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Et Si La Sncf Transportait Des Patates...
Dom Le Trappeur a répondu à Dom Le Trappeur situé dans Actualité ferroviaire générale
Merci pour vos réponses et participations à ce fil très écologiste Et voici Eole... mardi 8 aout 2006, Les éoliennes de plus en plus nombreuses en France PARIS (AP) - Les éoliennes sont portées par un vent favorable. La montée du prix du pétrole et la volonté de la France de développer les énergies renouvelables améliorent la rentabilité des éoliennes, qui se multiplient. A la fin de l'année dernière, les 120 parcs à éoliennes installés en France pouvaient produire 750 mégawatts et couvraient moins de 0,2% de la consommation française. Cette capacité "est passée à 1.000 MW aujourd'hui et devrait atteindre 2.000 MW au début de l'année 2007", a détaillé Marion Lettry, responsable de la filière éolienne au Syndicat des énergies renouvelables, dans un entretien à l'Associated Press. "Il y a un fort engouement actuellement", souligne-t-elle: les demandes de permis de construire de nouveaux parcs éoliens sont en hausse. Les 660 demandes en cours d'instruction pourraient entraîner l'installation d'un millier de nouvelles machines dans les prochaines années, ajoutant 4.000 MW aux capacités de production actuelles, selon les chiffres du ministère de l'Industrie. L'objectif de la France est d'augmenter la production de 13.500 MW d'ici 2010, a-t-elle rappelé. Même s'il reste plus cher de produire de l'électricité éolienne, le gouvernement français a donné un sérieux coup de pouce au développement de ce secteur en garantissant un prix d'achat de l'électricité produite de 8,2 centimes par kW/h, dans des conditions plus intéressantes que celles qui existaient jusqu'à présent. Les particuliers, qui paient eux 12,9 centimes par kW/h fourni par EDF, financent ce dispositif, comme tous autres consommateurs d'électricité, soumis eux à des tarifs différents. Ils payent sur leur facture une "contribution aux charges de service public de l'électricité" (0,45 centimes hors taxes par kW/h) qu'EDF utilise notamment pour supporter le surcoût lié aux énergies renouvelables. Mais ce "surcoût lié à la production d'électricité éolienne va se réduire" dans les années à venir, gommé par l'augmentation du prix du pétrole, estime Jean-Louis Bal, directeur des énergies renouvelables à l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie. "D'ici dix ans, l'énergie éolienne sera moins chère que celle des centrales à gaz combiné", le prix du gaz augmentant avec celui du pétrole, souligne Marion Lettry. Pour les mêmes raisons, les installations produisant de l'électricité à partir de biomasse (déchets naturels) ou l'énergie solaire (pour les particuliers) devraient eux aussi connaître un fort développement, a observé Marion Lettry. Le marché du pétrole, perturbé par les tensions géopolitiques en Irak, en Iran ou au Proche-Orient, a battu record sur record ces derniers mois, dépassant désormais les 76 dollars le baril. AP -
Et pourquoi la direction a-t-elle mis en place un Dpx par poste d'aiguillages + autant d'assistants dans chaque UO + une bordée de cadres au siège de l'Etablissement ? "pour remplacer les grévistes..." disent les mauvaises langues...
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Au coeur d'un triple dilemme : - rapport rail / route : d'un seul coup certains redécouvrent les valeurs et les atouts du rail par rapport à la route (coûts, energies, sécurité du transport etc...) - rapport public / privé : "la fin du monopole" fait exploser les potentialités...de trafic et l'apparition de sociétés ferroviaires privées (dites "les opérateurs") - rapport entre "recul de Fret SNCF" (remise sur le tapis par la direction de la filialisation de l'activité Fret) et "plus de trains à faire circuler..." (ça va donner du boulot aux cheminots de la gare...)
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8 Août 2006 : Accident Routier Sur Un Pn à Feignies (près De Maubeuge - Nord)
un sujet a été posté par Dom Le Trappeur dans Actualité ferroviaire générale
Selon AFP Une maison éventrée par un conteneur Une maison a été éventrée, dans la nuit de lundi à mardi à Feignies, près de Maubeuge, dans le Nord, par un conteneur projeté lors d'une collision entre un camion et un train de fret. L'accident a fait un blessé, le conducteur du poids lourd. 08 août 2006 Malheureux concours de circonstances à Feignies, dans le Nord. Une maison a été éventrée, dans la nuit de lundi à mardi, par un conteneur projeté lors d'une collision entre un camion et un train de fret. Le conducteur du poids lourd a été blessé, ses deux jambes ont été fracturées, a indiqué la SNCF. Aucune autre victime n'est à déplorer. L'accident a entraîné l'évacuation de quatre maisons environnantes, soit huit personnes, selon la même source. Vers 2h15, le camion a franchi pour une raison indéterminée un passage à niveau avec barrières et percuté un train de fret, provoquant le déraillement de ce dernier. Dans le choc, une vingtaine de conteneurs ont été projetés aux alentours, de même que plusieurs porte-conteneurs. Trou béant de 5 mètres Une maison, située en bordure de voie, a vu sa façade éventrée. Elle présente un trou béant d'environ 5 m de long sur 1,5 m de large. A l'intérieur de la salle à manger, le sol est jonché d'un amas de parpaings provenant de la façade. Des voitures garées aux alentours ont également été touchées, dont une a été complètement détruite. Selon la SNCF, 48 heures seront nécessaires à la remise en état des voies. Une seule ligne de voyageurs emprunte cette voie ferrée, une navette franco-belge entre Haumont et Quévy en Belgique. Les voyageurs pourront bénéficier d'une prise en charge par taxi, a précisé la SNCF. D'après AFP le 08 août 2006 à 08h10 -
Le statut prévoit pour les agents originaires des Dom TOM ou qui y ont de la famille (conjoint, parents...) la possibilité de cumulé tout ou partie des 28 congés de l'année A sur l'année B. Cette demande doit être déposée par écrit le plus rapidement possible et en tout état de cause avant le 31 décembre de l'année A en indiquant les dates du congés de l'année B (ces dates doivent couvrir le reliquat de congés de l'année A + Congés année B + Repos = autres journées d'absence). Il y a également des réductions et prise en charge pour les billets d'avions. Il doit y avoir un référentiel (texte réglementaire) à ce sujet. Voir avec le Bureau Administratif.
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Qu'est-ce que tu appelles un congé bonifié ? Sinon voir le "Statut des relations collectives entre la SNCF et son personnel"dont tu devrais avoir reçu en tant que récent recruté un exemplaire (sinon à demander à ton établissement).
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Je ne vois pas trop où est le service qui refuse l'accès à la position 19 pour les autres. Maintenant à ma connaissance, si les syndicats revendiquent la position 19 pour la qualification D c'est la direction qui s'y oppose même si elle a fait une petite avancée sur cette fameuse prime équivalence avec des critères assez draconniens. Et pour tout dire je n'ai pas l'impression que les ADC soient opposés à l'attribution de la postion 19 pour les cheminots des autres services.
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Bonne retraite et toutes mes amitiés. :)
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Exact que tout dépend de l'activité : perte de part de trafic non seulement fret mais aussi voyageurs (camions, automobiles, avions...) durant une longue période avec le quasi aba,don du rail par le pouvoir gaulliste puis Giscard (qui était contre le TGV...) Dans les années 82/85, l'activité SNCF y compris fret est repartie à la hausse puis à partir de 85 jusque vers 1997/1998 une dégradation du fret à grande vitesse. Au début des années 2000 l'activité fret basée sur la reprise d'une activité de volume a permis d'augmenter le nombre de tonnes transportées ainsi que l'activité voyageurs en particulier au niveau des transports régionaux. C'est le retour d'une politique de marge à partir de 2002 qui a remis le déclin du fret sur le tapis amplifié depuis par le plan Véron. Ceci étant le vrai problème de la SNCF et/ou du système ferroviaire demeure le financement avec le poids de la dette et des charges financières, avec depuis la création de RFF (Juppé-Pons Idrac) le système des taxes-péages que verse la SNCF. On ne peut effectivement imaginer une telle situation mais on peut constater que la réalité c'est aujourd'hui 5 millions d epersonnes en France à la recherche d'un emploi dont officiellement 2 millions reconnues comme chômeurs dont 1 million indemnisés par l'Unedic sans parler du temps partiel, de la précarité, des stages bidons etc... Le nombre d'emploi est certes le résultat de l'activité économique mais c'est aussi la résultante de choix politiques et sociaux. mais entre le social et le CAC 40 : faut choisir...
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L'Histoire reste effectivement à écrire mais existera-t-il quelqu'un d'assez objectif pour le faire en toute impartialité. Moi je retiendrai au dela des faits que tu cites, un élément qui me semble intéressant et important : Depuis le début des années 50, les effectifs de la SNCF ont fondu comme neige au soleil : 500.000 (environ) à 160.000 actuellement sauf à deux périodes récentes : 1982/1983 et 2000/2002 où ils ont légèrement (je dis bien légèrement même très légèrement) augmenté. Il a existé récemment un tableau avec une courbe à ce sujet mais impossible de le retrouver. Si quelqu'un l'a en sa possession et peut nous le mettre , ce serait sympa. de mémoire il y avait dessus le nombre de retraités et de veuves de retraités, le nombre d'actifs...
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Quelles sont tes sources et/ou tes informations à ce sujet ?
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C'est mieux que... beau et raccourci... Bon je sors pour la journée... okok
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Et Si La Sncf Transportait Des Patates...
Dom Le Trappeur a répondu à Dom Le Trappeur situé dans Actualité ferroviaire générale
Il parait que certains creusent autour de leur maison (individuelle) des tranchées et installent un circuit des tuyauteries qui par soufflerie récupère de la chaleur dans le sol en hiver (7 à 8 °) qui permet soit de réchauffer l'habitation en hiver donc utiliser moins de chauffage, soit de refroidir en été donc également d'utiliser moins d'énergie (climatisation). Je cherche quelque chose la-dessus sur internet mais je n'ai rien trouver pour l'instant. -
Déraillement Entre Chalindrey Et Merrey
Dom Le Trappeur a répondu à Moos situé dans Actualité ferroviaire générale
Tu vas lui faire un procès pour les droits d'auteur ? -
Il y quelques informations qui commencent effectivement à circuler : - train en panne et grosses conséquences sur la circulation des autres trains fret et voyageurs du côté de Chateauroux - tôles bouffées du côté de Lamballe - perte du trafic par le privé à Vouillé et retour à la SNCF après deux ou trois trains - difficultés en Beauce - désheurements, retards, difficultés dans les manoeuvres ... J'ai l'impression que le privé va installer des couchettes dans les locos comme dans les camions...
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Pourquoi ne ferait-on pas effectivement un bilan de l'action des ministres des transports disons depuis une trentaine d'année (sous les différents Présidents de la république - 1974: Giscard, 1981 et 1988 : Mitterand, 1995 et 2002 : Chirac...) ? Premiers ministres : 22 mai 81 - 23 juin 81 : Mauroy 23 juin 81- 23 mai 83 : Mauroy 23 mai 83 - 19 juillet 84 : Mauroy 19 juillet 84 - 20 mars 86 : Fabius 20 mars 86 - 10 mai 88 : Chirac 10 mai 88 - 14 mai 91 : rocard 15 mai 91 - 31 mars 92 : Cresson 2 avril 92 - 28 mars 93 : Beregovoy 29 mars 93 - 16 mai 95 : Balladur 18 mai 95 - 7 nov 95 : Juppé 7 nov 95 - 3 juin 97 : Juppé 3 juin 97 - 6 mai 2002 : Jospin 6 mai 2002 - 31 mai 2005 Raffarin 1er juin 2005 - ... : Villepin Z'avez plus qu'à retrouver les ministres des transports...
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Tiens ! Et un coup de louche sur la privatisation des autoroutes à l'italienne...en 1999 et ses conséquences en 2006... Vive la concurrence ! ------------------------------------------ Autoroutes: l'Italie bloque la fusion Abertis-Autostrade au nom de l'intérêt national Par Par Jean-François LE MOUNIER sam 05 aou, 14h25 ROME (AFP) - Jugeant que l'intérêt national était en jeu, le gouvernement italien a décidé de bloquer la fusion entre les sociétés autoroutières espagnole Abertis (Madrid: ABE.MC - actualité) et italienne Autostrade (Milan: AUTO.MI - actualité) qui aurait donné naissance au premier groupe mondial d'autoroutes, sous pavillon espagnol. Le veto gouvernemental a pris la forme d'une lettre commune du ministre italien des Finances Tommaso Padoa-Schioppa et de son collègue des infrastructures Antonio Di Pietro à l'Autorité Nationale des Autoroutes (Anas) publiée dans la nuit de vendredi à samedi après la fermeture des Bourses de Madrid et de Milan. Selon cette lettre, l'opération envisagée entraîne de tels changements dans le contrôle et les intérêts stratégiques d'Autostrade que les retombées en termes d'investissements, de qualité et de sécurité du réseau autoroutier italien sont en jeu, de même que "l'intérêt public" italien. Abertis a cependant annoncé samedi de Madrid souhaiter poursuivre son projet malgré le veto italien. Abertis et Autostrade "ont la volonté de poursuivre leur projet de fusion", a ainsi dit une porte-parole du groupe espagnol. La lettre des deux ministres laisse néanmoins peu de marge de manoeuvre aux deux entreprises, sauf à recourir aux instances juridiques européennes. Techniquement, les deux ministres italiens rejettent en effet catégoriquement la fusion en la déclarant contraire à la loi de concession et de privatisation des autoroutes italiennes du fait que l'un des actionnaires de référence du futur groupe était l'espagnole ACS (Madrid: ACS.MC - actualité) , une entreprise de travaux publics. La loi interdit tout conflit d'intérêts entre la gestion des autoroutes et des sociétés de BTP (Paris: FR0000033607 - actualité) , particulièrement si elles sont spécialisées dans le secteur des travaux routiers. Politiquement en outre le gouvernement de gauche italien qui a besoin du soutien de 13 formations allant des communistes orthodoxes à la gauche catholique modérée ne peut envisager de confier la gestion des 3.500 km d'autoroutes de la péninsule à une entreprise qui aurait été dominée par les Espagnols. Dans une lettre du 24 mai adressée au président d'Autostrade, le ministre des infrastructures Antonio Di Pietro écrivait déjà : "les autoroutes sont une ressource nationale. Elles sont fondamentales pour le développement de notre pays. Nous ne pouvons autoriser que leur propriété soit transférée à une compagnie étrangère (...)". Le futur groupe Abertis tel qu'issu de la fusion aurait été détenu à 24,9% par la holding de la famille Benetton, Schemaventotto, et à 24,2 % par les deux actionnaires de référence d'Abertis, la Caixa et le groupe ACS. Abertis aurait eu son siège à Barcelone et aurait été dirigé par le directeur général d'Abertis, Salvador Alemany, encadré de deux coprésidents italien et espagnol. Le groupe aurait eu une capitalisation boursière de 25 milliards d'euros, employé près de 17.000 personnes et géré 6.772 kilomètres d'autoroutes pour un chiffre d'affaires supérieur à 4,8 milliards d'euros en 2005. Présentée comme un mariage entre deux groupes de même taille, la fusion était considérée par la gauche italienne comme une vente déguisée de la famille Benetton au moment où arrivait au pouvoir en Italie un gouvernement susceptible de remettre en cause l'orientation ultra-libérale du gouvernement de Silvio Berlusconi. L'opération, annoncée fin avril, avait déclenché une tempête de critiques sur la gestion d'Autostrade par le groupe Benetton depuis sa privatisation en 1999. Le secrétaire général de la Cisl, deuxième centrale italienne, Raffaelle Bonanni, avait notamment déclaré : "Avoir offert Autostrade aux Benetton a été une erreur gravissime. Quel en a été le gain pour la collectivité ? Seulement des tarifs plus élevés". L'Anas avait chiffré entre 3 et 4 milliards d'euros les retards enregistrés dans le plan d'investissement d'Autostrade depuis leur privatisation. Dans une première réaction, le président d'Autostrade Gianmaria Gros-Pietro a dit à la presse son incrédulité devant le veto gouvernemental, affirmant qu'il trouvait impensable que l'interdiction d'avoir un actionnaire du secteur du BTP s'applique seulement à Autostrade, alors que "ces constructeurs sont présents dans toute l'Europe".
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Ah OUI ! Au fait, j'avais oublié la libéralisation, les privatisations et l'ouverture à la concurrence de la télévision (et on a encore rien vu, on n'est pas au bout de nos peines). Pourtant là les gens ils l'ont sous les yeux mais comme vient de le dire Scarface... Tiens on pourrait ajouter un autre sujet d'expérience très actuelle avec les stratégies des grosses boîtes comme Vivendi... mais aussi celles des constructeurs et vendeurs de matos informatiques face aux conséquences du téléchargement, les réseaux P2P, des logiciels libres... eux mêmes conséquences de l'apparition du réseau internet Et comme par hasard l'apparition d'une loi DADVSI qui vise à défendre les seuls intérêts des grosses boîtes citées en premier...
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Eurotunnel Toujours Dans Le Noir ....
Dom Le Trappeur a répondu à Dom Le Trappeur situé dans Actualité ferroviaire générale
Et l'aventure continue... prenez le temps d'une lecture critique de cet article c'est très intéressant comme référence pour plusieurs autres discussions en cours sur le forum... Eurotunnel: malgré la sauvegarde, le feuilleton est loin d'être fini Par Par Julie CHARPENTRAT sam 05 aou, 9h07 Agrandir la photo PARIS (AFP) - Le lancement d'une procédure judiciaire devrait faciliter la restructuration financière d'Eurotunnel (London: ETL.L - actualité) mais il reste encore beaucoup d'étapes à franchir pour sauver l'exploitant du tunnel sous la Manche, qui tente désespérément de renégocier sa dette de plus de 9 milliards d'euros. "Il est temps de conclure" les discussions, a affirmé le PDG Jacques Gounon après l'ouverture mercredi de la procédure de sauvegarde par le tribunal de commerce de Paris, qui gèle le remboursement de la dette et de ses intérêts. Agrandir la photo D'après une source proche du dossier, Eurotunnel a repris directement les tractations avec les créanciers dès mercredi, et les discussions se poursuivent intensément. M. Gounon a fixé à fin septembre le délai maximum pour trouver un accord. Selon lui, il sera ensuite trop tard pour mettre en oeuvre toute restructuration, et le groupe irait au dépôt de bilan. Pourtant, l'exploitation du tunnel est rentable. Le groupe a indiqué avoir dégagé au premier semestre une marge d'exploitation de 233 millions d'euros. Les parties prenantes sont donc d'avis qu'il est dans l'intérêt de tous de trouver un terrain d'entente, même si la bataille, souvent virulente, dure déjà depuis plus d'un an. Même les créanciers les moins prioritaires, qui étaient les plus réfractaires aux propositions formulées par la direction, se disent prêts à trouver un compromis avant deux mois. Agrandir la photo Reste une embûche de taille: convaincre les actionnaires. Ils ont eux aussi intérêt à un accord car "s'il y a liquidation, les actionnaires perdent tout", souligne Pierre Flabbée, analyste chez Keppler Equities. Selon lui, la procédure de sauvegarde peut avoir pour effet de leur "ouvrir les yeux". Toutefois, tempère l'analyste, la colère et la frustration d'actionnaires qui ont vu fondre comme neige au soleil la valeur de leurs titres rendent incertaine leur attitude lors de l'assemblée générale qui devra se prononcer sur le refinancement de la dette. Certains, comme Joseph Gouranton, président de l'association Adacte et membre du conseil d'administration, ont déjà proclamé leur opposition aux propositions des créanciers, qui ne leur laisseraient que 13% du capital. Les actionnaires ont déjà fait montre de leur puissance en 2004 en renversant la direction en place, rappelle M. Flabbée. M. Gouranton en a appelé au président Jacques Chirac mais l'Etat français, qui est co-propriétaire du tunnel et perçoit une quarantaine de millions d'euros par an de charges de la part d'Eurotunnel, reste particulièrement silencieux. Eurotunnel ne tient pas à évoquer un éventuel coup de pouce de l'Etat mais affirme que le PDG Jacques Gounon "tient régulièrement informés" les Etats français et britannique "de l'avancement du dossier de restructuration, compte tenu des enjeux politiques et financiers". Le groupe compte environ 800.000 actionnaires en France. Eurotunnel précise aussi qu'elle "ne considère pas comme illégitimes les demandes d'aides auprès des Etats de la part des petits actionnaires", tout en se disant "réaliste sur ce qu'elle peut obtenir de ceux-ci". En tout état de cause, même si la question de la dette était réglée, il faudrait qu'Eurotunnel mise sur de nouvelles stratégies à plus long terme pour rester rentable, relève Pierre Flabbée, en soulignant que le développement de l'activité fret "pourrait être un relais de croissance". -
On a eu droit à la libéralisation et ouverture à la concurrence des réseaux téléphoniques (sans parler du portable,...) et à l'apparition d'internet et l'arrivée de l'ADSL, On aura droit bientôt (peut être) à la libéralisation et ouverture à la concurrence des réseaux de gaz et d'électricité, on aura droit peut être à la libéralisation et ouverture à la concurrence des réseaux de transports ferroviaires voyageurs... ça promet ! ça va être la foire...dans nos gares et nos trains futurement privatisées... Allez et pas pour rire, article de presse sur les méthodes des FAI privés et sous-traitants payés à l'abonnement réalisé dans l'ADSL... Faites quand même attention, vous êtes prévenus. Perso : je reçois au moins un coup de fil ou une visite par semaine à la maison, et je suis alpagué au moins une fois par semaine (magasin, centre commercial, marché,dans la rue, à la sortie d'une gare etc...) par ce genre de méthodes. Pas LOL du tout. Free dénonce la vente forcée d'abonnements NOUVELOBS.COM | 02.08.06 | 18:01 Le FAI accuse ses concurrents d'étendre les ventes forcées de forfaits, qui s'élèveraient à 500.000 en 2006. L'UFC-Que choisir dénonce Neuf Télécom. L 'opérateur Free dénonce, mercredi 2 août, la "très forte croissance" des ventes forcées d'abonnement Internet, jusqu'à 500.000, selon lui, pour l'année 2006. Free indique, dans un communiqué, que 517 procédures judiciaires au moins ont été lancées par ses abonnés dans les trois derniers mois, contre des "opérateurs indélicats" que Free ne nomme pas. Ce procédé, le "slamming", est apparu en 2004, dans un contexte de concurrence accrue dans le secteur des fournisseurs d'accès à Internet. Toutefois, depuis cette année, "le système s'emballe et on assiste à une progression logarythmique", indique Free. L'opérateur estime que 500.000 cas pourraient être recensés pour la seule année 2006. Fin mars, il y avait quelque 10 millions d'abonnés Internet haut débit en France. Le "slamming" consiste à faire s'abonner un client à un nouveau fournisseur, à son insu, alors qu'il avait déjà un accès Internet chez un concurrent. Free souligne que, pour effectuer ces changements d'abonnements, il suffit de se procurer le nom, l'adresse et le numéro de téléphone des victimes. Ces démarchages abusifs s'effectuent souvent aux sorties d'hypermarché, de galeries marchandes, ou dans les foires et salons. Par exemple, selon Free, 20.000 ventes forcées ont eu lieu lors de la dernière Foire de Paris. Neuf Télécom en ligne de mire Mardi, l'antenne de Nancy de l'UFC-Que choisir dénonçait aussi ce phénomène. Quelques 450 personnes ont eu la surprise de découvrir qu'elles ont été abonnées contre leur gré à Neuf Télécom lors de la Foire internationale de Nancy, qui a eu lieu du 2 au 12 juin. Les victimes, qui pensaient simplement recevoir un cadeau après avoir laissé leurs coordonnées et signature, se sont en fait retrouvées abonnées pour l'offre téléphonique et/ou d'ADSL de Neuf Télécom, a expliqué l'UFC-Que Choisir Nancy. D'autres abus ont été recensés. "Des enfants ont signé à la place de leurs parents, et vice versa. Des contrats ont été déchirés devant les clients et sont réapparus. Certaines personnes n'ont fait que donner leur nom et adresse et se sont retrouvées titulaires d'un contrat", a indiqué Valérie Distler, chargée de la communication d'UFC-Nancy. "Des personnes âgées de 87 ou 89 ans ont été abusées. C'est lamentable", a poursuivi Valérie Distler, qui a fait part de l'intention de l'UFC-Nancy de poursuivre Neuf Télécom en justice dès septembre. L'opérateur téléphonique, quant à lui, rejette la faute sur les revendeurs concernés, salariés d'ACT, un prestataire du groupe. Ceux-ci auraient été remerciés, selon un responsable de la communication de Neuf Télécom. Un numéro vert a été mis en place par Neuf Télécom il y a deux semaines pour corriger le tir, a-t-il précisé, assurant que les plaignants seront remboursés.
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Il me semble que c'est la CGT à partir de la fin des années 70 et du début des années 1980 qui a soulevé et dénoncé le problème majeur que constituait à cette date l'explosion de la dette du système ferroviaire imposée par l'état pour financer les investissements (TGV, électrifications, modernisations des infrastructures...), dette supportée exclusivement par la SNCF et la montée en puissance des charges financières versées aux banques, assurances, fonds de pension etc... avec le slogan de l'époque : 1 cheminots sur 3 travaille pour les banques. La situation n'a pas fondamentalement changé sauf qu'une partie de la dette est supportée aujourd'hui par RFF qui fait payer la SNCF en augmentant les taxes d'utilisation du réseau ferré Cette situation est toujours dénoncé par la CGT et d'autres syndicats qui ne s'en accommodent pas puisque c'est là que demeure la solution aux problèmes de financement de la SNCF et de mise en oeuvre d'une autre logique industrielle, économique et sociale. Mais ne l'oublions pas ce ne sont pas les syndicats qui gèrent la SNCF mais la direction SNCF nommée par le pouvoir et le pouvoir lui-même au travers de ses représentants au Conseil d'Administration de la SNCF, des mlois budgétaires préparées par le Ministère du budget et voté par la majorité en place au parlement. Notons que si droite et gauche au pouvoir n'ont jamais résolu ce problème car si ils ont certes mené des politiques différentes vis à vis de la SNCF et des transports, aucune n'est réellement allée dans le bon sens des intérêts collectifs de la nation, de la population et des salariés (pas que les cheminots...).
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Et Si La Sncf Transportait Des Patates...
Dom Le Trappeur a répondu à Dom Le Trappeur situé dans Actualité ferroviaire générale
Dans la même veine mais difficilement applicable en ville malheuseusement: Pis de vaches et éoliennes: une ville allemande autosuffisante en énergie Par Jutta HARTLIEB FREIAMT (AFP) - Hannelore Reinbold-Mench, le maire de Freiamt, en Forêt Noire, est fière de l'engagement de ses 4.300 administrés pour les énergies renouvelables: "nous produisons 13 millions de Kw/h par an, plus que nos propres besoins", déclare-t-elle à des journalistes après une visite de terrain. Dans cette ville touristique et agricole à 25 km au nord de Fribourg, un agriculteur, Walter Schneider, utilise la chaleur du lait sortant du pis des vaches pour chauffer l'eau de sa douche. Son voisin a installé un toit photovoltaïque sur sa grange. Avec son installation au biogaz, Gerhard Reinbold chauffe sa ferme mais aussi ses voisins dont un club de sport. Et sur les hauteurs de cette cité touristique tournent quatre éoliennes. Chacune produit près de 3 millions de Kw/h, de quoi approvisionner mille foyers en électricité. La petite ville allemande fait feu de tous bois depuis quelques années: panneaux solaires pour la chaleur, panneaux photovoltaïques pour la production de courant, copeaux de bois pour le chauffage, moulin, éoliennes et biomasse. Depuis l'application de la nouvelle loi sur l'energie renouvelable (EEG), deux à trois millions des kw/h produits par éolienne peuvent être vendus 18 centimes d'euro le km/h au distributeur local d'électricité, précise Mme Reinbold-Mench. Les 50 m2 de panneaux photovoltaïques installés par un agriculteur sur le toit de sa grange ont produit en douze mois 30.000 Kw/h qui peuvent être vendus à 53 centimes d'euros le km/h, selon la nouvelle loi. Pour ce fermier qui cultive 38 hectares de céréales, il s'agit d'un apport financier non négligeable. Son exemple a fait tache d'huile et aujourd'hui il y a 75 installations photovoltaïques dans la commune, dont deux au-dessus de blocs de logements sociaux. 150 foyers ont recours aux panneaux solaires pour chauffer leur eau, un moyen très utilisé parce qu'il ne suppose pas d'autorisation et qu'il s'amortit vite. Walter Schneider n'en a pas besoin. Ses 45 vaches produisent quotidiennement 900 litres de lait qui sortent à 32 degrés du pis mais doivent être refroidis à 4 degrés pour la commercialisation. Un échangeur de chaleur lui permet de chauffer l'eau de sa douche et de son évier. Deux scieries et un meunier utilisent l'eau de la rivière Brettenbach grâce à des turbines et des générateurs. "Cela me fait gagner 8.000 euros par an", se réjouit le meunier Friedrich Mellert. Malgré le prix encore élevé de l'installation, une cinquantaine de foyers se chauffent aux copeaux et déchets de la coupe des bois. La commune a acheté une machine à cet usage. "L'exemple de Freiamt montre que l'on peut faire beaucoup pour peu que les politiques suivent", estime Erhard Schulz de l'association fédérale allemande WindEnergie. Le ministre féderal de l'Environnement Sigmar Gabriel (SPD) croit en un "boom" des énergies renouvelables. Leur part dans la production totale de fourniture de courant électrique va passer de 10% actuellement à au moins 20% d'ici à 2020, a-t-il indiqué récemment. Le lien avec photos : http://fr.news.yahoo.com/03082006/202/pis-...fisante-en.html -
Quand Des ânes Bloquent La Moitié De La France !
Dom Le Trappeur a répondu à pasdid84 situé dans Actualité ferroviaire générale
Article AFP + deux photos vendredi 4 aout 2006, 8h48 Le trafic ferroviaire reprend entre Nîmes et Montpellier MONTPELLIER (AFP) - Le trafic des trains a repris vendredi matin dans les deux sens entre Nîmes (Gard) et Montpellier (Hérault) mais sur une seule voie, en raison de la remise en état de la ligne encore en cours après le déraillement d'un train jeudi qui avait percuté des animaux. "Nous pouvons circuler dans les deux sens mais sur une seule voie et à vitesse limitée, les travaux sur la seconde voie étant en cours", a indiqué à Bernard Strehlé, directeur de crise à la SNCF de Montpellier. Cette circulation alternée se fait sur une distance d'environ quatre kilomètres, a-t-il précisé. Un programme de circulation a été établi pour la journée qui prévoit une "circulation normale" des TGV et Corail. La desserte TER sera assurée à 70% sur la zone: seuls 25% des trains Avignon (Vaucluse) - Narbonne (Aude) circuleront, auxquels seront adjoints des bus de substitution pour certaines destinations, et les TGV et Corail s'arrêteront dans certaines gares. "Nous envisageons quelques retards sur certains trains qui n'excéderont pas la demi-heure", a assuré M. Strehlé. Les trains de fret, "qui ont déjà circulé cette nuit, la voie ayant été rendue à minuit, seront limités dans la journée, ne passant que les convois prioritaires", a expliqué M. Strehlé. "Nous pensons récupérer la seconde voie en fin de journée (vendredi). Toutefois, la circulation se fera tout le week-end avec une légère limitation de vitesse sur la zone", a-t-il poursuivi. Deux ânes errants sur des voies ferrées près de Vestric (Gard) ont provoqué jeudi l'interruption du trafic ferroviaire pour 24 heures sur un axe important reliant le sud-est au sud-ouest de la France, après avoir fait dérailler au petit matin un train express régional (TER), sans faire de blessé. La locomotive couchée sur la voie a été relevée vers 21H00 jeudi, et devait être acheminée ou tractée vers une voie de garage. Les dommages se chiffrent en millions d'euros entre l'accident lui-même et les pertes en terme de chiffre d'affaires, avait indiqué jeudi un responsable de la SNCF Languedoc-Roussillon, André Francisco. La SNCF a dit avoir porté plainte, comme elle le fait toujours dans ce genre d'incident, et le propriétaire des ânes a été identifié. De source judiciaire, on indique que des "traces de dégradation" ont été découvertes sur le grillage de l'enclos où se trouvaient les bêtes, laissant présager un acte de malveillance. Selon M. Francisco, la collision avec les ânes a endommagé une pièce métallique de la locomotive. Cette pièce s'est mise à frotter contre le sol et a buté au niveau de l'aiguillage, entraînant le déraillement. Les collisions entre des trains et des animaux sont un phénomène assez courant, a-t-il poursuivi. Des TGV percutent régulièrement des chevreuils sur les voies mais cela n'entraîne pas de déraillement car "ce sont des trains très rapides avec un +nez profilé+ et ils éjectent sur le côté les obstacles rencontrés", a expliqué ce responsable. Un autre TER a d'ailleurs déraillé jeudi matin près de Naucelle (Aveyron), après avoir heurté trois vaches errantes sur la ligne Rodez-Carmaux-Toulouse, avec des répercussions "minimes" sur le trafic de cette ligne régionale. Deux autres photos trouvées sur le net Patrick Valasseris (AFP/AFP - -
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Dom Le Trappeur a répondu à pasdid84 situé dans Actualité ferroviaire générale
Y'a une barre court-circuit juste après le croco, sinon un carré ça se ferme d'un poste...