Cette mesure risque donc d'instaurer une France à deux vitesses, où, selon les entreprises et les statuts, les uns pourraient effectivement augmenter leur pouvoir d'achat, en travaillant plus, tandis que les autres seraient condamnés à se serrer la ceinture. La formule présente un autre inconvénient. L'absence de charges sociales sur ces heures supplémentaires pourrait entraîner dans les secteurs porteurs comme les services, le bâtiment ou les travaux publics, qui recrutent massivement actuellement, un « effet d'aubaine ». Plutôt que d'embaucher des salariés supplémentaires, certaines entreprises auraient intérêt à encourager leurs salariés à faire des heures supplémentaires. Ce qui freinera la réduction du chômage. Sachant que les entreprises bénéficient déjà de 24 milliards d'euros d'allègements de charges sur les bas salaires, et connaissant les problèmes soulevés par notre colossale dette et nos déficits, il y a, en outre, sans doute mieux à faire que d'accroître encore de 4 milliards d'euros les dépenses de l'Etat pour compenser auprès de la Sécurité sociale l'exonération de charges sur les heures supplémentaires. Si assouplir le carcan imposé aujourd'hui aux heures supplémentaires, sans alourdir pour autant le budget de l'Etat, peut être utile pour certains salariés et certaines entreprises, il ne peut donc s'agir d'une solution globale et efficace pour augmenter le pouvoir d'achat. Il en existe, en revanche, une autre, que Nicolas Sarkozy connaît. Communément appelée TVA sociale, elle consiste à transférer une partie des cotisations sociales sur la TVA. Comme l'assiette de cet impôt est plus large que celle des cotisations, une simple augmentation d'environ 3 points du taux de TVA, comme vient de le faire l'Allemagne, permettrait de baisser les cotisations d'environ 6 points. De quoi réduire d'un tiers les cotisations d'assurance-maladie et famille qui relèvent de la solidarité nationale et seraient ainsi payées par l'impôt. Pour que cette mesure soit juste, il faudrait que la baisse des charges soit affectée aux deux tiers à l'augmentation des salaires nets. Ce qui permettrait de les augmenter de 5 %, sans que cela coûte un cent aux entreprises. Ainsi, même si l'accroissement du taux de TVA entraînait une hausse des prix de l'ordre de 2 % - ce qui n'est pas certain, étant donné les pressions déflationnistes existant - le pouvoir d'achat de tous les salariés augmenterait instantanément de 3 %. Le solde allégerait le coût du travail, excessif en France, et renforcerait la compétitivité des entreprises, puisque les produits importés sont assujettis à la TVA, alors que les produits exportés ne le sont pas. L'autre fausse bonne idée de Nicolas Sarkozy, c'est de ramener le bouclier fiscal à 50 %, alors que le gouvernement Villepin vient de prendre une mesure raisonnable en instaurant un bouclier à 60 % des revenus. A priori, le fait que les impôts ne puissent représenter plus de la moitié des revenus de chaque contribuable peut sembler équitable pour lutter contre les délocalisations fiscales. Mais comme cette formule inclut tous les impôts directs, on risque d'aboutir à des situations paradoxales et difficiles à admettre pour une majorité de Français. Si le déplafonnement de l'ISF par le gouvernement Juppé avait abouti à une situation choquante et ridicule, où quelques milliers de contribuables payaient plus d'impôts qu'ils n'avaient de revenus, on pourrait tomber dans l'excès inverse. En effet, pour les contribuables les plus riches, l'impôt sur le revenu et l'ISF, même réduit à la portion congrue, ajoutés aux contributions sociales (CSG, CRDS...) représentent au moins 50 % des revenus. Ils seront donc exonérés de taxe d'habitation, de taxe foncière et de l'essentiel de leur ISF. En revanche la plupart des français continueront à payer leurs impôts locaux. Exonérer ainsi les ultra-riches d'impôts que paieront une majorité de Français rappelle plus les privilèges du clergé et de la noblesse sous l'Ancien Régime que la France irréprochable ! Il reste quelques semaines à Nicolas Sarkozy pour rectifier le tir. RENAUD BELLEVILLE Dr Sarko and Mr CAC
  14. Jay17

    Info Luttes Mai 2007

    info_lutte_mai.pdf
  15. Voici ce que j'ai reçu par mail : Mardi 22 Mai 2007, un train Séco Rail a franchi un carré en gare de Saumur. L'agent circulation de cette gare a bien évidemment fait un rapport le lendemain (Mercredi). Le Jeudi suivant, le dirigeant de l'unité opérationnel (Bésseche) est intervenu auprès de cet agent, et lui a mis la pression, pour modifier son rapport. Faisant en sorte qu'il ne s'est rien passé le Mardi 22 Mai !!! Le secteur de Nantes a déposé ce jour auprès de la direction régionale une demande de concertation immédiate. Nous serons reçus en début de semaine prochaine. Le 20 Juin prochain, nous organisons à Saumur un rassemblement à 10 heures sur le thème de la sécurité. Les Syndicats de Thouars et Saumur déposeront un préavis de grève pour couvrir cette journée. La présence du plus grand nombre (notamment des élus et militants du secteur de Nantes) me semble indispensable.
  16. http://www.dailymotion.com/video/x1vf1b_max-boublil-ce-soir
  17. 162540_25.05.2007_Reglement_OSP.pdf
  18. Ouais d'accord, laisse tomber Nipou, on va se fâcher si on continue, libre à toi de considérer qu'il n'y a jamais d'abus, et pourtant, je maintiens il y en a ! De plus pour ta gouverne, je ne passe pas non plus mon temps à me demander ce que mon chef va voir ou non, quand je fais une connerie, je l'assume, mais il y a des trucs que je mettais à mes BS que je ne mets plus, pas par peur, mais parce que je trouve ça complétement nul de mettre un mec en suivi pour ça... J'ajouterai que si tu es en suivi, pour des trucs anodins comme dans mon cas, et que tu fais une vraie boulette cette foi, la situation n'est pas traitée de la même façon que si tu n'es pas en suivi... Oui il s'agit d'une norme, en fonction de ce que tu marques sur ton BS ou de ce qui est relevé sur la BG, mais ça n'enlève pas le discernement ! Il y a une sacrée différence entre se retrouver avec l'impossibilité de voir le signal de sortie parce que tu es arrêté à sa hauteur ou dessous, en ayant dépassé la pancarte TT de 2 ou 3 mètres avec tout à quai et mettre 4 bagnoles hors quai ! Ou encore une prise en charge sur des triples 0 à l'approche d'un signal fermé et une commutation de signal avec une montée des trois 0 alors que le signal est ouvert, je suis désolé, mais je ne conduis pas en ayant les yeux sur le KVB ! (Le signal s'ouvre, je regarde les visus, pas de triple 0, je trace avec respect de la visa...) Récemment, c'est un collègue, à qui on à bloqué la progression vers les V160 pendant presque 1 an, jusqu'à ce qu'on intervienne, parce qu'il avait eu une prise en charge sur un ralent/rappel 60 et il avait laissé sa VI à 80... Pour info, c'était sa seule prise en charge en 7 ans ! Je ne minimise pas la gravité, s'il n'y avait pas eu de KVB, il faisait surement un DVL d'au moins 10 km/h sur les aiguilles, mais je ne suis pas sur que ça méritait d'être écarté de formation V160 pendant 1 an et plus si l'on était pas intervenus... À côté de ça, un mec qui a des casseroles au cul comme c'est pas permis, en est à sa deuxième année de rab... Je n'ai jamais dit qu'un chef était un être incompétent venu sur terre pour me faire chier, je pense juste qu'une grande majorité d'entre eux sont plus préoccupés par leur gueule que par la tienne. Mon chef m'a présenté un truc hier où il mettait toutes les boulettes faites par l'équipe (j'aime pas ce terme, mais il me l'a présenté comme ça), mais derrière ça aucune tentative de réflexion sur les raisons de ces boulettes. Pas mal de ces boulettes étaient des délits d'habitude faites par des mecs spécialisés banlieue, alors qu'on nous prépare la spécialisation sur mon UP, ben oui, mais ça, ça va à l'encontre de la volonté de la direction, donc on met toute la faute sur le bonhomme et on cherche pas plus loin... Pour conclure cette discussion, je remarque qu'on nous demande régulièrement, de faire notre mea culpa, sur une minorité de délégués douteux, on pointe du doigt des syndicats soi-disant à côté de la plaque (au fait, il n'y aura pas d'action le 5 juin...), ou encore on nous déclare aveugles, mais je constate que tu fais preuve ici d'un aveuglement manifeste !
  19. Le problème, c'est surtout de savoir pourquoi on met des suivis... Quand on commence à voir des suivis pour des BS rendus en retard, faut arrêter les conneries ! J'ai eu un suivi, il y a 3 ans, pour des conneries, genre commutation avec prise en charge sur triple zéro, ou légers dépassements de quai (toutes les portes à quai, mais cabine en aval du signal de sortie...), ben j'ai prévenu mon CTT, qu'il était pas prêt de m'en recoller un autre, parce que sur des trucs où je jouais l'honnêteté, maintenant, je ferme ma gueule ! Nos chefs nouvelle génération ne sont plus là pour que les choses s’améliorent ou pour que leur agent se sorte le mieux possible d’une crise, ils sont juste là pour sauver leur cul, se couvrir et pour leur carrière… Ils ne cherchent même pas à voir plus loin que le bout de leur nez, c'est affligeant, j'en ai encore eu l'exemple aujourd'hui...
  20. Salut, bienvenue et bon courage pour la formation ! :)
  21. Non, tu n'exagères pas, le suivi est une pression... Par contre vu les événements que tu cites, les suivis me paraissent abusifs tout de même (sans avoir d'autres précisions)... A-t'il prit contact avec des élus du personnel ? Si tu souhaites en parler plus en détail en MP, n'hésite pas.
  22. Tu as raison, on se dirige plus vers un mélange titre 1/titre 2 pour tous, comme on en avait parlé en partie privée du forum...
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