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Le Web des Cheminots

IGS4

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Tout ce qui a été posté par IGS4

  1. Dans les années 70 l'accompagnement des trains (ASCT actuels) était assuré par des KRU (Contrôleur de route) ou des KRUAD (Contrôleur de route adjoint) tous agents du cadre permanent En saison d'été ils étaient secondés par des étudiants assurant des postes de SUVT1 (Surveillant de voitures de 1ère classe) ou de SUVT2 (Surveillant de voitures de 2ème classe) : remplacement des SUVT1 et SUVT2 titulaires (congés) C'était notamment le cas à Paris-Est vers Interlaken et Innsbruck (Arlberg-Express) mais aussi à Paris-Lyon vers La Spézia, Napoli, Roma, Firenze, Venezia, Brindisi-Maritima (1127/1126 Parthénon-Express), Beograd (Simplon-Express) . . .
  2. Collision à Waben (Pas-de-Calais) Section : Amiens - Abbeville - Boulogne-ville Waben : un train de marchandises percute une voiture à un passage à niveau Mercredi, peu avant 23 h 30, une voiture a été percutée par un train de marchandises, à un passage à niveau situé sur la commune de Waben, près de Berck. Sa conductrice a été retrouvée indemne par les secours, à quelques dizaines de mètres du véhicule. Choquée, cette femme de 46 ans a été prise en charge par les pompiers, dans l'attente d'être transférée au centre hospitalier de Rang-du-Fliers. Sa voiture a été percutée à l'avant et projetée sur le flanc gauche. Le train, peu endommagé, s'est arrêté quelques centaines de mètres plus loin. La circulation a été interrompue sur la ligne entre Rue et Verton. Une enquête est en cours pour éclaircir les raisons de cet accident, sur un petit chemin peu fréquenté. Article et photo : La Voix du Nord de ce jour
  3. Je passe la main Les lignes autour de Mâcon au début du XXème siècle Crédit illustration : Géographie des chemins de fer
  4. Via la petite Bresse donc via Mâcon-ville A tout hasard . . . et j'ai par avance l'impression que le hasard fait bien les choses Ensemble ferroviaire de Mâcon-ville Chantier (ou ancien chantier) de Saint-Martin situé au Sud de la gare de Mâcon-ville Le bâtiment en surplomb situé à proximité du 192 route de Bioux 71000 Mâcon Après l'aiguille de sortie (sur la photo) la ligne franchit la route de Bioux En conclusion : tout simplement l'amorce de l'ancienne VU Mâcon - Cluny mdrmdr
  5. Les pays de la Loire ne se résument pas à Nantes et à Angers ! Et les mancelles et les manceaux, plus généralement les sarthoises et les sarthois, qui résident (et qui payent des impôts) eux aussi dans la région des Pays de la Loire, ils ont droit à rien ! Ils sentent le gaz ? le pâté ? les rillettes ? Qu'on fasse d'abord la virgule (prévue) de Sablé sans massacrer non plus le site de la célèbre abbaye de Solesmes !
  6. Pourquoi spécialement de la Bretagne Et les ligériens (Région des Pays de la Loire) ils ont droit à aucune considération de ta part cartonrouge
  7. Bonjour necroshine, Il s'agit en fait de Willy Colin journaliste à France 3 - Maine (Le Mans) et client habituel de la ligne TER (Laval) Sillé-le-Guillaume - Le Mans mdrmdr
  8. Ligne 23-7 L'ancienne gare d'Autrey-Sainte-Hèlène (km 39 + 600) et l'abbaye Notre-Dame d'Autrey Je passe la main okok
  9. Mais aussi le réseau de l'Ouest lyonnais Bonne soirée également Et autrefois . . . un exemple parmi tant d'autres . . . Ligne 891 - Collonges-Fort-l'Ecluse - Gex - Divonne-les-Bains (37,900 km) La ligne de Collonges-Fort-l'Ecluse à Gex et Divonne-les-Bains a été mise en service par le PLM le 1er juin 1899 dans le but de desservir les principales localités du Pays de Gex Le 1er mai 1905 les CFF mettent en service la ligne Nyon - Crassier (canton de Vaud) Le 3 novembre 1905 ouverture de la jonction internationale Divonne-les-Bains - Crassier (3 km) Malgré l'opposition du Conseil Général de l'Ain, la SNCF cesse le service voyageurs par fer entre Bellegarde et Divonne-les-Bains le 31 mai 1980
  10. VU qu'à partir de Firminy Les autres VU des régions SNCF de Lyon et Chambéry Lozanne - Lamure-sur-Azergues (Paray-le-Monial) Sathonay-Rilleux - Villars-les-Dombes - Bourg-en-Bresse (partiellement) Saint-André-le-Gaz - Chambéry Saint-Pierre-d'Albigny - Albertville - Moutiers-Salins - Bourg-Saint-Maurice Aix-les-Bains - Annecy - La Roche-sur-Foron - Annemase - Evian-les-Bains La Roche-sur-Foron - Saint-Gervais-les-Bains - Chamonix-Mont-Blanc - Vallorcine (Bellegarde) Bifur de Longeray-Léaz - Saint-Julien-en-Genevois - Annemasse Bourg-en-Bresse - Nurieux - Brion-Montréal-La-Cluse - Oyonnax (Saint-Claude) Nurieux - Bellegarde Grenoble - Clelles-Mens - Aspres-sur-Buëch (Veynes-Dévoluy)
  11. Section Lyon-Perrache - Lyon-Vaise - Saint-Germain-au-Mont-d'Or courant continu 1,5 kV depuis le 5 juin 1952 (jusqu'à Chalon-sur-Saône) Section Saint-Etienne-Châteaucreux - Firminy courant continu 1,5 kV depuis le 15 novembre 2005 Sections électrifiées : Valence-ville - Raccordement LN5 (Lyon) Bifur de Moirans - Grenoble Ensemble ferroviaire de Grenoble Montmélian vers Chambéry et Annecy Lozanne - Lamure-sur-Azergues (Paray-le-Monial) Sathonay-Rilleux - Villars-les-Dombes - Bourg-en-Bresse Brion-Montréal-La-Cluse - Oyonnax (Saint-Claude) Grenoble - Clelles-Mens - Aspres-sur-Buëch (Veynes-Dévoluy)
  12. Opération de police toujours en cours au Blanc-Mesnil . . . Cinq personnes interpellées dont une aux environs de minuit RMC et LCI
  13. A partir d'une simple faille dans le système informatique la SNCF va être délestée de la somme rondelette de 100 000 €. De quoi créer un gros bug dans les comptes de la vénérable dame de Fer. Il faudra d'ailleurs plusieurs mois à la « brigade financière et à la police judiciaire, saisies de cette affaire, pour remonter la filière jusqu'aux malfaiteurs » explique le service communication de la SNCF. Et prendre à contre-pied ce "trait de génie" de "parfaits escrocs". La présidente Fouché, qui avait à juger, hier, cette affaire qui remonte à l'année 2002, a exposé simplement le scénario pour le moins abouti. Un homme se présente à un guichet SNCF pour soi-disant, acheter un billet. À la question sur le moyen de paiement qu'il va utiliser, il répond invariablement : carte bancaire. L'hôtesse rentre cette information sur son écran. Mais au moment de s'acquitter de son achat, il prétexte l'oubli de son code, de sa carte... Quand arrive, inopinément, une connaissance. Cette dernière s'enquiert de son problème et propose de le dépanner en effectuant un chèque. Seulement le chèque émane d'un chéquier volé. Mais l'individu ne laissera pas le temps à la SNCF de s'en apercevoir. Peu de temps après, il appelle la SNCF pour décommander son billet et demander le remboursement de son titre de transport. 239 fois l'aller-retour virtuel entre Annecy et Rennes La société de transports consulte les données enregistrées, relève qu'un règlement carte bancaire a été effectué et crédite donc le compte de la somme a priori déboursée. Ce sont donc des milliers d'euros qui vont atterrir sur des comptes bancaires ouverts par « des étudiants grenoblois d'origine africaine » poursuit M e Collin, pour la SNCF. Les étudiants vont en effet reproduire leur petit manège dans plusieurs gares rhônalpines. Annecy n'échappera pas à "l'escroquerie", elle se fera délester de 10 000 €. Au total, le groupe a fait virtuellement 239 fois l'aller-retour entre Annecy et Rennes, en première classe ; cette année-là, il y a eu inflation sur les bigorneaux. Depuis les individus ont été rattrapés par la justice pour d'autres affaires de même nature en 2003 et 2004. L'un deux a même purgé sa peine et commencé à rembourser la SNCF, souligne M e Gauthier. « Je regrette toutefois son absence » répète le procureur qui va demander à l'encontre du prévenu qui avait opéré à Annecy, 8 mois de prison avec sursis mise à l'épreuve assortis d'une obligation de travail et d'indemniser la SNCF de 10 000 €. Il a été suivi dans ses réquisitions. La petite histoire ne dit pas si depuis « qu'il est rentré dans le rang », le client de M e Gauthier prend le train pour ses déplacements. Le Dauphiné Libéré de ce jour
  14. Le rapport qui explique le déraillement du wagon Un expert du bureau d'enquêtes sur les accidents de transport terrestre souligne une accumulation «sans précédent» de plusieurs causes. Le bureau d'enquêtes sur les accidents de transports ferroviaires vient de publier un rapport technique copieux d'environ 70 pages, consacré au déraillement du wagon transportant des matières dangereuses, le 24 novembre 2009, en plein centre-ville d'Orthez. Une enquête réalisée à la demande du ministère de l'Écologie, du développement durable, des transports et du logement (MEDDTL), qui ne vise pas à établir de responsabilités mais « de prévenir de futurs accidents », est-il indiqué en préambule. Le rapport est basé sur les investigations menées par un enquêteur, qui s'est rendu sur place le surlendemain des faits, pour examiner le site et pour faire procéder aux relevés géométriques. Il a également inspecté le wagon dérailleur, le 16 décembre 2009, à Artix, où il était placé sous scellés. L'enquêteur a également eu à sa disposition le rapport des essais et analyses réalisés par l'agence d'essais ferroviaire de la SNCF et à l'étude du mécanisme de déraillement réalisée par le centre d'ingénierie du matériel de la SNCF. Il s'est enfin appuyé sur les pièces de l'enquête préliminaire diligentée par le procureur de la République de Pau Sans précédent connu De toutes les investigations menées, il ressort « que le déraillement est dû à la combinaison de nombreux facteurs causaux liés respectivement à la voie, au matériel roulant et à l'interface roue-rail. » Autrement dit, une accumulation de plusieurs causes, qui si elles étaient survenues isolément, n'auraient pas provoqué l'accident. Les conclusions soulignent qu'« une telle combinaison de facteurs n'a pas de précédent connu. » L'hypothèse privilégiée est celle d'un « déraillement de type classique appelé déraillement par montée de la roue guidante. » Le déraillement a eu lieu dans une courbe située peu après le pont Neuf : une courbe « à fort dévers » (1), ce qui signifie qu'un rail était plus haut que l'autre à l'endroit du déraillement. Dans le virage dans lequel s'est produit l'accident, le poids du wagon exercé sur le lisoir était d'autant plus lourd que l'excès de dévers était élevé. Or ce lisoir est jugé « très usé », ce qui aurait empêché le train de roulement de tourner correctement. De plus, le rapport note une absence de graissage des rails à l'endroit de l'accident, ce qui aurait eu pour effet de faciliter l'escalade de la roue sur le rail extérieur. Huit recommandations Cette analyse a conduit à huit recommandations : l'une concernant la voie, trois autres la maintenance du matériel roulant, une autre relative au graissage des rails et trois dernières concernant les mesures de protection ferroviaire à prendre en pareil cas. Car le rapport indique que les conséquences du déraillement « auraient pu être aggravées » par plusieurs facteurs : « le manque de clarté et de complétude du signalement du conducteur » : « l'absence de la description des mesures à prendre en cas d'accident impliquant des matières dangereuses » ; « le retard dans la décision et la réalisation de la coupure d'urgence de la tension caténaire. » Ainsi, les trois dernières recommandations énoncent que la communication des conducteurs, en cas de présomption de déraillement, doit être plus précise et non ambiguë. La dernière recommandation prévoit le recours en cas de danger chimique, à la coupure d'urgence de la tension caténaire « pour permettre d'arrêter les trains en cas d'urgence et de réduire le risque d'explosion en cas de fuite de matière dangereuse. » (1) Différence de hauteur entre les deux rails. Article et photo d'archive : Sud-Ouest de ce jour L'hypothèse privilégiée est celle d'un déraillement classique « par montée de la roue guidante.»
  15. Nouvelle relation quotidienne directe Bretagne - Languedoc-Roussillon (12 décembre 2010) TGV 5318 - Rennes 9.10 Le Mans 10.24/10.30 Lyon-Part-Dieu 13.31/13.37 Montpellier 15.27 Du Mans à Montpellier circule en UM avec le TGV 5326 en provenance de Nantes (arrivée 10.20) Au départ du Mans rame Nantes en tête Rame Rennes en queue Particularité du retour vers Rennes le soir . . . Montpellier 16.28 Massy TGV 20.29/20.32 (Courtalain 20.59 +) Le Mans 21.19/21.22 Rennes 22.34 De Montpellier à Massy TGV circule en UM avec le TGV 5380/5381 à destination de Nantes Au départ de Montpellier rame Rennes en tête - Rame Nantes en queue Le TGV 5381 (Massy départ 20.37) (Courtalain 21.04 +) dessert Saint-Pierre-des-Corps mais pas Le Mans
  16. Concernant les ADC bien avant Tours et Le Mans : au PRS 17 (bifur de Courtalain)
  17. Lundi en fin de journée, quatre jeunes mineurs demeurant à Béziers ont été arrêtés par les policiers de la Bac de jour d'Agde. Ils sont soupçonnés d'avoir roué de coups un agent de la gare SNCF qui venait de les réprimander car ils avaient traversé les voies ferrées sans autorisation, au péril de leur vie. Tout débute quelques minutes plus tôt, vers 18 h 50, le contrôleur du train Montpellier-Béziers contrôle ces quatre jeunes. Ils circulent sans billet valable jusqu'à Béziers. Ils ont en fait, acheté un titre de transport leur permettant d'arriver seulement à Frontignan, mais eux souhaitent rentrer chez eux à moindre frais. Ils sont donc priés de descendre du train en gare d'Agde. Ces derniers s'y refusent. Le contrôleur est obligé d'employer la force pour que les quatre individus descendent de la rame. Là, par esprit de contradiction et alors que c'est formellement interdit pour des raisons de sécurité, les quatre jeunes quittent le quai et traversent toutes les voies ferrées de la gare. Alors, un employé leur demande de repartir dans l'autre sens en empruntant les passages souterrains et les sermonne. Les jeunes ne l'entendent pas de cette oreille. C'est un passage à tabac en règle que va subir l'employé de la SNCF. Puis, les quatre individus âgés de 15 à 17 ans, prennent la fuite en ville. Ils seront tous rattrapés par les policiers de la Bac près de 10 minutes plus tard. Tous ont été placés en garde à vue. Ils seront présentés ce matin devant le juge des mineurs. L'agent de la SNCF, frappé au visage par les quatre garçons, a une interruption temporaire de travail de trois jours. Midi Libre
  18. Lyon Part-Dieu : elle écope d'une amende à sa sortie du TGV, malgré des billets valides Elle n'avait pu présenter ses titres de transport qu'elle avait laissés à sa fille, assise à bord du train Un mois après les faits, l'histoire la met encore en rogne. Et pas question pour elle de payer cette amende de 83 euros injuste à ses yeux. « Ce qui m'a choquée, témoigne Francisca Pambou, c'est d'être « accueillie » par la police ferroviaire à ma descente du train à la gare de la Part-Dieu : on n'était coupables de rien, vous imaginez pour mes enfants ! » Hier matin, au comité régional de la CGT à Lyon qui l'emploie comme secrétaire administrative, cette habitante de Vaulx-en-Velin raconte son voyage houleux en TGV entre Paris et Lyon, le 21 novembre dernier. Au terme du trajet, le contrôleur lui dresse une contravention pour « refus d'obtempérer » alors même qu'elle n'était pas du tout en infraction à bord. Les billets de 210 euros aller/retour qu'elle nous montre hier, le prouvent : ils sont dûment compostés. Qu'est-il arrivé ? « Je faisais la queue avec mon fils de 6 ans à la voiture-bar pour lui acheter à manger : il était presque 22 heures. Lorsque le contrôleur est passé, je n'avais pas mes billets : je les avais laissés à ma fille de 14 ans, restée assise à nos places. » C'est là, dit-elle, que le contrôleur commence à devenir agressif. « Il m'a demandé d'aller chercher mes billets mais moi, je ne voulais pas perdre ma place dans la queue. Il est devenu méprisant : « Vous êtes sourde ou quoi ? Allez chercher vos billets, vous me les ramenez ! » Il me disait même que mon fils pouvait bien faire la queue à ma place. Et pourquoi pas payer avec ma carte bleue ! Je n'ai jamais refusé de présenter mes billets, je lui ai même précisé à quelles places on se trouvait, pour faciliter son contrôle. On en est restés là...» Son repas payé, Francisca a regagné son siège, sans se douter un instant de ce qui l'attendait en gare de Part-Dieu... Même un responsable cheminot du comité régional de la CGT s'est dit, selon elle, « sidéré » par cette histoire. À ce jour, le courrier que Francisca a envoyé le 22 novembre en recommandé au service clientèle de la SNCF n'a pas reçu de réponse. Le service communication de l'entreprise à Lyon, sollicité lundi par « Le Progrès », a indiqué hier ne pas être en mesure de nous fournir sa version des faits avant la semaine prochaine. L'agent incriminé a utilisé « l'arme » du refus d'obtempérer. Une riposte sans doute disproportionnée dans le cas de cette mère de famille en règle, qui rentrait tranquillement d'un baptême à Paris. Le Progrès
  19. Pour ce qui concerne les clients à destination de Perpignan Les clients du Lunea 4795 (Perpignan 8.25) ont été acheminés de Lyon à Perpignan avec le TGV spécial 27477 (Perpignan arrivée théorique : 20.38) Retard prévu : + 60 mn (Source : Gares en mouvement) Soit un retard de 13h15 environ
  20. Les clients du Lunea 4295 (Nice-ville 9.09) ont été acheminés de Marseille (20.59) à Nice-ville (23.31) avec le TER 17499 Arrivée réelle : 0.21 soit + 50 (Source : Infolignes) Soit un retard de 15h12
  21. Les quelque six-cents passagers du train de nuit Strasbourg-Port Bou ont pu repartir lundi en fin d'après-midi de Saône-et-Loire, où ils ont été retenus plus de trois heures par, cette fois, une panne de locomotive, 20 heures après leur départ d'Alsace. «C'est une avalanche d'incidents liés aux conditions climatiques et à des problèmes techniques. On a fait venir une locomotive de Chalon-sur-Saône pour remplacer la motrice défaillante», a expliqué à l'AFP Jean-François Dherin, un responsable marketing SNCF dépêché à la gare de Tournus (Saône-et-Loire). C'est en effet en pleine Bourgogne que le convoi au retard exceptionnel a marqué vers 13H45 un nouvel arrêt avant de repartir peu avant 17H00 pour un ravitaillement à Lyon. Le train devait arriver vers 18H00 à la gare de Lyon-Perrache. Le retard de ce train a également causé quelques perturbations en gare de Dijon. Le bien public
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