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Le Web des Cheminots

IGS4

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Messages publiés par IGS4

  1. dont le bilan final, terrible, a toujours été caché par l'armée,

    qui porte la responsabilité de l'accident, d'ailleurs

    Le bilan reste aussi mystérieux que les causes de l’accident, guère élucidées par

    un conseil de guerre tenu en juillet 1918. En mars 1919, le bilan officiel fut arrêté

    à 148 morts identifiés, 277 non identifiés individuellement (les 425 noms figurant

    sur une liste d’état-civil à Saint-Michel de Maurienne), 207 blessés et 350 rescapés.

    Avant d’être amplifié (800 morts) à l’occasion des anniversaires de la catastrophe.

    Dans les hôpitaux de Modane, de Saint-Jean-de-Maurienne et de Chambéry,

    plus de cent moururent des suites de leurs blessures, ou en cours de transfert.

    La plupart des victimes décédées furent enterrés au cimetière de Saint-Michel

    de Maurienne. Désormais, les corps des victimes non restitués aux familles ont

    été transférés au cimetière de La Doua en banlieue lyonnaise.

  2. L'une d'entre elles est bien connu, c'est celle de Saint-Michel de Maurienne

    Le 12 Décembre 1917 environ 1000 soldats rentraient à la maison en permission de

    combats du Nord-est de l'Italie. Ces poilus d’Italie venaient de régiments fort différents

    et des quatre coins de la France : les "biffins" y étaient largement représentés avec

    le 39ème, le 107ème, le 340ème, le 78ème, le 311ème, le 120ème, le 140ème

    Des hommes du 6ème génie, des chasseurs alpins des 63ème et 47ème, des artilleurs

    de la 212ème AL et des gars du 34ème AM. Quelques officiers, une centaine, mêlés à

    cette joie enfantine fraternisaient plus ou moins

    Ils étaient transportés dans deux trains de Turin à Lyon. En raison des conditions

    actuelles, il y avait une pénurie de locomotives. En effet, une seule était disponible

    A Modane, il y avait soixante-cinq hommes par voiture. Le train avait été constitué de deux

    rames formant ainsi un train de 526 tonnes qui se composait d’un fourgon de tête, trois

    voitures à boggies, deux voitures à essieu, douze voitures à boggies et un fourgon de queue

  3. CC 65000 "sous-marins" - 8 Janvier 1957 - 25 septembre 1988

    La traction Diesel ne s'est développée en France qu'à partir des années 1950 bien

    que la SNCF ait eu, dès 1938, les deux locomotives Diesel les plus puissantes du monde

    (262 AD 1 et 262 BD 1) de type 2C2 + 2C2 constituées de 2 unités identiques constamment

    accouplées, et d'une puissance de 4400 CV, commandées par le PLM en 1935

    En 1952, la SNCF décida de moderniser ses engins moteurs sur les lignes de moyen

    trafic en remplaçant la vapeur par le Diesel. Les critères retenus pour les lieux de

    l'expérimentation étaient : obtenir un rendement convenable des engins, et centraliser

    les opérations périodiques d'entretien en un seul dépôt. C'est La Rochelle qui fut retenue

    avec les lignes vers Bordeaux, Nantes, Poitiers et Angoulême

    Un appel d'offres a été lancé le 28 avril 1954, et Alsthom a été choisi pour fabriquer

    les 20 locomotives prototypes, numérotées d'abord 060 DB 1 à 20, puis CC 65001 à 65020

    Ces engins moteurs seront destinés à remorquer tout type de trafic :

    voyageurs-express, messageries et marchandises sur Nantes - Bordeaux,

    La Rochelle - Poitiers et (Saintes) Beillant - Cognac - Angoulême

    Ces machines prenant la place des 231 F, 141 R, 141 C et 140 C

    Alsthom se met sur les rangs de ce projet, d'autant plus que le cahier des charges est exigeant

    Les CC 65000 étaient une série de 20 locomotives

    Diesel commandées par la SNCF le 1er février 1955

    La première a été mise en service au dépôt de La Rochelle

    Elles ont été radiées entre 1981 et 1988

    Elles étaient affublées du surnom de "sous-marins"

  4. Vitesses maximales lapleunicheuse

    Sens impair

    Entrée LN6 - km 1 : 220 km/h

    Km 1 - SEI de Chauconin (amont) : 300 km/h

    SEI de Chauconin (amont) - Tranchée de Courmont (aval) : 320 km/h

    Tranchée de Courmont (aval) - Tranchée de Janvry (aval) : 300 km/h

    Tranchée de Janvry (aval) - Champagne-Ardennes TGV - Meuse TGV

    Lorraine TGV - SEI de Baudrecourt : 320 km/h

    SEI de Baudrecourt - Km 301.475 (aiguille sortie LN6/raccordement voie 1 B) : 160 km/h

    Circulation à droite à partir du km 124.808 (ligne Metz - Réding)

    Sens pair

    Entrée LN6 (raccordement voie 2 B) - SEI de Baudrecourt : 160 km/h

    SEI de Baudrecourt - Lorraine TGV - Meuse TGV

    Champagne-Ardennes TGV - Tranchée de Janvry (amont) : 320 km/h

    Tranchée de Janvry (amont) - SEI de Villers-Agron-Aiguizy (amont) : 300 km/h

    SEI de Villers-Agron-Aiguizy (amont) - SEI de Chauconin (aval) : 320 km/h

    SEI de Chauconin (aval) - Km 1 : 300 km/h

    Km 1 - Sortie LN6 : 220 km/h

  5. C'est l'ahurissant voyage d'une adolescente qui a parcouru hier matin

    les 2,5 km qui séparent deux gares de l'Ouest lyonnais, cheveux au vent

    Trop pressée pour attendre le suivant ? Avide de sensations fortes ? Espoir que les

    portes s'ouvrent malgré tout ? Mystère. Cette jeune fille blonde de 15 ou 16 ans selon

    des témoins n'a pas pu être identifiée hier. Et il est peu probable qu'elle désire révéler

    son identité. Son exploit ? La demoiselle a tout simplement effectué le trajet entre les

    gares de La Tour-de-Salvagny et de Charbonnières-les-Bains sur le marchepied d'un TER.

    C'était hier matin, très précisément « à 7 h 37 », comme le raconte Georges P., qui,

    de sa voiture, a vu toute la scène. Cet habitant de Fleurieux-sur-l'Arbresle se rendait

    à son travail, à Marcy-l'Étoile : « J'étais au passage-à-niveau juste à côté.

    Le train Sain-Bel/Saint-Paul était en gare, les portes se sont fermées.

    Une jeune fille blonde, avec un sac à main est arrivée en courant sur le quai.

    Elle est montée sur le marchepied. La porte n'a pas été rouverte.

    Et au bout d'une minute, le train a démarré, en emportant l'adolescente ».

    Après un périple de 2,5 km, parcours sur lequel la vitesse du TER n'excède

    pas 50 km/h, la jeune fille serait arrivée indemne à la gare de Charbonnières.

    Là, elle serait montée dans la rame qu'elle aurait quittée à l'arrêt suivant,

    Le Méridien, qui dessert notamment le lycée Blaise-Pascal. C'est ce qu'affirme

    un autre témoin qui aurait signalé l'incident vers 8 heures à la SNCF.

    Depuis, l'affaire est prise très au sérieux. D'autant que d'après la SNCF, toutes

    les procédures de sécurité ont été respectées au moment du départ. « Tout

    était ok lorsque le conducteur a pris la décision de fermer les portes », assure

    un porte-parole de l'entreprise publique. Le témoin, Georges P., certifie en revanche

    « ne pas avoir vu de contrôleur sur le quai »…

    Reste qu'aucun voyageur présent dans le train n'a eu l'idée d'actionner le signal

    d'alarme. « Il n'y a pas eu d'appel d'urgence sur cette ligne », confirme-t-on à la

    SNCF. Une habituée du Sain-Bel/Saint-Paul qui habite à Tassin confie « ne pas

    avoir entendu parler de cette histoire de fou ! » Idem au lycée Blaise-Pascal où

    la proviseure n'était pas informée de l'incident. « Nous avons des actions de

    sensibilisation avec des agents de la SNCF pour rappeler à nos élèves le danger de

    traverser les voies, mais nous n'avons jamais été confrontés à ceci », déclare-t-elle.

    Rappelons à la voyageuse casse-cou que ce genre de voyage peut coûter cher…

    Un accident gravissime, mais aussi « une contravention de 4e classe pour circulation

    ou stationnement sur les marchepieds ou tampons d'un train en marche », comme on

    le précise à la SNCF. Montant de la prune : 150 euros.

    A partir de lundi, le problème sera réglé. Hasard du calendrier, la ligne sera équipée de

    nouveaux trains dont les marchepieds ont été supprimés.

    http://www.leprogres.fr

  6. Une nouvelle gare multimodale, qui sera desservie, dès le 13 décembre, par 102 TER

    quotidiens en provenance et à destination principalement du sud, a été inaugurée hier

    après-midi à Lyon. Son aménagement a nécessité plus de deux ans de travaux.

    La gare Jean-Macé est la sixième gare en service sur l'agglomération lyonnaise, dont celles de

    Perrache et de la Part-Dieu, qui accueillent notamment les TGV circulant entre Paris et Marseille.

    "Ce nouvel aménagement est un moyen de répondre à la congestion de ces grandes

    gares et de mieux répartir les flux de voyageurs sur l'agglomération", précise RFF.

    Plus de 3 800 voyageurs sont attendus dès le 13 décembre, jour de la mise en service

    effective de cette nouvelle gare située dans le 7ème arrondissement, et 6 600 à l'horizon 2020.

    Les voyageurs arrivant à la gare Jean-Macé pourront directement rejoindre le réseau

    des transports en commun lyonnais (TCL) par le métro B, le tramway T2, une dizaine de

    lignes de bus et des stations Velo'v. Les travaux ont été financés à hauteur de 33 millions

    d'euros hors taxe par la région Rhône-Alpes, le Grand Lyon, RFF, le Sytral (Syndicat mixte

    des transports pour le Rhône et l'agglomération lyonnaise) et la SNCF.

    http://www.leprogres.fr

  7. La CC 65006 est arrivée à Clamecy en février 1997, à sa sortie de révision des ateliers CFTA de Gray

    La CC 65006 a permis de remplacer deux BB 4800 sur Epiry - Cercy-la-Tour (ligne Clamecy - Cercy),

    ou les rampes restent modérées, en tête de trains de matériaux pour le contournement routier

    de Nevers, puis, en 1998, de ballast destiné aux bases de Montchanin et Vaux en Pré pour la LGV

    Elle a subi par ailleurs une révision préalable à un nouvel agrément aux ateliers de Gray

    Toutefois, son coût d'entretien élevé puis une avarie mécanique l'ont conduite sur voie de garage

    Elle a finalement été ferraillée fin 2003 à Clamecy

  8. A tout hasard . . .

    Le PN 84 de la commune de Dombasle-en-Argonne (55120) situé rue de la Concorde

    Cette ancienne gare est située entre Clermont-en-Argonne (km 244.150) et Baleycourt km (269.957)

    Si la réponse est correcte je laisse quelqu'un d'autre faire une nouvelle proposition lotrela

    Ligne Saint-Hilaire au Temple - Verdun - Conflans-Jarny (130.826 km)

    Ouvertures successives :

    Saint-Hilaire au Temple - Cuperly - Suippes - Somme-Tourbe

    Valmy - Sainte-Sainte Ménehould : le 23 mai 1867

    Sainte-Ménehould - Les Islettes - Clermont-en-Argonne - Aubréville : le 12 août 1869

    Aubréville - Dombasle-en-Argonne - Verdun : le 14 avril 1870

    Verdun - Eix-Abaucourt - Etain - Jeandeuse - Conflans-Jarny : le 7 juin 1873

    La ligne était autrefois à double voie, mais à présent elle n'est plus qu'à voie unique

    avec possibilité de croisements à Suippes, Sainte-Ménéhould, Verdun et Etain

  9. Bonsoir, avez-vous des nouvelles sur le mouvement en Pays de Loire ou 2 préavis de grève régionaux ont été déposé par les agents de conduite et les ASCT dont un préavis couvre la période des dimanches 20h00 aux mardis 04h00 jusqu'au 29 juin 2010?

    Les syndicats CGT et Sud-Rail ont déposé deux préavis de grève, l'un concernant les agents

    de conduite, l'autre les agents d’accompagnement des trains. Les syndicats s'inquiètent

    notamment de l'évolution du fret ferroviaire, de "l'accroissement du stress qui résulterait

    des normes de service destinées à répondre aux attentes des voyageurs" et réclament aussi

    l'arrêt d'une procédure disciplinaire à l’encontre d’un contrôleur, selon la SNCF.

  10. La nouvelle est tombée il y a quelques jours.

    Pour des raisons de sécurité, la ligne destinée au transport de marchandises entre Peyrieu et

    Virieu-le-Grand, est dorénavant fermée. Une décision difficile à comprendre pour les entreprises

    du secteur qui utilisaient cette ligne et qui ont appris la nouvelle par un simple appel de la SNCF.

    C'est le cas de Cérégrain. La coopérative affrétait jusqu'alors cinquante trains par an sur cette ligne.

    Le directeur, Denis Rougeaux explique : « Cette mesure va nous obliger à mettre sur la route

    2 600 camions supplémentaires par an. » Et qu'en sera-t-il pour les autres entreprises du secteur

    qui utilisaient également le fret. Cérégrain propose une table ronde entre les élus, les sociétés

    concernées et les gestionnaires de la ligne. De son côté, Réseau ferré de France met en avant

    un coût trop important pour la rénovation complète de la ligne : quelque 6 millions d'euros, selon

    Pascal Andrault, du service de gestion du réseau.

    http://www.leprogres.fr

  11. La place des femmes à la SNCF s'établit de la manière suivante :

    Au 31 décembre 2003. . .

    Les éléments explicatifs de la situation

    Parmi les éléments internes qui freinent la parité dans l'entreprise, on peut citer en

    particulier la culture d'entreprise : les femmes ont fait leur entrée de façon « massive »

    dans l'entreprise depuis une vingtaine d'années seulement, les métiers proposés sont

    essentiellement techniques et les contraintes d'exploitation (travail en horaires décalés

    et le week-end) rendent la vie privée et l'exercice de la parentalité plus difficiles.

    Toutefois actuellement l'élément externe le plus bloquant pour accroître de manière

    significative le nombre de femmes dans l'entreprise est le faible nombre de filles suivant

    des formations techniques, quel que soit le niveau de la formation.

    On trouve 12,4% de filles dans les formations de CAP/BEP techniques, 9,4% préparant

    un Bac Pro technique, 20,6% dans les IUT « production » et 24% dans les écoles d'ingénieurs.

    Cette proportion est beaucoup trop faible pour pouvoir alimenter de façon conséquente les

    filières techniques dans lesquelles la SNCF effectue plus de 75% de ses recrutements.

    Les actions en faveur de l'Emploi des Femmes

    Afin de favoriser le recrutement des femmes dans l'entreprise la SNCF a mis en place

    un certain nombre d'actions, soit internes, soit externes, seule ou en partenariat, en

    particulier avec l'Education Nationale. En interne, les actions portent sur la sensibilisation

    des personnels sur la place des femmes dans l'entreprise et la nécessité d'accroître leur

    recrutement au sein de l'entreprise.

    En externe la SNCF a développé une politique active de recherche de candidatures

    féminines qui revêt plusieurs aspects :

    présence dans de nombreux salons et forums sur l'orientation des jeunes, développement

    des interventions en milieu scolaire dans les classes de 3ème et 2de générales, technologiques

    et professionnelles, un réseau d'intervenants est actif sur l'ensemble du territoire.

    Développement des formations en alternance dans les domaines techniques du BEP au BAC +5

    (diplôme d'ingénieur) en essayant d'attirer les jeunes filles vers ces formations. développement

    d'une image positive de la place de la femme dans les différents métiers de l'entreprise

    Conclusion

    Le rôle de l'Education Nationale est donc fondamental pour les entreprises comme la SNCF

    à forte vocation technique, afin l'élargir le champ des choix de carrière possibles aux femmes.

    Cela passe dès la petite enfance par l'image que l'école peut donner de la femme, en particulier

    par les représentations dans les manuels scolaires et surtout par les orientations proposées au

    niveau des collèges et lycées. Les structures scolaires doivent s'ouvrir aux entreprises dans le

    cadre de partenariats actifs. Enfin, je souhaite préciser que les actions en faveur de

    l'égalité professionnelle à la SNCF ne se limitent pas à ses actions spécifiques au recrutement.

    La politique de la SNCF s'inscrit dans le cadre plus global de la Parité et de l'Egalité telles

    que définies dans l'accord interprofessionnel signé en mars 2004 entre les organisations

    patronales et syndicales. Ainsi, nous développons également des actions afin de faciliter la

    conciliation entre vie privée et vie professionnelle, l'exercice de la parentalité, la formation

    en cours de carrière et la promotion des femmes à tous les niveaux hiérarchiques.

    Source : Colloque Egalité des chances (27 mai 2004) dans le système éducatif :

    intervention de Françoise Holbrook, Chef de la Division Emploi à la Direction

    des Ressources Humaines de la SNCF

  12. La place des femmes à la SNCF s'établit de la manière suivante :

    Au 31 décembre 2003. . .

    la SNCF employait 28.633 femmes soit 16,4% de l'effectif total.

    On observe une augmentation constante de ce pourcentage qui se situait à 12,1% en 1992.

    L'effectif féminin du personnel statutaire représente 14,7% et 59,3% des agents contractuels.

    La proportion dans les différents collèges est la suivante :

    Agents d'exécution : 12,9%

    Agents de maîtrise : 16,6 %

    Cadres : 19,3 %

    Cadres Supérieurs : 10,4%

    A titre de comparaison la place des femmes dans la

    structure de la population active française est la suivante :

    Ouvrières : 20,9%

    Employées : 76 ,2%

    Professions intermédiaires : 46,6%

    Cadres et professions intellectuelles : 34,7%.

    Les femmes à la SNCF sont essentiellement présentes dans les filières :

    Paramédicale : 98%

    Sociale : 94,9%

    Administrative : 54,4%

    Commerciale : 37,3%

    mais très sous représentées dans les filières techniques

    qui emploient plus de 70 % de l'effectif total :

    Transport : 4,8%

    Maintenance de l'Infrastructure : 2,5%

    Maintenance du Matériel roulant : 2,1%

    Conducteurs de trains : 1,5%

    La principale source de féminisation est le recrutement.

    La SNCF a recruté globalement en 2003 23% de femmes, en augmentation

    par rapport à 2002 (18,6%). L'évolution est très positive pour le recrutement des

    agents d'exécution qui se situe à 23% en augmentation de 6 points par rapport à 2002.

    Le taux de recrutement des femmes cadres est de 34,4%.

    Toutefois, l'ouverture sur les métiers traditionnellement masculins est sensible :

    Ingénierie : 33%,

    Transport : 25%,

    Maintenance du Matériel roulant : 19%

    Maintenance de l'Infrastructure : 16%.

    Parallèlement les recrutements de cadres dans les métiers les plus féminisés demeure élevé :

    Ressources Humaines : 61%

    Gestion Finances 47%.

    Source : Colloque Egalité des chances (27 mai 2004) dans le système éducatif :

    intervention de Françoise Holbrook, Chef de la Division Emploi à la Direction

    des Ressources Humaines de la SNCF

  13. Hier, en fin d'après-midi, une jeune fille qui attendait son tour au guichet de la gare SNCF de Montélimar

    a été agressée par trois ou quatre individus, qui l'ont presque étranglée devant les autres voyageurs.

    Une action symbolique

    Choqués, et en colère, les cheminots présents hier soir ont donc décidé de fermer symboliquement

    l'accueil et le point de vente de la gare. « Entre les agressions verbales, les traversées de voies,

    les gens qui fument, les dégradations des toilettes et de la salle des pas perdus... c'est tous les jours

    que nous sommes confrontés à des rôdeurs dans la gare. »

    Ils pointent le manque d'effectifs

    Si les cheminots ne veulent pas incriminer leur hiérarchie de proximité, ils pointent le manque

    d'effectifs, qui laisse la place aux personnes mal intentionnées : « On a de temps en temps la

    présence de la police ferroviaire, ou d'un vigile, mais cela ne dure jamais bien longtemps. »

    La seule solution pour les agents, comptabiliser les faits au moyen des fiches "Cezar" mises en

    place par la SNCF. Hier soir, ils n'ont pas été les seuls à réagir, puisque suite à l'agression

    Le Relais H était également fermé. L'accès aux voies restait lui accessible aux voyageurs

    jusqu'à la fermeture habituelle de la gare à 23h00.

    http://www.ledauphine.com

  14. Quimper : ivre, elle demande leurs papiers... aux policiers

    Les policiers quimpérois de la brigade anti-criminalité ont été surpris dans la nuit de

    dimanche à lundi. Une automobiliste, après les avoir collé puis doublé en trombe, a prétendu

    être de la police et leur a demandé leurs papiers ! Elle avait 1,7 g d'alcool dans le sang.

    Nuit de lundi à mardi, boulevard de Provence. Des policiers de la Bac patrouillent en civil ans un

    véhicule banalisé. Soudain, une voiture vient les coller... avant de les dépasser en trombe et de

    stopper un peu plus loin. Intrigués, les policiers s'arrêtent à sa hauteur. Et n'en reviennent pas

    d'entendre la conductrice, ivre, prétendre être de la police et leur demander leurs papiers.

    « Vous êtes de la police, vous ? Non, ce serait plutôt nous ! » Les policiers ne goûtent

    pas vraiment la plaisanterie et décident d'embarquer cette Quimpéroise de 41 ans.

    Ils la poussent dans leur véhicule. Mais à peine est-elle assise qu'elle en ressort en courant.

    Petite course-poursuite. La femme est rapidement rattrapée. Et direction le commissariat,

    pour de bon cette fois, où elle est placée en garde à vue pour le reste de la nuit.

    L'alcoolémie révèle qu'elle conduisait avec 1,70 g d'alcool par litre de sang, soit 1,20 g

    au-dessus de la limite. Elle sera convoquée devant le procureur de la république de Quimper

    pour une ordonnance pénale délictuelle le 2 février. Elle ne risque cependant pas une sanction

    trop lourde, le parquet n'ayant retenu contre elle que la conduite en état d'ivresse.

    http://www.ouest-france.fr

  15. Bonjour j'ai entendu a la radio ce matin qu'un train avais déraillé en quittant la gare

    d'Ortez près de Pau l'avant dernier wagon une citerne de butanne ou hydraucarbure

    se serai couché pour une raison inexpliqué et une fuite s'en serai suivi .

    (Information entendu sur la radio RTL)

    quelqu'un en sait il plus?

    Déraillement d'une citerne de propane

    http://www.cheminots.net/forum/index.php?s...t=0#entry280997

  16. Un train de marchandise déraille près de la gare d'Orthez (64)

    Vers 18h30 aujourd'hui un train de marchandise a déraillé à quelque 200 mètres de la gare d'Orthez (64).

    Rempli de butane, le wagon-citerne déraille

    Pour une raison encore inconnue, le 27e wagon d'un convoi arrivant de Bayonne et

    se dirigeant vers le complexe chimique de Lacq s'est couché sur le flanc gauche,

    à hauteur de l'hôpital, sectionnant l'une des vannes de butane liquide.

    Le produit inflammable s'est alors répandu sur la voie ferrée.

    « Ça a fait un bruit impressionnant », témoigne Christophe Bouriat, directeur du centre

    hospitalier. L'agent de sécurité incendie de l'établissement de soins, qui effectuait sa ronde,

    a donné l'alerte.

    L'hôpital confiné

    Dès lors, une déferlante d'uniformes balaie le quartier de la gare : les sapeurs-pompiers,

    dont la cellule d'intervention chimique du département, une trentaine de gendarmes de la

    compagnie d'Orthez et du groupement d'intervention de Pau, à la tête de laquelle le colonel

    Xavier Ducept, les capitaines Hebinger et Losson. Mission première des gendarmes :

    boucler le quartier de la gare, en raison de la dangerosité du produit déversé.

    L'hôpital, en première ligne, est confiné. « Nous avons fermé toutes les issues,

    portes et fenêtres, et tiré les stores des différents services : maternité, neurologie,

    cardiologie, réadaptation fonctionnelle, explique le directeur de l'établissement.

    Pour l'instant, nous n'avons pas d'ordre d'évacuation. »

    De la fuite de butane ou de l'état de la voie, montré du doigt par les usagers et par le

    Conseil régional, quel a été l'élément déclencheur de l'accident ? L'enquête ne pourra

    démarrer qu'une fois le wagon vidé de sa substance dangereuse et redressé. Ce devrait être

    effectué ce matin, selon le directeur de cabinet du préfet, Frédéric Loiseau. L'opération des

    pompiers, délicate, s'annonçait en effet très longue, hier soir.

    Pour mémoire, le déraillement d'un train transportant des matières explosives,

    à Artix, le 13 novembre 2008, avait occupé les soldats du feu durant deux jours.

    http://www.sudouest.com

  17. Un train de marchandise déraille près de la gare d'Orthez (64)

    Vers 18h30 aujourd'hui un train de marchandise a déraillé à quelque 200 mètres de la gare d'Orthez (64).

    L'avant-dernier wagon s'est couché sur le bas-côté. Un périmètre de sécurité a été mis en place

    par les gendarmes et les pompiers, le wagon transporterait en effet des matières dangereuses.

    Tous les trains devant rouler ce soir cette ligne, venant de Pau ou de Bordeaux et Dax, sont pour le

    moment suspendus. Les causes de l'accident ne sont pas encore pas connues. Vendredi dernier,

    à quelques dizaines de kilomètres de là, sur la commune de Mont dans le bassin de Lacq, c'est

    un train de passagers qui avait été immobilisé près de 4 heures suite à la rupture d'un rail.

    http://www.sudouest.com

  18. Alerte à la bombe dans le TGV 6209 Paris 11.20 Perpignan 16.25

    En raison de la présence d'un bagage abandonné ayant nécessité l'application du plan Vigipirate

    aux Laumes-Alésia, la circulation a été totalement interrompue dans ce secteur à 12h30

    Elle a repris normalement sur les deux voies depuis 16h05

    Conséquences :

    Le TGV 6209 qui circule avec l'iDTGV 7929 Paris 11.20 Perpignan 16h25 retardé de 3h30

    environ sera terminus exceptionnellement à Montpellier. Les voyageurs à destination

    de Sète, Agde, Béziers, Narbonne et Perpignan vont emprunter le TGV 6213

    Paris 15h20 / Perpignan 20h21. Leur prévoir un retard de 3h55

    Le TGV 6222 qui circule avec l'iDTGV 7922 Perpignan 17h37 / Paris 22h41 partira exceptionnellement

    de Montpellier. Les voyageurs entre Perpignan et Montpellier empruntent le TER 876432

    Le TGV 5348/9 Dijon 17h09 / Cherbourg 23h28 partira exceptionnellement des Laumes à 17h35

    Les voyageurs au départ de Dijon empruntent la rame TGV 6726 Dijon 16h52 / Paris 18h37 jusqu'aux Laumes

    (Infolignes)

  19. Une bifurcation, des HLM (Cité du Sanitas), mais aussi, et surtout, un PK 235 bien visible

    A tout hasard . . .

    La sortie de la gare de Tours-Voyageurs (km 235.600) aux abords du Poste 0 (km 235.100)

    A gauche les voies T 1 et T 2 vers Saint-Pierre-des-Corps

    Au centre la voie T 3 banalisée vers Poitiers et Joue-les-Tours (Chinon)

    A droite les voies G 3 et G 4 vers la bifur de Grammont (Saumur et CDL)

    Si la réponse est correcte, je laisse quelqu'un d'autre faire une nouvelle proposition lotrela

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