Dom Le Trappeur

Photo trouvée sur le net (AFP)

Personne n'en veut de mes patates ? J'comprends maintenant pourquoi la SNCF ne récupère pas de trafics... okok

Bon et ben moi aujourd'hui j'étais dans la bonne moitié de la France... Tous les trains à l'heure, pas d'incident, personne pour m'embêter... que du bonheur! A la télé 'fr3 et fr2) on a pu voir des images de l'un des deux ânes morts (celui là a du être juste heurté)

M...., je suis pas dans la liste. Je dois en penser quoi ? Manipulation ou usage de la langue française Usage, usage, usage? Vous avez voulu dire mercantilisme plutôt, j'espère ! okok

Il n'est pas dit si on pouvait récupérer les sacs et après lavage en faire de la purée ..... Dom cartonrouge

La critique de l'activité et de l'action syndicale a toujours existé comme les débats parfois houleux entre les différents syndicats. Aujourd'hui cette "critique" a pris une forme encore plus aigüe dans la mesure ou la droite et le patronat, les directions d'entreprise n'hésitent plus à entrer dans le débat avec la mise en place du management. Notons quand même qu'il y a une grande diversité dans le syndicalisme : CGT, CFDT, CFTC, FO, CGC, FGAAC, SUD, UNSA (exFMC), FSU, FEN sans parler des innombrables organisations catégorielles propres à une seule profession ou une seule entreprise (il doit également rester des lambeaux de syndicats d'extrème droite mis en place du côté de Peugeot-Citroen dans les années 75/80). Là encore l'histoire montre que quelque soit l'époque les organisations patronales et les pouvoirs en place (de quelque bords qu'ils soient) ont toujours tenté de rechercher soit la collaboration soit la division soit l'interdiction pure et simple des syndicats de lutte. Aujourd'hui, le patronat, les direction et le pouvoir face aux enjeux économiques et sociaux, la mondialisation et la concurrence capitaliste se sont lancés dans une offensive à grande échelle pour "intégrer les salariés à leurs objectifs", pour peser sur les esprits et comportements. Alors esprit critique : oui ! Mais critique à l'égard de qui ? Les syndicats sont ils à la hauteur des enjeux aujourd'hui dans notre société ? Là encore, il ne faut pas mettre tout le monde dans le même panier . Certaines organisations syndicales en particulier la CFDT ou la CFTC se complaisent dans le système et le soutiennent au nom d'un certain réalisme, parlant de co-gestion, d'autres s'y opposent de manière structurelle permanente c'est le cas de sud d'autres formulent des propositions alternatives tout en menant des batailles et des actions d'envergure : c'est le cas de FO ou de la CGT... avec dans le même temps des débats internes houleux sur l'orientation et la stratégie syndicale... Au délà n'oublions jamais que la direction de l'entreprise demeure l'un des acteurs essentiels du jeu des relations économiques et sociales. C'est Pépy qui disait je crois à Genève récemment devant les cadres SNCF de l'entreprise : "moi mes Délégués du Personnel, ce sont les ...DPX "

Bon c'est sérieux même si ça n'en a pas l'air : ça se chiffre en centaines voir milliers de tonnes: ...pommes de terre d'un côté, sacs en pomme de terre de l'autre... J'savais pas trop où placer le sujet c'est donc juste une info... qui mérite notre attention ! ----------------------- mercredi 2 aout 2006, 13h17 Le sac en pommes de terre à l'assaut de son concurrent en plastique Par Dominique AUBIN AMBRUMESNIL (AFP) - Depuis quelques mois une appétissante odeur de pain grillé flotte dans l'air d'une petite usine de d'Ambrumesnil (Seine-Maritime) qui s'est lancée dans la fabrication de sacs biodégradables à partir de fécule de pommes de terre. Hormis cette odeur qui s'échappe lors du chauffage de la fécule, rien n'a changé dans cette usine de la société Plastiques et Tissages de Luneray (PTL, filiale du groupe français d'emballage Sphère), qui est la première à produire de tels sacs en France. "Les chaînes qui servaient à la fabrication de sacs en plastique sont utilisées sans transformation pour produire les modèles bio", assure René-Pierre Renault, directeur de PTL. A la place des granulés de plastique, les ouvriers introduisent dans les extrudeuses des granulés de fécule. "La pomme de terre qui est utilisée est très riche en fécule et ne serait probablement pas recommandée par les diététiciens en raison de sa forte teneur en sucre", précise le directeur. La préparation est ensuite torturée à travers plusieurs machines avant de ressortir en bout de chaîne sous forme de sacs poubelles ou de congélation. En apparence, les modèles en pommes de terre ressemblent à leurs concurrents en plastique, hormis peut-être un toucher plus soyeux pour les premiers. Les sacs "bios" n'auraient pratiquement que des avantages, selon René-Pierre Renault: "Il sont économes en énergie car ils ne doivent être chauffés qu'à 140 degrés au lieu de 180, ils nécessitent moins de matière première car ils sont de 15 à 20% plus denses, il sont plus résistants en raison de la consistance de la fécule, ils offrent un nouveau débouché aux agriculteurs et ils se dégradent en cinq ou six mois contre 400 ans pour le sac en plastique". Il est toutefois un critère pour lequel le sac en fécule ne peut aujourd'hui rivaliser avec son homologue en plastique: son prix. "Le double...", reconnaît René-Pierre Renault. Mais à ses yeux, ce handicap devrait se résorber très vite. "Le prix du plastique est condamné à la hausse comme celui du pétrole dont il est issu, tandis que le sac en fécule baissera à la faveur de l'augmentation des volumes", assure-t-il. Ces tendances devraient favoriser le développement du sac en pommes de terre mais aussi de tous les autres modèles biodégradables, notamment ceux à base d'amidon de maïs développés par des concurrents du groupe Sphère. Chez PTL, la production de sacs "bios" commencée en décembre 2005 devrait atteindre 600 tonnes en 2006, mais restera très minoritaire face aux 27.000 tonnes de sacs en plastiques que le groupe continuera à produire. "Mais nous sommes prêts à basculer du jour au lendemain vers le bio si la demande est là", assure le directeur. Cette production à base de matière végétale représente un retour aux origines pour cette société de 200 salariés qui a longtemps fabriqué des sacs en toile de jute à partir de lin, avant de passer au "tout plastique" dans les années 70. Le lien http://fr.news.yahoo.com/02082006/202/le-s...aut-de-son.html

Moi je ne suis jamais allé à une réunion de non-syndiqués... donc j'ai jamais pu apprendre...Snif Tiens histoire de se friter un peu plus... Un lien vers un autre fil qui va très bien avec celui-ci "fritages syndicaux" "Et Si La Sncf Transportait Des Patates..., La Pomme de Terre a de l'avenir" http://www.cheminots.net/forum/index.php?s...ic=4340&hl= En +, j'l'ai pas fait exprès... okok

Pour l'aptitude à la sécurité il existe un référentiel avec une liste des métiers concernés. Mais à vue d'oeil, pour ce poste l'aptitude à la sécurité devrait être nécessaire : travail sur les voies ou à proximité, traversée des voies, maintenance des engins moteurs : contribution à la sécurité des engins ferroviaires... mais je peux me tromper.

Oui ! ça a l'air très intéressant pour découvrir des coins sympas et un peu perdus... Site à visiter et à conserver dans ses favoris... Merci yaya :)

Et si le mec au pouvoir te dit de te jeter du pont dans le vide parceque c'est bon pour ton avenir et ta santé : tu le feras sûrement sans hésiter...? Comme je l'ai dit ces actions parfois spectaculaires (mais pas seulement : il y a des manifs très pacifiques) peuvent heurter la sensibilité de beaucoup et bien entendu fortement emmerder ceux qui y sont opposés. Mais ce n'est pas parce que un tel est au pouvoir que ceux qui sont en désaccord avec les mesures qu'il prend ne doivent rien faire et assister en spectateurs passifs. Le propre de la démocratie c'est l'action citoyenne et le droit d'opposition existe. C'est l'un des fondements de la République et de la pensée des révolutionnaires de 1789. Et heureusement que certains, parce que c'était nécessaire ont pris dans certaines périodes de l'histoire jusqu'aux armes pour se révolter et défendre non seulement nos libertés mais aussi nos droits. Notons enfin que les pouvoirs en place n'hésitent pas eux à utiliser la force et la violence pour défendre ce qu'ils appellent "l'ordre", soutenu c'est une réalité souvent un temps par une partie de la population et ce quelque soit le pays.

Oui mais il faut aussi savoir parfois s'opposer à la loi et l'ordre établi (le "pouvoir en place", "l'ordre moral") et mener "des actions militantes citoyennes" pour faire bouger les choses dans un sens collectif et ce tant par des méthodes non violentes que parfois spectaculaires (rarement violentes contre les personnes de nos jours, dans notre pays), même si ces actions ne satisfont pas la majorité dite silencieuse et heutent la sensibilité de certains: José BOVE et les faucheurs d'OGM DAL et les sqatts de logements Le FLB pour la région Bretagne et la reconnaissance de la langue bretonne entre autre... Occupation d'usine où les salariés annoncent qu'ils vont déverser des produits toxiques dans une rivière pour imposer des négociations paysans, agriculteurs ou viticulteurs en colère etc... les routiers-cammionneurs qui bloquent les routes les étudiants et lycéens anti-CPE qui bloquent les voies de chemins de fer ne pas confondre non plus actions citoyennes (politiques, syndicales, professionnelles, régionales...) avec "délinquance" ou "criminalité"

Oh tant que t'es pas à la masse tu pourras toujours le ramasser....

Constatons simplement cher Ferrolex que tu ne vérifies pas très souvent la qualité de tes informations et de tes sources...Ce n'est pas la première fois que tu es pris en défaut. Comme j'ai déjà posé la question dans un autre fil : à part de critiquer et de casser du sucre sur LES syndicats (en pensant très fortement à la seule CGT) : qu'est-ce que tu construit TOI pour défendre nos intérêts individuels et collectifs ? Ben, moi, dans mon poste d'aiguillage, c'est la boîte de thé qui était vide et en plus je m'en suis apperçu qu' 17h00 pile poil... et je suis sûr qu'un délégué était dans le coup puisque je vous le dit ! Ah les légendes urbaines et rurales...

Heureusement qu'elle est encore bien raide ... de temps en temps ! Ceci dit Arlette : elle m'a jamais fait bander au propre comme au figuré mdrmdr

belle prise de vue et de son merci pour le tuyau okok

Cette prise de vue fut-elle organisée ou c'est simplement le hasard ? Quelqu'un saurait-il me dire si il est techniquement possible d'enregistrer de type de document sur son disque dur et comment ? (c'est pour me mettre à la page, je sais pas faire... ) Merci d'avance. Dom revoltages

Relis le premier message en haut de cette page : une seule organisation est citée... et Tram21 ne fait malheureusement pas dans la dentelle...Alors faut pas s'étonner si ça canonne tonnerre de Brest ! Papic : tu as un avatar du tonnerre !

Merci je me renseigne.

Tu n'as même pas remarquer que l'expression est ...entre guillemets ! j'aurai pu écrire "syndicat politique soit disant à la botte du parti" Moi qui croyais que cette pensée - profonde - avait disparu avec la chute du mur de Berlin, la fin de l'URSS et la déroute du PCF aux élections, je constate que certains sont restés bloqués ou alors ils n'ont toujours pas digéré l'Histoire... Bref passons à autre chose ! Et dans le bureau des chefs : ça sent le Whisky ??? C'est vrai, c'est pas le même monde... koiquesse

http://www.cheminots.net/forum/index.php?s...amp;#entry55711 Voir le lien J'ai mis une info PDF de la région de Chambéry Alp'Infos sur le déraillement.

C'est même du "conditionnel ...futur ...antérieur"... Du grand n'importe quoi... Un seul objectif : casser du "syndicat politique à la botte du parti"... Un relent de guerre froide totalement dépassé... qui fait dire tout et son contraire : "le jour où il y aura des syndicats purement cheminots, indépendants de tous partis politiques, et non généralistes et politisés comme aujourd'hui, le chemin de fer sera sauvé... mais ça n'en prend pas le chemin !" Un hoax comme aime à en lancer Tram21, immédiatement relayé par Vinces... "Pas honte du tout car je crois cette histoire vraie" Aucune vérification mais puisque je vous le dit "c'est vrai : la preuve je le crois...!"

Reçu dans ma Boîte Aux Lettres : Interruption totale du trafic entre Culoz et Chambéry Lundi 24 juillet, vers 18h30, un train de renouvellement de voie et ballast de l’entreprise ETF a déraillé lors du franchissement du pont ferroviaire enjambant le Rhône, peu après avoir quitté la gare de Culoz dans l’Ain. Ce convoi se dirigeait vers Chambéry afin d’intervenir sur le RVB de Moirans (Isère). Aucune victime n’est à déplorer. Document PDF texte et photos. auj312_25juillet2006.pdf

Bon Anniversaire !