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Le Web des Cheminots

IGS4

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Messages publiés par IGS4

  1. Vox Populi.

    Je pense que ce sera plutot la perte de la connaissance de ligne Breil/Tende qui sera à l'ordre du jour pour les niçois.

    Un article d'Armand Viale, responsable SNCF de la ligne Nice - Tende

    Précisions concernant la desserte Cuneo - Nice à partir du 13 décembre 2009

    Bonjour

    A partir du 13 décembre les anciens autorails ALn 663 qui assuraient le service international

    entre Cuneo et Nice ne pourront plus circuler sur le territoire français.

    En effet , Trenitalia nous a informé qu'à cette date , ces autorails devront être équipés du

    nouveau système de sécurité italien imposé par RFI pour circuler sur les voies du territoire

    italien. La mise en place de ce dispositif oblige donc Trenitalia à déposer les installations du

    système de sécurité français VACMA /VA, faute de place. Nos anciens autorails X 2200 étant

    devenues egalement inutilisables,les relations internationales directes ne seront plus possibles

    à partir de décembre 2009.

    Les correspondances seront organisées en gare de Breil sur Roya.

    Les trains entre Breil et Nice seront assurés avec les autorails AGC X 76500 français,

    les trains entre Breil et Cuneo et vice versa par du matériel italien ALn 501 ( MINUETTO).

    http://www.maligne-ter.com/nice-tende

  2. Le Train jaune déraille

    Le Train jaune qui circulait dans le sens Villefranche-de- Conflent / La-Tour-de-Carol,

    avec six passagers à bord et deux membres du personnel, a déraillé, hier, vers 11 h 45,

    à hauteur de Nahuja, à proximité d'Osséja. A l'origine de l'accident : la rupture brutale

    d'un rail. L'alerte a immédiatement été donnée auprès des sapeurs-pompiers qui sont

    intervenus pour secourir d'éventuelles victimes. Toutefois, aucun blessé n'est à déplorer.

    La locomotive ainsi que trois des quatre wagons sont sortis de la voie de chemin de fer.

    Deux d'entre eux se sont légèrement penchés sans se renverser et un autre s'est immobilisé contre

    un pylône. Les six passagers ont été évacués et acheminés en taxis jusqu'à leur destination.

    Les services de la SNCF se sont également rendus sur place afin de procéder à des opérations

    de relevage du train. La locomotive et les wagons devront ensuite être remis sur les rails.

    En attendant, le trafic ferroviaire est interrompu.

    http://www.midilibre.com

  3. L'ancienne ligne Sedan - Verdun - Bannoncourt - Lérouville

    La gare de Sampigny dans la Meuse

    La preuve en images http://www.sampigny.com/spip.php?rubrique53

    La gare a été bombardée par l'artillerie allemande

    Le pavillon semble avoir moins souffert que le bâtiment voyageur

    L'ensemble sera toutefois rasé pour laisser place à un nouveau bâtiment voyageur

    Ce bâtiment voyageur est du modèle standard de la Compagnie de l’Est durant les années de reconstruction

    Je laisse quelqu'un d'autre faire une nouvelle proposition :Smiley_29:

  4. Tribunal de Saint-Etienne. Peine ferme requise contre un contrôleur à qui on

    reproche l'agression d'une jeune fille dans un train entre Roanne et Saint-Etienne.

    Il nie. Délibéré au 12 novembre

    Dans une audition souvent interrompue par les larmes, une jeune femme a

    raconté hier à la barre comment elle avait été agressée sexuellement par un

    contrôleur SNCF dans un train express régional entre Roanne et Saint-Étienne.

    Ce dossier, d'abord parti au criminel, a débouché sur la mise en cause du contrôleur,

    un homme de 38 ans demeurant la région lyonnaise à qui il était reproché une

    « agression sexuelle par personne ayant autorité ».

    Pour s'en tenir d'abord à ce qui est reconnu, la jeune habitante de l'Ondaine, 19 ans

    alors, qui voyageait, ce 23 novembre 2006, en direction de Saint-Étienne, a été

    contrôlée vers 22 h 30. Titulaire d'un ticket non valable, elle ne pouvait échapper au

    procès-verbal. Mais le contrôleur a passé l'éponge. C'est une « faute » a-t-il dit hier.

    C'est une manière de la soumettre, a estimé le parquet.

    En tout cas, il a engagé la conversation et « commencé à draguer ». Ça aussi c'est

    reconnu. C'est la suite qui diverge. Aux fins de fumer une cigarette, et à l'invitation

    de l'homme, elle s'est rendue dans la cabine arrière du train, une zone à laquelle seuls

    les contrôleurs ont accès. « Elle est venue taper à la porte » a dit le prévenu. « Il m'a

    dit " venez avec moi " » a dit la victime. L'argument a de l'intérêt pour le prévenu qui a

    répété qu'il « n'avait jamais senti une once de refus ». Mais c'est la seconde phase qui

    a longuement intéressé le tribunal. Car selon la jeune fille, dans cet endroit confiné, une

    fois la cigarette terminée, elle a été plaquée contre la paroi, touchée sur la poitrine,

    déshabillée en partie et violée au plan juridique puisqu'elle a évoqué une pénétration

    digitale. Des déclarations jugées crédibles par les experts.

    Après avoir livré plusieurs versions, le contrôleur qui avait reconnu « un baiser sur la

    bouche et quelques caresses sur les seins » s'en est tenu à cet aveu et nié tout le

    reste. « Elle n'était pas choquée quand elle a quitté le train. J'ai du mal à comprendre »

    a-t-il dit. Son avocat Me Boyer a plaidé le « doute. Les éléments le mettant en cause

    sont insuffisants ». Après avoir évoqué le traumatisme encore présent, Me Viallard-Valézy

    a évoqué « l'état de sidération », fréquent chez les victimes d'abus sexuels, qui annihile

    toute réaction. Enfin, le procureur Chassaigne a insisté sur « l'abus de fonction » du

    contrôleur et l'état de prostration de la victime « constaté alors par des témoins.

    Les faits sont établis » pour lui. Il a requis trois ans de prison dont six mois ferme avec

    inscription au fichier des délinquants sexuels.

    Alain Colombet

    http://www.leprogres.fr

  5. Trains voyageurs: la SNCF sans concurrent pour l'ouverture à la concurrence

    La SNCF restera seule sur le marché français le 13 décembre, jour de l'ouverture à la concurrence du trafic

    international de voyageurs, le seul opérateur encore en lice, l'italien Trenitalia, ayant fait savoir qu'il ne serait

    pas prêt à cette date, a-t-on appris mercredi de sources concordantes.

    "Nous estimons que nous n'avons pas eu pour le moment de la part de la France les garanties et les conditions

    (nécessaires) afin de pouvoir lancer le service le 13 décembre", a déclaré un porte-parole de Trenitalia.

    Le porte-parole n'a pas été en mesure de donner une date précise pour le lancement du service, se contentant

    de dire que la compagnie publique italienne comptait lancer ses trains en France "le plus vite possible".

    "Trenitalia nous a fait savoir qu'il ne serait pas prêt à la mi-décembre comme prévu, mais dans le courant de l'année

    2010", a indiqué de son côté Hervé de Tréglodé, directeur général adjoint du Réseau ferré de France (RFF), qui attribue

    les sillons aux différents opérateurs. Trenitalia a prévu deux allers et retours par jour, entre Milan et Paris via Turin et

    Chambéry, d'une part, et entre Gênes et Paris, via la Côte d'Azur et Marseille, d'autre part.

    L'autre opérateur qui avait fait part de son intérêt pour des circulations en France dès cette année,

    l'allemand GVG, avait déjà indiqué qu'il ne serait pas prêt le 13 décembre.

    http://www.france24.com/fr

  6. D'après mes papiers, ce n'est pas du BAPR mais bien du Block Manuel par Circuit de Voie de la bif à la mouillère, ensuite du BMVU de Mouillère à Valdahon ( désolé je me suis un peu planté en parlant de CT de BNM à LVN) et du Cantonnement Téléphonique de Valdahon au Locle Col des Roches.

    Sinon en 10 ans j'ai toujours connu le CAPI de Valdahon jusqu'au Locle Col.

    Ok ! J'ai peut-être mal compris ce que cet agent de conduite m'a expliquer ?

    Ce qui est certain c'est que depuis le 3 aôut 1985, date de la

    catastrophe (1) de Flaujac (bilan 35 morts), le CAPI s'est répandu

    (1) Nez à nez sur la ligne à voie unique Brive-la-Gaillarde - Gramat - Figeac

    entre un train corail et un autorail circulant chacun à près de 110 km/h

  7. Il me semble plutôt que le CAPI est présent de Valdahon jusqu'au Locle Col des roches, et en cantonnement téléphonique de BN Mouillère à Valdahon.

    Le CAPI a peut-être été prolongé de Morteau au Locle - Col des Roches ?

    D'autant plus qu'il ne doit plus exister de lignes à voie unique transportant

    des voyageurs exploitées en CT (S 5 A) "ordinaire" (absence de CAPI)

    De Besançon-Viotte (bifur) à Besançon-Mouillère cela doit être

    en principe, du BAPR - VB (de voie banalisée)

    Par contre de Besançon-Mouillère à Valdahon c'est du BMVU

  8. Où trouver des horaires anciens (avant guerre, 1950 ?

    Merci de vos réponses, je sais qu'il y a des spécialistes.

    Au centre des archives SNCF du Mans

    Les Chaix les plus anciens datent . . .

    d'avril 1858, février et avril 1859, juin 1860, juin 1861, juin 1862, mai 1863, juin 1864,

    juin 1865, mai et juin 1866, juin 1867, mai, juin et octobre 1868, mai 1869, juin 1870, . . .

    Où trouver des horaires anciens (avant guerre ?)

    Septembre 1932, Juin 1933, Juin 1934, Juin 1935, Mars et Avril 1936, Mars et avril 1937

    Eté 1938 (tirage de juillet) et Hiver 1938/1939 (tirage de décembre)

    Où trouver des horaires 1950 ?

    Hiver 1949/1950 (applicable à partir du 12 décembre 1949)

    Eté 1950 (applicable à partir du 14 mai 1950)

    Eté 1950 (édition de juillet)

    Hiver 1950/1951 (applicable à partir du 8 octobre 1950)

  9. Voie Banalisée en BMCV de la bif 407,2 à BN Mouillère

    et tout le reste est en BMVU

    Lors d'une visite de la ligne en 2006, l'agent de conduite m'avait certifier

    . CAPI (Cantonnement assisté par informatique) du Valdahon à Morteau

    . puis CT (Cantonnement téléphonique) "ordinaire" de Morteau au Locle

    Effectivement, le sémaphore mécanique de Morteau (côté Le Locle)

    ne portait pas de plaque de cantonnement "BM"

    Le 1er signal Suisse est un signal avancé qui se situe entre le

    dernier PN et le Tunnel faisant frontière dans le sens impair.

    Le signal avancé D179 est bien situé aussitôt après le PN

    Vient ensuite le signal principal D879

  10. Suicide à la SNCF: lien avec le travail selon la CGT, ce que ne confirme pas l'enquête

    La CGT-cheminots, premier syndicat à la SNCF, a estimé vendredi que le suicide mardi à

    son domicile d'un agent SNCF de la gare de Bourg-en-Bresse (Ain) était en lien avec son

    changement de poste prochain, alors qu'une source judiciaire fait état de causes personnelles.

    Ce militant CGT, âgé de 49 ans, marié et père d'une fille, n'a laissé qu'un message à cette dernière

    dans lequel, d'après la CGT, il n'évoque toutefois pas son travail. La lettre laisse entendre que les

    causes de son geste relèvent de sa vie personnelle, a-t-on appris de source judiciaire.

    Une enquête pour rechercher les causes de la mort a été ouverte, comme c'est l'habitude dans ce

    genre de découverte. En outre, "une enquête du CHSCT (comité d'hygiène, de sécurité et des

    conditions de travail) va être menée. Sans préjuger des conclusions de cette enquête, nous ne

    pouvons que nous interroger sur les incidences que peuvent avoir les multiples réorganisations menées

    à marche forcée, dans l'entreprise et sans véritable concertation", a déclaré la CGT dans un communiqué.

    Cet agent était assistant chef d'équipe aux guichets et devait devenir chef d'escale, en travaillant sur

    les quais de la gare. Selon Véronique Martin, secrétaire générale CGT du secteur de Chambéry, "ça ne se

    passait pas très bien car il n'était pas sûr d'être remplacé, ce qui le perturbait et il l'avait dit à ses collègues".

    Il s'agissait d'une promotion, d'après la source judiciaire.

    La CGT-cheminots a demandé vendredi au président de la SNCF Guillaume Pepy "d'organiser rapidement une

    table-ronde nationale afin de réfléchir au contenu et à la finalité du travail, à la qualité du dialogue social,

    aux objectifs de la SNCF en matière de service public".

    Mardi, interrogé sur les suicides chez France Télécom, Guillaume Pepy avait déclaré à France Info que "les

    suicides de salariés dans n'importe quelle entreprise sont des tragédies qui interpellent tout le monde".

    Selon lui, "on n'en fait jamais assez pour mettre les personnes, en l'occurence les cheminots chez nous, au

    coeur de la transformation" sachant que "toutes les entreprises se transforment, parce que les besoins et

    attentes des clients évoluent".

    http://www.rtlinfo.be

  11. Qui peut m'en dire plus ?

    Une centaine de cheminots et d'opposants à la fermeture des ateliers SNCF du Mans

    ont en effet bloqué, le vendredi 2 octobre, l'accès au site, situé avenue de Bretagne

    Trois poids lourds venus pour déménager du matériel vers Périgueux (Dordogne),

    ont dû rebrousser chemin après avoir patienter une demi-heure

    Les syndicats CGT et Sud exigent l'arrêt de tout transfert de charge de travail, tant que

    l'avenir du site n'est pas éclairci. La direction de la SNCF a programmé la fermeture du

    site en 2013 et la mutation des 250 agents qui y travaillent

  12. A tout hasard . . .

    Ligne Clamecy - Corbigny - Tamnay-Châtillon - Cercy la Tour

    mise en service le 24 juin 1878 par le PLM

    La gare de Corbigny dans la Nièvre ?

    Km 258.869 depuis Paris

    km 74 depuis Nevers

    km 00 vers Saulieu

    Les engins moteur sont orientés côté Cercy la Tour

    Si la réponse est correcte, je laisse quelqu'un d'autre faire une nouvelle proposition lotrela

  13. C'est tout à fait ça ! Ce sont même les voies de Bordeaux Bastides complètement

    démantelées et pas seulement l'accès. L'ancienne gare de la compagnie Paris-Orléans

    je crois est désormais reconvertie en Multiplex cinémas.

    C'est d'ailleurs un très beau bâtiment.

    Je laisse quelqu'un d'autre faire une nouvelle proposition :blush:

  14. Les pancartes de manifestants ont été heurtées par un train dimanche soir

    En retard de vingt minutes, le TEOZ n° 3641, en provenance de Paris et à destination de Toulouse,

    aurait tenté un passage en force en gare de Gourdon, devant plus de 130 manifestants, heurtant

    nombre de panneaux. Son entrée en gare a d'emblée surpris les manifestants puisqu'il est arrivé

    rapidement alors que la présence de personnes avait du être signalé à la SNCF par le chef de gare

    de permanence présent et les forces de l'ordre.

    Dans la locomotive, un conducteur accompagné d'une autre personne. Et c'est sous les sifflements

    et les huées que ce train aura marqué l'arrêt symbolique de deux minutes en gare de Gourdon,

    l'incompréhension puis la colère des manifestants se faisant ressentir.

    Pour Merzouk Sider, président de l'association « La SNCF continue de nous tester.

    En même temps, d'un côté nous avons l'impression que nous pourrons avoir ce 10ème

    arrêt vu la discrétion des gendarmes qui ne prennent plus de photos et de l'autre l'attitude

    vive du conducteur de dimanche soir nous fait douter. Quoi qu'il en soit, ce 10ème arrêt est

    indiscutable, nous mettrons le temps qu'il faudra pour l'avoir. Notre assemblée générale aura

    lieu le samedi 14 novembre à 14 heures et nous attendons une réponse positive avant cette

    date, cela pourra dénouer beaucoup de choses. Nous laissons le temps de la réflexion et de

    la décision à la SNCF et à l'Etat. »

    Du côté de la SNCF, joint par téléphone, « Le conducteur du train a reçu un ordre de

    « marche prudente », et a abordé le quai à très faible vitesse en utilisant les avertisseurs

    sonores. La procédure de sécurité qui est appliquée dans ces circonstances a été respectée

    en tous points. Certains manifestants tenaient leurs pancartes devant le train et ont tapé

    avec ces pancartes sur la carrosserie de la locomotive pour faire arrêter le train.»

    La SNCF dénonce à nouveau cette dangereuse façon de procéder qui engage la responsabilité

    de ses auteurs. » Les rassemblements vont continuer chaque dimanche soir jusqu'à l'assemblée

    générale du 14 novembre. L'émoi était vif dimanche soir sur le quai de la gare gourdonnaise.

    http://www.ladepeche.fr

  15. Au coeur de la panne, à Lambersart, une trentaine d'agents mobilisés pour réparer

    Au sol, un morceau de caténaire, vestige de l'incident passé. Perchés sur les machines

    de maintenance, des agents SNCF, une trentaine au total, s'évertuent depuis de longues

    heures à réparer. « Vous voyez, la caténaire est accrochée en hauteur. Des poids, à

    chaque extrémité, la tendent. Ils sont tombés, les agents les remettent en place »,

    décrit Laurent Boutin, directeur de l'infrapôle nord-européen à la SNCF.

    Gilet fluo sur le dos, Jean-Philippe Delbarrez semble fatigué. « Je n'ai pas dormi de la

    nuit », dit le technicien expert caténaire, qui encadre l'opération. Comme ses collègues,

    il ne s'explique pas encore cette panne. Afin de prévenir les incidents, des tournées

    d'inspection sont pourtant organisées régulièrement : chaque mois, à pied, des hommes

    contrôlent l'état du réseau annuellement, une vérification « en hauteur » est réalisée.

    Quant à la révision périodique des caténaires, elle a lieu, selon M. Delbarrez, « tous les

    quatre à six ans selon les endroits ». Hier, le trafic était redevenu normal et les Eurostar

    circulaient dans les deux sens entre Londres et Lille, certains enregistrant tout de même

    des retards de dix à quinze minutes (la circulation n'avait lieu que sur une seule voie).

    http://www.lavoixdunord.fr

  16. A tout hasard. . .

    Au Nord de l'ancienne gare d'Aguessac (km 555.474)

    Plus précisément, le pont situé entre le PN d'Aguessac (km 556)

    et le viaduc du même nom (km 556.480)

    A cet endroit se situe le début de la fameuse rampe d'Engayresque (15 km - 33 mm/m)

    Si la réponse est correcte, je laisse quelqu'un d'autre faire une nouvelle proposition controleursncf

    St. Flour ?

    Les ogives Midi sont en principe situés sur les parcours Millau - Saint-Laurent d'Olt,

    Le Monastier - Saint-Sauveur de Peyre ainsi que sur le viaduc de Garabit

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