zorba

SNCF peut acheter chez Alstom du matériel qu'elle pense français, sans préciser combien d'organes sont d'origine étrangère, en particulier tout ce qui concerne l'informatique. Et ce n'est pas le seul cas.

C'est à se demander si les hauts cadres de Transilien RER SNF n'ont rien d'autre à faire que des cérémonies commémoratives. Le passé ne reviendra pas, les problèmes à traiter sont devant eux, qu'ils s'attellent à leur résolution au lieu de faire le pitre dans des cérémonies qui devraient rester simples et privées.

Un peu HS, y-a-t'il encore des BB 15000, cousines des BB 7200, en exploitation? ET pour combien de temps encore les BB 7200 vont-elles tirer des trains?

RIP.

Très bien les passages validés augmentent. Qu'en est-il de la fraude qui semble toujours très importante, si l'on regarde les sauteurs de portillons Gare-du-Nord et Gare-de-l'Est?

La densité des populations n'est pas comparable entre Dieppe, Calais, La Havre et celle des territoires derrière Anvers ou Rotterdam. Quand aux échanges entre ces derniers ports et leur arrière pays, le trafic par péniches ne se compare par avec ce qui arrive dans les ports français de la Manche. Pour le train, c'est pareil. Les ports français jouent en Ligne 2, et depuis longtemps, avec peu d'espoir de monter en Ligne 1, même si SNCF met le paquet pour se développer dans ce secteur.

Un port fonctionne correctement si'il dessert une grosse agglomération ou une zone industrielle réelle, pas seulement une zone de logistique. Quand on compare Calais, Dieppe, même le Havre aux ports concurrents Anvers, Rotterdam ou Gènes, les ports français sont au milieu de nulle part, ils n'ont jamais été au top des ports et ce ne sont pas les CCI locales - si brillantes soit-elles - qui feront changer cela, même avec de belles plaquettes payées par nos impôts. Les syndicats de dockers sont le prétexte utilisé pour camoufler les réalités que la concurrence intra européiste qui s'accompagne du déclin français dans l'industrie et les transports ferroviaires et maritimes.

La langue la plus parlée, après l"american-english" que les tous les texans apprennent et parlent.

S'occuper de l'entretien des petites lignes de chemin de fer, voilà un beau projet pour recaser un préfet sans sous-préfecture ou préfecture et en continuant à lui verser salaire et avantage jusqu'à l'âge de la retraite. En raison des difficultés de financement des opérations d'entretien des voies ferrées, ce sera un poste de Préfet Développement Durable inscrit au budget de SNCF Réseau, avec un salaire basé sur le dernier salaire de F. Parly quand elle était payée par SNCF.

Na pas oublier le versement des dividendes aux actionnaires qui progresse régulièrement, alors que ce n'est pas vraiment le cas pour les retraites ni pour les salaires et les salaires différés.

Les frais de garantie sont habituellement compris dans le prix d'achat et payés par le client. Et la garantie, c'est uniquement des défauts de fabrication, qu'il faut signaler au constructeur pour qu'il corrige ses produits. En aucun cas, de l'usure ou des pannes consécutives à un entretien défectueux, et ce dernier cas sert souvent à mettre les incidents une nouvelle fois à charge du client.

Des noms, pour éviter de s'égarer.

Le vrai changement interviendra quand l'achat sera signé, en attendant rien ne change en surface. Mais chez Bombardier, les meilleurs vont être les premiers à quitter le navire, Alstom n'aura pas trop d'un plan social pour rétablir les comptes et les actionnaires vont suivre tout cela de près, on ne rigole pas avec ses milliards...

PSA avait aussi essayé de relancer la marque Talbot, jadis prestigieuse et maintenant complètement inconnue de la majorité des automobilistes. Pour le ferroviaire, Bombardier était une marque récente en France et en Europe, l'affaire a mal marché même avec l'aide de l'Etat français (voir Idrac au moment du choix Z50000). La marque va vraisemblablement disparaître, les gens d'Alstom ne vont pas faire dans l'affectif, ce sont des industriels qui ne gagnent pas des sommes mirobolantes, du moins pour rassurer leurs actionnaires qui attendent des dividendes, et rien d'autre! Et pour les voyageurs, aucune importance dès l'instant que les trains sont propres et à l'heure, être dans un train Alstom ou Bombardier, le voyageur s'en fiche comme de sa première chemise, ce n'est pas un responsable politique ni un gros actionnaire, l'un ou l'autre de ces personnages ne prenant pas le train bien souvent...

C'est la première mesure d'économie en cas de fusion absorption, faire dégager les doublons marketing et communication, et l'entretien d'une marque. Il faudrait d'ailleurs vérifier que la marque "Bombardier" pour le ferroviaire a bien été cédée et reprise par Alstom ou gelée dans un placard dans ce qui reste de Bombardier.

Les chinois ne fabriquent pas que des téléphones portables...en ferroviaire leurs produits semblent appréciés ailleurs qu'en Chine, c'est probablement là le problème qui fait tant peur aux apôtres de la concurrence libre et non faussée.

On attend avec impatience les résultats d'Akiem Group, sur le marche de la location, les leaders sont souvent discrets sur leurs résultats. Ces métiers de loueurs d'engins (chariots, engins de TP) sont très consommateurs de capitaux et rapidement déprimés quand la croissance est faible.

Pourquoi pas des batteries ou des panneaux solaires...rien que pour les secours d'où des économies d'entretien en optimisant avec l'IA.

Sur que le PDG ne SNCF n'est pas responsable des incidents d'exploitation, c'est le mauvais temps en hiver et la chaleur en été.

Des clients aux Etats-Unis? Probablement pour des lignes Fret, le trafic voyageurs étant réduit à peau de chagrin dans ce pays.

Peut-être que la taille moyenne des agents espagnols est plus petite que celles des français, tout simplement?

Faut aussi dire que les agents concernés ont compris que la réforme est juste et universelle et que le temps des injustices et des privilèges, hérités des harangueurs des foules, était terminé. Merci à Laurent Berger et à la CFDT pour leurs explications claires et convaincantes.

D'accord, mais on ne supprime pas le poste de Mme S. Goulard du Modem, celle-la même qui s'était mise en congé le temps d'être nommée puis rejetée de la Kommission Européenne et qui a repris son poste. Pas touche aux rentes de situation de ceux d'en haut, même si la Banque de France (BdF) aurait du être supprimée avec l'introduction de l'Euro en 2002 et qui ne sert qu'à planquer quelques pépites du genre S. Goulard. Sur que L. Berger et la CFDT n'ont pas eu le temps de s'occuper des privilèges des agents de la BdF, trop pris qu'ils étaient d'analyser et d'expliquer que l'injustice des retraites venait des régimes spéciaux des cheminots. Tant mieux pour les "petits" de la BdF qui conservent ce qui reste dans le régime plus juste pour ceux d'en haut.

Les rails n'ont pas l'air d'être très sollicités et la rouille fait son oeuvre tout doucement. Cet exemple photo manque quand même d'un peu de sérieux.

p'tet bin qu'oui, p'tet bin qu'non!