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Le Web des Cheminots

Jay17

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Tout ce qui a été posté par Jay17

  1. Et surtout si on ne les avait pas et si on ne continuait à les piller honteusement, on aurait pas à faire face à ces flux migratoirs . Celà fait des années, voir des siècles que l'on aurait du développer une véritable aide au développement de ces pays, se barricader ne servant strictement à rien... Il serait bon de rappeler que ces personnes ne viennent pas en France par plaisir et que notre lieu de naissance ne tient qu'au hasard !
  2. message modifie par km315 a la demande de l'auteur index.pdf
  3. Jay17

    Communique De Presse

    inter_federale_21_sept_06.pdf
  4. Mais bien sur qu'elle est déficitaire, c'est obligatoire du fait de la démographie et c'est à ce titre que le régime général est solidaire, comme il l'est avec d'autre régimes, par exemple les mineurs qui n'ont plus d'actifs, les ressources de la caisse proviennent entièrement du régime général ! Les paysans dont le nombre a lui aussi fortement décru est compensé par le régime général.
  5. 14.09.06_Lettre_commune_aux_cheminots.pdf
  6. 19.09.2006_Lettre_commune_IDRAC.pdf
  7. Quel_avenir_pour_la_SNCF_et_les_cheminots.pdf
  8. De toute façon il y a toujours matière à trouver que son voisin est un privilégier... Euh quelles prises de bec ? lotrela
  9. Jay17

    Je Ne Veux Plus

    Il faut dire qu'il est facile de parler de baisse des impôts lorsque tu décentralises les compétences sans les moyens !
  10. Ahhh New Orleans !!!! Louison Bobet ou Popolop !!!! Excellent tout ça !
  11. M'est d'avis que tu peux bien leur dire ce que tu veux, pour avoir fait pas mal de forums... Ca ressemble comme deux gouttes d'eau à un repas de famille...
  12. Je me demande qui peut bien être ce Nicolas Sarkozy ! lotrela
  13. En ce moment c'est Tryo et Les Sales Majestés.
  14. Comme te l'a dit Nicopasta, sur certaines lignes et certains trains, le conducteur doit être accompagné par un aide conducteur, qui peut être amené à prendre des mesures de sécurité en cas de défaillance du conducteur.Il me semble que l'aide conducteur est censé faire les attelages et dételages (à confirmé je n'ai jamais rouler comme aide, ni avec un aide !).
  15. Qui a décidé de reprendre en novembre dernier ? TF1 et consorts ! Pour ce qui est de mon syndicat, Le Reste n'a jamais appelé à la reprise (et d'ailleurs, il n'a pas à le faire), au sortir de la réunion avec loulou, il a juste parlé d'avancées significatives, en précisant que les AG étaient souveraines ! Maintenant tu coupes la seconde partie de la phrase et le journaliste annonce la reprise et c'est parti ! Le lendemain à l'AG on avait les mecs qui venaient pour reprendre le boulot parce qu'ils avaient dit à la télé que ça reprenait, alors qu'en AG nous avions reconduit... Alors, il faudrait peut-être se regarder un peu avant de chier allégrement sur les autres ! C'est la facture du RDV manqué de 2003 qui arrive là, tu crois qu'ils ne nous ont pas croqués en 2003 pour le plaisir ? Non, mais franchement, c'est de l'hypocrisie ? La seule raison qui fait que l'on ai été écartés de la réforme Fillon, c'est parce qu'on allait lui mettre la baraque par terre, ce n'est que de la tactique. Il ne s'agit pas de se battre pour quelqu'un d'autre, il s'agit d'éviter à tout prix, en étant solidaires, les inégalités actuelles, sources de jalousie et de division, ce qui évite tout soutient ! Maintenant, si tu ne comprends pas cela que faire ? Pourquoi crois-tu que les corporations se sont fédérées au début du siècle ? Je remets au passage aussi ici une citation que j'affectionne particulièrement : Quand on a arrêté les membres de l'intelligentsia Je n'en étais pas, je n'ai rien dit. Quand on a arrêté les communistes, Je n'étais pas communiste, je n'ai pas protesté. Quand on a arrêté les juifs, Je n'étais pas juif, je me suis tu. Quand on a arrêté les socialistes, J'ai gardé le silence. Et puis quand on m'a arrêté, Il n'y avait plus personne pour protester. Martin Niemöoler Oui c'était couru d'avance que notre tour viendrait. Un coup c'est trop tôt, un coup c'est trop tard, quand on se cherche des excuses tout est bon à prendre... Ca c'est ton point de vue, il est dommage de tomber dans le tous pourris, mais bon ça te regarde.
  16. Jay17

    Star Act 6

    Ce n'est même pas de la variété... okok
  17. HEC... Sarko se targue d'être un des seuls à ne pas être sorti de l'ENA !
  18. Franchement Vinces, cela n'est que transitoire comme situation ! Il ne faut pas être sorti de St Cyr pour comprendre que ces personnes serviront de prétexte pour justifier la sois-disante non-pénibilité du métier. Et qu'importe s'ils représentent une minorité ou non, ils seront l'argument justifiant l'alignement... Au final l'imposé sera celui qui n'avait rien demander du tout que de faire son temps ! Et j'ajouterai même que tout le monde sera perdant, le rabiste faisant du rab pour rien cette fois ci, ne restera que la passion ou la gloire !
  19. La dernière dépèche AFP et je le rappel une nouvelle fois, il ne pas prendre pour argent comptant tout ce que disent les médias : PARIS (AP) - Les syndicats de la RATP, de la SNCF ou encore d'EDF et de GDF refusent d'entrer dans une "polémique électorale" sur les régimes spéciaux. Dans aucune de ces entreprises, un mouvement social n'est à l'ordre du jour concernant ce dossier. "Pas question de se jeter sur le chiffon rouge de Sarkozy ou d'arbitrer ses différents avec Villepin", explique ainsi la CGT-Energie. Tous disent en revanche que si le gouvernement issu des prochaines élections met le débat sur la table avec des propositions, ils s'y investiront, mais qu'aborder le sujet "comme Juppé en 1995 produira les mêmes effets", soit une grève cuisante et une paralysie du pays. "Je regrette qu'une question aussi compliquée et sensible soit traitée à coups de déclarations qui cachent mal les oppositions, les divisions et une certaine culpabilisation des uns et des autres", a confié vendredi à l'Associated Press le secrétaire général de la CGT-Cheminots Didier Le Reste. Un mouvement social pourrait avoir lieu à la SNCF en octobre -il est en débat depuis le 6 septembre entre les syndicats- mais sur des revendications internes sur le fret, les restructurations ou encore l'emploi, discutées depuis la rentrée avec la direction. Didier Le Reste estime à propos des retraites que "les charges successives de ces derniers jours cachent une volonté de demander de nouveaux sacrifices en 2008 aux assurés du régime général" et prévient que "ce que nous avons refusé en 2003, et bien sûr en 1995, nous ne l'accepterons pas sans réagir". "Si la réforme consiste à travailler plus longtemps pour cotiser plus cher et toucher moins de retraite, la réaction sera forte", ajoute-t-il. "Si on souhaite parler d'équité, parlons aussi des retraites des députés et de leurs émoluments lorsqu'ils quittent leur poste", lance de son côté le secrétaire général de FO-Cheminots Eric Falempin. Quant à appeler à une grève sur la polémique, il souligne qu'un "mouvement préventif sur les déclarations d'un candidat à la présidentiel" ne "l'intéresse pas". "Il n'y a jamais eu de grève par réaction à des provocations de candidats à la présidentielle quels qu'ils soient. Et on ne va pas réagir sur tout jusqu'en 2007, sinon on n'en sortira pas", confirme de son côté Jacques Eliez, de la CGT-RATP. "On est prêt à en parler, mais il faut parler des régimes spéciaux en intégrant au débat la pénibilité des différents corps de métiers, les salaires, la spécificité des missions. Il y a un ensemble de dispositions sur lesquelles on est prêt à échanger, mais sûrement pas renoncer à des dispositions favorables aux salariés", dit-il. A l'instar des autres syndicats, la CGT-RATP prévient que si la question est abordée "comme en 1995, les mêmes causes produiront les mêmes effets". A la CGT-Energie "ce n'est absolument pas le dossier prioritaire. Il n'est pas question d'avoir des initiatives sur des thèmes de campagne électorale", répond Maurice Marion, porte-parole du syndicat. "Nous, on met la priorité sur les salaires, l'emploi et la privatisation de GDF". "Pas question de se jeter sur le chiffon rouge de Sarkozy ou d'arbitrer ses différents avec Villepin. Quant il y aura un gouvernement et des propositions, c'est toute la CGT qui s'investira dans cette question, et toutes les autres organisations syndicales j'espère". Pour le secrétaire fédéral de la CFTC-Transports Bernard Aubin, "ce débat politico-électoraliste ne vise à offrir aux salariés que la division. A charge aux uns et aux autres de faire la part des choses entre ce qui relève de la démagogie, de la provocation et de la volonté de sauvegarder la retraite par répartition". "Malmenées par le chômage, une démographie récalcitrante, l'augmentation de la durée de vie et la pingrerie des entreprises", ajoute-t-il, "nos pensions méritent sans doute d'être abordées autrement, notamment dans le cadre d'un débat dépassionné, moins superficiel et plus productif". AP Le lien : Régimes spéciaux: les syndicats refusent d'entrer dans une "polémique électorale"
  20. Une nouvelle dépèche AFP pour mettre fin à ce fil de discution, comme quoi il suffisait d'attendre un peu avant d'hurler et surtout se méfier des médias, rois des montages des interviews tronquées et interprétées pour leur faire dire n'importe quoi : PARIS (AP) - Les syndicats de la RATP, de la SNCF ou encore d'EDF et de GDF refusent d'entrer dans une "polémique électorale" sur les régimes spéciaux. Dans aucune de ces entreprises, un mouvement social n'est à l'ordre du jour concernant ce dossier. "Pas question de se jeter sur le chiffon rouge de Sarkozy ou d'arbitrer ses différents avec Villepin", explique ainsi la CGT-Energie. Tous disent en revanche que si le gouvernement issu des prochaines élections met le débat sur la table avec des propositions, ils s'y investiront, mais qu'aborder le sujet "comme Juppé en 1995 produira les mêmes effets", soit une grève cuisante et une paralysie du pays. "Je regrette qu'une question aussi compliquée et sensible soit traitée à coups de déclarations qui cachent mal les oppositions, les divisions et une certaine culpabilisation des uns et des autres", a confié vendredi à l'Associated Press le secrétaire général de la CGT-Cheminots Didier Le Reste. Un mouvement social pourrait avoir lieu à la SNCF en octobre -il est en débat depuis le 6 septembre entre les syndicats- mais sur des revendications internes sur le fret, les restructurations ou encore l'emploi, discutées depuis la rentrée avec la direction. Didier Le Reste estime à propos des retraites que "les charges successives de ces derniers jours cachent une volonté de demander de nouveaux sacrifices en 2008 aux assurés du régime général" et prévient que "ce que nous avons refusé en 2003, et bien sûr en 1995, nous ne l'accepterons pas sans réagir". "Si la réforme consiste à travailler plus longtemps pour cotiser plus cher et toucher moins de retraite, la réaction sera forte", ajoute-t-il. "Si on souhaite parler d'équité, parlons aussi des retraites des députés et de leurs émoluments lorsqu'ils quittent leur poste", lance de son côté le secrétaire général de FO-Cheminots Eric Falempin. Quant à appeler à une grève sur la polémique, il souligne qu'un "mouvement préventif sur les déclarations d'un candidat à la présidentiel" ne "l'intéresse pas". "Il n'y a jamais eu de grève par réaction à des provocations de candidats à la présidentielle quels qu'ils soient. Et on ne va pas réagir sur tout jusqu'en 2007, sinon on n'en sortira pas", confirme de son côté Jacques Eliez, de la CGT-RATP. "On est prêt à en parler, mais il faut parler des régimes spéciaux en intégrant au débat la pénibilité des différents corps de métiers, les salaires, la spécificité des missions. Il y a un ensemble de dispositions sur lesquelles on est prêt à échanger, mais sûrement pas renoncer à des dispositions favorables aux salariés", dit-il. A l'instar des autres syndicats, la CGT-RATP prévient que si la question est abordée "comme en 1995, les mêmes causes produiront les mêmes effets". A la CGT-Energie "ce n'est absolument pas le dossier prioritaire. Il n'est pas question d'avoir des initiatives sur des thèmes de campagne électorale", répond Maurice Marion, porte-parole du syndicat. "Nous, on met la priorité sur les salaires, l'emploi et la privatisation de GDF". "Pas question de se jeter sur le chiffon rouge de Sarkozy ou d'arbitrer ses différents avec Villepin. Quant il y aura un gouvernement et des propositions, c'est toute la CGT qui s'investira dans cette question, et toutes les autres organisations syndicales j'espère". Pour le secrétaire fédéral de la CFTC-Transports Bernard Aubin, "ce débat politico-électoraliste ne vise à offrir aux salariés que la division. A charge aux uns et aux autres de faire la part des choses entre ce qui relève de la démagogie, de la provocation et de la volonté de sauvegarder la retraite par répartition". "Malmenées par le chômage, une démographie récalcitrante, l'augmentation de la durée de vie et la pingrerie des entreprises", ajoute-t-il, "nos pensions méritent sans doute d'être abordées autrement, notamment dans le cadre d'un débat dépassionné, moins superficiel et plus productif". AP Le lien : Régimes spéciaux: les syndicats refusent d'entrer dans une "polémique électorale"
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