IGS4

Bonsoir ,

Exemple : plateforme LGV Sud-Est

Entr'axe de voies : 4.20 mètres

Largeur totale : 13 mètres

Exemple : plateforme LGV Atlantique

Entr'axe de voies : 4.20 mètres

Largeur totale : 13.60 mètres

J'ai connu le BV (qui était à l'abandon) jusqu'au milieu des années 80

Ensuite l'ancienne gare a été rasée

Au temps de l'ancienne compagnie du PO

Gault Saint-Denis, ses lorrys, ses taupiers . . .

Auneau-Orléans : 81 (ne pas confondre avec Auneau-Ville, sur la ligne Auneau-Orléans - Maintenon)

Bonsoir,

Auneau-ville au temps de l'ancienne compagnie de l'Etat

A Allonnes, un EP céréalier possède un petit Y 2400 ex-SNCF,

mais est-il encore en état de marche ? Y a-t-il encore un trafic fret ?

Bonsoir,

Au milieu des années 90 on desservait encore cet établissement PL

à partir de Voves sous le régime de la desserte dite "en antenne"

(sans intercalation d'une autre circulation)

Circulation "Hors cantonnement" :

pour raison évidente du fonctionnement normal du BMVU

= ordre écrit pour franchissement du sémaphore fermé

Ils sont donc supérieurs aux PK actuels de 3 à 5 km

Bonsoir,

Situation du carnet de profils de 1958

Dourdan : km 55.500

Sainte-Mesme : km 60.500

Paray-Douaville : km 69.900

Auneau-Embranchement : km 76.500

Santeuil : km 83.500

Allonnes-Boisville : km 92.500

Beauvilliers : km 95.600

Voves : km 99

Gault Saint-Denis : km 109.500

Moriers km 114.600

Bonneval : km 119.500

Marboué : km 128.600

Châteaudun : 133.200

Mi dispiace, ma Brig non é in Cantone Ticino :-)

Capisco

Bien entendu qu'on est pas dans le canton du Tessin

On s'en rapproche tout de même sérieusement via Domodossola (Centovalli)

Mio nonno nativo di Locarno

A presto

salut tu peux nous en dires + bon c'est frais , Franchissement de signal fermer,héreur d'éguillage.

Merci

A+ Garcimore

Bonjour Garcimore,

Pour le moment je n'en sais pas plus que toi

Malgré que je connais bien cet endroit, je ne suis pas encore

Capo di movimento (Chef du mouvement) en gare de Brigue, ni au

Matterhorn-Gotthard-Bahn (MGB) non plus, et encore moins au BLS bigbisous

Collision de trains entre Brigue et l'entrée du tunnel du Simplon

Deux trains de marchandises sont entrés en collision ce matin vers 02h40 entre Brigue (VS)

et Iselle di Trasquera (I) sur la ligne du Simplon. Aucun blessé n'est à déplorer mais la ligne

ferroviaire Brigue-Domodossola est bloquée. Des enquêteurs sont sur place.

Les trains, qui ne transportaient pas de matière dangereuse, se sont heurtés frontalement entre

la gare de Brigue et l'entrée du tunnel du Simplon. Plusieurs wagons de marchandises ont déraillé.

Le Bureau fédéral indépendant d'enquête sur les accidents ferroviaires est sur place.

Il tentera de déterminer les causes de la collision.

La ligne Brigue-Domodossola est interrompue pour une durée indéterminée.

Une situation qui entraîne des retards et suppressions de trains, notamment

sur la ligne Bâle-Milan et Genève-Milan.

Le Temps

Photo : 20 minutes

Tient une photo qui est identique à mon site http://f1rsm.free.fr/spip/spip.php?article4&artpage=2-2

no problème

Bonsoir Jean-Marc,

Effectivement c’est la même photo

Comme je te l’ai précisé par ailleurs . . .

Qui dit accident à Montbard (Côte-d’Or) en octobre 1962,

dit rapport d’accident établi à l’époque par l’ex. arrondissement de Dijon

Bonne fin de soirée

Cordialement

L'étoile ferroviaire de Châteaudun . . .

Décembre 1865 - Mise en service des sections :

Châteaudun - Bonneval - Voves - Auneau - Dourdan (77.700 km)

Châteaudun - Cloyes - Fréteval-Morée - Pezou - Vendôme (42.900 km)

Avril 1883 - Mise en service des sections :

Châteaudun - Lutz-en-Dunois - Civry-Saint-Cloud - Péronville - Patay (29.200 km)

Châteaudun - Saint-Denis-les-Ponts - Langey - Courtalain (15.800 km)

1921 - Mise en service de la ligne à écartement métrique :

Châteaudun - Ouzouer-le-Doyen - Oucques (32 km)

Exploitation : Compagnie des tramways électriques du Loir-et-Cher

Fin du service voyageurs : 1933

Juillet 1939 - Fermeture des sections :

Châteaudun - Patay et Châteaudun - Courtalain

1943 - La section : Châteaudun - Courtalain est

démontée sur demande des autorités allemandes

1949 - Déclassement de la section : Châteaudun - Courtalain

en quelle année ça a été mis en VU ? il me semble que c'était de la DV avant

C'est pas plutôt la mise en voie unique en 1954 de la ligne :

Chartres - Courtalain - Château-du-Loir - Saumur ?

Mea Culpa , il s'agit de la situation en 1988, peut etre

que le BMVU va jusqu'a Chateaudun maintenant.

C'est pas peut-être ! C'est certain !

Au début des années 90 lorsque j'étais sur l'ex. CEX de Chartres la section :

Dourdan - Auneau - Voves - Châteaudun était déjà équipée du BMVU

Avant que la région de Paris-Montparnasse fusionne avec celle de

Paris Sud-Ouest (Paris-Austerlitz) pour devenir la région de Paris

rive gauche, cette ligne était gérée par l'ex. CEX de Brétigny

Bonsoir Jackv

Les trains à vapeur et l'ICT de 1947

Ce règlement ainsi que ses annexes A et C a été supprimé en 1988

à l'occasion de la mise en place du Règlement S7A (l'actuel IN 1604)

La ligne "stratégique" Monéteau-Gurgy - St Florentin-Vergigny (89), ouverte en 1926

et fermée aux voyageurs en 1932, possèdait des maisons de PN identiques

Ligne 764 - Saint-Florentin-Vergigny - Pontigny - Monéteau-Gurgy (27 km)

Fermeture au service voyageurs : fin juin 1932

Elle desservait Chéu (+ 5.900 km) Pontigny (+ 12 km) Rouvray, Héry et Monéteau-Gurgy

La gare de Pontigny

La gare d'Héry

La gare de Monéteau-Gurgy, ses barrières pivotantes,

son accès au quai impair interdit à partir du passage à niveau

Dans le fond la direction de Laroche-Migennes et Paris

Si elle avait été terminée, la ligne Le Puy (43) - Lalevade d'Ardèche (07)

aurait peut-être eu droit elle aussi à cette architecture dite "PLM tardif"

La ligne ferroviaire inachevée : La Transcévenole

La ligne du Tonkin (section valaisanne)

Saint-Gingolph - Le Bouveret - Saint-Maurice - Sion

Pourquoi ce surnom de "ligne du Tonkin" ?

L'histoire n'a pas retenue la cause exacte de cette appellation,

néanmoins il existe plusieurs facteurs qui auraient pu entraîner ce surnom

Comme cette ligne était vouée à un trafic international: France - Le Bouveret

Simplon - Italie - Istanbul - Les Indes - Pékin, il semblerait que ce désir de se

rapprocher du monde asiatique est pu influencer les esprits locaux

La deuxième raison possible est qu'à l'époque de la construction de cette ligne,

le bas-Valais était encore occupé par des marécages qui donnaient à cette région

une grande ressemblance avec la région vietnamienne du Tonkin

La troisième raison viendrait du fait que pendant les travaux de la construction de

cette ligne un bateau "voyageurs" faisait la navette: Lausanne-Ouchy - Le Bouveret

avec son restaurant "La Tonkinoise" qui ne servait que des spécialités asiatiques

La quatrième raison (et la moins probable) prétend qu'il y avait eu parmi

les ouvriers, des travailleurs vietnamiens venant de la région du Tonkin

Du côté Suisse les trains s'arrêtent juste avant la frontière

La ligne du Tonkin (section valaisanne)

Saint-Gingolph - Le Bouveret - Saint-Maurice - Sion

Le comte Adrien de la Valette voulait faire du Bouveret le "Port Saïd Helvétique",

ce qui explique l'ampleur de sa gare qui a jouée un rôle important pendant la

seconde guerre mondiale, pour l'acheminement des trains de la Croix-Rouge à

destination de la France par le sillon Alpin avec des trains complets de ravitaillement

Le 30 Juin 1858 - Dernière explosion sous le tunnel de Saint-Maurice

(80 coups de mines), la dernière paroi tombe

Le 16 Février 1859 - La première locomotive rallia Le Bouveret à Vouvry

Le 27 Mars 1859 elle entra en gare de Monthey

Le 3 Avril 1859 elle traversera pour la première fois le tunnel de Saint-Maurice (460m)

Le 14 Juillet 1859 la ligne est inaugurée en grandes pompes

Il faudra encore attendre un an avant que le train fasse son entrée dans la ville de Sion

Principales dates

Le 1er juin 1886 - Mise en service de la ligne par le PLM

1936 - Création d'un train direct : Genève-Eaux-Vives - Milano-Centrale via

Annemasse, Evian-les-Bains, Saint-Gingolph, Sion, Brig et Domodossola

Le train du retour était réservé aux seuls ressortissants suisses

1937 - Dernière année de circulation du train saisonnier direct :

Evian-les-Bains - Meillerie - Saint-Gingolph - Le Bouveret - Saint-Maurice

5 mai 1938 - Fermeture de la ligne au service voyageurs

9 mai 1940 - Le trafic ferroviaire (fret) transfrontalier est suspendu jusqu'au 9 juillet 1941

1986 à 1999 - Circulation du train touristique saisonnier "Rive-bleue-express"

1988 - Fermeture de la ligne au trafic fret

la ligne du tonkin, c'est celle qui continue après Evian direction la Suisse ?

j'ai jamais compris pourquoi ce morceau était à l'abandon

Bonjour Géant vert,

Dès 1857 un projet de ligne baptisé "Chemin de fer d'Italie" a été élaboré pour desservir depuis

Bellegarde et Annemasse, les localités du Chablais français de la rive méridionale du lac Léman

Contesté, remis en question, ce n'est que 23 ans plus tard, en 1880 que le rail atteignit

Thonon-les-Bains, puis en 1882 Evian-les-Bains

Le 1er juin 1886 la compagnie du PLM inaugure la section Evian-les-Bains - Saint-Gingolph (18 km)

La frontière fût ainsi franchie pour atteindre Le Bouveret, et permettre ainsi de

se raccorder à la compagnie de chemin de fer Suisse Occidentale Simplon (SOS)

Au départ d'Evian-les-Bains la ligne desservait

Bains-d'Evian (+ 2 km), Petite-rive-Maxilly (+ 4 km) Lugrin-Tourronde (+ 7 km),

Meillerie (+ 12 km), Saint-Gingolph France (+ 17 km) et Saint-Gingolph Suisse (+ 18 km)

Saint-Moritz - Pontresina - Ospizio-Bernina - Poschiavo - Tirano

Les RhB possèdent le plus vieux chasse-neige à vapeur en exploitation du monde

Le chasse-neige à vapeur Xrot 9213 en pleine action au col de la Bernina (2253 m)

Le diamètre de coupe de 3 mètres peut jeter la neige jusqu'à une hauteur de 18 mètres

Photos RhB

le BMVU est arrivé entre Dourdan et Auneau , Auneau et Voves à l'occasion

de travaux de construction de la LGV Atlantique fin 1986 début 1987

Le BMVU ne s'arrête pas à Voves

La section Voves - Bonneval - Châteaudun est aussi équipée du BMVU

Le reste de la ligne était restée en cantonnement téléphonique

C'est la section Châteaudun - Vendôme - La Membrolle-sur-Choisille

qui est exploitée sous le régime du CAPI

La section à voie unique Dourdan - Châteaudun est exploitée

sous le régime du Block manuel de voie unique type SNCF (BMVU)

Les gares sont équipées de tableaux de block miniaturisés

En 1977, dans le cadre de la modernisation des équipements de

sécurité, des tableaux de block miniaturisés, ont été mis au point

Ils remplissent les mêmes fonctions que les anciens tableaux de block

L'envie de casser. Le mépris du bien commun et de l'intérêt général. Autrement dit,

l'imbécillité. Aucune autre hypothèse ne permet d'expliquer les exactions commises

en gare de Nice dans la nuit de samedi à dimanche.

Sept trains ont été dévastés alors qu'ils se trouvaient à l'arrêt. Inventaire des dégâts :

cent soixante-dix vitres brisées, des extincteurs vidés dans les couloirs, des miroirs en

miettes, des cloisons défoncées. Deux TGV, deux TER, deux trains couchettes et un

ensemble Teoz ont ainsi été démolis en l'espace de deux heures . . .

Nice matin

La photo de Vie du Rail

La catastrophe de Saint-Michel-de-Maurienne (Savoie)

Le 12 Décembre 1917 environ 1000 soldats rentraient à la maison en permission de

combats du Nord-est de l'Italie. Ces poilus d'Italie venaient de régiments fort différents

et des quatre coins de la France : les "biffins" y étaient largement représentés avec

le 39ème, le 107ème, le 340ème, le 78ème, le 311ème, le 120ème, le 140ème

Des hommes du 6ème génie, des chasseurs alpins des 63ème et 47ème, des artilleurs

de la 212ème AL et des gars du 34ème AM. Quelques officiers, une centaine, mêlés à

cette joie enfantine fraternisaient plus ou moins

Ils étaient transportés dans deux trains de Turin à Lyon. En raison des conditions

actuelles, il y avait une pénurie de locomotives. En effet, une seule était disponible

A Modane, il y avait soixante-cinq hommes par voiture. Le train 614 avait été constitué de

deux rames formant ainsi un train de 526 tonnes qui se composait d'un fourgon de tête, trois

voitures à boggies, deux voitures à essieu, douze voitures à boggies et un fourgon de queue

Le bilan reste aussi mystérieux que les causes de l'accident, guère élucidées par

un conseil de guerre tenu en juillet 1918. En mars 1919, le bilan officiel fut arrêté

à 148 morts identifiés, 277 non identifiés individuellement (les 425 noms figurant

sur une liste d'état-civil à Saint-Michel de Maurienne), 207 blessés et 350 rescapés.

Avant d'être amplifié (800 morts) à l'occasion des anniversaires de la catastrophe.

Dans les hôpitaux de Modane, de Saint-Jean-de-Maurienne et de Chambéry,

plus de cent moururent des suites de leurs blessures, ou en cours de transfert.

La plupart des victimes décédées furent enterrés au cimetière de Saint-Michel

de Maurienne. Désormais, les corps des victimes non restitués aux familles ont

été transférés au cimetière de La Doua en banlieue lyonnaise.