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Class66220

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Messages publiés par Class66220

  1. Malheureusement le peuple n'est pas instruit. Et ne veut pas s'instruire. Il préfère choisir la facilité de se plaindre et croit changer réellement en votant pour son frère ennemi. De toute façon la prochaine élection ce sera FN ou Front de Gauche mais bien sur les médias vendus à la cause de l'UMPS feront leur propagande habituelle.

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  2. Et comme l'a dit Melenchon, la France est un grand pays. Souvenez vous en 2001 la voix de Dominique de Villepin porte-voix de Chirac à l'époque avait été en tête de file contre la guerre en Irak. La France estr la deuxième puissance économique européenne. Si elle dit non, c'est qu'il y a un problème. D'ailleurs comme le dit Etienne Chouard, ceux qui ont passé le traité anticonstitutionnel au Parlement (socialistes compris car ils se sont honteusement abstenu et ont donc été complices de cet affront) auront des coptes à rendre car la parole du peuple n'a pas été respectée. C'est un crime contre la nation, contre la démocratie et donc contre la souveraineté du peuple et le suffrage universel. Ce sont des traitres

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  3. Le cul sur une chaise ?... :Smiley_40: Hé garçon : J'ai 32 ans de boîte cette automne, autant de cartes et de cotisations syndicales, des grèves j'en ai fait à la pelle, me suis battu pour garder mes acquis, mon statut et mon boulot et me suis même pris un blâme avec inscription pour cela ! :Smiley_04:

    La grève ne leur fera pas peur tant que ce n'est pas tout le peuple qui se soulèvera ou tant que le pays ne sera pas paralysé comme en 1995. C'est le dernier souvenir que j'ai de cette France qui se rassemble massivement pour une cause commune. Malheureusement dans une société de plus en plus individualisée, je crains que ce genre de mobilisation n'arrive pas à moins que les gens en aient tellement marre qu'ils sortent tous protester contre cette crise dont nous ne sommes pas à l'origine.

  4. «Ce qui est sûr, c'est qu'on ne fera pas de cadeau à l'État, confie un membre de comité exécutif d'un des principaux groupes français, qui a calculé que, s'il coûte 3,5 millions d'euros par an à son employeur, il ne lui reste plus, après le paiement des charges patronales et sociales, puis le règlement de ses impôts, que 750 000 euros. Si la loi passe, on sera payé un million d'euros, et pas plus.»

    Le pauvre il va me faire pleurer. La barre des 1 millions est symbolique. Mais après tout si tu les veux pas tes 750000€ file les moi. Je saurais déjà quoi en faire d'une partie. Et encore c'est encore beaucoup trop car il y a encore une grande partie dont je ne saurais faire. Ah si les donner aux restos du coeur et autres associations qui luttent contre la misère et pour l'environnement. Mais comme Hollande a eu sa campagne électorale financée par la finance, il va leur faire un petit cadeau en réduisant cette tranche à 50 voire 25%. Ce n'est qu'une idée mais on le connait le gaillard. Ca a beau être le président élu, ça n'enlève pas le droit au débat ou à d'autres idées pas comme ce qu'est en train de faire le PS qui est verrouillié par Aubry et Ayrault.

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  5. Taxe à 75 % : des sociétés délocalisent déjà leurs cadres ...

    Ils installent à l'étranger quelques fonctions clé et préparent des baisses de rémunération pour ceux qui restent en France.

    La taxe aura un effet négatif sur les recettes fiscales ...

    A lire ici :

    http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2012/07/22/20002-20120722ARTFIG00164-taxe-a-75-des-societes-delocalisent-deja-leurs-cadres.php

    Au moins avec Melenchon ils auraient pu aller partout, ils auraient quand même été ponctionné. Bandes de vendus. C'est toujours aux mêmes qu'on fait des cadeaux et qui fuient quand on leur demander de participer exceptionnellement à l'effort national. Et c'est toujours les mêmes qui doivent payer pour ces gens là. :Smiley_21:

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  6. Pendant de décennies, la politique a amené petit a petit des avancées sociales qui ont fait la grandeur de la France. Qui ont fait que la France était un pays où il faisait bon vivre. Pendant 30 ans la France a connu une prospérité que n'ai pas eu la chance de connaitre. On avait une industrie performante. On était pas devenu la 5ème puissance économique mondiale pour rien. Je pense que toutes ces crises ont été provoqué pour torpiller l'Europe par une oligarchie qui ne cherchait qu'à toujours s'enrichir plus. Les 30 années qui ont suivi 1973 nous ont amené à la situation où nous sommes aujourd'hui. Le peuple a de moins en moins de pouvoir et les puissants en ont de plus en plus.

    Je ne demande que des quelques principes :

    Qu'on nous rétablisse nos droits régaliens telles que la création monétaire car la dette est le casse du siècle, la plus grosse arnaque que le monde n'ait jamais connu.

    Qu'on nous redonne nos services publics car c'est cela aussi la France. Des services publics performants mais je pense que ces deux mesures vont de paires.

    Que nos députés représentent vraiment le peuple. Qu'ils soient les premiers à être exemplaire puisqu'ils sont l'élite française.

  7. EDF mouillié dans une affaire qui pourrait faire bien des dégâts en Allemagne

    http://www.lemonde.f...36754_3232.html

    Les déboires allemands avec EDF

    Déjà peu populaire en Allemagne en raison de son tropisme nucléaire, EDF est désormais éclaboussé par un scandale politique dont Angela Merkel pourrait ne pas sortir indemne. L'affaire date de 2010. L'électricien, entré en 1999 dans le capital d'EnBW (Energie du Bade-Wurtemberg), troisième producteur d'électricité allemand, n'est pas satisfait. Avec 45 % du capital, le groupe français n'a aucun pouvoir sur sa filiale. Par ailleurs, si Mme Merkel a prolongé, en septembre 2010, la vie des centrales nucléaires, notamment celles détenues par EnBW, elle a alourdi les taxes pesant sur les producteurs, au détriment de leur rentabilité.

    Fin 2010, Henri Proglio, PDG d'EDF, fait donc savoir à Stefan Mappus, ministre-président (CDU) du Bade-Wurtemberg, qu'il souhaite soit prendre le contrôle de l'entreprise, soit vendre ses parts. Etoile montante de la CDU, M. Mappus n'entend pas confier les clés d'EnBW à EDF. Le riche Bade-Wurtemberg n'a pas besoin d'argent et, à quelques mois des élections régionales, l'opération serait suicidaire. En revanche, acheter le tente. Le 26 novembre 2010, les deux hommes se mettent d'accord sur un prix, 40 euros par action, qui sera porté à 41,50 euros le 4 décembre en y intégrant le dividende escompté.

    M. Mappus aimerait consulter son Parlement sur cette opération qui lui coûte 4,7 milliards d'euros, mais EDF le pousse à agir vite et l'accord doit être validé par l'exécutif régional le 6 décembre. Quant à EDF, il aimerait y ajouter une clause précisant qu'il a besoin du feu vert du ministère de l'économie mais, là, c'est M. Mappus qui tique. Seul le conseil d'administration se prononcera. Le 6 décembre, M. Mappus fanfaronne devant les caméras. A l'entendre, le Bade-Wurtemberg a repris la maîtrise de ce fleuron sans que cela coûte un sou au contribuable car les intérêts de l'emprunt seront payés par les dividendes de l'entreprise.

    Dans un premier temps, l'opposition est bluffée, mais les critiques ne tardent pas et ne font que s'exacerber. Non seulement la sortie du nucléaire, décidée en mars 2011 par Mme Merkel, rend l'entreprise bien moins attrayante, mais la victoire de l'opposition Verts-SPD aux élections régionales a abouti à la création d'une commission d'enquête dont les travaux révèlent nombre d'irrégularités.

    Outre la Cour des comptes régionale, la justice mène également son enquête. La police a perquisitionné dans les bureaux et au domicile de M. Mappus mi-juillet. Soupçonné d'irrégularités et d'abus de confiance, celui-ci risque jusqu'à cinq ans de prison si les faits sont avérés.

    Outre un prix qui peut sembler élevé - 18 % au-dessus du prix de l'action d'alors, soit 840 millions d'euros -, les nouveaux dirigeants du Bade-Wurtemberg lui reprochent surtout de n'avoir ni consulté le Parlement pour cette opération majeure ni lancé d'appel d'offres pour sélectionner une banque d'affaires. Tout s'est fait par l'entremise du directeur de Morgan Stanley pour l'Allemagne, Dirk Notheis, qui est un ami d'enfance de M. Mappus et également un membre de la CDU.

    Alors que, le 3 décembre, EDF semble hésiter, M. Notheis envoie un mail comminatoire, indiquant que, si besoin est, "Angela appelle l'Elysée". Au sujet de M. Mappus, il écrit : "Ne sous-estimez pas le pouvoir de ce gars. Il contrôle 30 % des délégués du parti et pourrait tuer Angela avec ses troupes." Selon ses déclarations, le ministère de l'économie français est opposé à la vente, mais "l'Elysée a donné l'ordre aux ministères concernés". M. Notheis, contraint mi-juillet de quitter Morgan Stanley, avait tout intérêt à la vente puisque les commissions de la banque se sont élevées à plus de 12 millions d'euros.

    Tout cela pourrait n'être qu'une affaire allemande. Les choses ne sont pourtant pas si simples car, en France, Morgan Stanley est présidée par René Proglio, le frère jumeau du patron d'EDF. Aujourd'hui, EDF minimise le rôle joué par cette banque. Pourtant, jusqu'à ce que la presse allemande s'en émeuve en février, le site Internet de la filiale française de Morgan Stanley inscrivait cette transaction à son actif.

    Quels intérêts défendait vraiment la banque ? Ceux de l'acheteur ? Ceux du vendeur ? Ou les siens propres ? Un mail de M. Notheis à son collègue français jette le doute : "Ton frère a déjà accepté le deal au prix de 40 euros, nous savons que c'est une somme plus que rondelette." Pourtant, la même banque acceptera de porter cette somme à 41,50 euros quelques jours plus tard.

    L'Etat-région du Bade-Wurtemberg a porté plainte contre EDF devant le tribunal arbitral de la Chambre de commerce internationale de Paris. Et EDF l'attaque pour préjudice d'image.

    Les Allemands s'intéressent aux enjeux politiques de cette affaire. La gauche, qui dirige le Bade-Wurtemberg, a intérêt à maintenir la tension jusqu'aux prochaines élections législatives de l'automne 2013. Pour la CDU, l'enjeu est de taille. En 2009, un électeur conservateur sur six résidait dans le Bade-Wurtemberg. Qu'une partie d'entre eux votent à gauche, comme ils l'ont fait en 2012 à l'échelon local, et la majorité dont dispose Mme Merkel se trouverait menacée. Dans certains mails adressés à M. Mappus, M. Notheis appelle la chancelière " maman". Il n'est pas sûr qu'aujourd'hui celle-ci fasse preuve à leur égard d'un véritable amour maternel.

    lemaitre@lemonde.fr

    Correspondant à Berlin

    Frédéric Lemaître

  8. Quelle idée avez-vous de la démocratie ?

    Pour moi la démocratie c'est avant tout le pouvoir au peuple ou le peuple souverain. Or notre régime ne défend pas le peuple mais une oligarchie représentée par nos parlementaires ainsi que les banques et les riches. Et le peuple n'a aucun moyen d'empêcher ceux qu'il a élu de faire n'importe quoi.

    Je vous invite à regarder ce site très intéressant qui nous montre bien que l'élection ne fait pas la démocratie. Elle fait la République oui mais pas la démocratie puisque nos "représentants" ne prennent pas des décisions qui vont dans le sens de l'intérêt du peuple. Ils ne votent pas de pare-feu à un abus de pouvoir, on l'a encore vu sur le contrôle des frais parlementaires.

    http://www.le-message.org/

    La démocratie est selon la formule d’Abraham Lincoln : « le gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple ».

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  9. Certains économistes ont affirmé que l'Espagne est un prétexte à 46 millions d'habitants pour imposer la rigueur budgétaire à tous les pays. Mais c'est un jeu très dangereux car l'Europe pourrait y perdre pas que des plumes.

    A propos de l'Espagne voici une vidéo très intéressante qui est explique en moins de 10 min comment cette crise est née là-bas

  10. sur le même sujet de la transparence des élus et de l'exemplarité :

    http://www.lemonde.f...174_823448.html

    http://www.lemonde.f...ml#xtatc=INT-17

    A noter la réaction de Henri Guaino

    Ainsi, Henri Guaino, nouveau député (UMP) des Yvelines, a estimé, le 16 juillet, sur i-Télé, que "si les députés sont obligés de justifier chaque dépense, alors ils ne vont plus être des députés libres". "Il n'y a pas une seule démocratie au monde où les députés ont aussi peu de moyens pour faire leur travail", a insisté l'ancien conseiller de Nicolas Sarkozy.

    Belle vision de l'exemplarité à l'heure ou les Français doivent faire des efforts.

    C'est toujours la même chanson : faites ce que je dis pas ce que je fais. Et dire qu'on nous demande de justifier tous nos frais dans certains cas et que eux qui sont censés nous représentés ne veulent de contrôle sur aucun de leurs frais. Vous noterez bien sur que la totalité des députés UMP et une grande majorité des députés PS ont voté contre....

    République bananière quand tu nous tiens. On critique les dirigeants africains mais il ne faut pas oublier qu'ils ont été formés pour la plupart par la France et qu'ils ne font donc que répéter nos pratiques.

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  11. Le changement c'est maintenant la preuve...

    http://bercy.blog.lemonde.fr/2012/07/12/deputes-la-transparence-cest-pas-maintenant/

    Députés : la transparence, c’est pas maintenant

    La transparence sur les frais de représentation des députés attendra. La commission des finances de l'Assemblée a rejeté, mercredi 11 juillet, la proposition du député centriste Charles de Courson (UDI) de fiscaliser la part de l'indemnité représentative de frais de mandat (IRFM) non utilisée à des fins professionnelles. La proposition de l'élu de la Marne n'a guère soulevé l'enthousiasme de ses collègues : l'amendement n'a obtenu que trois votes favorables sur une vingtaine de députés présents en commission.

    L'adoption de cette proposition aurait de facto impliqué que les parlementaires fournissent à l'administration fiscale des justificatifs de leur frais pour que le fisc puisse déterminer ce qui devait - ou non - échapper à l'impôt sur le revenu.

    « Nous devons être exemplaires », plaide pourtant M. de Courson, qui promet de présenter à nouveau son amendement en séance publique lors de l'examen du collectif budgétaire par les députés. « Je suis curieux d'entendre la position du gouvernement », souligne-t-il, en rappelant que cette défiscalisation est le fait d'un amendement porté en 2002 par le sénateur Michel Charasse.

    L'indemnité représentative de frais de mandat se monte à 6 412 euros brut. Elle sert, selon les documents de l'Assemblée nationale, à « faire face aux diverses dépenses liées à l’exercice » du mandat de député « qui ne sont pas directement prises en charge ou remboursées par l’Assemblée ». Versée sur un compte séparée, l'IRFM vient en complément de l'indemnité parlementaire de 7 100 euros brut et du crédit pour l'emploi de collaborateurs (9 138 euros brut) et des moyens matériels mis à leur disposition pour travailler (ordinateur, téléphones, fax, etc...).

    Après le scandale en 2009 des notes de frais abusives des parlementaires britanniques, certains députés français ont souhaité rendre publique leur utilisation. Ce fut le cas par exemple du socialiste Régis Juanico. Parmi les frais couverts par son indemnité représentative de frais de mandat, on trouvait pêle-mêle l'achat de fleurs, coupes et médailles (130 euros), l'achat de la presse nationale et abonnement presse locale (150 euros), le loyer de sa permanence dans sa circonscription de la Loire (1 160 euros). Au final, le député remarque que dans son cas, ses frais ont dépassé le montant alloué pour l'indemnité.

    En mai dernier, une polémique est intervenue après la publication par Mediapart d'un article affirmant que le député socialiste Pascal Terrasse avait utilisé son indemnité pour frais professionnels en partie à des fins personnelles. L'élu ardéchois avait vivement réagi en accusant Mediapart de livrer "en pâture" sa vie privée, en se fondant sur des "relevés bancaires personnels" qui ont "été volés", et en soulignant être "en conformité avec la loi". Il a ensuite porté plainte contre X pour vol de relevé bancaire et intrusion dans son serveur informatique.

    Anne Eveno

  12. J'ai surtout l'impression que on pourrait presque mettre dans le même groupe OFP La Rochelle et Combiwest. Il organise des trafics au départ du port de la Rochelle et utilise ECR comme tractionnaire. La seule différence est que ECR est actionnaire dans OFP La Rochelle et que du coup c'est un partenaire privilégié.

    La Rochelle c'est pas trop mon coin donc je ne ais pas trop comment ils sont organisés la-bas. La Rochelle je peux même dire que c'est l'autre bout du monde pour moi ^^

  13. http://www.wk-transport-logistique.fr/actualites/detail/56354/ofp-la-rochelle-double-son-offre.html

    OFP La Rochelle double son offre

    Premier opérateur ferroviaire portuaire créé en France, l'OFP La Rochelle vient d'engranger de nouveaux contrats, dont certains repris à Fret SNCF, qui vont lui permettre de doubler son trafic dès 2012.

    La première quinzaine de juillet 2012 a marqué une étape très importante dans le développement d'OFP La Rochelle. De 2,5 trains complets massifiés de 1 300 tonnes nettes par semaine jusque-là, son trafic est passé à un train par jour depuis.

    Aux trafics "historiques" de Cogemar (pâte à papier) sur Saint-Romain-en-Gal (Sud de Lyon) et de Picoty (produits pétroliers) sur Guéret et Chasseneuil-du-Poitou sont venus s'ajouter quatre autres contrats conclus pour une période comprise entre un et trois ans.

    Les nouveaux trafics

    Le premier a été passé avec les Papeteries de Condat en Dordogne (Groupe Lecta) pour l'acheminement de 125 000 tonnes de pâte à papier par an. Repris à Fret SNCF, ce trafic a débuté le 4 juillet 2012 à raison de deux allers-retours par semaine.

    Le deuxième trafic est lié à la ligne existante Port de La Rochelle - Saint-Romain-en-Gal. Grâce à un partenariat conclu entre Cogemar et Owens-Illinois, le train reviendra chargé de palettes de bouteilles de verre vides -destinées à être remplies à Cognac- depuis Saint-Romain-en-Gal. "Cela permet de rendre pérenne l'axe La Rochelle - Rhône-Alpes", indique Philippe Guillard, président d'OFP La Rochelle.

    "Nous poursuivons le développement du report modal au départ ou à l'arrivée du Port de La Rochelle avec un trafic de céréales effectué pour le compte des clients Soufflet et Cica. Ces acheminements effectués sur une base spot et régulière au départ de différents silos de la région Poitou-Charentes débuteront au cours de la seconde quinzaine de juillet 2012".

    Enfin, OFP La Rochelle s'est aussi mis d'accord avec la société GPN pour transporter des engrais entre Rouen et le Port de la Rochelle. Repris là-encore à Fret SNCF, ce nouveau trafic a débuté début juillet.

    D'autres contrats à l'étude

    Alors qu'il avait transporté 100 000 tonnes de fret en 2011 avec un résultat à l'équilibre, OFP La Rochelle table à présent sur 200 000 tonnes dès 2012, puis 250 000 tonnes en 2013. Ceci sans présager de la signature éventuelle de nouveaux contrats au cours du second semestre 2012. Les contacts en cours portent sur tout ou partie des trafics à l'export ou à l'import du Port de La Rochelle comme les céréales, les produits pétroliers raffinés, le bois, etc.

    Afin de faire face à ce spectaculaire accroissement de trafic, OFP La Rochelle fait appel à présent à trois locomotives Diesel en moyenne dont la traction est sous-traitée à Euro Cargo Rail (ECR). Mais comme l'explique Philippe Guillard, "nous intégrerons la traction sur courte et moyenne distance dès lors que nous aurons atteint une masse critique de chiffre d'affaires".

  14. Chez nous on a déjà institutionnalisé le principe de la VFF lorsqu'un train est stationné depuis moins de 12h que la composition n'a pas été remaniée et que la locomotive n'a pas été coupée. Ça fait déjà 1 bonne année. Mais je pense que tout le monde est déjà au courant de cela.

    Avec l'aval de l'EPSF bien sur...

    Mais ne nous voilons pas la face tout cela est fait dans un logique de réduction des coûts en personnel...

  15. http://www.lemonde.f...36386_3234.html

    La SNCF pourrait perdre d'ici dix ans jusqu'à 30 % de ses parts de marché sur les trains régionaux (TER) et 40 % sur les Intercités (grandes lignes, hors TGV) en raison de l'ouverture de ces activités à la concurrence, indique vendredi 20 juillet le quotidien Les Echos – qui ne cite pas ses sources.

    "Selon le plan d'affaires 2013-2017 examiné par le conseil d'administration [de la SNCF] fin juin, l'entreprise anticipe des pertes de ses parts de marché importantes en 2017, et encore plus en 2022, sur les segments d'activité sur lesquels elle sera mise en concurrence", indique le journal, précisant qu'il "ne s'agit pas là d'objectifs que se fixe l'entreprise, mais bien de la situation qu'elle s'attend à vivre".

    "DES PARAMÈTRES CRUCIAUX À PRÉCISER"

    Le quotidien économique souligne que "ces projections (...) sont à prendre avec beaucoup de précautions (...) des paramètres cruciaux restant à préciser – à commencer par la date de l'ouverture à la concurrence".

    En décembre dernier, Nathalie Kosciusko-Morizet, alors ministre des transports, avait annoncé le lancement à partir de 2014 d'une "expérimentation" visant à ouvrir à la concurrence le marché des TER et des TET (trains d'équilibre du territoire).

    Le nouveau gouvernement n'a pas encore indiqué s'il comptait ou non maintenir cette date mais le ministre des transports Frédéric Cuvillier a indiqué qu'il allait examiner "avec la plus grande attention" les récentes propositions du Conseil économique, social et environnemental (CESE) sur ce dossier.

    Dans un récent avis, l'institution suggère d'expérimenter à partir de 2015 la mise en concurrence des TER. Ces tests devraient être menés à échelle réduite, dans trois ou six régions et seulement sur certaines lignes, selon le CESE. Une réglementation européenne de 2009 impose aux Etats membres d'être en mesure de procéder à l'ouverture à la concurrence du transport ferroviaire régional en 2019.

  16. La Gauche britannique songe à renationaliser les trains anglais ? C'est le monde à l'envers. Serions-nous à la croisée des chemins ?

    On peut dire tout ce qu'on veut sur cette privatisation mais elle a été faite jusqu'au bout pas comme chez nous où on fait un simulacre de privatisation mais le privé restera quand même subventionné par l'Etat puisque ce seront des DSP et que le matériel sera déjà à disposition. Même en Allemagne c'est chaque exploitant qui doit apporter son propre matériel que ce soit par de la location ou de l'achat.

    Mais bon.. vous savez bien que en France on ne fait jamais rien comme personne...

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