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Le Web des Cheminots

IGS4

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Tout ce qui a été posté par IGS4

  1. Merci pour ce complément d'informations concernant notamment le refus d'obéissance de Léon Bronchart mdrmdr
  2. Normalement, deux plaques commémoratives sont présentes en gare d'Etampes, dont une dédiée au "Souvenir aux évadés de France" http://www.cheminots.net/forum/index.php?showtopic=19701
  3. Tout à fait . . . L'ancienne ligne de Pithiviers à Beaune la Rolande est surtout connue pour cette période sombre de notre histoire La SNCF pendant l'occupation Dès la signature de l'armistice franco-allemand du 22 juin 1940, en application de l'article 13 de la convention d'armistice, les chemins de fer (de même que les routes et voies navigables) sont mis à la disposition de l'occupant dans la zone occupée, soit les deux tiers du réseau de la SNCF (en juin 1940), qui fixe les priorités L'organisation mise en place laisse toutefois la responsabilité de l'exploitation et du fonctionnement à la SNCF sous la surveillance d'un organisme militaire allemand, le WVD (Wehrmachtverkehrsdirektion) dont le siège est à Paris (sauf pour une partie des réseaux Nord et Est dépendant du WVD de Bruxelles) Le réseau Alsace-Lorraine de son côté est rattaché à la Reichsbahn à partir du 1er juillet 1940 Dès l'été 1940, l'occupant allemand effectue des prélèvements de matériel, le premier ordre portant sur 1000 locomotives et 35 000 wagons Après la rafle du Vel d'Hiv le 16-17 juillet 1942, les juifs arrêtés sont déportés par les autorités françaises dans des trains de la SNCF vers les camps de Drancy, Pithiviers et Beaune la Rolande Le 31 octobre 1942, un conducteur de locomotive, Léon Bronchart, est le seul conducteur a refusé de conduire un train de Juifs vers la déportation. C'est le seul cas connu Des trains de déportés sont partis vers la frontière allemande jusqu'en 1944
  4. Petit rappel historique . . . 14 septembre 1868 - Ouverture de la ligne Pithiviers - Malesherbes (19 km) 4 novembre 1969 - Fermeture au service voyageurs 18 août 1872 - Ouverture de la ligne Pithiviers - Les Aubrais-Orléans (43 km) 4 novembre 1969 - Fermeture au service voyageurs 1892 - Ouverture de la ligne à voie étroite de 60 - Pithiviers - Toury (33 km) 1892 à 1898 - Exploitation: Société d'exploitation des Etablissements Decauville & Ainé 1899 à 1964 - Exploitation: Régie départementale du Tramway de Pithiviers à Toury La proximité de la culture des betteraves entraîna un important trafic marchandises vers les sucreries de Pithiviers et Toury Cette activité sera la raison d'être de la ligne Après la suppression du trafic voyageur, la desserte des sites s'effectuait au moyen d'environ 50 km d'embranchements, longueur variant selon les saisons 1952 - Fermeture au service voyageurs Novembre 1964 - Fermeture au service marchandises (après la saison betteravière) 27 octobre 1902 - Ouverture de la ligne Pithiviers - Beaune la Rolande (21 km) 19 février 1905 - Ouverture de la ligne Pithiviers - Etampes (36.500 km) 4 novembre 1969 - Fermeture au service voyageurs La ligne était à cheval sur l'Essonne (19.800 km) et le Loiret (16.700 km) Le point culminant est situé entre Méréville et Estouches à 138 mètres d'altitude Le plus bas est à Boissy-la-Rivière à 77 mètres De nombreux ouvrages d'art ont été construits pour permettre le passage des trains Le plus important sera le viaduc de la Vallée de Parrin composé de 7 arches de 10 mètres d'ouverture La gare de Méréville et le viaduc de la vallée de Parrin http://gare91.free.fr/histoire.php
  5. Bonjour Philippe, Quelques éléments de réponse concernant la ligne Montluçon - Gouttières (45.183 km) En gare de Montluçon-ville, cette ancienne ligne avait son origine au niveau de l'ancien poste R situé à proximité de la bifurcation d'Eygurande-Merlines Cette ligne qui a vu circuler des trains de voyageurs que durant 8 ans seulement, est déferrée de Montluçon à Pionsat depuis 1973 et de Pionsat à Gouttières depuis 1952 Cette section de la ligne Montluçon - Clermont-Ferrand via le viaduc des Fades et Volvic, est la dernière ligne construite par le PO Au début de son exploitation, la ligne desservait les gares de: Montluçon, Néris les Bains (+ 8 km), Durdat-Larequille (+ 12 km), Terjat (+18 km) , Marcillat en Combraille(+ 24 km), Saint-Fargeol (+ 28 km), Pionsat (+ 33 km) et Gouttières A Marcillat en Combraille elle était en contact avec l'ancienne ligne à voie métrique (104 km) en provenance de Varennes sur Allier, via Chantelle, Bézenet, et Commentry Exploitation: Compagnie Générale des chemins de fer Economiques (SE) A Gouttières elle était en contact avec la ligne en provenance de Lapeyrouse Un blog intéressant sur Néris les Bains Sur le blog, les dates de mise en service de la ligne (15 mars 1931), ainsi que de fermeture au service voyageurs (15 mai 1939), sont correctes Concernant le service marchandises, il existe deux dates de fermeture: . section Montluçon - Néris les Bains - Pionsat (33.183 km): le 3 novembre 1969 . section Pionsat - Gouttières (11.800km): le 1er février 1950
  6. Petit rappel historique le l'étoile ferroviaire de Pithiviers http://www.cheminots.net/forum/index.php?showtopic=20300 Je laisse quelqu'un d'autre faire une nouvelle proposition helpsoso
  7. En fait, ce qui m'a mis sur la voie, façon de parler, c'est la concordance entre Géoportail et ta photo, concernant la présence de 5 ou 6 ouvertures sur le toit du hangard Mais aussi un point noir sur le deuxième quai censé repéré la cloche électrique J'étais passer à Pithiviers, il y a deux ans Sur le premier quai il y avait encore la manette du sélecteur "automatique-manuel" qui permettait de fermer le PN côté Les Aubrais juste avant l'expédition d'un train Je laisse quelqu'un d'autre faire une nouvelle proposition ;)
  8. A tout hasard . . . La gare de Pithiviers dans le Loiret (ex. réseau du Sud-Ouest) qui possède un hangard ressemblant à celui de cette photo ?
  9. C'est bien une cloche électrique destinée à l'annonce des trains
  10. Après deux accidents récents et plusieurs incidents depuis l'an dernier, la CGT et la CFTC redoutent que la progression des opérateurs privés dans le transport de marchandises ne provoque davantage d'accidents ferroviaires. La libéralisation du transport ferroviaire provoque-t-elle davantage d'accidents ? Oui, répond la CGT-cheminots, qui affirme avoir observé «une recrudescence d'incidents et d'accidents» mettant «en cause les opérateurs ferroviaires privés chez qui la réduction des coûts et l'abaissement des conditions sociales sont la règle». De son côté, la CFTC se demande aussi «comment les opérateurs privés peuvent être compétitifs sans rogner sur la sécurité ?». Pour soutenir leur affirmation, les syndicats s'appuient sur des exemples récents. Le 20 mai, le trafic entre Paris et Bordeaux se retrouvait paralysé après le choc près d'Angoulême entre un train de fret SNCF et un train d'Euro Cargo Rail (ECR), dont le chargement de tractopelles se serait déplacé. Le week-end dernier, un autre train ECR déraillait, arrachant 350 mètres de voies à Forbach (Moselle), interrompant les circulations fret, TER et TGV. Selon la CGT, un train Colas Rail a fait de même dans la Marne, «avec arrachement de la voie et des caténaires». En 2008, le syndicat majoritaire de la SNCF avait déjà relevé une série de franchissements de feux rouges par d'autres opérateurs privés de fret, et surtout le «train fou» de Veolia qui avait traversé en avril la gare de Montauban à 60-70 km/h en raison de l'absence d'un frein. http://www.lefigaro.fr
  11. C'est bien ce que le Progrès de ce jour explique en partie . . . Les Bonsonnais de l'ouest de la commune qui sont allés faire leurs courses au centre du village avant 9 h 30, hier, ont dû attendre 11 h 30 pour pouvoir retraverser le passage à niveau. Un train de marchandise s'était immobilisé sur la voie, bouchant l'accès à tout véhicule et aux piétons. C'est en effet vers 9 h 30 que le personnel de la gare a aperçu le convoi arrivant d'Andrézieux-Bouthéon avec semble-t-il l'essieu avant bloqué. Des étincelles giclaient sur le ballast et le conducteur était alors averti. Il arrêtait le train mais avait déjà franchi le passage à niveau et un aiguillage. C'est en voulant reculer le convoi à une vitesse très réduite pour le mettre sur une voie de garage que l'avant de la motrice est sortie des rails, se mettant en travers. Dès lors, tout trafic, notamment de voyageurs, entre Saint-Étienne et Clermont-Ferrand était impossible dans les deux sens, sur cette voie unique. Une vingtaine de trains était ainsi bloquée. Heureusement, plus de peur que de mal pour le cheminot, seul à bord. Quant à la quinzaine de wagons tirée par la machine, ils ne contenaient pas de matière dangereuse mais du sable qui devait être livré à Montbrison. Ce train de fret appartient à l'entreprise privée Euro Cargo Rail (ECR), qui dispose d'une quinzaine de sites en France. Une vingtaine de personnes de différents services de la SNCF (relevage, circulation, plate-forme) se rendait sur les lieux. Les techniciens constataient d'abord que le boggie avant, supportant quatre essieux, semblait être coincé. Selon Patrick Desloire, responsable des relations avec la presse de la SNCF à Lyon : « Cet incident est relativement mineur en cette période estivale plutôt calme. Les conséquences en sont ainsi limitées et moins pénalisantes même si nous avons dû mettre en place un service de cars pour une vingtaine de trains. En plus, il ne s'agit pas là d'une grosse ligne. Maintenant il faut savoir que la locomotive pèse 120 tonnes et qu'il est toujours délicat de remettre un tel véhicule sur les rails. Notre maître mot étant la sécurité des voyageurs, il nous faudra s'assurer que la voie n'a subi aucun dégât. » C'est une équipe de techniciens de la SNCF qui va effectuer l'enquête, comme c'est le cas dans ce genre d'incident. Les pompiers d'Andrézieux-Bouthéon et de Saint-Just-Saint-Rambert ont cependant dû intervenir pour plusieurs départs de feu sur les abords de la voie à partir d'Andrézieux suite aux étincelles jaillissant des roues de la motrice. Selon le responsable du chantier, sauf contretemps, la circulation des voyageurs devait reprendre hier soir vers 20 heures, après que l'opération de relevage de la locomotive eut été terminée. Guy Poix Une photo de l'opération de relevage . . . http://www.leprogres.fr/fr/region/la-loire...t-Clermont.html
  12. Lignes des Dombes (Nord) Section de Saint-Germain du Plain à Lons-le-Saunier http://acuop.club.fr/rail/DombesLons.html Section de Saint-Germain du Plain à Bourg-en-Bresse http://acuop.club.fr/rail/DombesBourg.html Félicitations au passage, à Gilbert Gillet pour son site ! Je laisse quelqu'un d'autre faire une nouvelle proposition koiquesse
  13. Sans hésiter un seul instant . . . L'ancienne gare de bifurcation de Saint-Germain du Plain (Saône-et-Loire) Dans le fond, l'ancienne ligne en provenance de Lons-le-Saunier et Louhans Sur la droite, l'ancienne ligne en provenance de Bourg-en-Bresse et Montrevel-en-Bresse En bas, l'ancienne ligne en provenance de Chalon-sur-Saône Des lignes exploitées à l'origine par l'ancienne compagnie DSE (Chemins de fer des Dombes et du Sud-Est) Je laisse quelqu'un d'autre faire une nouvelle proposition lotrela
  14. Ca devrait logiquement être la bonne réponse ? J'ai remarquer sur la photo, mais trop tardivement, derrière le pont en question, la présence des doubles piles d'un deuxième pont parallèle (le pont de la D 948) http://fr.structurae.de/structures/data/in...cfm?ID=s0002954 http://www.loiret.com/cgloiret/index.php?p...=i_display_full
  15. A tout hasard . . . Le viaduc de La Possonnière situé à proximité de Chalonnes/Loire Ligne à voie unique La Possonnière - Cholet
  16. http://pagesperso-orange.fr/rue_du_petit_t...s-gallardon.htm Un reportage intéressant sur la gare de Gallardont-Pont http://pagesperso-orange.fr/alain.mionnet/gare.htm Un lien relatant le projet de la ligne de Paris à Chartres par Gallardon http://www.mairie-rochefortenyvelines.fr/r...sp?IdPage=14749 Je laisse quelqu'un d'autre faire une nouvelle proposition zzz
  17. Moi non plus ! Mise à part avoir pratiquer la voie unique sur l'ancienne CEX de Chartres Avec un pseudo évoquant le nom des habitants de Chartres pour les uns, et un vieux carnet de profils Ouest pour les autres, c'était prévisible ! J'hésitais d'ailleurs un instant, entre cet endroit et la sortie de Chartres côté Le Mans, à proximité du pont de l'ancienne bifur de Mainvilliers . vers Dreux sur la droite . vers Lucé (quai militaire) et Voves - Patay - Orléans sur la gauche situé un peu avant la bifur des Vauroux (Courtalain et Le Mans)
  18. A tout hasard . . . L'entrée de la gare de Chartres côté Paris En haut à gauche le pont de la rue de l'arbre de la liberté franchissant la ligne en direction de Rambouillet, Versailles-Chantiers et Paris-Montparnasse Sur la droite l'origine de l'ancienne ligne vers Gallardon-Pont La photo est prise depuis le pont se situant à proximité de la rue de Fresnay Si la réponse est correcte, je laisse quelqu'un d'autre faire une nouvelle proposition zzz
  19. Un tableau blanc, de forme pentagonal, pointe en bas, non éclairé la nuit situé au dessus de la pancarte R située à la sortie de ce pont-cage A toute hasard . . . Le pont-cage franchissant la Romanche situé en gare de Jarrie-Vizille côté Veynes-Dévoluy Dans le sens Jarrie-Vizille (Saint-Georges de Commiers) Veynes-Dévoluy: - le TIV à distance est situé sur le Carré 5 (BM) - le TIV d'exécution est situé à l'entrée du pont-cage après le PN Si la réponse est correcte, je laisse quelqu'un d'autre faire une nouvelle proposition :Smiley_20:
  20. La découverte d'un cadavre, ce matin, sur les rails près de la gare de Sarcelles-Saint-Brice (Val-d'Oise), perturbait fortement le trafic de la ligne H du Transilien depuis 07H45. La circulation des trains en direction de Paris a été arrêtée depuis la découverte du corps, notamment à la gare d'Ecouen-Ezanville où un train était à quai depuis plusieurs heures. La SNCF a mis en place des bus de remplacement entre la gare d'Epinay-sur-Seine (Seine-Saint-Denis) et de Sarcelles (Val-d'Oise) dans l'attente de la reprise du trafic qui ne devrait pas être effective avant la fin de la matinée. http://www.leparisien.fr
  21. Tram-Train: les premiers travaux Ce tram-train tiendra à la fois du tramway, en matière de souplesse, et du train en matière de vitesse (100 km/h) et de freinage Des départs prévus toutes les trente minutes en heures de pointe Ouverture de la ligne Nantes-Nort-sur-Erdre à l'automne 2011. Extension jusqu'à Châteaubriant un an plus tard Dix ans qu'il était dans les tiroirs. Cette fois le dossier de la liaison tram-train Nantes-Châteaubriant est vraiment sur les rails. La convention de financement entre les multiples partenaires (lire ci-contre) vient d'être signée. Les travaux de construction de l'atelier de maintenance des matériels roulants, sur le site de l'ancienne gare de Doulon, ont même déjà commencé. Ceux liés à l'aménagement des gares et de la ligne proprement dite débuteront cet été. Du coup, les échéances de mise en service se font plus précises: septembre 2011 pour le tronçon Nantes - Nort-sur-Erdre, décembre 2012 pour le prolongement jusqu'à Châteaubriant. Le rythme des dessertes s'affine également. Entre Nantes et Sucé: 23 allers-retours par jour sont prévus, soit un tram-train toutes les 30 minutes aux heures de pointe et un par heure le reste de la journée. Jusqu'à Nort: 16 allers-retours avec une desserte concentrée aux heures de points (toutes les 30 minutes) Jusqu'à Châteaubriant : 7 allers-retours (concentré le matin et le soir). Ce tram-train est une première en France. Comme son nom l'indique il tiendra à la fois du tramway, en matière de souplesse, et du train en matière de vitesse (100 km/h) et de freinage. Intérieurement, les rames, construites par Alstom, s'apparenteront à des TER de dernière génération: WiFi, climatisation, vidéosurveillance, accès handicapés Chaque rame pourra transporter 244 passagers dont 98 assis. Les porteurs du projet misent 10 000 voyageurs par jour sur la totalité de la ligne. Mais d'ici l'ouverture du premier tronçon jusqu'à Nort-sur-Erdre d'importants travaux devront être engagés. Des gares, parfois désaffectées depuis de longues années devront être réaménagées. Toutes disposeront de parkings voitures et d'abris vélos. Le chantier le plus important sera sans doute celui de Châteaubriant. La gare va y revivre sous une forme moderne, devenant un véritable pôle multimodal avec, entre autres, des correspondances par car pour d'autres destinations. À Nantes, deux voies seront dédiées au tram-train à la gare SNCF. Enfin, le pont de la Jonelière lui aussi fera l'objet d'aménagements importants. Il sera notamment élargi. http://www.presseocean.fr
  22. 80 passagers du train en souffrance Hier en fin d'après-midi, 80 passagers d'un TER, pour certains des vacanciers, ont dû prendre leur mal en patience sur le quai de la gare de La Tour-du-Pin. À l'origine de cet imprévu, une surchauffe survenue sur la motrice de leur train. C'est un dégagement de fumée sur la motrice du TER 17 643 circulant en direction de Grenoble qui a obligé le conducteur à stopper le train en gare de La Tour-du-Pin. Il était 16 h 40. Alors que les usagers ont été évacués et le trafic totalement interrompu dans les deux sens, les sapeurs-pompiers de La Tour du Pin, La Bâtie-Montgascon et Saint-André-le-Gaz ont été dépêchés sur place. Selon les premiers éléments de l'enquête, le dégagement de fumée proviendrait d'une surchauffe d'un élément du moteur. Une heure plus tard, le trafic a repris progressivement. Si cet incident est minime, il a eu un impact certain sur de nombreux TER et TGV en cette soirée de départs en vacances. Ainsi, différents TGV entre Grenoble, Lyon, Annecy et Paris ont accusé des retards de plus d'une heure trente. Quant aux 80 passagers du TER, victimes de l'incident, la SNCF les a incités à prendre les trains suivants. http://www.ledauphine.com
  23. 170 voyageurs retardés deux heures à cause d'une panne mécanique Hier, le TGV n°6613 en partance de Paris à 11h54 et devant arriver à la gare de Lyon Part-Dieu à 13h56 a eu deux heures retard. Cent soixante-dix voyageurs ont été immobilisés près de Cluny au nord de Macon à cause d'une panne mécanique imputable à la SNCF. Après que le conducteur a dépanné l'engin, c'est à 160 km/h au lieu de 300 km/h et sur une ligne classique que le train a regagné le terminus pour éviter tout accident sur cette ligne à forte fréquentation. En moyenne, c'est un train toutes les quatre minutes qui circule sur cette voie, et 250 trains par jour. Dès leur arrivée en gare de Lyon, les voyageurs ont été pris en charge par les agents d'accueil. Des bouteilles d'eau et des enveloppes permettant l'obtention du dédommagement d'un tiers du prix du titre de transport, sous forme de « bons voyage », ont été distribuées. La SNCF a appliqué aux voyageurs attendant une correspondance, une prise en charge au cas par cas, ceci afin que leur voyage s'achève dans les meilleures conditions. http://www.leprogres.fr
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