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Le Web des Cheminots

Dom Le Trappeur

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Tout ce qui a été posté par Dom Le Trappeur

  1. Et moi...je ne travaille pas aujourd'hui.... En 2007...j'voterai Chichi ou Sarko ? okok
  2. Dépêche AFP C'est un peu étriquée comme résumé mais ça en dit long sur le filou qui réside à l'Elysée Il faudrait ajouter quelques affaires un peu oubliées... dépêche AFP du 1er avril (c'est peut être un PoiSon.... ) Chirac: 40 ans d'une vie politique ponctuée de crises Jacques Chirac, dont le mandat présidentiel se terminera dans 13 mois, aura totalisé à cette date, souvent au premier rang, 40 années d'une vie politique ponctuée de crises, occasions de démontrer une extraordinaire capacité à surmonter ses échecs. Entré en politique en 1967 comme député de Corrèze, M. Chirac est dès l'année suivante confronté aux événements de Mai 68. Secrétaire d'Etat aux Affaires sociales chargé de l'Emploi, il se retrouve, au côté de Georges Pompidou, partie prenante aux accords de Grenelle, qui permettront de sortir de la crise par le haut. A 39 ans d'intervalle, il n'a pas retenu l'idée d'un "Grenelle social", mais entend lancer un "grand chantier de la sécurisation des parcours professionnels" à conduire avec les partenaires sociaux. Premier ministre en 1974, Jacques Chirac est confronté un an plus tard à une crise majeure avec le drame d'Aléria: l'occupation d'une cave viticole par des militants régionalistes corses et l'assaut lancé par 2.000 gendarmes mobiles, dont deux seront tués. Mais c'est sur un désaccord de fond avec le président Valéry Giscard d'Estaing, auquel il reproche de ne pas lui laisser les coudées franches, qu'il remet sa démission. Il fonde le RPR et prend la mairie de Paris. De retour à Matignon en 1986 pour la première cohabitation de la Ve République, face à François Mitterrand, il est confronté à une vague d'attentats terroristes, puis à une révolte de lycéens et d'étudiants contre son ministre de l'Enseignement supérieur, Alain Devaquet, qui doit démissionner après la mort d'une jeune homme, Malik Oussekine, matraqué par les forces de l'ordre. En 1988, peu avant la présidentielle, éclate le drame d'Ouvéa où des indépendantistes néo-calédoniens ont pris 27 personnes en otage. L'assaut est donné sur ordre du Premier ministre. Dix-neuf kanaks et deux gendarmes sont tués. Sévèrement battu à la présidentielle, qui voit la réélection de son vieux rival Mitterrand, Chirac attend son heure. Mais il manque de se faire souffler sa victoire en 1995 par son "ami de 30 ans", Edouard Balladur, au faîte de la popularité comme Premier ministre de cohabitation. Ecrasé dans les sondages, il démontre sa capacité à remonter la pente. A peine élu, il fait face à une nouvelle série d'attentats meurtriers qui commence en juillet 1995 au métro Saint-Michel. Alain Juppé, qu'il a nommé à Matignon, verra se dresser à l'automne des centaines de milliers de manifestants contre sa réforme de la sécurité sociale et des régimes spéciaux de retraite. Le 21 avril 1997, la dissolution manquée de l'Assemblée aboutit à la victoire de la gauche, avec à la clef cinq ans d'une cohabitation tendue avec Lionel Jospin. Cinq ans plus tard, coup de tonnerre: Jospin est éliminé au premier tour. Face à Jean-Marie Le Pen, Jacques Chirac rafle 82% des voix le 5 mai 2002. Un second tour né de circonstances exceptionnelles, qui fait de lui un miraculé. Les difficultés s'accumulent à partir de 2004: débâcle aux régionales et cantonales, nouveau revers électoral aux européennes, et, un an plus tard, échec cuisant du oui qu'il défendait, au référendum européen qu'il avait lui-même convoqué. Entretemps, la droite parlementaire s'est réorganisée au sein de l'UMP, parti voulu par le président mais qui échappe à son fondateur: le 28 novembre 2004, Nicolas Sarkozy en prend la présidence, avec l'ambition déclarée de conquérir l'Elysé. Proche du président, Dominique de Villepin voudrait sans doute se mettre en travers de son chemin. Mais la crise du CPE pourrait contrecarrer cette ambition.
  3. Bon Anniversaire Fabrice
  4. Oups A prendre avec le sourire 10ème degré comme d'hab helpsoso
  5. Suite aux deux documents postés dans le forum "les infos" documents et communiqués" au sujet de la prime de travail des Etablissements Exploitation concernant les agents de la filière transport (prime revalorisée entre 2002 et 2006 du code 2 au code 3 soit environ + 50 euros mois en moyenne pour un agent de qualification C) KM315 avait posé une question sur l'existence et la nécessité de cette prime. Juste quelques explications que d'autres voudront bien compléter car je n'ai pas tous les éléments. La rémunération de base des cheminots est actuellement composée - du Traitement de Base TB (grille des rémunérations selon sa qualification, son niveau, sa position de rémunération sur le niveau et l'ancienneté) - D'une Indemnité de Résidence IR selon la localisation géographique de son Unité d'affectation (son lieu de travail ou de rattachement) - d'une Prime de Travail PT selon sa filière et sa position de rémunération A cette rémunération de base viennent s'ajouter les primes, allocations et gratifications (travail de nuit, Dimanche et fêtes etc...) L'ensemble des cotisations sociales sont calculées sur le TB L'ensemble sauf la cotisation retraite sur l'IR L'ensemble sur la PT avec une particularité pour la prime de Travail La prime de travail est calculé mensuellement sur la base du nombre de journées de travail (pour faire simple) + les congés et le 1er mai On dit que ces journées sont primables. Ne sont pas primables : les repos, les fériés (sauf 1er mai), les absences (maladie, congés supplémentaires, grève...) On multiplie le nombre de journées de travail par le taux. La PT est payée à M+2 sous la mention : prime de Travail des Ets... Mais pour le calcul de la retraite c'est la Valeur Moyenne Mensuelle de la Prime de Travail VMMPT qui est retenue pour la base de calcul (Cette base est fixe - voir document sur les taux des PT par filière) . Ce qui fait que certains mois : on a une PT inférieure, égale ou supérieure à la VMMPT selon le nombre de jours de travail. On peut dire aussi que la PT contribue à la baisse de l'absentéisme (maladie, absence irrégulière...) < Il y a une particularité pour les ADC.> En général les revendications syndicales tournent autour - de l'intégration de l'IR dans le TB (car elle bénificierait aux retraités). régulièrement chaque année 1/2 point à 1 point d'IR est intégré au TB. ça dure depuis au moins 30 ans... et il en reste encore quelques-uns de points. Sauf erreur c'est grâce aux luttes de 68 et 71 ... - de l'intégration de la PT dans le TB Pourquoi une Prime de Travail : historiquement, je ne sais pas. Peut être quelqu'un pourra-t-il éclairer notre lanterne sur le sujet et rectifier mes propos si j'ai écrit des erreurs (ce qui est fort possible...)
  6. Avant d'appuyer sur la touche entrée du clavier tourner autour au moins 7 fois avec son index en se posant la question : ai-je vérifié mes sources ai-je vérifié mes sources... et éviter de conclure trop vite helpsoso
  7. Les archéologues sont de retour mdrmdr
  8. Recrutement direct au Cadre Permanent ? ou comme Cadre Supérieur (Statut particulier), ou encore Contrat de cadre Contractuel...individualisé ???
  9. beurk Y'a juste un blème.... Faudrait vérifier les sources ????? Y'a juste un blème.... Faudrait vérifier les sources CITATION(ioda ou sybic @ 30/03/2006 21:09) Accident entre Chambéry et St Pierre d'albigny hier sans qu'aucun wagon soit à terre! http://www.humanite.presse.fr/journal/1992...92-03-17-649831 malheureusement je n'ais trouvé que sa, est ce n'est pas d'actualité ... L'article de presse date du "Article paru dans l'édition du 17 mars 1992."
  10. Reçu ce jour dans ma boîte aux lettres. J'en fait profiter tout le monde Dom 2006_03_30_PTexploitation_Transport62.pdf
  11. En mars 2006 une dernière étape de revalorisation permettra à la prime de travail des agents du Transport Mouvement d' atteindre le montant de la prime code 3 (agent du matériel). Le processus de revalorisation de la Prime de Travail a débuté en 2000 après plusieurs années d'actions menées par les organisations syndicales. Ce processus a été mis en oeuvre en plusieurs étapes. La prime de travail moyenne compte dans le calcul de la retraite. Vous trouverez dans le document joint : le montant des primes de travail pour toutes les filières à la date de Mars 2006. Dom 2006_03_30_PTmars2006.pdf
  12. Le Figaro 30 mars 2006 TRANSPORTS Le 1er avril, la SNCF perd son monopole. Six concurrents sont déjà prêts. DEMAIN soir, la SNCF affrontera la concurrence à l'intérieur de l'Hexagone. Bruxelles a choisi le 1er avril comme date butoir pour l'ouverture à la concurrence du transport ferroviaire de marchandises. Cette échéance intervient neuf mois avant la date fixée pour le reste de l'Europe. C'est une condition posée par la Commission européenne lorsqu'elle a donné son accord au plan de redressement de la branche fret de la SNCF. Les nouveaux arrivants sont dans les starting-blocks. La libéralisation du transport transfrontalier est effective depuis mars 2003. Seul Veolia Transport s'est glissé dans la brèche. Hier, lors d'une table ronde autour de Dominique Perben, le ministre des Transports, les nouveaux entrants ont manifesté leur appétit pour le fret intérieur. Six d'entre eux ont déjà obtenu un certificat de sécurité, sésame indispensable pour exercer en France. Il s'agit de Veolia Transport, qui exploite déjà des lignes internationales depuis l'été 2005, du belge B Cargo, du britannique Euro Cargo Rail (filiale d'EWS), de l'allemand Rail4 Chem, du luxembourgeois CFL Cargo et du français Europorte 2, filiale d'Eurotunnel. La demande de Colas (filiale de Bouygues) est en cours d'instruction. Le transport routier : le véritable concurrent D'ores et déjà, les industriels – les opérateurs évoquent Stora Enso, Volkswagen ou Evian – lancent leurs appels d'offres. Au total, une dizaine sont en cours, portant sur 5 millions de tonnes sur 107 millions transportés en 2005. Par ailleurs, alors que le nouveau Port du Havre est inauguré ce matin, les nouveaux entrants insistent sur la manne que constitue le transport du fret débarqué dans les ports. De son côté, Eurotunnel cherche à dynamiser le trafic de marchandises dans le tunnel sous la Manche. «1 à 2% du fret transmanche est ferroviaire, a noté Jacques Gounon, son président. Eurotunnel peut donc avoir une action de niche, complémentaire et cohérente avec les autres opérateurs.» Le coup risque d'être dur pour la SNCF, qui peine à redresser sa division fret. «C'est un test redoutable», a reconnu hier Marc Véron, directeur général fret de l'entreprise publique. Nous sommes remis en question, mais c'est une formidable opportunité pour nous.» Depuis trois ans, la SNCF a engagé un plan de restructuration drastique financé en partie par 800 millions d'euros de fonds publics, un plan approuvé par Bruxelles. En 2005, le fret de la SNCF était encore déficitaire de 220 millions d'euros. Ce qui marque malgré tout une amélioration par rapport aux 400 millions de pertes de 2003. En fait, le véritable concurrent, c'est le transport routier. Le rail n'achemine plus que 12% des marchandises en France, contre 80% pour la route. C'est donc aux camions que les nouveaux venus, comme EWS ou la SNCB, veulent reprendre des parts de marché. Dominique Perben a d'ail leurs souligné hier «l'importance de l'ouverture à la concurrence pour redynamiser le fret ferroviaire». ---------------------- je copie ci-dessous le message que j'avais mis en ouvrant une autre discussion Fret Ferroviaire : Les Grandes Manoeuvres Commencent., Libéralisation et concurrence... SNCF, Veolia Transports (ex-Connex) Le belge B Cargo, le britannique Euro Cargo Rail (EWSI), l'allemand Rail4Chem, le luxembourgeois CFL Cargo, le français Europorte 2 (Eurotunnel) se concurrenceront à partir du 1er avril 2006 le fret ferroviaire. les cheminots seront-ils acteurs ou spectateurs ? ******************************************************* Fin du monopole sur le fret: la SNCF et ses concurrents sur les rails Agence France-Presse PARIS La SNCF et ses futurs concurrents, reçus mercredi par le ministre des Transports Dominique Perben, se préparent à l'ouverture totale vendredi du fret à la concurrence, qui signe la fin du monopole de la compagnie publique française. Le transport ferroviaire de marchandises sur les lignes domestiques sera ouvert à partir du 31 mars aux compagnies privées ou publiques, françaises ou étrangères concurrentes de la SNCF, conformément à une directive européenne. Les lignes entre la France et l'international le sont déjà depuis mars 2003. M. Perben a reçu mercredi la SNCF et cinq de ses futurs concurrents, en soulignant "l'importance de l'ouverture à la concurrence pour redynamiser le secteur" du fret ferroviaire qui ne transporte que 12% des marchandises en France contre 80% pour la route. Outre Veolia Transports (ex-Connex), déjà concurrent de Fret SNCF depuis près d'un an sur les lignes internationales, cinq nouveaux opérateurs pourront théoriquement faire rouler dans deux jours des trains sur les lignes domestiques. Le belge B Cargo, le britannique Euro Cargo Rail (EWSI), l'allemand Rail4Chem, le luxembourgeois CFL Cargo et le français Europorte 2 (Eurotunnel) ont déjà obtenu le "certificat de sécurité" nécessaire. Le dossier de Colas (Bouygues) est en cours d'instruction. "C'est un test redoutable pour la SNCF" a expliqué Marc Véron, directeur général fret de l'opérateur historique devant ses futurs concurrents. "Nous sommes remis en question mais c'est une formidable opportunité pour nous", a-t-il ajouté. Pour Veolia qui fera rouler ses premiers trains sur les lignes intérieures en juillet, "l'ouverture devrait comme en Allemagne se traduire par une revitalisation du secteur" selon le président de sa branche fret Antoine Hurel.
  13. Bon anniversaire controleursncf
  14. Pour moi la réponse est bien entendu "non" Mais pour les investisseurs publics ou privés, les choix et objectifs prioritaires étaient ailleurs. N'oublions pas qu'à la fin du 19ème siècle et début du 20ème, les compagnies de chemins de fer étaient privées et que l'état à l'épôque a fortement investit dans la construction du réseau. A la fin des années 1930, les compagnies privées étaient déficitaires ce qui a conduit à leur nationalisation par rachat de l'Etat et à la création de la SNCF... Dans le même temps, le développement des réseaux routiers, aériens s'est accéléré. On pourrait également regarder comment a évolué le transport maritime également. Nous sommes à un nouveau moment charnière de l'évolution historique des sociétés. Ce n'est pas pour rien que les économistes parlent aujourd'hui dans le cycle des crises du capitalisme de "crise informationnelle" ou de "mondialisation-globalisation". J'ai parlé d'investissements "publics". Si il y a désengagement de l'Etat d'un côté, il y a "européanisation" à coup de subvention de Bruxelles et "régionalisation". L'accent ces dernières années a été mis sur le ferroviaire voyageurs et on constate une évolution des crédits vers le transport ferroviaire de marchandises. Ceci dit les crédits d'Etat (via les grands organismes de financement)en matière d'investissement restent à un niveau important dans le domaine des transports (route, fer, aérien, portuaire, fluvial...) A noter également la volonté politique et patronale de développer les investissements mixtes publics-privés (TGV, Fret...)
  15. Une nouvelle journée d'actions interprofessionnelles est programmée pour le Mardi 4 Avril 2006 ------------------------------------------------------------------------------- Jeudi 30 mars 2006 62% des Français solidaires du mouvement de contestation du CPE (Ipsos) Les Français sont 62% à se déclarer solidaires du mouvement de contestation du CPE, 27% n'en étant pas solidaires et 10% y étant indifférents, selon un sondage Ipsos pour LCI diffusé jeudi. 66% des personnes interrogées désapprouvent la décision du Premier ministre Dominique de Villepin de maintenir le contrat première embauche, tandis que 29% l'approuvent. Elles sont 47% à souhaiter que le CPE soit purement et simplement retiré, 45% à vouloir qu'il soit maintenu mais avec des aménagements, et 6% à souhaiter qu'il soit maintenu dans son état actuel. Pour sortir du blocage actuel, 67% pensent que le gouvernement doit suspendre le CPE et entamer des négociations pour modifier le texte, 29% jugeant que les syndicats doivent accepter de négocier des aménagements sur la base du texte actuel. Seules ces deux options sont proposées aux sondés. Par ailleurs 71% des Français jugent que le Premier ministre n'est pas convaincant dans sa volonté de concertation avec les syndicats pour sortir de la crise, 24% pensant le contraire. Sondage Ipsos réalisé par téléphone le 29 mars auprès de 804 personnes de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas.
  16. Oui OK Mais quel est l'objectif de la déreglementation ? Sinon de préparer l'avenir. La pénurie de pétrole et de nombreuses matières premières est annoncée dans les 50 ans à venir. Après un siècle de développement routier, les capitaux pour sortir de la crise qu'ils connaissent depuis le début de années 70 (baisse du taux de profit) se repositionnent et vont réinvestir les secteurs publics jusqu'à présent moins rentables financièrement. On va donc assister à une arrivée de nouveaux opérateurs puis à une concentration, le tout certainement sur un niveau jamais atteint d'investissements publics.
  17. C'est la pluralité qui permet de se forger son opinion personnelle à partir du moment où chacun fait fonctionner son cerveau et jouer son esprit critique... lapleunicheuse
  18. D'un autre côté il y a des monopoles privés qui se construisent à coup de millions d'Euro sur le dos de la déreglementation des réseaux de transport (traité de maastricht 1992 déjà): c'est le cas pour les cablo-opérateurs (câble télé, réseau internet...) avec les rachats succéssifs par CIVEn un fond de pension britanniques de tous les câbles opérateurs : Noos, Numéricable, France Télécom câble (ex-filaile de France télécom) etc... Le tout sur le dos des "clients": Il vous suffira d'aller sur le forum de "miséricable" le forum des abonnés numéricable mécontents... et des salariés : réorganisations et suppressions d'emplois. Comme dans l'aviation, les télécommunications etc...
  19. SNCF, Veolia Transports (ex-Connex) Le belge B Cargo, le britannique Euro Cargo Rail (EWSI), l'allemand Rail4Chem, le luxembourgeois CFL Cargo, le français Europorte 2 (Eurotunnel) se concurrenceront à partir du 1er avril 2006 le fret ferroviaire. les cheminots seront-ils acteurs ou spectateurs ? ******************************************************* Fin du monopole sur le fret: la SNCF et ses concurrents sur les rails Agence France-Presse PARIS La SNCF et ses futurs concurrents, reçus mercredi par le ministre des Transports Dominique Perben, se préparent à l'ouverture totale vendredi du fret à la concurrence, qui signe la fin du monopole de la compagnie publique française. Le transport ferroviaire de marchandises sur les lignes domestiques sera ouvert à partir du 31 mars aux compagnies privées ou publiques, françaises ou étrangères concurrentes de la SNCF, conformément à une directive européenne. Les lignes entre la France et l'international le sont déjà depuis mars 2003. M. Perben a reçu mercredi la SNCF et cinq de ses futurs concurrents, en soulignant "l'importance de l'ouverture à la concurrence pour redynamiser le secteur" du fret ferroviaire qui ne transporte que 12% des marchandises en France contre 80% pour la route. Outre Veolia Transports (ex-Connex), déjà concurrent de Fret SNCF depuis près d'un an sur les lignes internationales, cinq nouveaux opérateurs pourront théoriquement faire rouler dans deux jours des trains sur les lignes domestiques. Le belge B Cargo, le britannique Euro Cargo Rail (EWSI), l'allemand Rail4Chem, le luxembourgeois CFL Cargo et le français Europorte 2 (Eurotunnel) ont déjà obtenu le "certificat de sécurité" nécessaire. Le dossier de Colas (Bouygues) est en cours d'instruction. "C'est un test redoutable pour la SNCF" a expliqué Marc Véron, directeur général fret de l'opérateur historique devant ses futurs concurrents. "Nous sommes remis en question mais c'est une formidable opportunité pour nous", a-t-il ajouté. Pour Veolia qui fera rouler ses premiers trains sur les lignes intérieures en juillet, "l'ouverture devrait comme en Allemagne se traduire par une revitalisation du secteur" selon le président de sa branche fret Antoine Hurel.
  20. Intérêt pour un patron : exonération d'une partie des charges sociales pas de justification ni de procédures trop lourdes pour procéder au licenciement "Virer un bon employé qu'il a formé " ...tout dépend de ce qu'on appelle "formation" . Si c'est pour faire du nettoyage ou si c'est pour faire de comptabilité ou de la prestation informatique...Tous les cas de figure sont possibles Pour le salarié : celui-ci peut également partir sans délai ni justificatif à donner ( voir quand même si au bout d'un an, il n'ya pas un préavis à donner (D'ailleurs pour le CNE certains employeurs ont effectivement soulevés le problème car ils ont été surpris de voir partir de " bons salariés"...Maintenant le CNE n'a que 9 mois d'existence...)
  21. C'est l'intégralité des articles de presse... déjà en général ça va à l'essentiel et sortir une phrase de son contexte rend souvent la compréhension difficile et l'utilisation approximative. T'es pas obligé de tout lire non plus tu as le droit de zapper ou de lire en diagonale... revoltages
  22. Presse L'humanité 28 mars 2006 ****************************** SNCF : la CGT reste largement majoritaire Élections . Malgré une baisse de près de quatre points, la fédération syndicale reste de loin, avec 43 % des suffrages, la première organisation cheminote. Les élections professionnelles à la SNCF, qui se sont déroulées jeudi dernier, n’ont abouti à aucun bouleversement majeur de l’échiquier syndical de l’entreprise ferroviaire. La CGT cheminots reste de loin la première organisation syndicale. Avec 43,24 % des suffrages aux élections des délégués du personnel et 40,14 % aux élections aux comités d’établissement, elle devance de 28,6 points la deuxième organisation syndicale, SUD rail. Elle détient 51,12 % des sièges et conserve la gestion de 24 des 26 comités d’établissement de l’entreprise publique. Néanmoins, la CGT connaît un recul par rapport au scrutin 2004 où elle avait été la principale bénéficiaire de l’effondrement de l’influence de la CFDT. Suite au soutien apporté par la centrale cédétiste à la réforme des retraites, la CGT avait alors recueilli 47,14 % des suffrages. Malgré cette baisse de près de quatre points, son influence électorale reste supérieure à 2002 (41,82 %). 79 % contre l’intéressement Pour expliquer son recul, la CGT fait valoir « la poursuite du renouvellement du corps social et les suppressions d’emplois ». Ainsi, selon les syndicats, le nombre d’inscrits (172 000) a régressé de près de 10 000. Les restructurations internes sont également mises en avant par le syndicat majoritaire chez les cheminots. Celles-ci ont entraîné « un regroupement d’établissements ». En 2004, la SNCF en comptait 301, ils sont aujourd’hui passés à 256. Ces regroupements ont permis, en particulier aux petites organisations syndicales, incapables de présenter des listes dans la totalité des établissements, de briguer plus de suffrages en 2006 qu’en 2004. L’instauration de l’intéressement à la SNCF, refusé par la CGT et une majorité d’organisations syndicales, ne semble pas avoir alimenté de manière déterminante le recul de la CGT. L’UNSA, qui avait demandé au syndicat cégétiste d’user de son droit d’opposition contre ce mode de rémunération, ne subit aucune baisse d’influence. Mieux, elle progresse de presque un point (de 13,57 à 14,48 %). Le fait que 79,25 % des cheminots aient voté pour les organisations syndicales hostiles à l’intéressement conforte également cette analyse. Pour l’essentiel, la CGT attribue sa baisse d’influence « au contexte socio-économique et politique ». Et l’organisation de clairement dénoncer « le déchaînement politico-médiatique orchestré par la direction de la SNCF lors du conflit social du 22 novembre 2005 ». Le gouvernement, avec l’appui de certaines organisations syndicales comme la CFDT, avait alors mené campagne contre une grève « inutile » selon François Chérèque et « sans fondement » selon la direction de la SNCF. Ce dernier argument mis en avant par la CGT pour expliquer son résultat est conforté par les résultats obtenus par les autres fédérations de cheminots impliquées dans la grève du 22 novembre dernier. SUD rail perd 0,55 point par rapport à 2006, la FGAAC recule de 0,46 point et FO subit un léger tassement de 0,14 point. La CFDT à 11,58 % Seules deux organisations cheminotes constatent une augmentation de leur influence. La CFTC gagne 1,88 point et la CFDT, 2,57 points. L’organisation cédétiste interprète cette progression comme une validation de son « approche réaliste et pertinente » et de son « écoute des cheminots ». Reste que la CFDT, avec 11,58 % des suffrages, est loin d’avoir recouvré son influence de 2002 (18,59 %). Pierre-Henri Lab
  23. Pour Mémoire. **************************** CPE : ce qu'en a dit le président Chirac Jacques Chirac qui, selon son entourage, s'exprimera "dans les prochains jours" sur le CPE a déjà évoqué à sept reprises ce dossier controversé : - 1 fév - Devant des parlementaires UMP à l'Elysée, au lendemain du début de l'examen du CPE : "La précarité, c'est la situation que vivent encore beaucoup trop de jeunes aujourd'hui. Le CPE c'est, au contraire, une vraie réponse pour ouvrir les portes d'un emploi aux jeunes". - 2 mars - A l'Elysée, devant un parterre d'entrepreneurs : Le CPE, "c'est un instrument capital pour ouvrir la porte des entreprises. C'est la réponse pragmatique à la situation actuelle où tant de jeunes sont contraints de passer de petits boulots en petits boulots sans avoir réellement la chance d'accéder à un vrai emploi en entreprise". - 14 mars - Berlin : "Il va de soi que je soutiens totalement et sans réserve l'action conduite par le Premier ministre et par le gouvernement français, notamment en ce qui concerne ce problème si délicat, auquel tous les gouvernements européens sont confrontés, qui est celui de l'intégration des jeunes, de l'emploi des jeunes. Et, dans ces domaines, il est vrai que le Contrat Première Embauche est un élément important de cette politique - 15 mars - Au Conseil des ministres, à la veille d'une journée de manifestations : "Vous avez, M. le Premier ministre, proposé de renforcer encore les garanties qui s'attachent au contrat première embauche. Vous avez eu raison de proposer d'ouvrir et d'élargir le dialogue avec les partenaires sociaux". "Ce dialogue, je souhaite qu'il s'ouvre et je fais confiance aux partenaires sociaux pour s'y engager, dans un esprit constructif de responsabilité, de dialogue et de respect". - 17 mars - A l'Elysée, avant la deuxième journée de manifestations : "Le gouvernement, vous le savez, est prêt au dialogue et pour ma part je souhaite qu'il s'ouvre au plus vite". - 20 mars - Après que les syndicats ont demandé le retrait : "L'enjeu des jours qui viennent, c'est d'ouvrir un dialogue constructif et confiant qui peut permettre d'améliorer le contrat première embauche". "Je fais confiance à l'esprit de responsabilité des partenaires sociaux et des représentants des jeunes pour s'engager sur cette voie". "Des interrogations et des inquiétudes s'expriment et c'est tout à fait légitime (...), mais elles ne doivent pas conduire à ne rien faire face au chômage des jeunes". - 24 mars - A Bruxelles, au moment où Villepin va recevoir les syndicats : "On n'a pas à donner d'ultimatum. Quand une loi a été votée, elle doit être appliquée, ce qui n'empêche pas le gouvernement d'en discuter les modalités".
  24. le sarkozysme ... Pourquoi Sarkozy est-il un homme dangereux : http://www.cheminots.net/forum/index.php?showtopic=3366&hl=
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