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Le Web des Cheminots

Thierry80

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Messages publiés par Thierry80

  1. En Gde Bretagne ou Irlande,

    si tu dois recevoir un agent de maintenance (plombier, electricien...) tu n'as pas droit de fumer chez toi 1/2 journée avant sa visite............... Afin que l'air de ton appart ou maison soit "sain"

    Manquerai plus que ça! chez moi c'est chez moi et comme à chacun, c'est notre vie privée.

    Que je fume ou pas chez moi, on a pas à m'interdire quoi que ce soit c'est une atteinte à la vie privée là.

    Mais j'ose bien imaginé que beaucoup d'anglais ne respecte pas cette loi.

  2. Lors d'un aller direction Guadeloupe en 747,

    le commandant de bord avait fait des annonces concernant l'interdiction de fumer dans l'avion et surtout dans les toilettes, des capteurs de fumée etaient presents dans ces lieux....Et que des gommes et autres substitus nicotiniques etaient disponibles gratuitement...

    2h apres le decollage, un gars se fait choper en train de fumer....Bon ca peut arriver...

    Mais ensuite le discours du commandant de bord te convainc du bien fondé de l'interdiction : en cas d'incendie nous avons X minutes pour rejoindre la 1ere piste d'atterrissage possible.... Hors, la, nous etions en plein milieu de l'ocean atlantique...... helpsoso

    A cause d'une personne 500 autres peuvent perir, et ca a cause d'une malheureuse cigarette....

    Cela reste un scenario catastrophe, mais comme pour ce tgv, on peut s'apercevoir que, une fois sur 1000 ou 10000 ca peut arriver.....

    Le badaut a donc ete attendu par la police a l'arrivée a pointre a pitre, et la compagnie a porté plainte contre lui....

    Comparé l'avion est le train, il y a un sacrée fossé !

    Le train tu peux l'immobilisé en pleine campagne et sans danger, un avion c'est largement plus délicat à géré.

    Concernant l'egalité.....

    ca me semble un peu leger, c'est a dire que le non fumeur qui passe dans les chiottes ensuite doit subir l'atmosphere viciée ???

    J'ai passé 23 ans avec mes vieux qui fumaient 3 paquets par jour a eux 2, voiture, chiotte, ma chambre, salle de bain.... Sans reelle aeration, et, je peux te dire que ce n'est pas pour faire chier mon monde, mais je souffre personnellement d'une atmosphere clope... Pour moi cette loi va dans le bon sens...

    Mais en aucun cas je suis anti-fumeur.... mais chacun doit respecter l'autre...

    Moi aussi je vais parler cru! Sans compter les crétins de non fumeurs qui traverse les voitures fumeurs et qui se font remarqué, alors que les voitures avait le logo "fumeur" affiché.

    A cause des crétins comme ça qu'on réduit la liberté des uns.

    Je dit aussi simplement que cette loi est plutôt mauvaise n'est pas dans le bon sens, car pour moi, c'est les non-fumeurs qui ne respecte pas les libertés de chacun.

  3. Source : Ouest France

    Date : 24/10/2008

    Il n'y aura plus de TGV direct entre Saumur et Paris à partir du 1er janvier prochain. Un TER reliera Bressuire, dans les Deux-Sèvres, à Saumur, puis Saint-Pierre-des-Corps où les passagers pourront prendre un TGV. Le coût de la ligne était devenu trop élevé pour les collectivités locales. Mais finalement, le trajet devrait être plus court.

  4. Source : Le Progrès

    Date : 26/10/2008

    Les vacances de la Toussaint ne sont pas comparables aux grands départs d’hiver ou estivaux, mais l’activité de la gare est plus soutenue ce week-end. Un dispositif spécifique est en place pour les voyageurs.

    Pour les équipes de la gare de la Part-Dieu, l’hyper-pointe de fréquentation annuelle est enregistrée lors des vacances de février, avec les départs et les retours des stations de ski qui provoquent de retentissants chassés-croisés.

    Au cours de chaque journée composant ces week-ends, on dénombre jusqu’à 150 000 voyageurs transitant par la gare, son affluence habituelle étant de 100 000 personnes. Ces pics peuvent être aussi atteints pour les départs estivaux, mais la gestion est moins compliquée en raison des flux de trafic, et des bagages moins encombrants.

    Les vacances de la Toussaint n’atteignent pas ces niveaux records, mais elles entraînent néanmoins une plus forte affluence justifiant la mise en place de mesures particulières.

    Responsable Escale à la gare de la Part-Dieu, c’est-à-dire de tout l’aspect service en gare, Xavier Depecker, nous précisait hier que vendredi comme samedi, ce sont 120 000 personnes qui ont été accueillies : « Nous modifions la tâche des agents d’accueil qui vérifient essentiellement toute la problématique des TGV en temps normal. Nous les plaçons sur certains quais, pour mieux pouvoir orienter les clients afin qu’ils puissent se placer le plus tôt possible au niveau de leur voiture. Ce sont souvent des personnes moins habituées à prendre le train qu’en semaine. Ces agents veillent aussi à la sécurité des escaliers mécaniques. Ils peuvent être surchargés. Il faut donc gérer là aussi les flux des voyageurs, et éventuellement être prêt à arrêter le fonctionnement si la situation devient dangereuse. »

    Certains postes clefs de l’Escale ont été doublés avec un chef au PC opérationnel, et un autre sur les quais, en relation permanente. Signe de départs en vacances également : la présence de « gilets rouges » d’Effia, la filiale de la SNCF, qui renforcent l’information des voyageurs.

    Activité marquée aussi pour le service affecté à la prise en charge de groupes, notamment d’enfants, bien que ceux-ci aient leurs propres structures d’encadrement. « Cela pose un problème d’installation, de rangement de bagages. Nous avons, par exemple ce matin à 6h13, 21 groupes qui prenaient le TGV pour Marne-la-Vallée. Cela nécessite un dispositif particulier », explique un chef d’escale, satisfait par ailleurs bon déroulement de la journée.

  5. Source : La Voix du Nord

    Date : 26/10/2008

    Et si SeaFrance revenait à Boulogne ? Ce serait une erreur stratégique de continuer à bouder Boulogne. LD Lines l'a bien compris qui va démarrer une liaison en juillet prochain.

    Les relations entre Eudes Riblier, ancien patron de SeaFrance et Daniel Percheron, président de la Région, n'étaient pas au beau fixe. Interrogé mercredi sur le départ d'Eudes Riblier et un éventuel retour de SeaFrance à Boulogne, Daniel Percheron n'a pas mâché ses mots : « J'étais en désaccord intellectuel total avec lui puisqu'il m'avait reproché une fois de mettre Calais en danger avec la nouvelle passerelle à Boulogne ! Or, lorsqu'on est patron de SeaFrance, qu'on a pris acte que le trafic à Dunkerque est passé de zéro en 1999 à 12 millions de tonnes en 2006, on ne peut pas pointer du doigt Boulogne qui a connu 4,6 millions de passagers en 1991 et qui a vu son trafic s'effondrer avec le tunnel. Il y a là intellectuellement une démarche inacceptable ! M. Riblier est parti et je m'en réjouis. Car son raisonnement était faux, de cette fausseté qui fait des petits drames... » En désertant brutalement le port de Boulogne pour concentrer leur trafic sur Calais - Douvres, les compagnies maritimes traditionnelles P &O et SeaFrance ont-elles commis une erreur stratégique ? Car Boulogne, quoiqu'en disent les Calaisiens, est par nature un port transmanche : l'arrivée de LD Lines prochainement le prouve, sans oublier que ce retrait massif a permis à une petite compagnie low-cost, SpeedFerries, de se faire une place au soleil. L'incendie du tunnel sous la Manche récemment (« Il y avait une chance sur un million nous avait dit la SNCF pour un second incendie , a précisé Daniel Percheron. C'est pourtant ce qui s'est passé ») montre également que le transmanche est loin d'être saturé. Et qu'au contraire, il faut le développer pour éviter à la Grande-Bretagne une nouvelle paralysie.

    SeaFrance, le retour ?

    Toujours dans la même veine, Daniel Percheron esquisse un autre scénario : « La SNCF gagne aujourd'hui de l'argent, tant mieux ! La SNCF distribue des dividendes à l'État, parfait ! La SNCF achète un nouveau bateau pour Boulogne. Ce nouveau bateau sera ainsi au rendez-vous des investissements que la Région consent pour Boulogne. Si nous mettons 600 millions d'euros dans nos ports, je ne vois pas pourquoi la SNCF ne mettrait pas 30 à 40 millions d'euros dans un nouveau bateau pour SeaFrance à Boulogne ! » En jetant ainsi un pavé dans la mare, Daniel Percheron ne veut pas fragiliser SeaFrance, ce que craignent ses salariés, mais au contraire la pérenniser. Le retrait d'Eudes Riblier ouvre en tout cas de nouvelles perspectives pour le transmanche à Boulogne.

  6. Ce n'est que l'application de la loi sur le tabagisme. Tout comme le tarif l'amende

    Tu parle !

    Les loi les plus conne qui ne respecte pas même pas la devise de la France, qui est "Liberté, Egalité, Fraternité", donc comment parlé de fraternité, alors qu'il n'y a plus d'égalité entre les voyageurs et que le gouvernement ne respecte même plus la liberté de chacun.

    Donc, rien à foutre des amendes, mais par souci d'égalité, que cela plaisent ou pas, je fume dans les trains.

  7. Bonjour,

    Allez!Pas de quartier avec les irresponsables qui emm... tout le monde! :)

    Installons des cameras dans les toilettes!

    Franchement !

    La SNCF aurait du laisser un ou 2 wagons fumeurs, ça éviterai bien des tracas comme ça.

    Franchement, lorsque tu doit te taper 2 voir 5 heures dans des boites à sardine, je comprend aisement qu'on outrepasse les interdictions et les toilettes c'est la bonne planque.

    Perso, je le fait sans honte, mais je passe mon mégot sous l'eau avant de le jeter dans la cuvette.

    Puis pour tes caméras, t'inquiète point, avec moi, elle seront pas efficace surtout si je met un morceau de gaffeur au niveau de l'objectif, elle fimera au mieux que du noir mdrmdr

    Et le pire, c'est pas le premier cas et ce n'est pas le dernier non plus.

  8. je me demande ce que je vais conduire bientot à ce rythme!!

    exit les 72156 72182 réformées

    la 166 et 139 incendiées

    la 147 hs a un pn.....

    les indispositions chroniques des autres (72145 sur bogies de wagons c'est tres classe,72177 qui collectionne les DDS....)

    paris bale? les vélos rails entre en gare!!!

    ça au moins c'est de l'entretien!! arrêtez Mr Pépy,c'est trop!

    tu finira peut être avec une draisine :)

  9. Source : La Dépeche

    Date : 25/10/2008

    Le Conseil Général du Lot participera à hauteur de 11,5 millions d'euros aux travaux de la ligne à grande vitesse Bordeaux-Toulouse.

    On dit bien garder le meilleur pour la fin. Le président Gérard Miquel a voulu conclure la séance d'hier du conseil général par le rapport sur le développement ferroviaire et le projet de ligne à grande vitesse Sud-Europe-Atlantique. Un dossier majeur pour le désenclavement du département mais qui arrive à un moment particulier, alors, que des « résistants » se démènent à Gourdon et Souillac pour le rétablissement des arrêts en gare. « Ne liez pas les deux choses » avait prévenu le président du conseil général.

    Le Lot embarque sur la LGV. Danielle Deviers, vice-présidente en charge de l'économie a décrit l'enjeu qui se chiffre en millions d'euros : « Une participation aux travaux de construction de la liaison à grande vitesse entre Bordeaux et Toulouse intégrant l'aménagement de la future gare LGV sur la ligne Cahors-Toulouse dans le secteur de Bressols près de Montauban ». Le projet permettra de relier Toulouse à Paris en un peu plus de 3 heures contre 5 heures actuellement. Le tronçon Poitiers-Limoges dont dépendra le désenclavement du Nord du Lot, mettra le Limousin à 120 minutes de la capitale.

    Les conseillers généraux ont donné leur feu vert à une participation du Lot à ce chantier de 11,5 millions d'euros. Seuls, Yves Périé, Etienne Bonnefond et André Bargues se sont abstenus.

    Certains élus signent sans réserve pour monter dans le TGV. « Le TGV nous permettra de préserver nos voies » dit Christian Delrieu. « Dans le Nord, lance Jean-Claude Requier, on est très favorable au TGV Bernadette (le tronçon Limoges-Poitiers-Paris). Marc Baldy l'affirme : « On ne doit pas louper le train à grande vitesse ! »

    D'autres conseillers généraux sont plus nuancés. Dominique Orliac sans être hostile au progrés note une incohérence : « Pourquoi gêner aujourd'hui les populations en supprimant des arrêts en gare pour aller soi-disant plus vite alors que s'ébauche une LGV entre Bordeaux et Toulouse ? ». A fond pour le rail, Serge Despeyroux craint « une vision un peu trop cadurcienne ».

    Certains sont franchement réservés, Etienne Bonnefond est revenu sur les arrêts supprimés, l'absence de véritable débat avec la SNCF s'indignant de l'envoi des gendarmes pour interdire l'accès au quai de la gare lors de la dernière manifestation Gourdonnaise. Tous plaident pour le retour des arrêts du vendredi avec cependant des variantes. Gérard Miquel, solidaire avec l'action des associations se refuse à médiatiser le dossier « en l'absence de réponse ferme des autorités ». La députée Dominique Orliac assurait après avoir rencontré le préfet de Région que ce dernier « était prêt à recevoir un argumentaire sur les arrêts en gare afin de renégocier avec la SNCF ».

  10. Source : Sud-Ouest

    Date : 25/10/2008

    BAYONNE. Des collégiennes, âgées de 12 ans, s’amusaient à frôler la mort à un passage à niveau en se couchant sur la voie ferrée juste avant l’arrivée du TGV.

    Six collégiennes d’une classe de cinquième se sont adonnées à un jeu qui entre, sans nul doute, dans la catégorie des jeux dangereux. Chacune à leur tour, les adolescentes s’allongeaient sur la voie ferrée à l’approche du train, se prenant en photo pour immortaliser leur « acte de bravoure». Le conducteur du TGV (qui, à l’endroit où les faits se sont produits, roule à une vitesse modérée) a signalé avoir vu, le 16 octobre, vers 8 heures, une jeune fille se coucher sur la voie, à hauteur d’un passage à niveau dont les barrières étaient baissées puisque le train arrivait. L’avertissement par sifflet a fini par faire relever l’adolescente, qui s’est écartée des rails.

    Les photos circulaient. La plainte déposée quelques jours plus tard par la SNCF a été confiée à la brigade de sûreté urbaine du commissariat de Bayonne. Les policiers ont découvert que des photos circulaient sur des téléphones portables d’adolescents. Elles montraient une scène, chaque fois identique, d’une jeune fille allongée sur une voie ferrée.

    Six adolescentes ont ainsi posé, chacune à leur tour. Ces clichés ont permis d’identifier le groupe de collégiennes, scolarisées dans la même classe de cinquième du collège Marracq. Elles ont été entendues par la brigade des mineurs en compagnie de leurs parents. Il semble qu’il n’y ait pas eu de comportement suicidaire de la part des adolescentes, qui ont en substance expliqué qu’elles « jouaient à se faire peur ». Les faits se sont déroulés à un passage à niveau proche du collège et ne se seraient produits qu’une seule fois. Afin d’éviter leur réitération, l’établissement et la SNCF ont prévu d’organiser une réunion avec les parents. L’interrogation en matière de jeux dangereux réside dans les questions de prévention : comment diffuser l’information sur ces pratiques sans déclencher l’incitation ? La pratique du jeu du foulard (qui consiste à atteindre, par strangulation, un état second) dans les cours de récréation et aux abords des établissements scolaires est longtemps restée taboue, malgré son issue parfois fatale. L’Éducation nationale a attiré l’attention des responsables éducatifs sur ces pratiques, demandant que ces conduites à risques fassent l’objet de prévention, sans surexposition, sans moralisation. Le but est d’appréhender les motivations des adolescents tout en ouvrant les yeux des parents.

  11. Encore une machine qui fini sa carrière avant l'heure !

    Je ne pense pas que la SNCF répare la 72000 après un feu, cette machine va donc finir sous les chalumeau d'un ferrailleur "agréé SNCF"

    Mais bon! si elle fini chez un ferrailleur, les pompiers aurai pu laisser le feu avancé le travail des ferrailleurs, mais les pompiers n'avait pas prévu les grillades avec ce méga barbecue offert par la SNCF.

    Pour une fois qu'ils avait un vrai feu de train, c'était une belle ocassion de faire un exercice ORSEC.

    Bref! l'essentiel c'est que le personnel SNCF et les voyageurs sont sain et sauf, le reste ce n'est que de la ferraille ce qui est moins important qu'une vie.

  12. Source : L'Union

    Date : 23/10/2008

    Mardi vers 20 heures, un train express régional assurant une liaison Dijon-Reims a dû stopper en rase campagne, entre Sept-Saulx et Val-de-Vesle, à cause d'un incendie sous les roues de la motrice diesel (l'union d'hier [voir en dessous de la photo]).

    La voie a été dégagée au cours de la nuit, à 0 h 45, mais selon la SNCF, l'incident n'a eu aucune répercussion sur le trafic (il n'y avait plus de train prévu sur la ligne à ces heures-là).

    Les 38 passagers ont été acheminés en car jusqu'à la gare de Reims.

    Quelques-uns d'entre eux, qui ont loupé une correspondance vers Charleville-Mézières ou Mourmelon-le-Grand, ont fait le reste du voyage dans un taxi affrété par la SNCF. Le Ter (composé de la motrice et de quatre voitures) a été tracté jusqu'à Reims par une autre locomotive.

    L'origine de l'incendie, qui a pris au niveau des roues arrière avant de se communiquer au moteur, reste indéterminée. Une enquête technique est en cours.

    Source : L'Union

    Date : 22/10/2008

    La loco prend feu : 38 passagers débarqués en rase campagne

    Parti de Dijon à 15 h 53, le train express régional attendu hier soir en gare de Reims à 19 h 51 n'est jamais arrivé à destination.

    Alors qu'il filait dans la campagne entre Sept-Saulx et Val-de-Vesle, de la fumée est apparue sous la locomotive : un incendie d'origine indéterminée venait de se déclarer au niveau des roues de la motrice.Le conducteur a aussitôt engagé l'arrêt du train pendant que les contrôleurs procédaient au déplacement des 38 passagers en queue de convoi, dans la quatrième et dernière voiture.

    A l'arrivée des secours, « les flammes s'élevaient à mi-hauteur de la locomotive », indique un pompier. Deux lances - dont une à mousse - ont été mises en batterie pour éteindre le sinistre. Aucun blessé n'a été déploré parmi les voyageurs. Légèrement incommodé par la fumée, le conducteur du train a été transporté au CHU de Reims par les sapeurs-pompiers de Verzenay.

    Informée des faits, la gendarmerie a demandé à la mairie de Val-de-Vesle d'ouvrir la salle des fêtes pour accueillir si besoin était les naufragés du rail. Le personnel municipal a fait le nécessaire mais la salle n'a finalement pas servi. La SNCF a affrété un autocar pour venir récupérer les voyageurs, restés au chaud à bord du train en attendant son arrivée.

    Le top départ fut donné vers 21 h 30. Bagages en main, les voyageurs ont parcouru à pied les quelque 300 mètres qui les séparaient du passage à niveau de Val-de-Vesle où stationnait l'autocar. « Il ne pouvait pas approcher plus près. Le chemin longeant la voie ferrée est impraticable », explique le capitaine Jean-Christophe Philippe, commandant de la compagnie de gendarmerie de Reims. « Les personnes qui avaient des difficultés à marcher ont été transportées dans un véhicule des pompiers. »

    L'incident a provoqué l'arrêt complet de la circulation ferroviaire sur l'axe Châlons/Reims, dans les deux sens.

    A l'heure où nous écrivions ces lignes (23 heures), il n'avait toujours pas été possible de joindre un responsable de la SNCF. On ignorait donc les répercussions sur le trafic. La locomotive se trouvait toujours sur les rails. Seul le panache de fumée commençait à s'estomper dans la nuit.

  13. Source : Ouest France

    Date : 23/10/2008

    Un Train express régional, reliant Rennes à Lorient, a percuté ce jeudi une camionnette sur un passage à niveau protégé à Questembert. Légèrement blessé, le conducteur du véhicule est un véritable miraculé.

    Un véritable miraculé. Aussi incroyable que cela paraisse, le conducteur de la camionnette percuté ce jeudi après-midi par un TER ne souffre, selon les médecins de l'hôpital de Vannes, où il a été pris en charge, que de quelques contusions et d'une fracture à l'omoplate.

    Le train expresse régional, qui circulait entre Lorient et Rennes, qui transportait 51 passagers, est entré en collision avec la camionnette vers 14h30.

    Barrières baissées

    Selon le parquet de Vannes, des témoins "ont vu les barrières de sécurité se baisser de part et d'autre du passage à niveau mais le fourgon s'est tout de même engagé".

    Le trafic ferroviaire a été légèrement perturbé, un seul TER à destination de Redon ayant été supprimé et ses passagers reportés sur un TGV. La SNCF a indiqué un retour à la normale de la circulation sur la ligne depuis 16h15.

  14. Source : NeoRestauration

    Date : 23/10/2008

    Alors que le personnel des Wagons-lits était en grève, la SNCF annonçait qu’elle attribuait le contrat de restauration à bord des TGV à l’entreprise italienne Cremonini pour la période 2009-2012. Une concession qui prendra effet le 1er mars 2009.

    Il s’agit du service de restauration à bord des TGV, excepté le TGV Est. Quant au contrat d’approvisionnement des trains, il n’a pas encore été attribué. Du côté de Cremonini, Jean-Philippe Molinari, administrateur délégué et responsable du marché français se réjouit de cette victoire. « Elle constitue une nouvelle étape dans le développement du groupe en France qui y réalise un CA de 40 M€ avec 650 personnes", confie-t-il à Néorestauration. Le CA prévisionnel sur la période approche les 280 M€.

    Le personnel de Wagons-Lits, filiale d’Accor avait déjà débrayé le 16 octobre, craignant de perdre ce contrat. L’intersyndicale qui avait d’ailleurs annoncé l’attribution probable du contrat au groupe italien jugeait « l’offre de Cremonini, certes moins chère, mais pas crédible économiquement et basée sur une gestion sociale dégradée ». Côté Wagons-Lits, la direction s’est dite « très déçue. Seuls les critères financiers prévalent au détriment de la qualité du service rendu ». Ce à quoi Jean-Philippe Molinari répond que Cremonini est une entreprise sérieuse très attachée aux résultats et qui n’a pas l’habitude de casser le marché. Elle qui est déjà présente sur Thalys et Eurostar.

  15. Qu' en penses tu?

    As tu des infos sur le l endroit ou ils

    projettent de mettre la gare TGV d amiens?

    A plus.

    Ben figure toi qu'actuellement la Gare du Nord d'Amiens est en pleine mutation, la voie 1 (sens Paris/Boulogne) va être fermé au public (autant par la gare que l'accès par la rue Riolan) à compter du 6/11 pour refection totale. Je présume que les voie 2/3 et 4/5 vont subir une refection totale par la suite.

    De plus, un parking de 800 places ouvrira prochainement rue Paul Tellier.

    Une gare TGV, je ne voit pas ou il peuvent la mettre actuellement, car à l'Est d'Amiens (Longueau/Amiens), outre la gare de triage et les marais, l'emplacement me parait improbable.

    Je pense que la ligne GV arrivera au niveau de Boves, la ligne peut très bien être en parallèle de la ligne actuelle Paris // Boulogne, là ou de nombreuses voies ont était démonté, ensuite, je ne sais pas trop surtout au niveau de la bifurcation Amiens/Paris - Amiens/Lille/St Quentin/Laon (au niveau du Pont du Bois de Boulogne) ou je pense que le TGV emprunterai la ligne classique pour arrivée en gare d'Amiens.

    De l'autre côté, ligne classique jusqu'au environ d'Ailly Sur Somme, là ou le TGV pourrait reprendre la ligne nouvelle.

    Voilà ce que j'imagine, mais hélàs, je ne suis pas un ingénieur de la SNCF

  16. Cela me fait pensé à une de mes aventures récentes !

    Comme d'habitude, prendre un titre de transport le matin entre 7h00 et 9h00 dans ma gare se révèle d'un parcours de combattant et une sacrée dose de patience.

    Un week-end chargé professionnellement, je n'ai pu acheter mon abo de travail pendant le week-end donc, j'arrive en gare à 7h45 (mon train est à 8h30).

    Comme de nombreuses personnes devant et derrière moi, chacun attend son tour en papotant, en téléphone, en écoutant ses mp3 etc etc. 8h00...8h10...8h20, 8h23 zut! encore 5 personnes devant moi.

    Du brin, j'abandonne et je cours vite fait jusqu'à la voie 8.

    Evidemment, le reflexe d'aller voir le chef de bord, je lui explique ma situation et lui fesant montrer mes titres de voyages antérieur en guise de bonne foi et que je ne suis aucunement fraudeur, je lui propose d'acheter un titre de transport.

    Je pense qu'à mon avis, il pense que je suis de bonne foi et que mon travail est plus que sacré pour moi, il m'invite à aller m'installer et qu'il me ferait mon titre au moment du passage.

    Le train quitte la gare, 30mn plus tard j'arrive à destination, pas de contrôle, je me dit que c'est cool, je descend de la rame et en apercevant le controleur, je lui fait un signe amicale en guise de remerciement (car ça ne coute pas cher de dire merci de nos temps), bien entendu, le controleur m'a renvoyer un signe.

    Mais en générale, je n'ai jamais eu d'accroche avec les controleurs (les hommes comme les femmes) car au moment des différents controles, il m'arrive de plaisanté et de discuter avec eux.

    Mais tout doit dépendre des lignes que font les controleurs, certaines lignes doivent être plus calme que d'autres et que sur les lignes calmes, cela doit être un plaisirs de faire son travail.

    PS : Michael02, désolé, une erreur de frappe, j'ai ripper sur la touche "entrée"

  17. Source : Le parisien

    Date : 21/10/2008

    Une jeune femme de 23 ans a tenté de mettre fin à ses jours hier après-midi, à la gare centrale d’Argenteuil. C’est son conjoint qui a prévenu les pompiers, alors que la jeune femme se trouvait sur un quai de la gare. Elle s’était entaillée elle-même avec un couteau et des tessons de bouteilles. Légèrement blessée, notamment à la gorge, Charlène menaçait aussi de se suicider en sautant sous le train.

    Pour éviter le drame, la SNCF a interrompu le trafic ferroviaire. Les policiers qui sont intervenus ont finalement utilisé leur Taser pour maîtriser la désespérée et l’empêcher de se blesser davantage. Elle a été conduite à l’hôpital Lariboisière, à Paris.

  18. Source : Lyon Capitale

    Date : 21/10/2008

    Lundi 20 octobre, s'est déroulé devant le conseil de prud'hommes de Lyon, le procès de Koffi (prénom d'emprunt) contre la Compagnie des Wagons-Lits. Cet employé de 43 ans d'origine togolaise accuse son employeur de discrimination raciale pour l'avoir maintenu au rang d'employé alors que des collègues d'origine européenne, arrivés en même temps que lui et à un niveau comparable, sont désormais cadres. Depuis son embauche en 1990, Koffi a passé plusieurs diplômes d'études comptables mais rien n'y a fait (lire notre précédent article sur le sujet).

    L'association SOS Racisme, “intervenant volontaire” (c'est-à-dire, partie civile dans le langage des prud'hommes) estime par la voix de son directeur Loïc Rigaud que “l'analyse de l'organigramme de la Compagnie, a pu amener des éléments qui mettent en avant la ségrégation qui existe au sein de l'entreprise : 80% de l'effectif manutentionnaire est d'origine étrangère, alors qu'il n'est que de 11% au sein des vendeurs a qualification nulle ou égale. (...) Une seule personne manutentionnaire, d'origine étrangère, est devenu responsable”.

    A la barre, l'avocate de la Compagnie des Wagons-Lits a précisé que la suppression du service comptabilité expliquait la situation actuelle de Koffi. Ce dernier demande 155 000 euros de dommages et intérêts ainsi que sa promotion au rang de cadre. Verdict le 26 janvier.

  19. Source ; L'Union

    Date : 21/10/2008

    Les pépins s'accumulent sur la ligne à grande vitesse. Après un problème d'aiguillage qui a provoqué mercredi soir des retards de 45 minutes pour cinq TGV à destination de la gare de Bezannes, c'est le TGV de 20 h 57 parti hier de Paris pour Reims-Centre qui n'est pas allé au-delà de Noisy-le-Sec (Seine-Saint-Denis).

    Vers 23 h 15, après deux heures d'attente, les passagers ont été invités à descendre sur le quai dans l'attente d'un autre TGV promis par la SNCF.

    D'après les explications données, une « panne moteur » serait à l'origine du problème.

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