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Victime d'un viol dans le TGV entre Paris et Lyon
Un homme a profité du sommeil d'une passagère pour commencer à passer à l'action.
Il a été interpellé et écroué. La victime, Lyonnaise, témoigne
Elle est encore sous le choc. Elle a toutes les peines du monde à trouver les mots pour évoquer
les faits dont elle a été victime. Le 1 er décembre dernier, cette Lyonnaise âgée d'une trentaine
d'années, mère de famille, attrape à 5 h 50 le premier TGV du matin au départ de Paris. Après
avoir raté le dernier, la veille au soir.
La jeune femme est une habituée du trajet, qu'elle effectue au moins une fois par semaine, dans
le cadre de son activité professionnelle. Abonnée, elle s'assoit toujours à la même place, voiture 6.
« Le wagon était presque vide. Et vu l'heure matinale, le peu de passagers qu'il y avait était en train
de dormir. Moi-même, je me suis assoupie, comme j'ai l'habitude de le faire ».
En plein voyage, le réveil va être particulièrement soudain et brutal : « Il y avait un homme sur moi.
Il avait mis sa main dans mon pantalon ».
La passagère crie et parvient à se libérer de son agresseur. « J'ai couru en direction de la voiture-bar,
où j'ai trouvé un des deux contrôleurs. Ils ont été très réactifs. Quant à l'agresseur, il n'a pas cherché
à s'enfuir. Il est resté à ma place et s'est couché, la tête sur mon siège. Il est revenu une fois vers la
voiture-bar où je me trouvais et m'a fixée du regard, comme s'il voulait m'impressionner ».
Alertés par les contrôleurs, les policiers cueillent l'agresseur à l'arrivée du train en gare de la Part-Dieu.
Il s'agit d'un ressortissant roumain âgé d'une quarantaine d'années. Sans domicile fixe, il vit avec sa
famille dans un campement improvisé de l'agglomération lyonnaise. Il était allé voir son frère à Paris et
avait pris, sans titre de transport, le TGV du matin pour rentrer à Lyon.
L'auteur présumé des faits a été mis en examen pour viol et écroué. Ce qui signifie qu'à ce stade initial
de l'instruction, il est passible des assises. L'homme a été impliqué dans deux autres affaires de mœurs,
déjà dans le TGV. Il s'était alors exhibé auprès d'autres passagères, une main occupée. « Il était connu et
organisait visiblement sa vie autour de ses pulsions. Je me demande ce que fait la société pour traiter ce
type de pervers. C'est d'autant plus regrettable que là, il est passé à un stade supérieur », poursuit la victime.
Cette dernière en veut aussi à la SNCF : « J'ai l'impression qu'il y a de moins en moins de contrôleurs et de
présence dans les TGV. Quand le train est plein, il m'arrive de ne pas être contrôlée parce qu'ils n'ont pas le
temps de remonter toutes les voitures. De même que je ne vois plus, contrairement à une époque, de filtrage
sur les quais. C'est dommage car cela est une porte ouverte à l'insécurité ».
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Autre question: est-ce que des étudiants peuvent être employés comme ASCT? A priori, mon héroïne est une ASCT,
mais j'aurais besoin qu'elle soit en même temps étudiante, donc probablement pas titulaire, est-ce que c'est possible?
Une de mes amies m'avait raconté que pendant ses études, elle avait bossé dans des trains de nuit, mais c'était il y a pas mal de temps
Dans les années 70 l'accompagnement des trains (ASCT actuels) était assuré
par des KRU (Contrôleur de route) ou des KRUAD (Contrôleur de route adjoint)
tous agents du cadre permanent
En saison d'été ils étaient secondés par des étudiants assurant des postes
de SUVT1 (Surveillant de voitures de 1ère classe) ou de SUVT2 (Surveillant
de voitures de 2ème classe) : remplacement des SUVT1 et SUVT2 titulaires (congés)
C'était notamment le cas à Paris-Est vers Interlaken et Innsbruck (Arlberg-Express) mais
aussi à Paris-Lyon vers La Spézia, Napoli, Roma, Firenze, Venezia,
Brindisi-Maritima (1127/1126 Parthénon-Express), Beograd (Simplon-Express) . . .
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Collision à Waben (Pas-de-Calais)
Section : Amiens - Abbeville - Boulogne-ville
Waben : un train de marchandises percute une voiture à un passage à niveau
Mercredi, peu avant 23 h 30, une voiture a été percutée par un train de marchandises, à un passage
à niveau situé sur la commune de Waben, près de Berck. Sa conductrice a été retrouvée indemne par
les secours, à quelques dizaines de mètres du véhicule. Choquée, cette femme de 46 ans a été prise
en charge par les pompiers, dans l'attente d'être transférée au centre hospitalier de Rang-du-Fliers.
Sa voiture a été percutée à l'avant et projetée sur le flanc gauche. Le train, peu endommagé, s'est arrêté
quelques centaines de mètres plus loin. La circulation a été interrompue sur la ligne entre Rue et Verton.
Une enquête est en cours pour éclaircir les raisons de cet accident, sur un petit chemin peu fréquenté.
Article et photo : La Voix du Nord de ce jour
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voila
suffit d'appeler et zorro arrive
à toi
Je passe la main
Ensemble ferroviaire de Mâcon-ville
Chantier (ou ancien chantier) de Saint-Martin situé au Sud de la gare de Mâcon-ville
En conclusion : tout simplement l'amorce de l'ancienne VU Mâcon - Cluny
Les lignes autour de Mâcon au début du XXème siècle
Crédit illustration : Géographie des chemins de fer
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Prés de la ligne Bourg en Bresse--Dijon???
dans un certain sens oui
Via la petite Bresse donc via Mâcon-ville
IGS au secours
A tout hasard . . . et j'ai par avance l'impression que le hasard fait bien les choses
Ensemble ferroviaire de Mâcon-ville
Chantier (ou ancien chantier) de Saint-Martin situé au Sud de la gare de Mâcon-ville
Le bâtiment en surplomb situé à proximité du 192 route de Bioux 71000 Mâcon
Après l'aiguille de sortie (sur la photo) la ligne franchit la route de Bioux
En conclusion : tout simplement l'amorce de l'ancienne VU Mâcon - Cluny mdrmdr
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Doublon : sujet déjà évoqué ici
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Et les ligériens (Région des Pays de la Loire) ils ont droit à aucune considération de ta part
Non car pour venir de la branche Angers / nantes pour aller dans le Sud Ouest passr par Courtalain ne sert
a rien il suffit de apsser par la ligne Angers / Saint Pierre des Corps qui est apte V 220 pour les TGV
Les pays de la Loire ne se résument pas à Nantes et à Angers !
Et les mancelles et les manceaux, plus généralement les sarthoises et les sarthois, qui résident
(et qui payent des impôts) eux aussi dans la région des Pays de la Loire, ils ont droit à rien !
Ils sentent le gaz ? le pâté ? les rillettes ?
Qu'on fasse d'abord la virgule (prévue) de Sablé sans massacrer non plus le site de la célèbre abbaye de Solesmes !
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Bonjour ,
Ne serait il pas interessant de faire une virgule a la bifurcation de Courtalain afin d'avoir des TGV directs depuis
la Bretagne evrs le sud ouest de la France , on pourrait imaginer un TGV Brest Bordeaux par exemple
Pourquoi spécialement de la Bretagne
Et les ligériens (Région des Pays de la Loire) ils ont droit à aucune considération de ta part cartonrouge
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Idem ce matin,
suiste aux soucis de la ligne Paris - Le Mans,
interview d'un reprensentant de la fédération des usagers de l'ouest,
un certain "Nicolin" (désolé pour l'orthographe) dit de vive voix que :
- les usagers sont a bout de nerfs, et, il parle de violence de ceux ci possible....
Bonjour necroshine,
Il s'agit en fait de Willy Colin journaliste à France 3 - Maine (Le Mans)
et client habituel de la ligne TER (Laval) Sillé-le-Guillaume - Le Mans mdrmdr
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L'ancienne gare d'Autrey-Sainte-Hèlène (km 39 + 600) et l'abbaye Notre-Dame d'Autrey
Je passe la main okok
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Tu vois mikado74, je t'avais bien dit que d'autres feraient un inventaire des VU bien plus précis que moi!!
Merci a toi IGS4.
Bonne soirée
Mais aussi le réseau de l'Ouest lyonnais
Bonne soirée également
Les autres VU des régions SNCF de Lyon et Chambéry
Et autrefois . . . un exemple parmi tant d'autres . . .
Ligne 891 - Collonges-Fort-l'Ecluse - Gex - Divonne-les-Bains (37,900 km)
La ligne de Collonges-Fort-l'Ecluse à Gex et Divonne-les-Bains a été mise en service par
le PLM le 1er juin 1899 dans le but de desservir les principales localités du Pays de Gex
Le 1er mai 1905 les CFF mettent en service la ligne Nyon - Crassier (canton de Vaud)
Le 3 novembre 1905 ouverture de la jonction internationale Divonne-les-Bains - Crassier (3 km)
Malgré l'opposition du Conseil Général de l'Ain, la SNCF cesse le service
voyageurs par fer entre Bellegarde et Divonne-les-Bains le 31 mai 1980
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Je n'ai pas le temps de reprendre ton post tout de suite mais vérifie, il y a des erreurs sur les Vu et DV
Le réseau est majoritairement en DV. On trouve des VU à ma connaissance sur St-Etienne Clermont
VU qu'à partir de Firminy
Les autres VU des régions SNCF de Lyon et Chambéry
Lozanne - Lamure-sur-Azergues (Paray-le-Monial)
Sathonay-Rilleux - Villars-les-Dombes - Bourg-en-Bresse (partiellement)
Saint-André-le-Gaz - Chambéry
Saint-Pierre-d'Albigny - Albertville - Moutiers-Salins - Bourg-Saint-Maurice
Aix-les-Bains - Annecy - La Roche-sur-Foron - Annemase - Evian-les-Bains
La Roche-sur-Foron - Saint-Gervais-les-Bains - Chamonix-Mont-Blanc - Vallorcine
(Bellegarde) Bifur de Longeray-Léaz - Saint-Julien-en-Genevois - Annemasse
Bourg-en-Bresse - Nurieux - Brion-Montréal-La-Cluse - Oyonnax (Saint-Claude)
Nurieux - Bellegarde
Grenoble - Clelles-Mens - Aspres-sur-Buëch (Veynes-Dévoluy)
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D'après mes connaissances, la quasi totalité du réseau est électrifié mis a part Lyon > Roanne
Section Lyon-Perrache - Lyon-Vaise - Saint-Germain-au-Mont-d'Or
courant continu 1,5 kV depuis le 5 juin 1952 (jusqu'à Chalon-sur-Saône)
D'après mes connaissances, la quasi totalité du réseau est électrifié mis a part St-Etienne > Le puy
Section Saint-Etienne-Châteaucreux - Firminy
courant continu 1,5 kV depuis le 15 novembre 2005
D'après mes connaissances, la quasi totalité du réseau est électrifié
mis a part Valence > Chambéry/Annecy
Sections électrifiées :
Valence-ville - Raccordement LN5
(Lyon) Bifur de Moirans - Grenoble
Ensemble ferroviaire de Grenoble
Montmélian vers Chambéry et Annecy
D'après mes connaissances, la quasi totalité du réseau est électrifié mis a part Lyon > Roanne,
St-Etienne > Roanne, Valence > Chambéry/Annecy, Valence > Die, St-Etienne > Le puy (voir d'autres)
Lozanne - Lamure-sur-Azergues (Paray-le-Monial)
Sathonay-Rilleux - Villars-les-Dombes - Bourg-en-Bresse
Brion-Montréal-La-Cluse - Oyonnax (Saint-Claude)
Grenoble - Clelles-Mens - Aspres-sur-Buëch (Veynes-Dévoluy)
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Opération de police toujours en cours au Blanc-Mesnil . . .
Cinq personnes interpellées dont une aux environs de minuit
RMC et LCI
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A partir d'une simple faille dans le système informatique la SNCF va être délestée de la
somme rondelette de 100 000 €. De quoi créer un gros bug dans les comptes de la vénérable
dame de Fer. Il faudra d'ailleurs plusieurs mois à la « brigade financière et à la police judiciaire,
saisies de cette affaire, pour remonter la filière jusqu'aux malfaiteurs » explique le service
communication de la SNCF. Et prendre à contre-pied ce "trait de génie" de "parfaits escrocs".
La présidente Fouché, qui avait à juger, hier, cette affaire qui remonte à l'année 2002, a exposé
simplement le scénario pour le moins abouti.
Un homme se présente à un guichet SNCF pour soi-disant, acheter un billet. À la question sur le
moyen de paiement qu'il va utiliser, il répond invariablement : carte bancaire. L'hôtesse rentre
cette information sur son écran. Mais au moment de s'acquitter de son achat, il prétexte l'oubli
de son code, de sa carte... Quand arrive, inopinément, une connaissance. Cette dernière s'enquiert
de son problème et propose de le dépanner en effectuant un chèque.
Seulement le chèque émane d'un chéquier volé. Mais l'individu ne laissera pas le temps à la SNCF
de s'en apercevoir. Peu de temps après, il appelle la SNCF pour décommander son billet et demander
le remboursement de son titre de transport.
239 fois l'aller-retour virtuel entre Annecy et Rennes
La société de transports consulte les données enregistrées, relève qu'un règlement carte bancaire
a été effectué et crédite donc le compte de la somme a priori déboursée. Ce sont donc des milliers
d'euros qui vont atterrir sur des comptes bancaires ouverts par « des étudiants grenoblois d'origine
africaine » poursuit M e Collin, pour la SNCF. Les étudiants vont en effet reproduire leur petit manège
dans plusieurs gares rhônalpines.
Annecy n'échappera pas à "l'escroquerie", elle se fera délester de 10 000 €. Au total, le groupe a fait
virtuellement 239 fois l'aller-retour entre Annecy et Rennes, en première classe ; cette année-là, il y a
eu inflation sur les bigorneaux.
Depuis les individus ont été rattrapés par la justice pour d'autres affaires de même nature en 2003 et 2004.
L'un deux a même purgé sa peine et commencé à rembourser la SNCF, souligne M e Gauthier. « Je regrette
toutefois son absence » répète le procureur qui va demander à l'encontre du prévenu qui avait opéré à Annecy,
8 mois de prison avec sursis mise à l'épreuve assortis d'une obligation de travail et d'indemniser la SNCF de
10 000 €. Il a été suivi dans ses réquisitions. La petite histoire ne dit pas si depuis « qu'il est rentré dans le rang »,
le client de M e Gauthier prend le train pour ses déplacements.
Le Dauphiné Libéré de ce jour
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Le rapport qui explique le déraillement du wagon
Un expert du bureau d'enquêtes sur les accidents de transport terrestre
souligne une accumulation «sans précédent» de plusieurs causes.
Le bureau d'enquêtes sur les accidents de transports ferroviaires vient de publier un rapport
technique copieux d'environ 70 pages, consacré au déraillement du wagon transportant des
matières dangereuses, le 24 novembre 2009, en plein centre-ville d'Orthez. Une enquête réalisée
à la demande du ministère de l'Écologie, du développement durable, des transports et du logement
(MEDDTL), qui ne vise pas à établir de responsabilités mais « de prévenir de futurs accidents »,
est-il indiqué en préambule.
Le rapport est basé sur les investigations menées par un enquêteur, qui s'est rendu sur place le
surlendemain des faits, pour examiner le site et pour faire procéder aux relevés géométriques.
Il a également inspecté le wagon dérailleur, le 16 décembre 2009, à Artix, où il était placé sous
scellés. L'enquêteur a également eu à sa disposition le rapport des essais et analyses réalisés par
l'agence d'essais ferroviaire de la SNCF et à l'étude du mécanisme de déraillement réalisée par le
centre d'ingénierie du matériel de la SNCF. Il s'est enfin appuyé sur les pièces de l'enquête préliminaire
diligentée par le procureur de la République de Pau
Sans précédent connu
De toutes les investigations menées, il ressort « que le déraillement est dû à la combinaison
de nombreux facteurs causaux liés respectivement à la voie, au matériel roulant et à l'interface
roue-rail. » Autrement dit, une accumulation de plusieurs causes, qui si elles étaient survenues
isolément, n'auraient pas provoqué l'accident. Les conclusions soulignent qu'« une telle combinaison
de facteurs n'a pas de précédent connu. » L'hypothèse privilégiée est celle d'un « déraillement de
type classique appelé déraillement par montée de la roue guidante. »
Le déraillement a eu lieu dans une courbe située peu après le pont Neuf : une courbe « à fort dévers » (1),
ce qui signifie qu'un rail était plus haut que l'autre à l'endroit du déraillement. Dans le virage dans lequel
s'est produit l'accident, le poids du wagon exercé sur le lisoir était d'autant plus lourd que l'excès de dévers
était élevé. Or ce lisoir est jugé « très usé », ce qui aurait empêché le train de roulement de tourner
correctement. De plus, le rapport note une absence de graissage des rails à l'endroit de l'accident, ce qui
aurait eu pour effet de faciliter l'escalade de la roue sur le rail extérieur.
Huit recommandations
Cette analyse a conduit à huit recommandations : l'une concernant la voie, trois autres la maintenance
du matériel roulant, une autre relative au graissage des rails et trois dernières concernant les mesures
de protection ferroviaire à prendre en pareil cas.
Car le rapport indique que les conséquences du déraillement « auraient pu être aggravées » par plusieurs
facteurs : « le manque de clarté et de complétude du signalement du conducteur » : « l'absence de la
description des mesures à prendre en cas d'accident impliquant des matières dangereuses » ; « le retard
dans la décision et la réalisation de la coupure d'urgence de la tension caténaire. »
Ainsi, les trois dernières recommandations énoncent que la communication des conducteurs, en cas de
présomption de déraillement, doit être plus précise et non ambiguë. La dernière recommandation prévoit
le recours en cas de danger chimique, à la coupure d'urgence de la tension caténaire « pour permettre
d'arrêter les trains en cas d'urgence et de réduire le risque d'explosion en cas de fuite de matière dangereuse. »
(1) Différence de hauteur entre les deux rails.
Article et photo d'archive : Sud-Ouest de ce jour
L'hypothèse privilégiée est celle d'un déraillement classique « par montée de la roue guidante.»
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Salut,
Par contre j'ai du mal à comprendre comment l'une des deux rames s'est retrouvée à Saint-Pierre-des-Corps ... pour Rennes, on passe par Le Mans, et pour Nantes, on passe par ... Le Mans, non ? C'est dans cette gare que les deux rames prennent un itinéraire différent ... normalement.
Christophe
Nouvelle relation quotidienne directe Bretagne - Languedoc-Roussillon (12 décembre 2010)
TGV 5318 - Rennes 9.10 Le Mans 10.24/10.30 Lyon-Part-Dieu 13.31/13.37 Montpellier 15.27
Du Mans à Montpellier circule en UM avec le TGV 5326 en provenance de Nantes (arrivée 10.20)
Au départ du Mans rame Nantes en tête Rame Rennes en queue
Particularité du retour vers Rennes le soir . . .
Montpellier 16.28 Massy TGV 20.29/20.32 (Courtalain 20.59 +) Le Mans 21.19/21.22 Rennes 22.34
De Montpellier à Massy TGV circule en UM avec le TGV 5380/5381 à destination de Nantes
Au départ de Montpellier rame Rennes en tête - Rame Nantes en queue
Le TGV 5381 (Massy départ 20.37) (Courtalain 21.04 +) dessert Saint-Pierre-des-Corps mais pas Le Mans
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De ce que j'ai vu ce soir sur Lci, les voyageurs/Asct/Adc ont commencé à comprendre le problème à la première
gare d'arrêt (Le Mans pour les uns, St Pierre pour les autres) : difficile avant en même temps non ?
Concernant les ADC bien avant Tours et Le Mans : au PRS 17 (bifur de Courtalain)
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Lundi en fin de journée, quatre jeunes mineurs demeurant à Béziers ont été
arrêtés par les policiers de la Bac de jour d'Agde. Ils sont soupçonnés d'avoir
roué de coups un agent de la gare SNCF qui venait de les réprimander car ils
avaient traversé les voies ferrées sans autorisation, au péril de leur vie.
Tout débute quelques minutes plus tôt, vers 18 h 50, le contrôleur du train
Montpellier-Béziers contrôle ces quatre jeunes. Ils circulent sans billet valable
jusqu'à Béziers. Ils ont en fait, acheté un titre de transport leur permettant
d'arriver seulement à Frontignan, mais eux souhaitent rentrer chez eux à moindre
frais. Ils sont donc priés de descendre du train en gare d'Agde. Ces derniers s'y
refusent. Le contrôleur est obligé d'employer la force pour que les quatre individus
descendent de la rame. Là, par esprit de contradiction et alors que c'est formellement
interdit pour des raisons de sécurité, les quatre jeunes quittent le quai et traversent
toutes les voies ferrées de la gare. Alors, un employé leur demande de repartir dans
l'autre sens en empruntant les passages souterrains et les sermonne.
Les jeunes ne l'entendent pas de cette oreille. C'est un passage à tabac en règle que
va subir l'employé de la SNCF. Puis, les quatre individus âgés de 15 à 17 ans, prennent
la fuite en ville. Ils seront tous rattrapés par les policiers de la Bac près de 10 minutes
plus tard. Tous ont été placés en garde à vue. Ils seront présentés ce matin devant le
juge des mineurs. L'agent de la SNCF, frappé au visage par les quatre garçons, a une
interruption temporaire de travail de trois jours.
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Lyon Part-Dieu : elle écope d'une amende à sa sortie du TGV, malgré des billets valides
Elle n'avait pu présenter ses titres de transport qu'elle avait laissés à sa fille, assise à bord du train
Un mois après les faits, l'histoire la met encore en rogne. Et pas question pour elle de payer cette
amende de 83 euros injuste à ses yeux. « Ce qui m'a choquée, témoigne Francisca Pambou, c'est
d'être « accueillie » par la police ferroviaire à ma descente du train à la gare de la Part-Dieu : on
n'était coupables de rien, vous imaginez pour mes enfants ! » Hier matin, au comité régional de la
CGT à Lyon qui l'emploie comme secrétaire administrative, cette habitante de Vaulx-en-Velin raconte
son voyage houleux en TGV entre Paris et Lyon, le 21 novembre dernier.
Au terme du trajet, le contrôleur lui dresse une contravention pour « refus d'obtempérer » alors même
qu'elle n'était pas du tout en infraction à bord. Les billets de 210 euros aller/retour qu'elle nous montre
hier, le prouvent : ils sont dûment compostés. Qu'est-il arrivé ? « Je faisais la queue avec mon fils de
6 ans à la voiture-bar pour lui acheter à manger : il était presque 22 heures. Lorsque le contrôleur est
passé, je n'avais pas mes billets : je les avais laissés à ma fille de 14 ans, restée assise à nos places. »
C'est là, dit-elle, que le contrôleur commence à devenir agressif. « Il m'a demandé d'aller chercher mes
billets mais moi, je ne voulais pas perdre ma place dans la queue. Il est devenu méprisant : « Vous êtes
sourde ou quoi ? Allez chercher vos billets, vous me les ramenez ! » Il me disait même que mon fils pouvait
bien faire la queue à ma place. Et pourquoi pas payer avec ma carte bleue ! Je n'ai jamais refusé de présenter
mes billets, je lui ai même précisé à quelles places on se trouvait, pour faciliter son contrôle.
On en est restés là...» Son repas payé, Francisca a regagné son siège, sans se douter un instant de ce qui
l'attendait en gare de Part-Dieu... Même un responsable cheminot du comité régional de la CGT s'est dit,
selon elle, « sidéré » par cette histoire. À ce jour, le courrier que Francisca a envoyé le 22 novembre en
recommandé au service clientèle de la SNCF n'a pas reçu de réponse. Le service communication de l'entreprise
à Lyon, sollicité lundi par « Le Progrès », a indiqué hier ne pas être en mesure de nous fournir sa version des
faits avant la semaine prochaine. L'agent incriminé a utilisé « l'arme » du refus d'obtempérer. Une riposte
sans doute disproportionnée dans le cas de cette mère de famille en règle, qui rentrait tranquillement d'un
baptême à Paris.
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Finalement le retard est de combien ? Il y a discordance dans les titres de la presse.
Pour ce qui concerne les clients à destination de Perpignan
Les clients du Lunea 4795 (Perpignan 8.25) ont été acheminés de Lyon à
Perpignan avec le TGV spécial 27477 (Perpignan arrivée théorique : 20.38)
Retard prévu : + 60 mn (Source : Gares en mouvement)
Soit un retard de 13h15 environ
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Les clients du Lunea 4295 (Nice-ville 9.09) ont été acheminés
de Marseille (20.59) à Nice-ville (23.31) avec le TER 17499
Arrivée réelle : 0.21 soit + 50 (Source : Infolignes)
Soit un retard de 15h12
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Le Lunea 4295 . . .
Détresse à Tournus : 3h00 de stationnement
Départ de Tournus vers 16.55/17.00
Le train vient d'arriver à Lyon
Les quelque six-cents passagers du train de nuit Strasbourg-Port Bou ont pu repartir lundi
en fin d'après-midi de Saône-et-Loire, où ils ont été retenus plus de trois heures par, cette
fois, une panne de locomotive, 20 heures après leur départ d'Alsace.
«C'est une avalanche d'incidents liés aux conditions climatiques et à des problèmes techniques.
On a fait venir une locomotive de Chalon-sur-Saône pour remplacer la motrice défaillante», a
expliqué à l'AFP Jean-François Dherin, un responsable marketing SNCF dépêché à la gare de
Tournus (Saône-et-Loire). C'est en effet en pleine Bourgogne que le convoi au retard exceptionnel
a marqué vers 13H45 un nouvel arrêt avant de repartir peu avant 17H00 pour un ravitaillement à
Lyon. Le train devait arriver vers 18H00 à la gare de Lyon-Perrache.
Le retard de ce train a également causé quelques perturbations en gare de Dijon.
Le bien public
Montherme (Ardennes) : il se trompe et s'engage sur la voie ferrée
dans Actualité ferroviaire générale
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