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Le Web des Cheminots

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Messages publiés par IGS4

  1. A Barcelone, une femme défile nue sous une burka, contre la lapidation

    Un happening engagé, intitulé « Baby burka », en défense des femmes

    Un happening à caractère engagé a été organisé ce mercredi à Barcelone, pour alerter

    l'opinion sur le phénomène de la lapidation, pratiquée dans certains pays musulmans.

    Une femme nue, portant uniquement une burka lui couvrant la tête, a effectuée une

    balade de plusieurs minutes dans le secteur de la Place des Anges, proche du Musée

    d'Art Contemporain de la fameuse rambla de la ville.

    Cet événement a été imaginé par l'artiste et polémiste argentin Luizo Vega, en signe de

    protestation contre la possible exécution par lapidation de l'Iranienne Sakineh Mohammadi

    Ashtianí. Ce projet osé, intitulé « Baby burka », est voué à interpeller l'Europe au sujet de

    la peine infligée à cette femme de 43 ans, condamnée à mort il y a quelques mois en Iran,

    après avoir été accusée d'adultère, et d'avoir orchestré l'assassinat de son mari.

    Selon une information communiquée mardi par le Comité International contre la Lapidation,

    qui siège à Berlin, la lapidation est imminente. Le sort annoncé pour Sakineh Mohammadi

    Ashtianí, emprisonnée dans la ville de Tabriz, à 600 km de Téhéran, a suscité à ce jour une

    vague de protestations internationales, qui a permis jusqu'à présent de reporter l'exécution.

    La Clau

  2. Pour être plus précis, c'est effectivement le Lille-Rennes qui est

    tombé en rade sur la ligne classique peu après la sortie du Mans.

    Il est donc resté en pleine pampa

    A 3 km du Mans-Local on est encore en ville mdrmdr

    La section de séparation est située à 2,500 km du Mans-Local (Poste de Rubillard)

    juste en face du Fontenoy (Centre Hospitalier) soit au km 213 + 500

    La bifur de la Petite-Croix (Caen et Rennes) est située à 4 km du Mans-Local

    Le TGV devait donc se situé dans la tranchée située entre Le Fontenoy et la bifur de La Petite-Croix

    à proximité du centre de secours principal de la route de Degré

  3. je m'en souviens comme si c'était hier, pourtant à cette époque les médias n'étaient pas

    aussi nombreux que maintenant, la médiatisation de cette tragédie avait été énorme .

    la peine et la détresse pour ces pauvres gens et leur famille ont été immense !

    Le Dauphiné libéré de ce jour n'a pas ménager ses efforts okok

    Les victimes

    La liste complète des 146 victimes

    Le procès

    De nombreuses négligences relevées au procès

    Les mariés du 5-7

    Christian et Odile Rota, sortis indemnes de l'incendie, se sont mariés 15 jours après

    Le mémorial

    Un combat de 6 ans pour pouvoir ériger un mémorial en hommage aux victimes

    Comment sont contrôlés, aujourd'hui, les établissements qui reçoivent du public ?

    L'obsession des pompiers : les issues de secours

  4. Ils ne pourront jamais oublier cette nuit-là

    Il y a quarante ans, le 1er novembre 1970, un terrible incendie anéantissait le 5-7,

    un dancing à la mode situé à l'entrée de Saint-Laurent-du-Pont en Isère.

    Dans cette nuit du samedi 31 octobre au dimanche 1er novembre, quelque 200 danseurs

    vibrent au rythme des "Storm", un groupe parisien. Dans la salle, il fait chaud.

    À 1h45, la fête bascule. L'incendie se propage à une vitesse inouïe aux décors en

    polyuréthane. En se consumant, ce matériau dégage un gaz asphyxiant. Pire, les

    gouttelettes de plastique mettent ensuite le feu aux vêtements et corsages en

    fibres synthétiques. Pris de panique, les danseurs se ruent vers les sorties de secours...

    fermées. Elles étaient condamnées pour faire la guerre aux resquilleurs. Nombreux tentent

    de s'échapper par l'entrée. Tous butent contre les tourniquets. Ils sont morts asphyxiés,

    brûlés, enchevêtrés contre les barres métalliques.

    À leur arrivée, les pompiers de Saint-Laurent-du-Pont sont impuissants. Après s'être assurés

    qu'il n'y ait plus de survivants, les secours décident d'attendre le lever du soleil, jour de la

    Toussaint, pour dégager les victimes. Des corps méconnaissables, carbonisés. La salle des

    fêtes est convertie en chapelle ardente. Débute alors le difficile travail d'identification.

    Les techniques d'identification par l'ADN n'existent pas. Une montre, une bague, des clés

    suffisent pour identifier un corps. Neuf ne le furent jamais. Ils reposent aujourd'hui dans une

    fosse commune au cimetière de Saint-Laurent-du-Pont.

    La catastrophe devenue affaire d'État dépasse largement les limites de l'Isère. Ému par les

    reportages publiés sur le 5-7 aux États-Unis, un industriel américain offre 25 000 dollars

    (140 000 francs) aux familles des victimes en novembre 1970. Après bien des tribulations,

    la somme n'est versée qu'à la fin du mois de mars 1971 via le Secours catholique.

    Des familles qui durent aussi se battre pour ériger ne serait-ce qu'un mémorial

    L'œuvre du temps n'y fait rien?: la blessure, elle, est toujours là.

    Article et photo d'archive : Le Dauphiné libéré

    Avec 146 victimes, l'incendie du 5-7 fut la pire catastrophe qu'ait connue la France depuis la guerre

  5. Section : Lamballe - Dinan

    Le train régional reliant Saint-Brieuc et Dinan a heurté une voiture sur la voie

    ferrée à 7 h 15, au lieu-dit La Chapette à Pluduno. Heureusement, le conducteur

    et la passagère ont réussi à sortir de la voiture avant le choc.

    Le train a traîné la voiture sur 365 m avant de s'immobiliser.

    Il n'y avait qu'un seul passager à bord du train. Lui aussi est indemne.

    Le trafic a été interrompu jusqu'à 15 h, le temps d'enlever la voiture,

    totalement encastrée sous la locomotive.

    Deux trains ont été supprimés. La SNCF a mis en place un système de taxis

    pour conduire les passagers éventuels aux gares de Saint-Brieuc et Dinan.

    Article et photo : Ouest-France de ce jour

    Les deux occupants de la voiture ont pu sortir à temps, trois

    minutes avant que le train régional n'arrive. Ils sont indemnes.

  6. Infiltration dans les manifs à Lyon : trois policiers visés par une enquête

    Pouvaient-ils se faire passer pour des syndicalistes de la CGT au nom d'une opération de

    rétablissement de l'ordre ? Ce sera à la « police des polices » de le dire. L'Inspection générale

    de la police nationale (IGPN) a été saisie d'une enquête sur l'attitude de deux policiers et de leur

    supérieur, au terme de la manifestation contre la réforme des retraites, le 19 octobre, à Lyon.

    Le préfet Jacques Gérault a annoncé hier qu'il avait demandé cette enquête après avoir

    appris « mardi matin » ce qui s'était passé à Bellecour. Une vidéo diffusée par le

    site alternatif Rebellyon, qui suscite la polémique dans certains milieux politiques et syndicaux,

    montre deux policiers portant des autocollants de la CGT, filtrant l'entrée de l'immeuble voisin

    de la librairie Privat, au numéro 19 de la place Bellecour.

    Dans le hall derrière eux, des individus font l'objet d'un contrôle d'identité. À ce moment-là,

    des manifestants surgissent en criant « Libérez nos camarades ! ». Un groupe de sapeurs-pompiers

    s'avance vers les policiers déguisés en syndicalistes pour leur arracher leurs badges CGT.

    Quelques minutes plus tard, les policiers en question - qui ne sont pas membres de la brigade

    anticriminalité, selon le préfet - sont exfiltrés sous la protection de gendarmes mobiles.

    Le Progrès a retrouvé l'un des sapeurs-pompiers visibles sur la vidéo de l'altercation. Il s'agit de

    Jean-Pierre Monnier, membre du bureau syndical CGT des sapeurs-pompiers du Rhône. « C'était

    vers 14 heures, en fin de manif. Nous sommes venus, alertés par une étudiante qui nous a raconté

    que des policiers avec badges CGT arrêtaient des manifestants place Bellecour pour les conduire

    dans cet immeuble. Il y a eu un face-à-face avec eux, on était très remontés et ils ont donné leur

    identité réelle. On a dit qu'on n'acceptait pas ces méthodes scandaleuses ! Ils nous ont répondu

    qu'ils avaient dû mettre les badges CGT pour s'extirper d'une situation délicate place Bellecour.

    Mais ce n'est pas notre problème : s'ils s'infiltrent, qu'ils se débrouillent sans les badges de la CGT,

    parce qu'il y a des risques énormes d'amalgames avec le service d'ordre (SO) de notre syndicat.

    Qui dit qu'ils ne se sont pas fait passer pour le SO de la CGT pour interpeller plus facilement les gens ? ».

    Des sous-entendus qui agacent ce policier : « Arrêtons les fantasmes ! L'infiltration, ça se fait depuis

    toujours dans le but d'interpeller les casseurs et de sécuriser les manifs. S'il y avait des provocations,

    ça se verrait tout de suite, surtout avec les vidéos qui circulent de nos jours. »

    Interrogé hier sur le contenu de l'enquête, le préfet s'est borné à déclarer que son but sera de « vérifier

    si le comportement de ces policiers est conforme à la déontologie ou pas ». Des sanctions seront-elles prises ?

    « On n'en est pas là », a répondu Jacques Gérault, en insistant sur le fait que deux des policiers

    avaient été décorés dans leur carrière pour avoir « sauvé des vies pendant des prises d'otages ».

    Le Progrès de ce jour

  7. Les militants étaient nombreux, hier, devant la cour d'appel où l'accusation a requis la confirmationdes deux mois ferme pour des jets de pierres sur la police. Décision le 3 novembre.

    Ils sont venus en car de Saint-Nazaire, Nantes mais aussi du Mans et de la région parisienne pour soutenir leur « camarade » Jérôme Zimmer, cheminot de 36 ans et militant CGT, condamné à deux mois de prison ferme. Devant le Parlement de Bretagne où siège la cour d'appel de Rennes, ils ont retrouvé des membres de la CGT d'Ille-et-Vilaine, présents en nombre avec leurs drapeaux.

    La banderole Jérôme est innocent donne le ton. Les 400 militants CGT en sont persuadés : devant le tribunal de Saint-Nazaire, le cheminot a été condamné « à tort », « à la va-vite », et « pour l'exemple ». Il a fait appel.

    Vers 14 h 30, Jérôme Zimmer arrive dans le box, escorté par deux gendarmes. Il est poursuivi pour « violence sur policier » et « participation avec arme (des pierres) à un attroupement ».

    Le 23 septembre dernier, le chef de service à la gare de Savenay participe à une manifestation contre la réforme des retraites. À la fin du défilé, des dizaines de personnes se rassemblent devant la sous-préfecture. Vers 16 h, premiers jets de pierres et de bouteilles vides sur les forces de l'ordre. Une bouteille contenant une mèche enflammée éclate à leurs pieds. La police réplique à coups de grenades lacrymogènes. Jérôme Zimmer est interpellé, deux heures plus tard, dans une rue voisine. Il est en état d'ivresse.

    Pas dans le camp des casseurs

    Un policier de la Bac (Brigade anticriminalité) le reconnaît. Il l'a vu jeter des pierres lors des affrontements. Le cheminot aurait alors déclaré au policier : « La manifestation s'est bien passée. J'ai pu lancer des pavés sur les flics ». Cette phrase, Jérôme Zimmer la conteste. L'avocat général, lui, ne retient qu'elle pour requérir les deux mois ferme. Selon le magistrat, le cheminot a « activement participé » à l'attroupement.

    « Cette déclaration est un simple renseignement. C'est insuffisant pour affirmer qu'il a lancé des pierres, rétorque son avocat Me Erwan Le Moigne. Ce 23 septembre, il était dans le camp des manifestants, pas dans celui des casseurs. La preuve, il n'a pas entendu les sommations des policiers. Son amie qui l'accompagnait non plus ».

    Avant de conclure, l'avocat a remis à la cour une pétition de soutien au syndicaliste, noircie par 9 000 signatures.

    Jérôme Zimmer a insisté : « J'ai participé à la manifestation de manière pacifique. A aucun moment, je n'ai voulu blesser ou détruire. C'est la parole d'un policier contre la mienne », a t-il dit.

    La cour s'est laissé une semaine de réflexion avant de se prononcer. La décision sera rendue le 3 novembre. La CGT sera là. En attendant, le cheminot reste détenu.

    Ouest-France de ce jour

  8. Je voulais donc savoir s'il existe une définition du mot "transit". helpsoso

    Enclenchements électriques

    Définition officielle :

    L'enclenchement de transit immobilise les différentes aiguilles d'un

    parcours par le jeu des zones intéressées (ou par celui de pédales)

    Il est en principe réalisé sous la forme du transit souple, c'est-à-dire

    que les aiguilles sont libérées au fur et à mesure de leur dégagement

    Il agit soit sur les leviers de manoeuvre des aiguilles dans les postes à leviers

    individuels, soit sur les organes mécaniques de commande des aiguilles dans les

    postes à leviers d'itinéraires, soit directement sur les organes électriques de

    commande des aiguilles dans les postes tous relais par exemple

    L'enclenchement de transit existe également sous d'autres formes, notamment

    celle du transit rigide où les aiguilles sont libérées simultanément après

    dégagement de la totalité du parcours

    Les dispositions relatives au fonctionnement du transit ainsi que les mesures à prendre

    en cas de dérangement figurent dans la consigne rose des postes intéressés

  9. Bonneville ?

    Bravo !

    C'est bien la sortie de la gare de Bonneville (km 10) côté La Roche-sur-Foron

    Dans le fond la pancarte LM et le pont-cage (140 m) qui permet de franchir l'Arve

    Section : La Roche-sur-Foron - Bonneville - Cluses - Sallanches - Saint-Gervais-les-Bains (46,900 km)

    C'est le 1er juin 1890 que la Compagnie du PLM met en service

    la section La Roche-sur-Foron - Bonneville - Cluses (24,600 km)

    La section Cluses - Sallanches - Saint-Gervais-les-Bains (22,300 km)

    ne fut mise en service par la Compagnie du PLM que le 5 juin 1898

    La ligne atteint son point culminant (580 m) à La Roche-sur-Foron, Sallanches et Saint-Gervais-les-Bains

    Son niveau le plus bas se situe à Bonneville (449 m) ville sous-préfecture de la Haute-Savoie

    En 1951 la ligne à été équipée du BMVU (Block manuel de voie unique type SNCF)

    Cependant depuis 1982 la section Sallanches - Saint-Gervais-les-Bains (6,300 km) est équipée du BAPR

    A l'initiative de l'ingénieur haut-savoyard Louis Armand, la ligne est

    électrifiée en courant monophasé 25 kV 50 HZ depuis le 18 octobre 1955

    A la fin des années 50 la ligne desservait :

    Saint-Pierre-en-Faucigny (+ 6,200 km) Bonneville (+ 10 km) Marignier (+ 17,800 km)

    Thiez-le-Nanty (+ 21,00 km) Cluses (+ 24,600 km) Balmes-Araches (+ 28,300 km)

    Magland (+ 31,400 km) Oex (+ 35,300 km) Sallanches (+ 40,600 km) Domancy (+ 43,800 km)

    et Saint-Gervais-les-Bains (+ 46,900 km)

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