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A Montpellier, polémique autour d'un chiot écrasé
(édition du jeudi 20 août)
Chiot écrasé - La SNCF se réveille
Chiot écrasé, la SNCF sur la mauvaise voie
L'article "Chiot écrasé, la SNCF sur la mauvaise voie", paru dans notre édition d'hier a, comme
on pouvait s'en douter, fait réagir la Société nationale des chemins de fer qui, pour le coup,
a trouvé le temps de se pencher sur le problème et d'étayer quelques arguments alors que,
a veille, notre rédaction avait tenté, en vain et à plusieurs reprises, de joindre un des responsables.
Ainsi, la SNCF tient aujourd'hui à préciser que « pour des raisons de sécurité évidentes,
l'accès aux voies est formellement interdit au public et très strictement encadré pour
les agents de la SNCF qui interviennent sur les infrastructures ferroviaires » .
Et d'ajouter que ces règles de sécurité sont « rappelées régulièrement au public mais
malheureusement nous déplorons encore trop souvent ces accidents dont les victimes
peuvent être des animaux en divagation mais plus dramatiquement des personnes imprudentes,
des enfants ou des jeunes, inconscients des risques qu'ils encourent en traversant des
voies pour raccourcir leur chemin ou récupérer un objet ou un animal égaré. »
Quant à la critique émise par la propriétaire du chiot selon laquelle « les agents de la SNCF ne
veulent rien entendre », la SNCF rétorque : « Cela est surtout la preuve de leur haut niveau
de conscience professionnelle plutôt que d'une quelconque surdité à l'égard du chagrin de la
demoiselle. » Et de conclure : « L'idée d'interrompre le trafic de la gare de Montpellier pour
récupérer le cadavre du chiot peut apparaître effectivement logique mais je vous laisse imaginer
les réactions des centaines de voyageurs bloqués pendant au moins une heure (temps nécessaire
pour effectuer les coupures électriques, sécuriser la voie, récupérer le chiot et remettre le trafic
en route) à cette période estivale de forte affluence. »
(édition du vendredi 21 août)
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Chiot écrasé, la SNCF sur la mauvaise voie
A Montpellier, polémique autour d'un chiot écrasé
Le 11 août, Mélodie Riou perdait son petit Montagne des Pyrénées de 9 mois à peine. Échappé.
En plein Montpellier. Après avoir posé des annonces aux quatre coins de la ville, une dame
l'appelle deux jours plus tard et lui apprend qu'un chiot a été retrouvé écrasé sur la voie ferrée,
à la gare Saint-Roch, en dessous du pont où passe le tramway.
Mélodie s'y rend avec son compagnon et découvre la scène: le cadavre d'un petit chien
déchiqueté, qui semble avoir été traîné sur plusieurs mètres... Bouleversée, elle veut le récupérer.
Elle ne sait pas à 100 % s'il s'agit de sa chienne Chouïa, et, pour en être sûre, souhaite
récupérer l'animal, voir s'il a une puce électronique et, dans ce cas, la faire identifier.
« Chouïa en avait une, désespère Mélodie. Si seulement j'avais la machine qui permet de
l'identifier, je pourrais savoir s'il s'agit vraiment d'elle. » Mais la SNCF est formelle:
elle refuse d'arrêter un trafic aussi important pour récupérer le simple cadavre d'un chien.
Le vétérinaire que Mélodie contacte est, quant à lui, désolé.
Il est incapable de reconnaître l'animal car il ne peut descendre sur les rails. La réponse des
pompiers ne l'aide pas davantage: ils ne peuvent aller le chercher car ils risqueraient leur vie.
Selon Mélodie, la SNCF ne veut rien entendre. « C'est dégueulasse, y'a pas d'autre mot,
s'indigne-telle, et les policiers, qui disent que ce n'est pas leur rôle !
Je ne sais toujours pas si c'est mon chien qui est mort, je ne sais toujours pas si je dois
poursuivre les recherches, nous ne sommes sûrs de rien. Or, nous voulons être sûrs ! »
La maîtresse de la jeune Chouïa ne veut pas s'arrêter là et compte contacter la mairie de Montpellier.
« Vous vous rendez compte, ils laissent l'animal sur la voie alors que son corps est lacéré,
qu'il diffuse plein de microbes et que des enfants peuvent le voir tous les jours.
Ce n'est pas normal. » Et à l'heure où la SNCF reste injoignable,
la compagnie ferroviaire ne dore pas son image à Montpellier
Faustine ALLASIO
(édition du jeudi 20 août)
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Oui, mais cette phrase figure dans la règle générale, elle s'applique donc même en double voie.
Article 211 Avertissement:
...
2. Règle générale:
Cette phrase d'ailleurs assez récemment amputée puisque il s'agissait ,dans le S1A valable en 2000, du renvoie (1) du point 2 de l'article 211 ainsi libellée: Il est précisé qu'en block manuel, dans le cas d'un sémaphore implanté à faible distance en aval d'un carré mécanique, ces deux signaux peuvent, à titre transitoire, être annoncés par le même avertissement.
En effet le rectif 20 du 2 mai 2001 (application le 1er octobre 2001)
ne fait déjà plus état de la mention "à titre transitoire"
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(le disque en impose deux : avant le premier appareil de voie, puis en gare)
Règle générale
Le disque fermé commande au mécanicien:
a) de se mettre aussitôt que possible en marche à vue
b) sil n'a pas rencontré jusque là de signal lui commandant l'arrêt, de marquer un arrêt:
- avant le premier appareil de voie (aiguille ou traversée) protégé par le disque
- ou bien au poste, si un tel appareil de voie se trouve au-delà du poste
(ou si le poste n'en comporte pas)
c) de ne reprendre sa marche normale, s'y rien ne s'y oppose:
- lorsque le poste protégé par le disque comporte un signal de cantonnement (sémaphore ou carré)
commandant l'entrée du canton suivant, quelque soit son emplacement par rapport au poste,
qu'après avoir franchi ouvert ce signal de cantonnement
- lorsque le poste protégé par le disque ne comporte pas un tel signal de cantonnement,
qu'après avoir reçu directement l'autorisation de départ sous la forme manuelle ou, à défaut,
qu'après avoir reçu verbalement de l'aiguilleur (ou du garde) l'autorisation de se remettre en marche
Règle particulière
En voie unique, lorsqu'il précède une gare, le disque fermé commande de plus au mécanicien
de s'arrêter obligatoirement en gare
S'il existe un signal de cantonnement (sémaphore ou carré) commandant la sortie de la gare, et si
ce signal est ouvert, le mécanicien peut ensuite reprendre sa marche normale, si rien ne s'y oppose
S'il n'en était pas ainsi, le mécanicien ne peut se remettre en marche qu'après avoir
reçu directement l'autorisation de départ donnée sous la forme manuelle ou par écrit
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et d'après ce que je me souviens, en gare de VU,
arrêt général ou pas, un avertissement impose un arrêt en gare.
Règle particulière en VU
Cette règle ne s'applique pas aux gares de jonction de voie unique et de double voie
En voie unique, l'avertissement, lorsqu'il précède une gare, peut être utilisé pour
annoncer un signal d'arrêt à main ou un guidon d'arrêt présenté au voisinage du
point habituel d'arrêt des trains en gare, ainsi que pour annoncer, s'il y a lieu,
un TIV de rappel 30 (ou 40) implanté au droit de l'aiguille d'entrée
Un tel avertissement fermé commande de plus au mécanicien, après s'être conformé,
le cas échéant, à l'indication donnée par le rappel 30 (ou 40) implanté au droit de
l'aiguille d'entrée, de s'arrêter obligatoirement en gare
S'il existe un signal de cantonnement (sémaphore ou carré) commandant la sortie
de la gare, et si ce signal est ouvert, le mécanicien peut ensuite reprendre sa
marche normale, si rien ne s'y oppose
S'il n'en était pas ainsi, le mécanicien ne peut se remettre en marche qu'après avoir
reçu directement l'autorisation de départ donnée sous la forme manuelle ou par écrit
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Je dirais une gare meuuuuuusienne (le chef-lieu pour être précis).Bar le Duc ?
Vu les détails de la verrière, ça y ressemble fortement
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Un TGV Toulouse-Paris est resté bloqué en gare d'Agen en raison de la suspicion d'un
cas de grippe A-H1N1 à bord. Selon un communiqué de la SNCF, les pompiers sont
intervenus à bord d'une rame de TGV en gare d'Agen en Lot-et-Garonne pour venir en
aide à un malade d'origine espagnole suspecté d'être infecté du virus grippal A-H1N1.
En raison de cette intervention pour ce voyageur malade à bord, soupçonné d'être
atteint de la grippe A-H1N1, la rame TGV 8580 partie de Toulouse à 17h36 et qui
devait arriver à Paris-Montparnasse à 22h50 a circulé avec un retard de 30 minutes.
Le jeune homme de 21 ans, porteur d'un certificat médical établi à Barcelone et d'un
masque protecteur, a été pris en charge par les pompiers et evacué vers l'hôpital d'Agen.
Il y a été placé en observation quelques heures puis a pu quitter l'hôpital en compagnie
d'une autre personne qui voyageait avec lui.
http://aquitaine.france3.fr/info/lot-et-ga...n-56616649.html
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Oui, mais Géant Vert a trouvé en premier.
Cela dit, si il n'a rien à proposer, tu peux mettre une photo.
Nico
Pas de problème !
A mon tour, dès que l'occasion se présentera, je ferai une
réponse de provincial, histoire de "taquiner" un peu les parisiens
Je laisse quelqu'un d'autre faire une nouvelle proposition okok
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Comme je t'ai répondu par MP, ce que les Parisiens appellent le 21ème arrondissement, c'est Deauville.
Désolé pour ceux qui ne savaient pas.
Nico
OK ! On habite pas tous la capitale !
Donc en fait, logiquement, si je te suis bien, on est tout
de même bien deux a avoir trouver la bonne réponse ?
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C'est la gare du 21e arrondissement de Paris ça
pas de doute, même si la dernière fois que je l'ai vue il y avait des turbotrains
Le nom de la gare n'a pas été précisé !
Bien joué Géant Vert, à ton tour? ? ?
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Trouville-Deauville (Calvados)
La preuve en images . . .
côté place de la gare http://www.lesgares.com/typologie/gare_typ...s=1&req=TDE
et côté quais http://www.lesgares.com/decouverte/gare_de...p;rep=pays_auge
Mise en service de la gare le 1er juillet 1863
Mise en service de la section Lisieux - Pont-l'Evêque (17.434 km)
par la compagnie de l'Ouest: le 1er juillet 1858
Mise en service de la section Pont-l'Evêque - Trouville-Deauville (11.724 km)
par la compagnie de l'Ouest: le 1er juillet 1863
Lisieux - Pont-l'Evêque - Trouville-Deauville - BAPR
Electrifiée en 25 kV 50 Hz depuis le 22 mai 1996
Je laisse quelqu'un d'autre faire une nouvelle proposition :blush:
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T' as presque gagné, il y a le village dans ta réponse
ok c'est a le dernier passage a niveau ( enfin si cela en est encore un ) encore indiqué par la sncf sur
la carte sur ce qui reste de la ligne Beauvais - Clermont est qui est à LA rue St pierre est quelques
centaines de metres avant l ancienne bifurcation qui d'un coté allait a Clermont et l'autre à St just en chaussée
A toi donc
Je laisse quelqu'un d'autre faire une nouvelle proposition okok
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oui , allez , je donne un indice
C'est dans l'oise et il reste encore une activité cereale sur
le bout de ce restant de ligne quelques kilometres avant
Rochy-Condé est situé sur la ligne Creil - Beauvais
C'est sur la VUTR (Voie unique à trafic restreint):
Rochy-Condé - Bresles - La Rue Saint-Pierre - Etouy ?
Ancienne ligne Rochy-Condé - Etouy - Clermont de l'Oise
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oui , allez , je donne un indice
C'est dans l'oise et il reste encore une activité cereale sur
le bout de ce restant de ligne quelques kilometres avant
C'est sur la VUTR (Voie unique à trafic restreint):
Clermont de l'Oise - Breuil le Sec - Nointel Saint-Aubin - Erquery-Catenoy - Avrigny ?
Ancienne ligne Clermont de l'Oise - Avrigny - Estrées Saint-Denis
A tout hasard . . .
le passage à niveau de la rue de Compiègne à proximité de la gare de Breuil le Sec ?
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par contre le Normal/Danger au PN à SAL, je n'ai jamais vu.
Mais tu as sûrement raison.
C'est prévu dans la réglementation (Dérangement d'un PN à SAL) :wub:
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Y a pas cet équipement sur les PN à SAL
Certains PN - SAL sont bien équipés d'un commutateur Normal-Danger
En cas de gardiennage provisoire, le Livret de service du PN peut, en fonction de
la nature du dérangement et des installations mises à disposition du garde, prescrire
à ce dernier, pour une (ou plusieurs) voie ou pour un (ou les deux) sens de circulation
soit de faire usage du commutateur de blocage,
ou d'un commutateur Normal-Danger installé au PN
soit de demander, par dépêche, à l'une des gares (ou postes)
encadrantes la limitation de la vitesse des trains à 30 km/h
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TGV - Commercy privé de desserte ?
Pas assez de passagers pour le TGV direct entre Commercy et Paris
En avril 2008, la SNCF a accepté de mettre en place un aller et retour direct
TGV de Commercy à Paris. Et ce à titre expérimentale pour une durée de 2 ans .
En contrepartie, les collectivités s'engageaient à verser chaque année 350 000 euros
(220 000 euros pour le conseil général, 100 000 euros pour le conseil régional, 35 000 euros
pour la communauté de commune de Commercy) au titre de " garantie de recette ".
Cette somme était calculée pour un trafic moyen de 30 passagers.
Aujourd'hui, la SNCF constate que ce chiffre est loin d'être atteint puisqu'il n'atteint pas 15.
Elle arrêtera donc les frais en décembre, à moins que les collectivités n'augmentent leur
contribution, jusqu'à 440 000 euros. Les élus préfèrent, eux, trouver une autre solution.
D'abord, instaurer des horaires plus pratiques pour les Commerciens.
Le maire de la ville dénonce l'attitude de la SNCF en la matière.
http://lorraine-champagne-ardenne.france3....--56541230.html
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Ben oui là c'était simple avec tous les indices donnés par Kerguel...
Je laisse quelqu'un d'autre faire une nouvelle proposition mdrmdr
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Voilà une photo,
Nico
J'ai trouvé. Tiens une autre photo avec une 26000 également.A tout hasard . . .
Cherbourg ?
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Bonsoir,
Aspres sur Buech ?
Logiquement "oui" !
La réponse en images . . .
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Quelles sont les dispositions à prendre par un garde barrière dans les minutes qui
suivent l'immobilisation d'un engin poids lourd routier au milieu du passage à niveau.
MERCI.
Concernant les PN gardés . . .
Incidents - Obstruction sur la voie
En cas d'obstruction de la voie au PN ou à ses abords, quelle qu'en
soit la cause, le garde doit prendre, sans hésitation ni retard, les mesures
nécessaires pour assurer la protection de l'obstacle conformément aux
instructions en vigueur et aux prescriptions correspondantes du Livret de service
Il ferme les barrières si c'est possible, mais sans les condamner dans cette position
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D'après les dernières news, la voiture se serait arrêtée devant les barrières fermées,
avant de les franchir en chicane pour une raison indeterminée.
Le train était parti de Culoz avec à son bord 23 passagers.
Il se dirigeait vers Modane, lorsqu'hier, en fin d'après-midi, à hauteur de Saint-Jean-de-la-Porte,
il a percuté un véhicule qui venait de franchir la barrière d'arrêt. Le bilan est lourd :
les trois occupants de la voiture, une femme et deux adolescents de quinze ans, sont morts.
Deux témoins, très choqués par l'accident, ont dû être hospitalisés.
Les barrières du passage à niveau étaient baissées
Vers 17 h 30 hier, un témoin attendait au passage à niveau 42 que la voie soit libre, après le
passage du train Corail qui dessert la Maurienne. Ce passage à niveau se trouve sur la route
départementale, entre l'église et le cimetière de Saint-Jean-de-la-Porte.
Le témoin est formel:
« La barrière était baissée, et le feu rouge clignotait. J'ai vu en face de moi une Peugeot 206
se déporter et franchir les barrières, pourtant baissées, en les évitant. Le choc fut terrible. »
Un responsable du réseau de la SNCF, sur place après l'accident, confirmera d'ailleurs qu'à cet endroit
la vitesse du train est d'environ 120 kilomètres/heure. Il faudra 400 mètres au convoi pour s'arrêter.
Alors que les passagers du train, tous sains et saufs, étaient évacués rapidement par autobus,
les secours affluaient de Saint-Pierre d'Albigny, Montmélian, Chambéry et Aiguebelle, ainsi que
le Smur de Chambéry. Il était déjà trop tard pour les deux adolescents agés de quinze ans,
frères et soeurs jumeaux, qui sont décédés sur le coup. Les secouristes ont longtemps tenté de
sauver la conductrice, prisonnière de son véhicule. Hélas, elle est décédée pendant les opérations
de désincarcération. Le véhicule, une Peugeot 206, était immatriculé en Haute Savoie.
Très vite, le maire de Saint-Jean-de-la-Porte était sur place. En raison de la gravité de l'accident,
le préfet, accompagné de son directeur de cabinet et de la substitut de permanence du parquet
de Chambéry se sont également rendus sur les lieux. Très rapidement, une équipe du Peloton
de Surveillance et d'Intervention de la Gendarmerie est arrivée, ainsi que les enquêteurs de
la gendarmerie de Saint-Pierre d'Albigny-Montmélian sous la direction du Capitaine Favier,
adjointe au commandant de Compagnie de Chambéry.
Pour l'heure, il est difficile de comprendre les raisons de cet accident. Tant du côté de la SNCF,
que des pompiers, des gendarmes ou même des simples usagers, ce passage à niveau n'est pas
réputé accidentogène. Situé sur une portion en ligne droite, il offre une bonne visibilité sur les
trains qui arrivent de droite ou de gauche. Reste à savoir pourquoi cette voiture qui se dirigeait
vers le centre de Saint-Jean-de-la-Porte, a franchi le passage à niveau.
LOIC GAT
Signaux mécaniques
dans INFRA : gestion des circulations, voie, bâtiment, ouvrages d'art, signalisation, caténaires, ...
Publication:
Concernant les sémaphores . . .
En block manuel, et s'il s'agit d'un sémaphore de sortie situé au droit ou aux
abords du bâtiment des voyageurs, le mécanicien, s'il y a avantage pour le service,
peut, sans marquer l'arrêt au sémaphore fermé, avancer en marche à vue et ne
s'arrêter qu'au point habituel d'arrêt des trains
Cette prescription qu'on retrouve aussi dans le Titre I - Signaux de 1951
(abroge et remplace l'édition de 1941) figurait aussi dans le S1A de 1974
Elle concernait plus spécialement les anciens sémaphores de block Lartigue