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Prenez le TGV en banlieue . . .
A partir d'aujourd'hui, la SNCF augmente le nombre de liaisons TGV entre les villes de
banlieue et la province, sans passer par Paris. Fontainebleau est désormais desservie.
La banlieue se rapproche à grande vitesse de la province. Dès aujourd'hui ,la gare de Fontainebleau
(Seine-et-Marne) est desservie par le TGV. Les voyageurs qui grimperont dans ce train pourront
rejoindre Marseille en quatre heures quarante. « Cela rendra service à de nombreuses familles qui
veulent partir en vacances dans le Sud ou à la montagne », se réjouit le maire Frédéric Valletoux,
qui y voit aussi « une opportunité économique et touristique » pour sa ville.
A partir de ce matin également, les habitants de Mantes-la-Jolie (Yvelines) et des environs
pourront rejoindre tous les jours Strasbourg en presque cinq heures et Dijon en trois heures
et trente minutes grâce à l'arrivée des TGV Le Havre-Strasbourg et Evreux-Dijon.
« Ces liaisons grande vitesse ont trouvé leur public »
Lancées à titre expérimental pendant trois ans, les deux lignes qui passent par Mantes ont pour
particularité de contourner Paris par le nord et d'éviter ainsi les changements de gare dans la capitale.
Dès aujourd'hui, ces deux trains s'arrêteront également à l'aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle et à
Marne-la-Vallée (Seine-et-Marne).
Le développement se poursuivra en décembre, avec la gare de Conflans-Fin-d'Oise (Yvelines).
La SNCF espère attirer entre 100 000 et 150 000 voyageurs par an sur ces deux parcours.
Inaugurées dans les années 1990, « les liaisons grande vitesse entre la banlieue et la province
ont trouvé leur public », selon la direction de l'entreprise. « Les clients sont au rendez-vous.
Le fait de ne plus passer par Paris en se baladant
d'une gare à l'autre avec les valises est un argument de poids. » Avec Fontainebleau, elles sont
aujourd'hui huit gares franciliennes à accueillir le TGV : Massy, Juvisy (Essonne), Roissy (Val-d'Oise),
Melun, Chessy - Marne-la-Vallée (Seine-et-Marne) et Versailles (Yvelines) (voir notre tableau) .
Le taux de remplissage de ces rames est bon et les clients, plutôt satisfaits, selon la direction de la SNCF.
A elle seule, la gare TGV Marne-la-Vallée - Chessy, dopée il est vrai par les visiteurs de Disneyland Paris,
reçoit 5 000 passagers par jour en moyenne.
(édition du dimanche 5 juillet)
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Fini le « contrat du siècle », la SNCF a revu à la baisse ses ambitions et veut commander seulement 35 TGV
dans un premier temps. Ces rames seront destinées aux liaisons internationales appelées à se développer.
C'est toujours mieux que rien. Il y a quelques mois, la SNCF envisageait de passer le contrat du siècle.
Qu'on y songe : une commande de 200 à 300 TGV, destinée à renouveler un matériel vieillissant, et dont
le montant devait représenter de 6 à 9 milliards d'euros. Le projet a finalement été remisé, mais le groupe
public n'a pas abandonné l'idée de moderniser son parc. Selon nos informations, le conseil d'administration
sera appelé vendredi à donner son accord pour lancer un appel d'offres concernant 35 TGV à un niveau.
L'appel à candidatures aura lieu à la rentrée. Le montant de cette commande est estimé
entre 1,1 et 1,2 milliard d'euros, pour une livraison qui devrait s'étaler entre 2015 et 2017.
Le nom du constructeur retenu sera selon toute vraisemblance annoncé au début de 2011.
« Politique de petits pas »
Ce projet marque donc un tournant dans la stratégie suivie par la SNCF pour son matériel roulant.
« Fini les rêves de grand soir avec la commande géante de rames capables d'aller partout
Désormais, le groupe aura une politique de petits pas », décrypte un proche du dossier.
Ce changement est dicté par l'évolution de l'environnement de la compagnie ferroviaire, qui va voir
dans les années à venir débouler la concurrence sans pouvoir encore en mesurer l'impact exact.
Il y a quelques semaines, David Azéma, directeur général chargé de la stratégie, évoquait également
« les incertitudes sur les niveaux de péage et sur les dates d'ouverture d'un certain nombre de lignes
à grande vitesse nouvelles »pour réduire les prétentions du groupe dans ses commandes de TGV.
Les péages perçus par Réseau Ferré de France pour la circulation des trains sur le réseau sont en
effet devenus un sujet sensible, alors qu'une réforme prévoit une augmentation de la facture
(+ 90 millions en 2009) dans les années à venir.
Pour réduire les risques, la SNCF va désormais raisonner non plus globalement, mais par segments.
Les 35 TGV supplémentaires à un niveau qui vont être commandés concerneront ainsi exclusivement
les liaisons internationales. Celles-ci devraient se multiplier dans les années à venir avec la création
de nouvelles lignes à grande vitesse en Europe. Ce seront donc des rames tri ou quadri-courant, qui
pourront rouler à la fois au Benelux, en Suisse, en Allemagne - sur des axes inaccessibles actuellement
comme Francfort-Cologne - ou en Italie. Leurs capacités devraient avoisiner les 440 places.
Cette compétition sera sans doute l'occasion pour les constructeurs de présenter leurs trains à grande vitesse
de nouvelle génération. Au premier rang, Alstom, dont le dernier-né, l'AGV, a déjà été vendu aux Italiens de NTV.
En face, on devrait retrouver Siemens, qui a déjà vendu une centaine d'exemplaires de son Velaro en Espagne,
en Chine et en Russie. Bombardier pourrait également être de la partie, avec son Zefiro.
Renaud HONORE
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Non general pour tout le monde et re non pour les pyrenees orientales,j'avais dejà repondu...
Je pensais pas que j'allais vous coller 6 jours avec ça!!!!lol
En fait il s'agit d'une gare terminus ou de passage ?
Car ça change tout !
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Effectivement la gare est desertée par les trains....mais encore ouverte aux clients....
L'ancienne ligne Pamiers - Moulin-Neuf - Bram (et Limoux) . . .
A tout hasard Moulin-Neuf (09) ?
Desservie depuis Toulouse par autocars à tarification SNCF
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Effectivement la gare est desertée par les trains....mais encore ouverte aux clients....
Le chemin de fer de la vallée d'Ossau . . .
Et desservie depuis Buzy en Béarn par autocars à tarification SNCF
A tout hasard Laruns (65) ?
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Effectivement la gare est desertée par les trains....mais encore ouverte aux clients....
Et desservie depuis Dax et Puyoô par autocars à tarification SNCF
A tout hasard Mauléon (64) ?
Ou Saint-Palais (64) mais c'est pas desservie par autocars à tarification SNCF
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Effectivement la gare est desertée par les trains....mais encore ouverte aux clients....
Et desservie depuis Tarbes et Lannemezan par autocars à tarification SNCF
A tout hasard Sarrancolin (65) ?
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Effectivement la gare est desertée par les trains....mais encore ouverte aux clients....
Et desservie depuis Lourdes par autocars à tarification SNCF
A tout hasard Pierrefitte-Nestalas (65) ?
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Bonjour à toutes et à tous,
Intérieur d'une voiture TEOZ après la collision du train 3661 avec une remorque agricole
http://www.tv5.org/cms/chaine-francophone/...cfb177f.751.xml
Je voudrais profiter de ce message pour signaler à toutes et à tous que je n'ai rien à
voir avec la polémique qui s'est installer temporairement au sujet d'un autre forum
Jusqu'à la preuve du contraire je n'ai jamais manquer de respect à quiconque ici
De plus, comme vous avez dû très certainement le constater par vous-même, je suis rester
volontairement à l'écart de cette polémique pour ne pas mettre de l'huile sur le feu
Moi je suis ici essentiellement pour parler de la passion qui nous anime toutes et tous
J'ai fait le point avec l'équipe d'administration qui n'a pas hésiter à m'apporter son soutien
Je voudrais donc aussi profiter de ce message pour remercier notamment:
A1AA168000 - Katamiaw - Roukmote - 5121 ainsi que de nombreux autres membres
(qui se reconnaîtront) pour les messages privés de soutien, et d 'encouragement
à continuer a participer à ce forum qu'ils m'ont fait parvenir depuis hier soir
Merci aussi à ceux qui dans le fil de discussion en question m'ont apporter leur
soutien par leurs écrits. Je pense notamment à Michael02
Bon dimanche à toutes et à tous
A bientôt sur le forum
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Il y a de la caténaire du côté de St Gervais => ligne St Gervais <-> La Roche sur Foron
Vu l'endroit où se situe Passy, on peut supposer que ça a dû se produire
entre St Gervais et Sallanches-Combloux-Megève
Gom
Tout à fait (25 kV 50 Hz), la ligne est électrifiée depuis octobre 1955
Cependant, la commune de Passy est aussi située côté cité SNCF
Je ne compte plus le nombre de fois où j'ai dû arpenter le quai
militaire du temps où j'étai Chef de service en gare du Fayet
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Une parapentiste anglaise a manqué son atterrissage, hier vers 10h50 à Passy,
terminant son vol sur une des caténaires de la ligne Saint-Gervais - Chamonix
Elle n'a pas été blessée.
Cet accident a occasionné l'arrêt de deux TER, pendant quinze minutes
Etonnant non ?
Le journaliste aurait-t-il confondu le troisième rail avec une caténaire ?
Où s'agit-t-il des voies à écartement normal du quai militaire ?
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L'article en entier sur le site du Figaro.
Légers retards dans la Vienne
Douze TGV transportant quelque 9.000 voyageurs ont été arrêtés hier en début de soirée dans
la Vienne après la découverte de ballast sur les voies au sud et au nord de Poitiers, a-t-on appris
auprès de la direction régionale de la SNCF.
"Douze TGV et un TER ont été arrêtés vers 18h30 après la découverte de ballast, des cailloux utilisés
pour supporter les voies ferrées. Le trafic a pu reprendre vers 20h00", a expliqué à l'AFP la cellule
communication de la direction régionale de la SNCF à Bordeaux.
"C'est un acte de malveillance. Les trains ont été arrêtés au sud et au nord de Poitiers et ont pu repartir
après le dégagement des voies. Du monde a été laissé sur place pour assurer la surveillance" a-t-on ajouté
de même source. Ce sont des gens du voyage installés près de la voie ferrée, à Saint-Benoît, au sud de
Poitiers, qui ont vu les cailloux sur les voies et ont alerté la police, a-t-on appris de source policière.
parce que du ballast sur les voies, ça arrive ...C'est certain que dans cet article le journaliste ne fait pas la différence entre présence de
ballast sur les voies, rien de plus normal, et présence de ballast sur le rail en lui même
http://fr.wikipedia.org/wiki/Fichier:Rail.jpg
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Conséquences:
Le Corail Téoz (déraillé) 3661 devrait enregistrer 5h de retard.
Le Corail Lunéa 3731 Paris Austerlitz 21h56 / Port Bou 08h21 devrait enregistrer 5h de retard.
Le train de nuit Elipsos 477 Paris Austerlitz 20h32 / Barcelone 08h24 devrait enregistrer 5h de retard.
Il emprunte un autre itinéraire via Bordeaux afin de contourner l'incident.
Infolignes
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Cinq personnes ont été blessées dans le déraillement d'un train vendredi soir
au sud de Limoges, selon un premier bilan communiqué par la gendarmerie.
Trois voitures de voyageurs ont déraillé vendredi soir à 15 km au sud de Limoges,
avait-on appris peu avant auprès de la SNCF.
Le déraillement a eu lieu, selon les premières informations de la SNCF,
à la hauteur de la commune du Vigen (Haute-Vienne).
Le train accidenté assurait la liaison Limoges-Cahors, selon la SNCF,
avec 450 passagers à son bord.
La gare de Solignac - Le Vigen est située à 11.700 km de Limoges
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L'ancienne gare de bifurcation d'Autevielle Saint-Martin - Bideren ?
Embranchement vers Saint-Palais et Mauléon
Ou Sauveterre de Béarn juste à côté ?
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Arrestation de 2 Italiens qui projetaient de saboter une ligne de train
Présentés comme appartenant à"la mouvance anarchiste", ils ont été arrêtés alors qu'ils s'apprêtaient à saboter une ligne de train en Italie. Ils doivent être inculpés pour "association subversive" "dans un but terroriste".
Deux jeunes Italiens, présentés comme appartenant à"la mouvance anarchiste", ont été arrêtés vendredi 3 juillet en Italie, alors qu'ils s'apprêtaient à saboter une ligne de train. C'est la section anti-terroriste de la gendarmerie italienne (Ros) qui a effectué cette arrestation, a-t-elle elle-même annoncé.
Ils ont été interpellés à 5h (3h GMT), sur un pont au-dessus de la ligne ferroviaire Orte - Ancône (nord-est). Ils étaient à bord d'une voiture volée qui contenait des crochets artisanaux en fer pouvant servir à provoquer un court-circuit sur le réseau d'alimentation de la ligne, a indiqué à l'AFP un porte-parole du Ros, sous le couvert de l'anonymat.
"Nous sommes intervenus un peu avant qu'ils ne mettent leur projet de sabotage à exécution", a affirmé le porte-parole.
Une quarantaine de perquisitions
Dans le même temps, les gendarmes ont procédé, sur instruction du parquet de Pérouse (nord-ouest), à une quarantaine de perquisitions chez des sympathisants du groupement "anarcho-insurrectionnel" auquel appartiendraient les deux jeunes arrêtés, selon les mêmes sources.
Pource qui est des deux jeunes interpellés dans la voiture près de la ligne Orte-Ancône, l'un d'eux est né à Rome en 1982 et l'autre à Pérouse en 1987, a précisé le porte-parole, qui n'a pas fourni plus de précision sur leur identité.
"Dans un but terroriste"
Les deux jeunes seront inculpés pour "association subversive" et "atteinte à la sécurité des transports publics dans un but terroriste", a-t-il indiqué. 37 autres personnes de ce mouvement "anarcho-insurrectionnel" ont été inculpées d'"association subversive" à l'issue des perquisitions, selon le porte-parole. Mais ces dernières ont été laissées en liberté, a-t-il souligné.
Le mouvement "anarcho-insurrectionnel" est un mouvement subversif interdit, a précisé le porte-parole des Ros qui a précisé qu'à ce stade l'enquête ne faisait pas apparaître de liens avec l'étranger.
Le G8 en toile de fond
La police et la gendarmerie italiennes sont en état d'alerte maximale en raison de l'imminence de la tenue du 8 au 10 juillet du sommet du G8 à L'Aquila dans les Abruzzes (centre) et de l'arrivée en Italie de 39 chefs d'Etat ou de gouvernement étrangers.
Le 11 juin dernier, les forces de l'ordre avaient déjà arrêté six personnes qu'elles soupçonnaient de préparer un attentat contre le G8.
La sécurité des transports ferroviaires est également au centre des préoccupations des autorités italiennes après la catastrophe de Viareggio (nord-ouest) qui a fait lundi 21 morts dans l'explosion accidentelle d'un wagon-citerne chargé de GPL (gaz de pétrole liquéfié).
Cette affaire intervient alors qu'en France se poursuit l'enquête controversée sur les neuf inculpés de Tarnac, soupçonnés eux aussi par les enquêteurs d'avoir voulu saboter des lignes ferrovières en France.
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A la une - Jeudi 02 juillet 2009
AF 447 : l'avion ne s'est pas disloqué en vol
Le Bureau d'Enquêtes et d'Analyses (BEA), chargé de l'enquête technique sur l'accident
du vol AF447 d'Air France a exclu ce jeudi l'hypothèse d'une dislocation en vol de l'avion.
L'examen des pièces récupérées "amène à faire le constat suivant:
l'avion n'a pas été détruit en vol", a dit le responsable de l'enquête Alain Bouillard, lors
d'une conférence de presse.
Depuis le 6 juin, 640 éléments de l'avion, un Airbus A330, ont été retrouvés, dont la dérive,
le 7 juin. Aucun gilet de sauvetage gonflé n'a été retrouvé.
"L'absence de gilets de sauvetage gonflés montre que visiblement les passagers n'étaient pas
préparés à un amerrissage", a dit M. Bouillard.
Recherche des boîtes noires jusqu'au 10 juillet
"Les balises ont une durée réglementaire d'émission de 30 jours. La recherche se prolonge de
dix jours supplémentaires pour essayer de les retrouver", a expliqué devant la presse Alain
Bouillard, responsable de l'enquête sur l'AF447. "Une deuxième phase de recherche démarrera
après le 14 juillet avec d'autres moyens et suivant une autre méthode", a-t-il ajouté.
Les sondes Pitot ne sont pas la cause du crash
Les enquêteurs ont aussi estimé jeudi que les sondes Pitot sont "un élément, mais pas la cause"
de l'accident. Les sondes Pitot ont été mises en cause par deux syndicats de pilotes peu après
l'accident, ce qui a conduit Air France à accélérer le remplacement d'un ancien modèle de sondes
par un modèle plus récent.
Communication défaillante entre contrôleurs du Brésil et Sénégal
une défaillance de communication entre les centres de contrôle aériens brésilien et senégalais en
charge de l'avion a été rélevée ce jeudi. Lorsque l'A330 d'Air France a quitté la zone aérienne
contrôlée par les Brésiliens, ces derniers auraient dû appeler par téléphone les Sénégalais pour
leur confier l'appareil qui entrait dans leur zone, mais cela n'a pas été fait, selon le BEA
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Un incident sur un caténaire a provoqué ce long arrêt
Benoît Roques travaille à Toulouse et chaque soir il rentre à Montauban en train.
Mardi soir, comme à son habitude, il a pris le train de 20 h 05 mais le voyage s'est
transformé en randonnée pédestre, en pleine nuit dans la nature. Il raconte sa
mésaventure: « Peu après le départ de Toulouse, le train a commencé à ralentir
puis il s'est immobilisé quelque part, entre Montbartier et Verlhaguet.
On est resté là, à attendre pendant plus d'une heure, sans savoir ce qui se passait.
Vers 22 heures, le contrôleur nous a informés qu'il y avait une panne de caténaire
sur la voie, en nous conseillant de rester dans les wagons par mesure de sécurité.
Mais il faisait tellement chaud que les gens ont commencé à descendre du train pour
rentrer chez eux. Comme j'avais un GPS j'ai pu situer ma position et j'ai appelé mes
parents pour qu'ils viennent me chercher. Mais on était en rase campagne
et il a fallu marcher pendant au moins 4 km, dans le noir, pour rejoindre la route. »
Éric Paulet, responsable TER Midi-Pyrénées confirme : « Vers 20 heures, une panne
d'alimentation électrique due à la rupture d'un câble qui alimente des systèmes de sécurité,
à savoir la signalisation des voies et des passages à niveau nous a obligé à interrompre
le trafic pendant 3 heures. À cause de la configuration des abords, difficiles d'accès, un
acheminement par autocars n'a pas été possible. Une vingtaine de trains a été retardée.
Les voyageurs ont attendu que les réparations soient terminées.
Le trafic a repris normalement vers 23 h 30. »
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Bonjour,
Tout d'abord bienvenue parmi nous
La réglementation est pourtant claire à ce sujet . . .
Les abonnements Forfait et Fréquence permettent de voyager
à prix réduit dans tous les trains du service régulier circulant:
• soit sur une relation déterminée
• soit sur l'ensemble des lignes à tarification SNCF
Dispositions Générales (Documentation publique)
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"Il est interdit de descendre d'un train en marche."
Malgré ça, un juge va faire raquer la SNCF une fois de plus...
Décret n° 730 du 22 mars 1942 (J.O du 23 août 1942)
Il est interdit à toute personne . . .
De mettre obstacle à la fermeture des portières immédiatement avant le départ, de les
ouvrir après le signal de départ pendant la marche et avant l'arrêt complet du train
D'entrer dans les voitures ou d'en sortir autrement que par les accès ménagés à cet effet
et placés du côté où se fait le service du train
De monter ou de descendre ailleurs que dans les gares, stations, haltes ou
arrêts à ce destinés et lorsque le train n'est pas complètement arrêté
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Déficit abyssal pour Fret SNCF
Le transport ferroviaire de marchandises subit de plein fouet la crise actuelle. Structurellement
déficitaire, il risque cette fois d'atteindre le point de non retour si rien n'est entrepris rapidement.
Lors d'un colloque organisé par le COE (cercle pour l'optimodalité en Europe), le patron de la branche
marchandises de la SNCF, Pierre Blayau, a évoqué un déficit encore plus inquiétant que ne laissaient
entrevoir les dernières estimations. « Nous perdons des sommes considérables ».
La chute des trafics de 30 % contribue à rendre encore plus délicate la situation de Fret SNCF.
« Les pertes de trésorerie varient entre 300 millions d'euros les bonnes années et 800 millions
d'euros les mauvaises, ce qui sera sans doute le cas en 2009 ». La réforme de cette branche de
la SNCF est plus qu'urgente. La première solution est de faire payer le juste prix aux chargeurs.
« Est-ce normal que la SNCF paye les coûts logistiques des grands industriels ? » s'interroge
Pierre Blayau, qui rappelle : le wagon isolé (messagerie ferroviaire) est « une activité qui
facture 650 millions d'euros de chiffre d'affaires et qui en perd 350 à 400 millions d'euros ».
Il est donc nécessaire de redéfinir les plans de transport et de massifier les flux.
Plus globalement, Fret SNCF consomme 2 millions d'euros par jour. Mieux vaudrait utiliser cet
argent pour développer le fret à grande vitesse, les infrastructures au niveau des ports ou la
multimodalité (combiné et autoroutes ferroviaires). Pour réduire les pertes, la réforme attendue
à la rentrée devra sans doute passer par la création de filiales, le transfert d'une partie du
personnel, le développement des trafics rentables comme les trains complets ou le combiné
(prise de contrôle de Novatrans) et l'abandon du trafic de proximité à des opérateurs privés.
Olivier Cognasse
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Perturbations sur la ligne entre Genève et Bellegarde ce soir
Les voyageurs empruntant la ligne Genève - Bellegarde ont dû compter jusqu'à une heure et demie
de retard. En raison d'un début d'incendie dans un tunnel, la voie entre Genève et La Plaine n'était
ouverte au trafic ferroviaire que de façon restreinte.
L'incident s'est produit peu avant 19h00 dans le tunnel de la Chatelaine tout près de Genève,
sur la voie en direction de la France, a précisé un porte-parole des CFF. Aucun train ne se
trouvait dans le tunnel et personne n'a été blessé. Les pompiers CFF sont intervenus.
Durant la vérification des voies, le trafic international a été perturbé. Les trains TGV et RE entre
Bellegarde et Genève n'ont pas circulé. Les passagers ont dû patienter jusqu'à une heure trente
Ils ont été pris en charge par des agents d'accueil en gare de Genève et toutes les correspondances
ont été assurées. Le trafic a été rétabli vers 20h40. Une enquête a été ouverte pour déterminer la
cause du début d'incendie, a ajouté le porte-parole.
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Grièvement blessé en sautant du train à Lannemezan
La victime a chuté sur le ballast juste aprés la fin du quai
Hier matin, à 7h30 à la gare SNCF de Lannemezan, au départ du train en provenance de Toulouse,
un jeune homme âgé de 20 ans a sauté du train alors qu'il redémarrait en direction de Tarbes.
Malheureusement le jeune homme s'est très grièvement blessé en se réceptionnant sur le ballast.
En effet, dans sa précipitation la victime ne s'est pas aperçue que le quai de la gare était déjà
dépassé au moment ou elle sautait du train.
Pour l'heure, on ne connaît pas les raisons qui ont poussé le jeune homme, originaire de Galan,
à 10 km de Lannemezan, à sauter du convoi dans ces conditions. On s'interroge également sur
les circonstances qui lui ont permis d'ouvrir la porte du wagon, alors que le train avait déjà
redémarré et que les portes étaient censées être bloquées.
Selon certains avis, il semble cependant qu'en pareil cas, il soit encore possible de les ouvrir,
car le convoi ne circulant pas à grande vitesse, la pression pneumatique qui permet de verrouiller
les issues n'est pas encore à son maximum.
Le jeune homme s'est-il endormi, ou ne s'est-il pas rendu compte qu'il manquait sa gare de
destination ? Toujours est-il qu'il a d'abord jeté ses bagages sur le quai avant de sauter.
Dans un premier temps, la victime a été évacuée sur le centre hospitalier de Lannemezan
par les sapeurs pompiers.
Devant la gravité des blessures, hier dans la matinée l'évacuation du jeune homme vers un
centre hospitalier de Toulouse était sérieusement envisagée.
C'est la communauté de brigades de gendarmerie de Lannemezan qui est en charge de l'enquête,
afin de déterminer pourquoi, et dans quelles circonstances exactes, un tel accident s'est produit.
Cela concerne le NZ 4778 Genève (20.44) - Irun (11.13)
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Le syndicat CFDT-Fgaac a indiqué aujourd'hui avoir déposé un préavis de grève pour les
conducteurs pour 24 heures à partir de jeudi 20H00 pour protester contre la réorganisation
"sans dialogue" des plans de travail des cheminots, notamment du fret vers le trafic voyageurs.
La direction a confirmé le dépôt du préavis mais a indiqué ne pas prévoir de perturbations.
Le syndicat CFDT-Fgaac, qui a enregistré 11,6% des suffrages aux dernières élections professionnelles
à la SNCF, représente environ 25% chez les conducteurs. Selon Philippe Beaumont, secrétaire général
adjoint de la CFDT-Fgaac, "les conducteurs, essentiellement du fret qui subit une forte baisse de la
charge de travail, se retrouvent affectés à un autre secteur géographique, ce qui pose des problèmes
en terme d'organisation personnelle (horaires, temps en déplacement, etc.)".
"Nous avons un accord national sur la mobilité dans ce genre de situation, mais il n'est pas appliqué,
et les conducteurs reçoivent des propositions localement; à quoi sert de signer des accords s'ils ne
sont pas appliqués", a demandé M. Beaumont.
SNCF et bus longue distance
dans Actualité ferroviaire générale
Publication: · Modifié par IGS4
Les bus longue distance devraient bientôt concurrencer la SNCF
Du fait d'une législation très contraignante, il n'existe aujourd'hui en France quasiment pas de liaisons par bus sur
longue distance. Une initiative parlementaire vise à libéraliser ce marché pour concurrencer les trains de la SNCF.
La différence de traitement peut surprendre. Le voyageur qui cherche à rallier Amsterdam de Paris en transport en
commun terrestre a le choix: soit le TGV via Thalys, soit un bus, avec une durée de trajet bien plus longue mais
aussi un prix bien moindre. Reproduisons l'expérience en direction de Strasbourg. Là, il n'y a pas à se casser la tête
car une seule solution existe, le train. Et pour cause : le transport intérieur par autocar sur des liaisons régulières de
longue distance n'existe quasiment pas en France. La faute à une législation « qui multiplie les obstacles afin de protéger les trains de la SNCF », regrette Hervé Mariton, député UMP de la Drôme, sensibilisé depuis longtemps à cette question.
Les choses pourraient toutefois rapidement changer: les députés travaillent, selon nos informations, à un texte de
loi qui aboutira à libéraliser ce marché et à permettre l'émergence de bus dédiés aux trajets longs. Pourquoi aucun
autocar n'a-t-il pu tenter l'expérience auparavant ? Jusqu'ici, les bus étaient cantonnés aux liaisons interurbaines, ou régionales, avec une offre importante. En revanche, dès lors qu'une société voulait envoyer ses bus sur longue distance
(avec plusieurs régions traversées), elle devait obtenir une autorisation spécifique. « Celle-ci exigeait une consultation
des collectivités concernées, et surtout de la SNCF, qui s'est montrée le plus souvent hostile », assure Hervé Mariton.
C'est pourquoi le député veut qu'on « passe du régime actuel de l'autorisation, à celui de la déclaration ».
En clair, libéraliser le marché pour susciter des initiatives. La chose est actuellement à l'étude. Dans le cadre du projet
de loi permettant la naissance du régulateur du rail (l'Araf), le texte sera examiné à la rentrée, un amendement a été
déposé par Yanick Paternotte, député UMP du Val-d'Oise, avec l'accord du gouvernement. Cette initiative devrait faciliter considérablement les possibilités de cabotage, aujourd'hui interdites de fait. En clair, le bus Paris-Varsovie pourrait avoir
une étape à Strasbourg, à condition que cela ne représente pas l'essentiel de la liaison.
Hervé Mariton veut aller plus loin et entend déposer un amendement permettant l'ouverture complète du marché.
Le gouvernement a créé un groupe de travail associant SNCF et collecti­vités locales pour étudier la question.
Ces bus longue distance devraient concerner des liaisons très spécifiques. « Il y a des lignes peu ou pas desservies
par la SNCF qui pourraient basculer, comme Nantes-Lyon, Lille-Strasbourg ou encoreNantes-Bordeaux-Toulouse »,
poursuit Hervé Mariton.
La SNCF peu menacée
La compagnie ferroviaire ne verra pas nécessairement ce développement d'un mauvais oeil, alors que ses trains
interrégionaux lui ont coûté un déficit de 70 millions l'an dernier. Son assise n'est de toute façon pas menacée:
dans les pays d'Europe où ces bus ­longue distance existent déjà, ces derniers représentent un marché de niche,
ayant acquis entre 1 % et 11 % du marché de transport de voyageurs. En Grande-Bretagne, qui est complètement
libéralisée, le taux est proche de 6 %. Cette initiative parlementaire pourrait néanmoins se heurter aux critiques
des écologistes, guère désireux de voir de nouveaux véhicules remis sur les ­routes. « C'est un mauvais argument.
C'est meilleur pour l'environnement de faire rouler un bus plein, plutôt qu'un train diesel à moitié vide.
Il faut au contraire concevoir ces autocars comme des alternatives à la route », assure le député.
Renaud HONORE
http://www.lesechos.fr