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Le Web des Cheminots

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  1. Région SNCF de Nantes SNCF : conflit suspendu Après quinze jours de grève, à l'appel de la CGT et de SUD Rail, le conflit est suspendu « mais pas arrêté ». « Nous allons tout faire pour qu'il y ait un retour à la normale dès vendredi », affirme Xavier Cohadon, directeur régional de la SNCF. A moins qu'aucun accord ne soit trouvé ce même vendredi entre direction et syndicats. Auquel cas, assure un délégué SUD Rail, « la grève redémarrera ». (Dernière minute : Ouest-France)
  2. Le dépôt d'Annemasse Véritable entreprise et sans doute, en 1936, la plus importante de la région annemassienne où aux heures de prise et de fin de service résonnait une sirène entendue dans toute l'agglomération. En janvier 1937, peu avant la nationalisation du P.L.M., le dépôt d'Annemasse compte plus de 100 locomotives. Entre 1944 et 1946, 38 locomotives sont loués aux chemins de fer fédéraux suisses en attendant la réparation des machines françaises endommagées durant la guerre. Il y a encore 86 locomotives à vapeur au dépôt d'Annemasse au début et bientôt la suppression. Dans cette fourmilière, il y avait aussi un important pesonnel roulant assumant la conduite et la chauffe au charbon d'un conséquent parc à machines à vapeur. Les nombreux bureaux regroupant l'encadrement et les employés administratifs. Parmi le personnel d'exécution de l'atelier on trouve une variété de métiers (outilleur, fraiseur, soudeur, robinetier, chaudronnier, forgeron, régulateur, charron, etc.) Des bâtiments annexes assuraient l'approvisionnement des locomotives en charbon par un quai à combustible avec ses wagonnets, en eau pour le remplissage des tendeurs par des grues à eau. Il faut préciser que le dépôt disposait de sa propre station de pompage à Etrembières. L'eau était puisée dans l'Arve et était amenée par une conduite jusqu'à la gare et au dépôt.
  3. En 1950, apparition à Annemasse des premières locomotives de type 141 R charbon du dépôt de Grenoble De nombreux échanges de locomotives eurent régulièrement lieu entre ces deux dépôts qui avaient, par ailleurs, d'excellentes relations entre cheminots Les dernières locomotives à vapeur en circulation régulière ont été les 141 R des dépôts d'Annemasse, de Grenoble et de Vénissieux
  4. Les établissements et profils de la ligne . . .
  5. Lors de la Révolution française, la commune fut, comme toute celles de la sénéchaussée de La Flèche, rattachée au nouveau département de la Sarthe Le château est visitable du 1er juillet au 31 août, architecture du XVIIIe siècle, toits Mansart
  6. L'autre château de Malicorne-sur-Sarthe Malicorne-sur-Sarthe faisait partie de la sénéchaussée angevine de La Flèche et de l'ancienne province d'Anjou Au XVIIe siècle, la marquise de Sévigné y rendait visite à la marquise de Lavardin Au XVIIIe siècle, le château appartint notamment au duc de Choiseul L'entrée du château
  7. Bonjour Jackv, Merci pour ce lien
  8. Le château de Rive Sarthe à Malicorne-sur-Sarthe
  9. Manoeuvres "au drapeau" en gare de La Flèche à l'époque du PO
  10. Ligne 78 - La Flèche - Malicorne-sur-Sarthe - La Suze-sur-Sarthe (Le Mans) Ligne 78 - La Flèche - Baugé - Vivy - Saumur Ligne 79 - La Flèche - Crosmières-le-Bailleul - Sablé-sur-Sarthe Ligne 80 - La Flèche - Luché-Pringé - Le Lude - Aubigné-Racan Ligne 80 - La Flèche - Bazouges - Durtal - Angers (Saint-Barthélemy) Ligne La Flèche - Cérans-Foulletourte - Le Mans (tramways de la Sarthe) Gare de bifurcation de La Flèche (328 + 300) Mise en exploitation : le 19 juin 1871 Fermeture au service voyageurs (par fer) : le 6 avril 1970
  11. Au pays des faïenceries et du Prytanée national militaire Ligne 78 - (Le Mans) La Suze-sur-Sarthe - Malicorne - La Flèche (30.100 km) Gare de Villaines-sous-Malicorne (km 339 + 100)
  12. Au pays des faïenceries d'art et du Prytanée national militaire. (Le Mans) La Suze-sur-Sarthe - Malicorne - La Flèche (30,100 km) Son point culminant (PK 337 + 500) se situait entre Villaines-sous-Malicorne (PK 339 + 100) et la bifur de l'Aubinière (PK 336 +400). Déclivités maximales des rampes et pentes : 15 ‰. Mise en service par la Compagnie du PO : le 24 décembre 1877. Fermeture au service voyageurs : le 6 avril 1970. Fermeture au service du fret : milieu des années 90. A La Suze-sur-Sarthe cette ancienne ligne avait son origine côté Sablé-sur-Sarthe (Angers). La ligne desservait la ville de Malicorne-sur-Sarthe connue pour ses faïenceries d'art et pour son château de RiveSarthe qui était jusqu'en 2001 la propriété des services sociaux de la SNCF. Ce château qui proposait notamment des séjours à l'intention des enfants du personnel, ainsi qu'aux retraités, des stages de moniteurs de manœuvre, était réputé pour sa bonne cuisine. Le château de RiveSarthe est désormais une propriété privée. A partir de la bifur de l'Aubinière la ligne était en tronc commun avec la ligne 78 en provenance de Sablé-sur-Sarthe . La ligne desservait ensuite La Flèche sous-préfecture de la Sarthe connue pour son célèbre Prytanée national militaire fondé il y a 410 ans (1603) par Henri IV (Collège Royal). La Flèche était autrefois une étoile ferroviaire importante. La gare de Malicorne-sur-Sarthe (km 344 + 800) en 1906 Un train en partance pour La Suze-sur-Sarthe (13.600 km) et Le Mans (32 km)
  13. Ligne 80 - Aubigné-Racan - Le Lude - Luché-Pringé - La Flèche (32.500 km) Gare du Lude (km 307 + 900)
  14. Ligne 80 - Aubigné-Racan - Le Lude - Luché-Pringé - La Flèche (32.500 km) Le but de la construction de cette ligne était d'assurer une liaison ferroviaire entre la ligne Le Mans - Château-du-Loir - Tours et La Flèche, ville sous-préfecture de la Sarthe En gare d'Aubigné-Racan l'origine de cette ancienne ligne était située côté Château-du-Loir (Tours) Après avoir franchit le Loir au viaduc de Varennes, la ligne desservait La Chapelle-aux-Choux, puis la ville du Lude connue pour son château du XIIIe siècle situé sur les bords du Loir http://www.lelude.com La ligne qui passait à proximité du château de La Grifferie, desservait ensuite Luché-Pringé, Cette gare disposait d'un embranchement particulier (2 accès) de l'administration militaire Après avoir desservit Thorée-les-Pins, la ligne atteignait La Flèche La Flèche était autrefois une étoile ferroviaire importante
  15. Ligne 80 - Aubigné-Racan - Le Lude - Luché-Pringé - La Flèche (32.500 km) Mise en exploitation : le 19 juin 1871 par la Compagnie du Paris-Orléans Fermeture au service voyageurs : le 15 mai 1938 Déclassement : Section Aubigné-Racan (ex. ITE papeterie Allard) - Le Lude : le 29 octobre 1970 Section Le Lude - Luché-Pringé : le 16 décembre 1991 Section Luché-Pringé - La Flèche : le 10 novembre 2003 Gare de Luché-Pringé (km 316 + 800)
  16. Les installations ferroviaires d'Annemasse Km 172 + 713 (axe du BV) depuis Lyon-Perrache
  17. Le complexe ferroviaire d'Annemasse en 1904 En haut la direction d'Evian-les-Bains, Saint-Gingolph et Le Bouveret La localisation de la plaque tournante du dépôt d'Annemasse Sur la droite l'ancienne ligne de tramways vers Samoëns et Sixt exploitée par la compagnie des CEN (Chemins de Fer Economiques du Nord) Sur la gauche la ligne vers Genève-Eaux-Vives mise en service le 8 juin 1888 En bas la bifurcation d'Etrembières-Salève vers Bellegarde et La Roche-sur-Foron (Annecy) et la localisation de l'ancien PANG (Point d'arrêt non géré) d'Etrembières-Salève (km 170.500)
  18. Ligne 892 - Longeray-Léaz - Saint-Julien-en-Genevois - Annemasse (33.100 km) C'est le 30 août 1880 que la Compagnie du PLM met en service cette ligne à voie unique La section Annemasse - Thonon-les-Bains fut mise en service aussi en août 1880 En 1952 la ligne à été équipée du block manuel de voie unique type SNCF (BMVU) La signalisation de la ligne est en cours de modernisation (BAL) La section : bifur de Longeray-Léaz - Viaduc du Rhône (aval) est électrifiée en courant continu 1.5 kV depuis le 8 septembre 1971 La section : viaduc du Rhône (aval) - Annemasse est électrifiée en courant monophasé 25 kV 50 Hz depuis le 8 septembre 1971 La ligne franchit le défilé de l'Ecluse (Rhône) grâce au splendide viaduc de Longeray, longe ensuite le Vuache, puis s'élève près de Chevrier qui était autrefois pourvu d'une halte Elle dessert ensuite Saint-Julien-en-Genevois ville sous-préfecture de Haute-Savoie
  19. La passerelle de la gare de Bellegarde-sur-Valserine (Ain) a été construite dans un style Eiffel en 1881 pour relier la gare PLM à la gare des Dombes Elle repose sur une dizaine de colonnes en fonte et fait plus de 70 m de long Elle était située à l'emplacement du départ du tramway de Bellegarde à Chezery Elle sera prolongée en 1908 par une seconde passerelle sur la voie des Dombes pour permettre la liaison piétonne Bellegarde-gare - Musinens Sur cette illustration datant d'après 1881 on voit bien la passerelle en question
  20. La nouvelle gare PLM (1907) de Bellegarde-sur-Valserine (Ain) Le 1er août 1904 un incendie se déclare dans le bâtiment voyageur originel (1858) Il est réduit à néant et nécessite une nouvelle construction Un nouveau bâtiment, construit à la même place que l'ancien et mis en service en 1907, brûlera lui aussi, dans la nuit du 9 avril 2003
  21. Bonjour Daniel, Aucune idée ? Section Longeray-Léaz - Saint-Julien-en-Genevois - Annemasse - Thonon-les-Bains : mise en service le 30 août 1880 Section Thonon-les-Bains - Evian-les-Bains : mise en service le 1er juin 1882 Section - Evian-les-Bains - Meillerie - Saint-Gingolph (Le Bouveret) : mise en service le 1er juin 1886
  22. Concernant la photo (église et PN) précisant le côté opposé au "R" Les Eyzies (km 540 + 600) côté Niversac Si la réponse est correcte je passe la main
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