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Après avoir bu, il déraille et agresse des contrôleurs de la SNCF
David Guffroy n'ignore pas qu'il peut être très violent quand il boit trop. Ce qui ne l'empêche pas
d'abuser de l'alcool comme le 14 décembre à la gare de Saint-Omer où il a agressé deux contrôleurs.
« Quand je suis sous l'empire de l'alcool, ce n'est plus moi, ce n'est plus la même personne. »
Si David Guffroy, 33 ans, s'avère lucide sur ce qu'il peut être, il n'en tire pas toujours les
conclusions qui s'imposent. Le 14 décembre dernier est un jour de grève partielle à la SNCF.
Deux contrôleurs doivent peut-être regretter de n'avoir pas suivi le mouvement !
David Guffroy, excédé par le retard de son train, s'alcoolise. Il agresse un premier contrôleur :
« Il m'a sûrement mal parlé, il a dû se moquer de moi », estime le prévenu qui lui donne un
coup de tête. Ensuite, il s'en prend à une contrôleuse et lui arrache violemment son portable.
Puis, il traverse à plusieurs reprises les voies ce qui amène, par mesure de sécurité, les agents
SNCF à interrompre le trafic pendant trois quarts d'heure environ. Il faudra l'intervention de
voyageurs pour maîtriser le forcené qui veut continuer à frapper les contrôleurs.
L'expertise psychiatrique a conclu que le prévenu était responsable d'un point de vue pénal.
Le procureur s'inquiète des propos à l'audience de David Guffroy qui montre qu'il « n'a pas
conscience de la gravité de ses actes, qu'il semble les banaliser ». Il ajoute qu'il ne voit pas de
raisons d'écarter l'application de la peine plancher car, la récidive s'impose suite aux dernières
condamnations du prévenu (huit au total). « Je ne vois pas d'éléments démontrant une réinsertion.
Je requiers un an sans sursis et mise à l'épreuve car ses dispositions n'ont pas d'effet. » « Il sortait
d'une période d'incarcération très difficile à vivre. La prison peut l'enfoncer alors que, en ce moment,
il est chez ses parents qui peuvent le recadrer », estime son défenseur. David Guffroy a écopé d'un an
ferme. Il devra verser 750 € de dommages et intérêts à chaque contrôleur et 2 200 € à la SNCF pour les
frais engagés pour rattraper les retards, notamment une consommation d'électricité et une usure du
matériel supérieures à la normale.
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Le "gendarme du rail" officiellement créé en France
Hier, l'Assemblée nationale a voté la loi créant l'autorité de régulation des
activités ferroviaires (ARAF), dans la perspective de l'ouverture à la concurrence
des services de transport international de voyageurs. Désormais, l'ensemble du secteur
des transports ferroviaires en France a son gendarme, l'ARAF (autorité de régulation des
activités ferroviaire). Cette autorité a été créée et présentée par Dominique Bussereau,
Secrétaire d'Etat chargé des Transports suite au vote d'une loi par l'assemblée nationale.
L'ARAF sera une autorité administrative indépendante. Elle veillera sur l'ensemble du
secteur des transports ferroviaires, notamment en vue de l'ouverture à la concurrence
des services de transport international de voyageurs qui interviendra le 13 décembre.
Selon le communiqué du Cabinet du Secrétaire d'État chargé des Transports "cette loi
va facilite également la mise en place d'opérateurs ferroviaires de proximité (OFP)".
Ces derniers qualifiés de "PME du rail" vont pouvoir mieux se développer. Ces OFP sont
également qualifiés d' "éléments essentiels de l'engagement national pour le fret ferroviaire
annoncé par Jean-Louis Borloo et Dominique Bussereau le 16 septembre".
Dans la perspective de l'ouverture progressive à la concurrence du transport urbain
en région Ile-de-France, les services de transports exploités par la RATP seront ouverts
à la concurrence dans 15 ans pour les bus, dans 20 ans pour les tramways et dans 30 ans
pour les métros et dès à présent pour les nouveaux services de transports. Concernant
cette nouvelle loi, Jean-Paul Huchon, a quant à lui mis en garde le Premier ministre
contre une "recentralisation" c'est ce que l'on peut lire sur le site de l'Association des
régions de France . Selon lui, un amendement "subreptice" qui a été examiné ce mardi "
vise à réduire l'autorité du Stif sur les transports franciliens".
D'ailleurs, dans une lettre envoyée au Premier ministre, le 18 septembre dernier,
il a précisé "qu'il s'agit là d'une nouvelle attaque contre la décentralisation et d'une
remise en cause des fondements même du Stif, et ce, dans un contexte déjà
particulièrement lourd et conflictuel marqué par le projet de loi sur le Grand Paris".
Il dénonce aussi le transfert d'actifs, notamment immobiliers et fonciers, qui
s'opèrerait du Stif vers la RATP, pour des montants de 8 à 10 milliards d'euros.
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Un SDF trouve la mort dans un train
La tête de l'homme s'est coincée dans les portes d'un train au moment de leur
fermeture. Un SDF a été retrouvé mort jeudi soir, la tête coincée entre les portes
de la voiture d'un transilien. Il semblerait que l'homme se soit trompé de train et
soit monté dans un train qui ne prenait pas de voyageurs.
Les portes se sont refermées sur lui alors qu'il avait la tête dehors et le corps à
l'intérieur et c'est la pression des portes qui lui a couté la vie. Ce n'est qu'à la
hauteur de Colombes, c'est-à-dire 20 minutes après le départ de la gare Saint-Lazare,
que le conducteur a découvert la victime. Celle-ci n'a pas pu être réanimée.
Pour reconstituer le scénario du drame et en déterminer les éventuelles responsabilités,
le parquet de Nanterre a ouvert une enquête.
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Un millier de passagers évacués
Un TGV circulant en Côte-d'Or alors qu'il reliait Paris à Genève a été stoppé
lundi après midi à Venarey-les Laumes pour cause de colis suspects.
Sept paquets mal identifés ont suscité l'émoi dans la rame,
provoquant l'évacuation d'un millier de passagers.
Arrêté vers 16h15, le train a pu repartir peu avant 17 heures.
Sans doute un TGV détourné ?
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Le procès du responsable se tiendra dès demain. Ca ne traîne pas la justice
Il percute un train : 8 mois avec sursis
Le conducteur d'une voiture, percutée jeudi soir par un train Corail à un passage
à niveau à Villennes-sur-Seine (Yvelines), a écopé lundi d'une peine de huit mois
de prison avec sursis devant le tribunal de grande instance de Versailles.
Sa condamnation a été assortie d'une amende de 300 euros, ainsi que de l'annulation
de son permis de conduire avec interdiction de le passer durant trois ans.
Ce retraité de nationalité portugaise était poursuivi pour "conduite sous l'empire d'un
état alcoolique", "mise en danger de la vie d'autrui", ainsi que pour avoir dégradé du
matériel appartenant à la SNCF. Jeudi soir, l'automobiliste s'était engagé au passage
à niveau à Villennes-sur-Seine et a tourné au mauvais endroit, se retrouvant sur les rails.
Alerté par les sonneries du passage à niveau de l'arrivée d'un train, en provenance de
Deauville et à destination de Paris Saint-Lazare, il était alors sorti de son véhicule, qui
a été percuté et traîné sur près d'un kilomètre par un train Corail peu après 21H00.
L'un des essieux de la motrice du train, qui roulait à 160km/h et transportait 105 passagers,
a déraillé sans faire de victime.
Jugé en comparution immédiate, l'automobiliste de 65 ans, qui présentait le soir des
faits un taux d'alcoolémie de 1,76 g d'alcool par litre de sang, a expliqué à la barre avoir
"paniqué" quand sa voiture a "calé" sur la voie ferrée. "Je ne savais pas comment m'en
sortir, j'ai essayé plusieurs fois en marche arrière", a-t-il ajouté.
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Le 5770 passe par Régny???? Il y avait des détournements? )
Cela concerne bien le train 5770 Ventimiglia - Paris-Austerlitz
Pas de chance
Pour une fois que le "train bleu" est détourné par Tarare, Roanne, Saint-Germain des Fossés,
Moulins et Nevers pour cause de travaux dans la zone de Dijon
L'incident a eu lieu sur la ligne (Lyon) Saint-Germain au Mont d'Or - Le Coteau (Roanne)
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130 passagers d'un train reliant Vintimille à Paris ont dû changer de voitures
à Régny (Loire) à la suite de l'incendie d'une des locomotives Diesel tôt ce
matin, vers 4h40, a-t-on appris auprès des pompiers et de la SNCF.
Le train se trouvait sur une section de ligne non électrifiée lorsque
le bloc moteur d'une des deux locomotives a pris feu, indique la SNCF.
Deux heures plus tard, le convoi a pu repartir en direction de la capitale,
après le remplacement de la locomotive endommagée.
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Bonjour,
Je ne pense pas que les trains PSL <> Deauville effectuent un arrêt à Villennes
Le train 3384 en provenance de Trouville-Deauville (19.11)
est sans arrêt d'Evreux (20.19/20.20) à Paris Saint-Lazare (21.16)
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La semaine dernière, nous informions nos lecteurs du projet de Réseau ferré de France de
réaliser une liaison rapide par TGV directs entre le sud de la France et les Alpes à l'horizon 2014.
Rappelons brièvement qu'il s'agit de l'électrification des lignes pour permettre des dessertes TGV
directes entre le Sud de la France et les grandes villes des Alpes (Grenoble, Chambéry et Annecy)
et, dans le prolongement, Genève. La première étape des travaux consiste en le doublement d'une
partie de la ligne Valence-Grenoble et en la création d'un échangeur ferroviaire permettant aux
lignes Lyon-Grenoble et Valence-Grenoble de se croiser.
« C'est une bonne nouvelle » confie le maire d'Annecy. Entre 2010 et 2014 annonce Réseau ferré
de France, la deuxième étape consistera à relier ces lignes régionales à la ligne à grande vitesse
de Valence, où passe le TGV Paris-Marseille, Montpellier et l'Espagne. « L'investissement d'une somme
de quelque 450 millions d'euros ne concerne pas l'amélioration de la ligne Genève-Annecy-Chambéry »,
précise Pierre Hérisson, sénateur de la Haute-Savoie.
« La première tranche de travaux a essentiellement consisté en l'électrification des tronçons de la
ligne Chambéry-Grenoble-Valence. La modernisation de ces tronçons de voie écourte d'environ un
quart d'heure la durée du trajet Annecy-Chambéry-Valence», poursuit le parlementaire.
« Moins que la réduction d'un quart d'heure du temps de trajet, c?est plus le fait que la liaison directe
par TGV avec Valence puis le Sud de l'Europe devienne possible qui présente un réel intérêt.»
Même si le terme des travaux d'électrification de la section de ligne concernée ne se situe qu'à l'horizon
2014 - 2018, « c'est une bonne nouvelle », commente Jean-Luc Rigaut, maire d'Annecy et président de
la communauté de communes de l'agglomération d'Annecy. Une perspective d'autant plus satisfaisante,
poursuit l'élu annécien, que les travaux programmés sur le sud du réseau du sillon alpin seront accompagnés
d'aménagements appréciables pour le confort des voyageurs.
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Suite aux très fortes précipitations qui s'abattent actuellement sur les Pyrénées-Atlantiques,
la circulation des trains est actuellement interrompue entre Dax et Bayonne depuis 14 heures,
vient d'indiquer la SNCF par communiqué.
Les trains dans le sens nord-sud (à destination d'Hendaye) sont terminus à Dax et les trains
dans le sens sud-nord sont terminus à Biarritz. Actuellement, toutes les équipes d'accueil et
d'escale de la SNCF sont mobilisées pour orienter les voyageurs ainsi que les équipes techniques
qui sont déjà sur place pour évaluer les dégâts causés par les inondations sur les installations.
Compte-tenu du niveau et de la persistance des inondations, la SNCF n'envisage
pas de rétablissement de la circulation avant au moins 20 heures et conseille à
ses clients d'annuler ou de reporter leur voyage.
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Salut Jean-Marc,
Jusqu'en 1991 il existait aussi une relation nocturne (de haute saison d'été) Lyon - Le Croisic
Le train LC 3738/3739 était composé de couchettes (toutes classes) et de places assises (toutes classes)
Cette relation a été supprimée en été 1992 suite à la création d'un TGV saisonnier
Lyon - Le Croisic qui desservait aussi sur la côte d'amour Pornichet et Le Pouliguen
Il y a deux ans j'ai repris ce train au départ de Perrache le premiersarrêt commercial fut Ancenis (pas de souvenir de St Pierre je devais dormir
Le Rhône-Océan dessert aussi Saint-Pierre des Corps (4.56/4.58)
Saumur rive droite(5.28/5.30) et Angers Saint-Laud (5.51/5.53)
Il dessert toujours Ancenis (6.18/6.19)
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Sur de très nombreux trains de nuit, les arrêts autres que les arrêts de service
ont été supprimés aussi à la demande de certains clients suite à des problèmes
d'insécurité (agressions) facilitées par les arrêts fréquents de ces trains... les auteurs
de ces méfaits pouvaient s'évader quasiment à leur guise sans trop être inquiétés.
Le principe était d'éviter des arrêts commerciaux entre 23.00 et 5.00 environ
Je me souviens de l'Arlberg Express (tr 468/9) Paris Est-Wien/Chur, à sa "glorieuse"époque avec les allèges postales en tête, 15 voitures dont sept ou huit places assises
qui terminaient à Bale... Arrêts à Troyes, Chaumont, Chalindrey, Vesoul, Lure, Belfort
(avec échange la 72000 contre une 15000 ou une 16500), Mulhouse, St Louis et Bale!!
J'ai eu l'occasion d'utiliser ce train de Paris (22.40) à Bâle (4.56) pour aller en Suisse
Dans une A 9 (assises 1ère classe) on était pas plus de 2 ou 3 personnes pour toute
une voiture composé de 9 compartiments
C'est vrai aussi que c'est pas facile d'apprécier une couchette même
de 1ère classe sur un trajet où le train s'arrête toutes les 30 à 40 mn
Je pense que l'Arlberg-Express doit toujours circuler entre
Paris et Innsbruck les vendredis de haute saison d'hiver ?
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Quant au Nantes/Lyon, au début il existait plusieurs A/R entre ces villes,
puis la SNCF en vire 1, puis le service d'après encore un, etc..
Effectivement . . .
depuis la mise en service du TGV 5312 Nantes - Lyon (via Le Mans) puis par la
suite la mise en service du TGV 5322 Nantes - Marseille (via Saint-Pierre des Corps)
la SNCF a supprimer progressivement les 3 corails directs Nantes - Lyon (via Tours)
qui partaient respectivement de Nantes vers 7.00, 10.30 et 14.30
Pour le train de nuit Nantes/Lyon, (il part meme de Quimper je crois)il a été avancé de 2 h car passe par Paris, bah oui, moins de gares
desservis la nuit comme ca on peut les fermer!!
Je ne suis pas sur, mais je crois qu'il n'a lieu que le week-end alors
qu'avant c'était tous les jours!!!
Effectivement . . .
le Corail Lunea 4448 "Rhône-Océan" n'a pas d'arrêt commercial
entre Saint-Pierre des Corps (22.47) et Lyon-Part-Dieu (6.32)
le Corail Lunea 4546 "Rhône-Océan" n'a pas d'arrêt commercial
entre Lyon-Part-Dieu (22.21) et Saint-Pierre des Corps (4.56)
Au départ de Quimper depuis le lundi 7 septembre il ne circule plus que les vendredis
et dimanches et sa destination finale est limitée à la gare lyonnaise de Perrache
Il avait des portes autos aussi, en a t-il toujours??Les portes-auto 24410 Auray - Genève et Nantes - Genève
ont circuler pour la dernière fois le samedi 5 septembre
(Quotidien du 19 juin au 5 septembre)
Les portes-auto 24411 Genève - Nantes et Genève - Auray
ont circuler pour la dernière fois le dimanche 6 septembre
(Quotidien du 20 juin au 6 septembre)
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Je pense que Fabr a donné la bonne réponse.... si on regarde sur Google Earth,
on voit le pont et ses arches, le sapin. La 66000 ne dénote pas du lieu....
Le sapin au milieu des voies, ça y ressemble fortement
La preuve en images . . .
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Fret SNCF : un ''monsieur Mobilité'' en prévision de la réforme
"Expert reconnu des mutations industrielles". C'est ainsi que le communiqué de presse
qualifie Jean-Pierre Aubert, nommé le 1er septembre délégué à l'évolution des métiers
et de l'emploi à la SNCF. Son premier dossier : la réforme du fret.
Son arrivée n'est pas étrangère à la grande réforme du fret que l'opérateur national
présente en conseil d'administration le 23 septembre 2009. Une réorganisation en
profondeur, passant notamment par une réduction drastique de l'activité wagon isolé,
les syndicats annoncent une réduction de 60 à 70% des trafics, son transfert partiel
vers des opérateurs de proximité et la création de filiales pour opérer les trains massifiés,
loin d'être indolore pour les cheminots de Fret SNCF. Selon les organisations syndicales,
la réforme se traduirait par la destruction de 4000 à 6000 postes d'ici deux ans dans la
branche. Chiffre que la direction de la SNCF ne confirme pas.
Une "expérience" plutôt inquiétante pour les cheminots
Si ces fermetures de postes se confirment, le premier gros dossier "mobilité" que
Jean-Pierre Aubert aura à gérer sera bien celui-là. Lui qui, dans les années 1990,
a déjà conduit plusieurs reconversions industrielles et sociales (Chausson,
Creys Malville). Pas sûr que ses expériences participent à rassurer les cheminots.
Face à cette restructuration annoncée, et que la direction veut voir aboutir coûte
que coûte, les syndicats sonnent le rappel. Dans un courrier adressé au Premier
ministre, la CGT Cheminots demande l'organisation d'une table ronde gouvernementale
sur l'avenir du fret. Tandis que SUD appelle à un mouvement social le 22 septembre.
Une option que ne partagent pas (encore ?) les autres centrales.
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Malgré les soins longuement prodigués par les médecins du Samu, un homme est
mort hier, peu après midi en gare de Vienne, après qu'il a été happé par un train.
La victime un vieil homme d'environ 80 ans dont l'identité, l'âge et le domicile n'étaient
pas encore confirmés hier soir par les enquêteurs aurait tenté de monter à bord du
Lyon-Briançon alors que le train Corail était déjà en marche. Agrippé aux poignées d'un
wagon, il aurait lâché prise avant de tomber sur les rails et d'être happé sous la rame.
Procédures respectées pour la SNCF
Très grièvement blessé aux membres inférieurs, le vieil homme aurait succombé à un arrêt
cardiaque malgré l'intervention des secours. Alors que la victime était encore prise en charge
sur les rails de la gare de Vienne, les passagers du Lyon-Briançon ont été transférés dans un
autre train une vingtaine de minutes après le drame. Le trafic ferroviaire n'a pas été perturbé.
Une enquête a été ouverte par les policiers du commissariat de Vienne afin de déterminer les
circonstances exactes de ce dramatique accident. Dès hier, la SNCF a indiqué que les procédures
d'usage avant le départ d'un train (coups de sifflet des agents, fermeture des portes) avaient été
correctement effectuées.
Benjamin BOUTIER
Cela concerne le TER 17357 (Vienne 11.29/11.31)
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* malgré le peu de trains sur la partie à une voie banalisée à l'ouest d'Argentan,
difficultés de croisement et de régularité
Ligne Argentan - Briouze - Flers - Vire - Folligny - Granville (130.700 km)
Exploitation
BAPR mis en service en 1998
Commande centralisée depuis Granville (Argentan exclus)
Il existe quelques sections restées à double voie
- Saint-Hilaire-de-Briouze - Briouze - Bellou-en-Houlme - Messei - Flers (16.681 km)
- Vieissoix - Vire - Saint-Martin-de-Tallevende
- possibilité de croisement en gare de Villedieu-les-Poêles
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Avec la SNCF tout est possible. Hier, en gare de Granville, on a « oublié » de faire le
plein de carburant. Résultat une heure de retard et des passagers à bout de nerfs.
Nouvelles galères pour les usagers la SNCF en Normandie.
Toujours d'après le Ouest-France de ce jour . . .
Le 17h part à 17h52
Dans l'après midi, un autre train est resté en rideau à Granville.
A 17h30, 250 personnes attendaient le train qui devait partir à 17h. Ils ont
patienté 25 minutes avant d'être informés, sans motif, d'un retard d'une demi-heure.
Finalement et sans explication, la rame partira à 17h52.
Un problème de portière mal fermée semble à l'origine de ce nouvel incident.
« Ce n'est plus tolérable », s'énerve Frédérique Heurguier, conseillère régionale PS
qui accompagnait sa fille à la gare. Aujourd'hui, l'élue du pays de Granville sera aux côtés
de la délégation qui se rend au siège de la SNCF. Des maires et élus des principales villes
du tracé du Paris -Granville vont être reçus ce matin par Jean-Pierre Farrandou, haut
responsable de la SNCF.
Cette délégation, emmenée par le président du Conseil régional, entend discuter de
quatre points. Rappeler que la SNCF a l'obligation d'entretenir son matériel. Ensuite,
Laurent Beauvais rappellera que Dominique Bussereau, secrétaire d'État aux Transports,
lui a fait des promesses, à Caen, le 6 avril.
Les deux autres points sont financiers. « La SNCF nous demande d'acheter 18 rames
nouvelles d'ici 2013-2014. Nous ne pouvons pas financer ces 150 millions d'euros tout seuls !
Le Paris - Granville n'appartient pas à la Région, que je sache. » Enfin Laurent Beauvais
aimerait disposer d'une « évaluation objective et neutre du déficit annoncé de cette ligne
(7 millions d'euros par an). J'ai l'impression qu'on nous enfume... Je veux avoir les comptes. »
La délégation doit revenir par le train de 10h20
Celui qu'elle devait prendre à 13h 30 a été supprimé.
Sans crier gare bien entendu.
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Selon les premiers éléments de l'enquête, ils ont alors escaladé un petit mur,
surplombé d'une clôture métallique, pour accéder aux voies de chemin de fer
La SNCF assure que tous les accès aux voies étaient correctement fermés.
Une photo de la clôture en question . . .
http://www.ouest-france.fr/ofdernmin_-Un-j...067510_actu.Htm
Ces accidents ne sont pas rares. D'autres se sont produits en avrildans la Nièvre, en 2008 à Angers et en 2004 à Saint-Nazaire.
Le 19 avril 2009 en gare de Saincaize-Meauce (Nièvre) suivi de nombreux commentaires
http://www.lepost.fr/article/2009/04/19/15...r-un-train.html
Le 13 septembre 2008 en gare d'Angers Saint-Laud (Maine-et-Loire)
http://www.ouest-france.fr/ofdernmin_-Un-j...8--BKN_actu.Htm
Le 1er mai 2007 dans la zone portuaire du Priory (Donges - Montoir-de-Bretagne) en Loire-Atlantique
Un enfant s'électrocute en montant sur un wagon
http://tf1.lci.fr/infos/france/faits-diver...sur-wagon-.html
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Cinquante élus bloqués dans le train
Cinquante élus bas-normands ont été bloqués trois quarts d'heure à Versailles depuis 10h35
ce matin, dans le train Paris-Granville. Un comble : ils rentraient d'un entretien d'une heure
très tendu avec Jean-Pierre Farrandoux, n° 2 de la SNCF, pour réclamer une amélioration de
cette ligne qui multiplie les retards, pannes, trains annulés, arrêtés ou bondés
Furieux de se retrouver eux-mêmes bloqués, Laurent Beauvais, président du conseil régional
et les élus ont appelé le directeur de cabinet du secrétaire d'Etat aux Transports,
Dominique Bussereau, pour demander un renouvellement rapide du matériel.
« L'exaspération est à son comble. »
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La SNCF aurait une piste pour sauver le fret
L'hypothèse envisagée par la SNCF pour restructurer le fret ferroviaire serait, d'après
le JDD, de diviser l'activité en quatre branches autonomes. Reçu bientôt à l'Elysée pour
finaliser le plan de sauvetage du fret ferroviaire, Guillaume Pepy, le président de la SNCF
pourrait proposer des transferts d'activité vers une filiale privée, rapporte le JDD.
D'après nos confrères, la restructuration de cette branche dont la perte nette atteint
600 millions d'euros cette année, consisterait à diviser l'activité en quatre branches
autonomes spécialisées par métiers: conteneurs, agriculture et carrières, automobile
et chimie, acier. Citant des sources concordantes, le journal écrit que "la futire division
conteneurs, baptisée Combi Express, sera transformée en juin 2010 en filiale de droit
privé". "Avec réduction des avantages sociaux à la clé", lit-on ensuite.
Ce n'est pas tout. Le plan prévoit notamment une réduction d'environ 60% de l'activité
de "wagon isolé" (trains acheminant les marchandises de plusieurs clients) sans préciser
le nombre de suppression de postes que ce projet implique. Quant à l'investissement
nécessaire à la mise en place de ce plan, le JDD qui cite une source proche du dossier, parle
de "plusieurs milliards d'euros." Les syndicats appellent à la grève à partir du 22 septembre.
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Avec la SNCF tout est possible. Hier, en gare de Granville, on a « oublié » de faire le
plein de carburant. Résultat une heure de retard et des passagers à bout de nerfs.
Nouvelles galères pour les usagers la SNCF en Normandie. Après l'avarie de vendredi, qui valu jusqu'à
trois heures de retard aux passagers du Paris - Granville, hier, le train qui devait quitter la Monaco du
Nord à 13h53, est parti avec une heure de retard. Motif : Il n'y avait personne pour faire le plein !
« Il n'y avait pas d'agent pour faire le plein de gazole ce midi au dépôt. » Le personnel fait
désormais une application stricte des horaires. « Les agents ne veulent plus faire du rab,
comme ils le font si souvent pour maintenir cette ligne à flot », confie l'un d'eux.
« Je n'avais encore jamais entendu une telle justification ! » ironise une Granvillaise.
En arrivant à Dreux à 17h35, ce même train est bondé telle une boîte de sardine. Les passagers
s'arment de patience, espérant arriver, enfin, à bon port. Les naïfs. Au lieu de redémarrer, la rame
reste en rade. Nouvel avatar. « On nous demande de changer de train, le nôtre est en panne »,
raconte, au téléphone, Roger Caron, prêtre retraité. Tout le monde est alors prié de descendre
pour embarquer à bord d'un train de banlieue qui joue la voiture-balai. On change aussi de direction.
Plus question de rejoindre Vaugirard. Direction Montparnasse où le convoi est finalement arrivé
à 19h01. Soit avec deux heures de retard sur l'horaire.
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Dans la nuit de samedi à dimanche, il est monté sur un wagon. Un arc électrique lui a
été fatal. Ils avaient passé la soirée en ville, samedi et, après avoir quitté un bar du
centre, rentraient à pied. Arrivés près du pont de Nantes, où les lignes SNCF surplombent
une avenue à un kilomètre de la gare, ces deux apprentis de 25 ans, hébergés chez les
Compagnons du devoir, veulent prendre un raccourci. Il est environ 3 h 30.
Selon les premiers éléments de l'enquête, ils ont alors escaladé un petit mur, surplombé
d'une clôture métallique, pour accéder aux voies de chemin de fer. En les longeant,
on peut arriver près de leur hébergement.
Ils traversent les voies principales où circulent les trains les plus rapides. Alors que l'un des
deux est un peu en retrait, l'autre monte sur un wagon arrêté pour la nuit. Son camarade lui
crie de descendre, que c'est dangereux. Trop tard. Sur le toit, il est foudroyé par un arc
électrique qui se forme avec la ligne à 25 000 volts au-dessus de lui. Le jeune homme,
originaire d'une autre commune d'Ille-et-Vilaine, meurt sur le coup.
La SNCF assure que tous les accès aux voies étaient correctement fermés.
Cet accident rappelle, de façon dramatique, que les panneaux prévenant du danger électrique
près des voies ferrées sont à prendre extrêmement au sérieux. Il n'est pas nécessaire de toucher
les lignes à 25 000 volts pour être foudroyé. Ces accidents ne sont pas rares. D'autres se sont
produits en avril dans la Nièvre, en 2008 à Angers et en 2004 à Saint-Nazaire.
Gilles KERDREUX
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En fait au bout du compte, ça revient au même koiquesse
Dramatique accident à un PN de Breuil-sur-Vesle (Marne)
dans Actualité ferroviaire générale
Publication:
Une adolescente mortellement percutée par un train
Le village de Breuil-sur-Vesle est sous le choc. Hier vers 17 heures, une adolescente de 15 ans qui regagnait
son domicile a été mortellement fauchée par un train sur le passage à niveau de la ligne Reims-Fismes, à l'entrée
de la commune. La gare se trouve juste à côté. Comme tous les soirs, elle est desservie par des Ter transportant
à cette période de la journée de nombreux jeunes du village ou des environs scolarisés dans des établissements
rémois. C'était le cas de la victime. Elle avait embarqué en gare de Reims dans le Ter de 16 h 38. L'arrêt à
Breuil-sur-Vesle était le troisième après Muizon et Jonchery-sur-Vesle. Habitant la commune, elle est descendue
avec un groupe d'environ vingt-cinq voyageurs, a quitté le quai par l'allée réservée à cet usage avant de se retrouver
devant le passage à niveau, cheminement obligé pour rejoindre le centre du village (il n'y a pas de couloir souterrain).
Croisement fatal
Les témoignages recueillis par les gendarmes confirment que les barrières étaient abaissées. Le Ter a redémarré.
D'après l'enquête, sitôt le train passé devant elle, l'adolescente s'est engagée sur les voies pour rejoindre sa mère
qui l'attendait de l'autre côté. Au même moment arrivait en sens inverse un convoi de marchandises parti de
Fère-en-Tardenois. Le Ter l'a caché à la vue de la jeune fille. Lorsque le conducteur l'a aperçue, il était trop tard.
Il a klaxonné mais elle est restée pétrifiée sur la voie. Elle a été percutée de plein fouet. Arrivés sur les lieux, les
pompiers de Fismes et une équipe du Samu de Reims ont tenté de réanimer l'adolescente. Leurs efforts sont restés
vains. Ecrasés de douleur, ses parents ont été pris en charge dans une ambulance avant d'exprimer leur souhait
de rentrer chez eux. En état de choc, le conducteur du train a dû être transporté au centre hospitalier. Le drame
est passé inaperçu dans le Ter qui a continué son chemin.
Les gendarmes ont ouvert une enquête. D'après les informations recueillies, le franchissement à pied du passage à
niveau, barrières baissées, est assez courant chez les voyageurs réguliers de ce Ter. « Ils sont plusieurs à faire ça »,
indique un habitant. « Dès que le Ter est passé, ils traversent sans attendre que les barrières se relèvent. »
Un comportement fréquent car « d'habitude, il n'y a jamais de train qui arrive en sens inverse ».
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