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Le Web des Cheminots

Dom Le Trappeur

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  1. Et quand tu payes tes impôts ?
  2. 1100 euros bruts = environs 970 euros nets après déduction des cotisations sociales...(CP CR CSG CRDS Solidarité...) soit le SMIC SNCF nets ! On ajoute ENSUITE les EVS éléments variables de solde si il y en a ... Prime de travail (montant journalier par postion x nbe de jours de service dans le mois payés à M+2 La prime de travail moyenne entre en ligne de compte pour la retraite les primes de Dimanche et fêtes, nuits etc... payables à M+1 les allocations etc... mais comme dit Julien : ça compte pas pour la retraite L'avancement à la SNCF : 75 % partent en retraite sur une qualification égale ou inférieure à D (ADC compris)... soit un déroulement moyen de carrière sur 30/35 ans en moyenne... Il y a encore des cheminots qui partent en retraite à B , et beaucoup à C... Alors oui on peut toujours passer un examen pour la qualif E ou plus mais tout le monde n'y arrive pas... Au fait julien, la piaule était louée combien sur ton salaire au smic? Pour un recrutement réalisé à la SNCF (5400 recrutements en 2006) il y a 200 postulants en moyenne (lettres de demandes d'embauches ou candidatures internet...), 100 dossiers de candidatures remplis et reçus, 50 retenus, 25 sélectionnés qui se présentent pour les entretiens et VM, 1 seul à la fin... Le cas de julien n'est pas si isolé que ça : 1 démission pour 10 recrutements dans la première année aux dernières statistiques connues... et souvent les mêmes problèmes récurents : salaires, travail des SDF et nuits, conditions de logements, déracinements auquel s'ajoute en ce moment les relations humaines en dégradation...
  3. Le problème ne réside pas QUE dans la longueur du train (car il faudrait adapter les infrastructures des triages, gares, ITE etc...) MAIS AUSSI dans le tonnage du train : plus de wagons = plus de tonnages avec également à prendre en compte l'augmentation régulière du tonnage du wagon lui même, charge du train, locomotives et wagons adaptés, limite de rupture des attelages, rampes et pentes, problème freinage, On a déjà du mal à fournir une loc pour faire un train de 1600 tonnes (il y quelques jours : réception d'une loc maxi 1200 t pour un train de 1600T !! Obligé de l'envoyer en deux fois vers le triage le plus proche MDR...) Il y a bien quelques trains qui circulent avec 2400 T (2 rames de 20 wgs de céréales mais ce n'est pas brillant et ça pose plus de problèmes qu'autre chose au niveau de l'exploitation du trafic...
  4. Le fil a un peu dérivé de la privatisation des gares vers la marche du monde et les marchés, la spéculation. Une info d'aujourd'hui qui permet simplement de constater la compléxité de la planète sur laquelle nous vivons et donc des enjeux. Juste à relier à la dépêche précédente sur les autoroutes italiennes et les infrastructures routières (bientôt ferroviaires peut-être) *** Les monarchies du Golfe devraient investir 450 milliards de dollars à l'étranger mar 15 aou, 20h39 WASHINGTON (AFP) - Grâce au revenu du pétrole, les six monarchies du Golfe devraient atteindre un excédent de balance des comptes courants équivalent à 30% de leur PIB en 2006 et 2007 et investir près de 450 milliards de dollars à l'étranger, selon une étude publiée mardi par l'Institute of International Finance (IIF). Les six monarchies du Golfe (Bahreïn, Koweït, Oman, Qatar, Arabie saoudite et Emirats arabes unis) sont regroupées depuis 25 ans au sein du Conseil de Coopération du Golfe (CCG) dont le PIB par habitant a progressé à plus de 17.000 dollars lors des cinq dernières années, selon les chiffres de l'IIF, un institut américain qui compte quelque 355 banques et institutions financières internationales parmi ses membres. La forte hausse des revenus du pétrole a propulsé le PIB des pays du CCG à près de 725 milliards de dollars cette année, selon les estimations publiées dans cette étude, ce qui classe le CCG devant les Pays-Bas au 16e rang des économies les plus riches du monde. "Les statistiques sur les comptes en capitaux restent opaques, mais en se fondant sur les excédents des comptes courants, on découvre que les pays du CCG ont accumulé en 2005 des titres étrangers pour 167 milliards de dollars, portant le total pour les six dernières années à plus de 400 milliards de dollars", a souligné le président de l'IIF, Charles Dallara. "Sur la même base nous prévoyons que les flux d'investissement en provenance du CCG s'élèveront à au moins 450 milliards de dollars en 2006 et 2007", a-t-il ajouté. "Des projets d'une valeur de plus de mille milliards de dollars, essentiellement dans les infrastructures, sont soit déjà en cours soit prévus avec pour objectif de diversifier la base de l'économie des pays en question et de générer une plus grande valeur ajoutée en provenance de l'exploitation des hydrocarbures", selon M. Dallara. L'étude de l'IIF, qui table sur un prix toujours élevé du baril de pétrole brut (à 70 dollars en 2007), a calculé que les exportations du CCG vont atteindre l'année prochaine 544 milliards de dollars "soit plus que les exportations totales combinées du Brésil, de l'Inde, la Pologne et la Turquie". Toutefois, les chiffres et détails sur la destination précise des investissements à l'étranger des pays du CCG restent "opaques" selon l'étude de l'IIF. "Cependant le gros des excédents de la région sert à financer des portefeuilles d'investissement", estime l'IIF. Même la Banque des règlements internationaux n'a pu fournir des détails que pour environ 30% des flux de capitaux provenant des pays de l'Opep entre 1999 et 2005, en notant que de 60 à 80% des placements avaient été effectués en dollars, selon l'étude. Autre indication apportée par l'IIF, le CCG a davantage tourné son attention vers les pays d'Asie, en particulier vers la Chine, devenue le second plus gros consommateur de pétrole du monde et le marché pour les produits pétrochimiques du Golfe ayant la plus forte croissance. Par contre, note l'étude de l'IIF, "les investisseurs du CCG semblent être de plus en plus réticents à investir directement aux Etats-Unis depuis les attentats du 11 septembre 2001".
  5. Et une petite suite aux autoroutes italiennes prenez le temps de lire puis remplacer autoroute par voies ferrées... Dépêche L'Italie réitère son veto à la fusion des groupes Abertis et Autostrade lun 14 aou, 23h29 MILAN (AFP) - Le ministre des Infrastructures italien Antonio Di Pietro a déclaré lundi dans le Corriere della Sera que le gouvernement n'avait pas l'intention de revenir sur sa décision de bloquer la fusion entre Autostrade (Milan: AUTO.MI - actualité) et l'espagnol Abertis (Madrid: ABE.MC - actualité) . "Nous n'avons rien contre cette fusion, si cette dernière respecte la loi" a souligné le ministre pour lequel la question n'est pas celle du conflit d'intérêts, mais de l'application de la loi. "L'aubaine est finie pour Autostrade, a averti Antonio Di Pietro. En septembre, j'ai l'intention de revoir tout le système des 25 concessions d'autoroutes, à commencer par eux." Il y a 15 jours, le gouvernement italien avait décidé de bloquer la fusion des sociétés autoroutières italienne Autostrade et espagnole Abertis au nom de l'intérêt national. Mais Autostrade et Abertis avaient annoncé leur intention de continuer à chercher des solutions pour réaliser cette opération. Dans un entretien au Corriere della Sera, dimanche, le président d'Autostrade Gianmaria Gros-Pietro avait estimé que la fusion avec Abertis pouvait encore se faire: "Il y a encore un espace pour raisonner et dialoguer sur les conditions", soulignait-il. Le président d'Autostrade rappelait notamment que cette fusion donnerait naissance au premier groupe mondial d'autoroutes, avec les Italiens dans un rôle de premier actionnaire. Si l'opération ne se fait pas, selon lui, le pays risque de perdre l'occasion de jouer un rôle de premier plan dans la bataille des réseaux autoroutiers en Europe. Le ministre Antonio Di Pietro réplique en revanche lundi que "plus que pour l'Italie, cette fusion représente une opportunité surtout pour Autostrade et ses actionnaires
  6. ça ne modifie pas la question de base en soit mais en plus le démissionnaire aura un âge supérieur à 30 ans... (prévu comme âge limite d'admission au CP) donc à mon avis ce sera bien difficile de se faire réadmettre au Cadre Permanent avant la date limite de retraite (50 ou 55 ans) Mais ceci dit pourquoi pas : je pense surtout que la décision résidera dans les motifs de la démission et surtout en fonction du laps de temps d'interruption...
  7. Et la liberté de travailler s'arrête là où commence la liberté de licencier...
  8. Et "l'interruption", tu lui donnes quel nom (retraite, pré-retraite, départ volontaire, démission, licenciement, ...) ? Après ta période d'activité tu pars en retraite, et après une période tu reprends une activité Si c'est bien ça que tu veux dire, tu as bien fait valoir tes droits à la retraite... Sinon j'ai pas saisis DSL
  9. ça au moins c'est un référentiel intéressant... Manque juste une mise à jour récente par les spécialistes de la fonction ...
  10. Pas besoin de démissionner mais ... Plus tu fais de rab... moins ta retraite sera longue...
  11. Le "commissionnement" n'entre pas en ligne de compte car dès ton premier jour de travail tu entres au Cadre Permanent donc si tu démissionnes disons 6 mois après ton embauche, tu démissionnes du Cadre Permanent... Il est effectivement vrai également que plusieurs cheminots sur mon établissement ont du démissionner pour être réembaucher dans une autre filière mais à chaque fois c'était des jeunes. cela ressemble plus à une opération de passe-passe (orchestrée?) qu'à autre chose car en tout état de cause le temps passé à la SNCf avant la (fausse) démission sera pris en compte pour la retraite...
  12. ou bien le politique subit l'économique... Donc changer l'économique et le politique ! C'est effectivement un enjeu non seulement idéologique mais aujourd'hui planétaire. Nous n'avons rien inventé. mais constatons qu'il y a encore des logiques possibles et des issues au regard de ce qui se passe en Amérique du sud. Des économistes disent également : Le progrès social est et doit être le moteur du progrès économique. Mais c'est vrai il n'y a pas de vérité toute faite. Nous nous posons nous ici la question de la place de l'homme dans la société et donc la question de la finalité de la société au regard de l'existence humaine...parceque nous sommes salariés et terre à terre! Ailleurs d'autres se posent d'autres questions parceque la place de l'homme, de tous les hommes leur importe peu. L'enjeu pour eux est ailleurs, dans l'argent et le pouvoir.
  13. Au moins sur la machine y'a écrit VEOLIA parceque sur la machine à côté y'a même plus "sncf" controleursncf
  14. Trois notions en adéquation : - Service public de transport (de marchandises ou de voyageurs): donc une démarche volontariste du pouvoir politique pour assurer un financement public en intégrant des critères collectifs (couts économiques, sécrité, santé, environnement, aménagement du territoire, emplois, liberté de déplacement, stratégie des entreprises donneuses d'ordre -flux tendu- stocks zéro ou non par exemple...) en mettant en complémentarité les différents modes de transports (route-fer-aérien-fluvial-maritime) - Péréquation tarifaire : une activité déficitaire financièrement mais socialement efficace est compensée financièrement par des activités bénéficiaires (mais se poser en permanence la question : l'activité déficitaire est-elle justifiée et comment réduire ce déficit ?). A noter que la péréquation peut jouer entre les différents modes (par exemple les péages routiers financent les investissements ferroviaires ou une taxe sur l'aérien financent le développement des pays pauvres...) - Politique de volume : de toute façon il faudra toujours tout transporter d'un point A à un point B mais où est la politique de transport la plus efficace au regard de tous les critères définis ( rail, route, fluvial etc...) A noter que la même question se pose dans d'autres domaines que le transport : comme énergie, télécommunications, santé, éducation, ou peut se poser pour d'autres domaines : industries de base, mines, sidérurgie ou industrie de pointe (aéronautique, informatique, pharmaceutique ... ou alimentaire (agriculture, industrie alimentaire...) etc...
  15. C'est jamais qu'une nouvelle tarte à la crème, même si elle royale !
  16. J'adore qu'on me fasse dire ... ce que je n'ai jamais dit et encore moins écrit... En plus les amalgames résumés sous la formule "les tracts syndicaux" sont notoirement très limités intellectuellement mais toujours très efficaces pour noyer le poisson... Dur de juste dresser un bilan. On a tendance et c'est normal à ramener les choses à son petit niveau mais parfois il faut aussi savoir élever le débat et se poser quelques questions... Le problème c'est que l'ensemble de la société est comptable de la situation actuelle autant les citoyens (individuellement que collectivement) que les entreprises qu'elles soient publiques ou privées et bien sûr l'Etat et les collectivités, aujourd'hui l'Europe (la commission européennes, le parlement européen etc...), l'ensemble de la planète (l'OMC, la banque mondiale, etc...). Donc à l'évidence pas simple... Le choix aujourd'hui est entre le libéralisme (l'ultra-libéralisme même) autrement dit le capitalisme... et une autre organisation de la société plus solidaire et plus sociale. Autre organisation qui reste à inventer au vu des échecs et de l'expérience acquise. Les gens qui sont au pouvoir (dans notre pays comme d'autres sur la planète...) sont d'abord et avant tout des gens politiquement compétents (contrairement à ce que pensent beaucoup) : ils défendent leurs idées politiques, économiques, culturelles et sociales et mettent en oeuvre une stratégie pour y parvenir même et y compris si cette stratégie impose de peser (voir d'écraser) la masse des populations..., les autres états et mène voir provoque des tensions,des confrontations, des conflits tant au plan local, que régional ou planétaire... Le monde est fait de crises et chaque résolution de crises amènent à des situations nouvelles qui ouvrent de nouvelles crises (économiques, politiques...) qui exigent de nouvelles résolutions (tensions, confrontations, conflits qu'ils soient d'ordre social ou d'ordre militaire) Pour en sortir ou tenter d'en sortir, il faut ouvrir de nouvelles perspectives. la planète est en train de bouger : démographie, technologie, communication, information... mais aussi politiquement...idéologiquement. Et ce dans tous les sens (nord-sud, ...proche orient mais aussi Amérique du sud, chine etc... par exemple...). Mais ouvrir de nouvelles perspectives c'est ouvrir de nouvelles résolutions de crise donc ouvrir à des confrontations, des tensions, des conflits. On pourrait se satisfaire de la situation actuelle à notre niveau: " Je suis bien content d'avoir un travail, un emploi, un salaire, une p'tite maison" , mon entreprise - petite ou grande- fonctionne pas trop mal, elle a l'air d'avoir de l'avenir, bon je courbe bien un peu l'échine et fais le dos rond en attendant la suite, j'ai le p'tit doigt sur la couture du pantalon et les oreilles dans le sens du vent, je couine un peu mais pas trop mais je me mèle jamais de politique j'y comprends rien d'ailleurs et "les" syndicats" sont tous des emmerdeurs, les politiciens -très péjoratifs- sont tous les mêmes, tous pourris..., et tant pis pour les autres ( les SDF ou les chômeurs n'ont que ce qu'ils méritent, les vieux sont vieux et les jeunes n'ont qu'à bosser, y'en a qui ont trop de diplômes mais z'avaient qu'à se trouver un boulot plutôt que de continuer leurs études,une petite guerre nous ferait pas de mal, ma brave dame..., c'est tous des planqués" Désolé mais c'est pas mon discours. Il y a des solutions mais elles exigent de la lucidité économique et sociale pour ne laisser personne sur le bord du chemin et assurer un avenir à tous les habitants de la planète et à la planète elle-même. Elles exigent d'ouvrir des nouvelles perspectives et donc de nouvelles confrontations...
  17. La problématique est la même pour les Agents Circulation : ils n'obtiennent souvent la justification que si ils la demandent et selon les rapports qu'ils ont avec le régulateur qui est lui-même soumis aux décisions de sa hiérarchie quasi omniprésente derrière lui...surtout en cas d'incident.
  18. Objectif régularité ou outil régularité ? Faut-il comprendre que le TUBE est d'abord et avant tout conçu comme un outil de gestion pour permettre de parvenir à un objectif financier pour limiter les pénalités financières ? Je suis d'accord avec ce qui a été dit ci-dessus : tout retard doit être justifié et rattaché à un incident origine qui permettra de définir avec précision la responsabilité (qui a fait quoi) donc l'imputation juridique et surtout les conséquences. L'exemple ci-dessus de l'incident avec les deux ânes est significatif. Les enjeux financiers deviendraient donc prioritaires. A partir de là , la régularité, les sillons, les tubes deviennent un outil de gestion en temps réel des priorités pour parvenir à l'objectif financier fixé aujourd'hui dans la stratégie de RFF ( voir à ce sujet les quelques informations disponibles issus de l'organisme qui chapotte SNCF-RFF...). Si il s'agissait de mettre les trains à l'heure pour améliorer la régularité mise à mal depuis le début des années 1990....? Mais s'agit-il vraiment de cela ou s'agit-il de gérer les priorités pour éviter de payer ou de subir des pénalités ce qui tendrait à accentuer le retard d'un train - ou carrément à le limiter, le supprimer, modifier sa mission - sorti de son sillon ou de son tube pour limiter les conséquences au minimum. En soit ce système pourrait éventuellement responsabiliser et permettre une meilleure gestion de l'ensemble de l'activité (effet papillon)... sauf qu'il peut engendrer des dérives en accentuant le retard supporté par une circulation... Sauf que certains décideurs (je pense au STIF en Ile de France) ont déjà saisi le truc et veulent modifier le système de la régularité pour parler non seulement en minutes mais en nombre de voyageurs/minutes touchés... (un train a 10' de retard avec 500 voyageurs à bord = 5000' de retard, un train a 30 ' de retard avec 30 voyageurs à bord = 900' der retard...) pour accentuer le jeu des pénalités...et sûrement la pression .
  19. Y'a un blème dans les références données ci-dessus: Le RH0254 traite des "Dispositions applicables au Personnel Contractuel" ; (ex règlement PS25). Donc il n'y a rien dans ce texte qui traite de la démission d'un agent du CP et son éventuelle demande de réadmission après démission Par contre on trouve le RH0043 qui traite de la "Cessation de fonctions des Agents du Cadre Permanent" ; (ex réglement PS15) : la demande de réadmission au Cadre permanent d'un cheminot du CP ayant démissionner relève d'une décision du DIRECTEUR DE REGION. A noter que le RH 0043 fait référence à une consigne générale ps15 n °1 qui ne semble plus exister (introuvable dans la liste des textes officiels): « Toutefois, l’agent démissionnaire peut, exceptionnellement, être réadmis sur décision du Directeur Général (1) » avec le renvoi (1) -(1) Ou par délégation, sur décision du Directeur de la Région, dans les conditions précisées par la Consigne Générale PS 15 n° 1.
  20. Un document intéressant sur les discussions en cours sur le risque de voir plusieurs réglementations du travail pour les salariés des différentes entreprises ferroviaires: http://www.cheminots.net/forum/index.php?s...ic=4366&hl=
  21. Un document intéressant : http://www.cheminots.net/forum/index.php?s...ic=4366&hl=
  22. On peut toujours rêver... Si les prix avaient baisser , on l'aurait vu...et su...
  23. Libéralisme ou solidarité faudra choisir...
  24. C'est bien ce qui me faisait dire que les salariés des différentes entreprises ferroviaires publiques ou privées n'avaient d'autres choix que la solidarité ( sur le plan économique ou social - réglementation du travail par exemple à l'ordre du jour actuellement) et non la confrontation entre eux, qui ne pourrait profiter qu'aux dirigeants des dites entreprises. mais quand on voit l'état de la solidarité dans notre entreprise et les confrontations dures entre cheminots (entre services, entre les hiérarchies, entre les directions d'activités, entre syndicats, entre cheminots de différents service voir du même service...) il y a du souci à se faire et des coups de pieds à donner dans la fourmillère...
  25. 600 tonnes de sacs en PDT pour 2006 : c'est déjà un bon début. Vinces : je suis d'accord avec toi sur ce que tu viens de dire. j'ajouterai que ce sont les consommateurs qui paient aujourd'hui les sacs plastiques qui sont fournis par les magasins dans la note finale du produit. Et je dis bien "fournis par les magasins" car certains de ceux-ci arrivent à faire supporter par la ou les entreprise(s) productrice(s) du produit tout ou partie des sacs plastiques. L'arrêt de la fourniture des sacs plastiques par les grandes surfaces (sous prétexte d'écologie...) renvoie effectivement à l'achat par le consommateur non seulement d'un produit pour transporter ses achats (cabas, caisse, ...) mais aussi de sacs poubelles (non dégradables puisqu'en plastiques... alors l'écologie...ma pomme). Alors oui aux sacs bio-dégradables en PDT, maïs ou autre... Hier j'ai vu un reportage sur le brésil : alcool de canne à sucre pour énergie bio pour les automobiles : 80% du parc brésilien. Et en France un agriculteur vient de passer 6 heures au commissariat avec police, douane parce que son véhicule fonctionne à l'huile végétale ! Ah les taxes TIPP....
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