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Le Web des Cheminots

IGS4

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Messages publiés par IGS4

  1. j'ai vu hier soir sur i-télé sur le bandeau d'info " paris-bratislava en TGV en 2016 "

    j'ai cru à un poisson d'avril okok

    C'est la future Magistrale pour l'Europe

    La liaison Paris - Strasbourg - Stuttgart - Vienne - Bratislava a été désignée par l'Union

    européenne comme l'un des projets prioritaires du réseau transeuropéen de transport

    http://www.lgv-est.com/medias/pdf/medias1363.pdf

  2. André Gerin (PCF) a déposé une proposition de résolution afin de créer une commission

    d'enquête parlementaire sur le port de la burka ou du niqab - un voile qui les recouvre

    entièrement-, par certaines femmes musulmanes.

    Vénissieux : André Gerin passe la main aujourd'hui

    Au terme de 24 années de mandat de maire de Vénissieux, André Gerin (PCF)

    a passer la main ce matin, lors d'un conseil municipal extraordinaire.

    A moins d'un coup de théâtre, c'est Michèle Picard (PCF) 42 ans, cinquième adjointe,

    qui devrait succéder à celui dont elle est la suppléante à l'Assemblée nationale depuis 2002.

    André Gerin gardera bien son mandat de député de la 14e circonscription du Rhône,

    et continuera à suivre la question de l'islam et les dossiers du CFAL (Contournement

    ferroviaire de l'agglomération lyonnaise) en tant que « simple » conseiller municipal.

    http://www.leprogres.fr

  3. Téléphoner dans un TGV nuit gravement à la santé

    Une étude publiée jeudi démontre que les ondes sont trois fois plus intenses lors d'un

    coup de téléphone passé depuis un TGV à pleine vitesse.

    Téléphoner ou prendre le TGV, il faut choisir. Le magazine Capital, en kiosque ce jeudi,

    publie une enquête sur les ondes émanant des téléphones portables dans le TGV.

    Verdict: à 300 km/h, les instruments mesurent des ondes 3 fois plus intenses que dans

    la rue. Et ce, dès que la première sonnerie du téléphone retentit.

    Eric et Olivier, experts du centre de recherche et d'informations indépendantes sur les

    rayonnements électromagnétiques (Crirem), ont pris le TGV, accompagnés par l'envoyée

    spéciale d'Europe 1, Astrid Bard. Boîtier à main, ils passent un coup de fil:

    A l'issue de l'expérience, les experts ont observé deux raisons à l'importance des ondes

    émises dans un TGV : le mouvement, qui oblige le téléphone à forcer pour trouver une

    antenne relais ; la structure métallique du TGV, qui emprisonne les ondes, comme en voiture.

    Que l'on téléphone soi-même, ou que ce soit son voisin, les ondes sont tout aussi nocives.

    Même si l'on ne connait pas encore précisément l'ampleur des dégâts que cela provoque sur

    le cerveau, les spécialistes donnent deux conseils : utiliser une oreillette pour éloigner au

    maximum l'appareil, et passer un coup de fil le plus court possible.

    Le mieux est encore d'attendre d'être arrivé pour téléphoner.

    http://www.europe1.fr

  4. Un automobiliste a hier matin forcé le franchissement d'un passage à niveau près de la gare de

    Pavilly, entraînant de sérieuses perturbations sur la ligne Paris-Le Havre. « Les barrières devaient

    être en train de descendre », détaille la SNCF, « quand l'automobiliste a franchi le passage,

    tordant une barrière Celle-ci s'est retrouvée au-dessus de la voie ». Il était alors 7h20.

    Le TGV touché par des retards

    Le conducteur n'aurait pas encore été identifié. La SNCF va déposer plainte. L'incident a hier

    entraîné de très fortes perturbations car, pour assurer une « totale sécurité » à ses convois,

    la SNCF a dû retenir les trains en amont du passage dans les deux sens de circulation.

    Vingt-six trains ont ainsi été touchés, notamment le TGV Le Havre-Marseille pour des retards

    allant jusqu'à près de 40 minutes, sans compter les difficultés logistiques pour assurer les

    correspondances. « Au minimum, cet automobiliste a entraîné des retards pour 1 500 à 2000

    voyageurs, voire 4 000. Il s'agit d'un incident rare et exceptionnel », détaillait la SNCF.

    Sur place, la SNCF a dépêché sur place des équipes, tant pour gardienner le site que pour réparer

    la barrière endommagée. Et de rappeler qu'à l'approche d'un feu rouge fixe ou clignotant à proximité

    d'un passage à niveau, l'arrêt total des véhicules s'impose. Avec l'incident constaté près de la gare

    d'Auffay, ainsi que la divagation de veaux sur les voies du Paris-Caen mercredi, ce sont une

    quarantaine de trains qui ont été retardés en Normandie en l'espace de 48 heures.

    http://www.paris-normandie.fr

  5. En pleine heure de pointe, un vendredi soir... lotrela

    Surtout sur une voie unique de 84.300 km où l'on croise

    seulement à Dirinon, Pont de Buis, Hanvec et Châteaulin

    En plus c'est le cas de le dire, c'est une belle vacherie ! mdrmdr

    Ces bêtes n'ont même pas laisser le temps aux cheminots bretons d'appliquer

    les procédures prévues pour le "Cas particulier des divagations de bestiaux" ;)

  6. La future LGV Tours - Bordeaux a rasé la gare

    Après plus d'un siècle d'existence, la gare d'Aubie - Saint-Antoine, située à la limite

    des deux communes, a disparu du paysage local pour laisser la place au futur tracé

    de la Ligne à grande vitesse (LGV).

    Cette section de ligne, qui fait partie de la « ligne océane » qui relie Nantes à Bordeaux,

    a été ouverte par étape au XIXe siècle par la Compagnie des Charentes qui en avait la

    concession. Les ouvertures des sections étaient assez échelonnées en raison des

    impératifs financiers de l'époque, de la lenteur administrative et de diverses difficultés

    rencontrées sur les chantiers. La Compagnie de l'État réussit à racheter la ligne en 1878,

    ligne qui deviendra officiellement ligne Nantes-Bordeaux dans les indicateurs horaires de

    l'État en 1883.

    En service en juin 1886

    Pour sa part, la section Cavignac - Cubzac-les-Ponts a été réalisée par l'État et mise en

    service le 14 juin 1886. Et depuis, cette ligne à deux voies est le passage de nombreux

    trains aussi bien de voyageurs que de marchandises, en attendant donc la ligne LGV prévue.

    Pour ce qui est de la gare, il existe très peu de documents concernant son histoire.

    Construite apparemment à la fin du XIXe siècle, elle a connu plusieurs gardes-barrières

    jusque dans les années 1960 - 1970. Mais jusqu'à quand exactement ? Mystère !

    Car même les personnes âgées d'Aubie ne se souviennent pas de la fin d'activités de la

    dernière garde-barrières. Le bâtiment a donc été rasé mais l'arrêt demeure pour les

    voyageurs qui empruntent cette section de ligne et l'arrêt devrait même être maintenu

    après la construction de la ligne LGV.

    Auteur : Philippe Charbonneau

    http://www.sudouest.com

  7. Paris et Bratislava reliés par une ligne TGV en 2016, selon le ministre slovaque

    Paris et Bratislava, la capitale slovaque, seront reliés par une ligne ferroviaire à grande vitesse à

    partir de 2016, a annoncé vendredi le ministre slovaque des Affaires étrangères, Miroslav Lajcak.

    Selon lui, le TGV mettra environ six heures pour parcourir la distance séparant les deux capitales

    (environ 1.200 km par la route).

    La réalisation du projet de construction de la ligne TGV entre les deux capitales débutera en 2010.

    Cette liaison ferroviaire sera achevée en 2016, a précisé M. Lajcak, cité par l'agence SITA.

    Le coût du projet est évalué à 475 millions d'euros, a ajouté le chef de la diplomatie slovaque.

    http://www.ouest-france.fr

  8. Vendredi 26 juin

    Vers 18h00, un autorail assurant la liaison Brest - Quimper a percuté trois vaches qui

    se trouvaient sur la voie à Pont-de-Buis. Le train n'a pas déraillé. Aucun des soixante

    passagers n'a été blessé. Mais il a fallu vérifier que le train pouvait reprendre sa route

    et dégager une des vaches coincées sous la machine.

    Les liaisons entre Brest et Quimper ont été perturbées jusqu'à 20 h. Les passagers du

    train accidenté ont été transférés dans un car. La SNCF a mis en place des navettes

    entre Brest et Quimper, le temps que la voie soit dégagée.

    http://www.ouest-france.fr

    Cela concerne le TER 854838

  9. Vendredi 26 juin

    Une épaisse fumée s'est dégagée du train 4314 lors de son arrivée en gare de Besançon Viotte.

    Il était aux alentours de 16h00 quand le train corail en provenance de Lyon et à destination

    de Strasbourg est entré en gare de Besançon Viotte. Les personnes sur le quai ont vu arrivé

    un train duquel s'échappait une fumée.

    Le train s'immobilisa normalement sur le quai C et plusieurs agents SNCF se sont précipités vers

    l'avant du train avec des extincteurs. L'incendie a été maîtrisé assez rapidement sans que

    l'intervention des pompiers ne fut nécessaire.

    Le train qui accusait déja un retard de 50 minutes devait repartir quelques dizaines de minutes

    après, le temps pour les agents de la SNCF d'enlever la voiture où l'incendie s'était déclenché.

    http://www.macommune.info

    Le train 4314 devait desservir Besançon-Viotte à 15.05/15.06

  10. Au départ de Ruffec . . .

    Soit c'est l'ancienne ligne charentaise vers Roumazières-Loubert

    Cette ligne d'intérêt général de 46 km à écartement normal fut ouverte le 15 juillet 1910

    par la compagnie d'Orléans

    Elle possède deux viaducs, celui du Moulin Robin et celui de la Sonnette sur la commune

    du Grand-Madieu, le plus long et plus haut http://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Grand-Madieu

    Les motivations avancées pour la réalisation de cette ligne furent qu'elle permettrait de

    relier plus directement Limoges au grand port de La Pallice. A l'époque Roumazières-Loubert

    disposait d'un dépôt de machines. Fermeture au trafic voyageurs en septembre 1938

    La ligne desservait Champagne-Mouton

    http://www.cfpa.asso.fr/Previsu_GARE.html?...&Order=Gare

    Cette gare était en contact avec l'ancienne ligne Angoulême - Confolens

  11. Au départ de Ruffec . . .

    Soit c'est l'ancienne ligne vers Chef-Boutonne et Aiffres (Niort)

    Les premiers projets datent de 1853 mais il fallut attendre 1885 pour la mise en service

    C'est la compagnie des Charentes qui s'est vue confier le soin de réaliser cette la ligne

    Cette compagnie a été racheté en 1878 par les chemins de fer de l'Etat qui a repris le projet de la ligne

    Après de nombreuses années d'exploitation, le service voyageur n'avait plus le même intérêt

    Avec l'arrivée des voitures automobiles, et la concurrence pressante des premiers services

    d'autocars, le service des voyageurs dut être interrompu en septembre 1938

    Remplacé provisoirement par un service des autocars Brivin, ce service reprit toutefois partiellement

    pendant la guerre. Puis, en 1949, après de nombreuses démarches des élus locaux, un service

    d'autorail fut projeté. Il fonctionna jusqu'en 1954. Le conducteur de l'autorail s'appelait André Tessier

    En 1954, Jacques Chaban Delmas, alors ministre des Travaux Publics, des Transports et du Tourisme,

    se prononçait pour la suppression du trafic marchandises en gares de Villefagnan et Paizay-Naudouin

    en le remplaçant par une desserte routière

    La section de Paizay-Naudouin à Chef-Boutonne fut déclassé par décret du 12 novembre 1954

    Celle de Ruffec à Paizay-Naudouin fut déclassée par décret du 24 mai 1960

    Source http://pagesperso-orange.fr/pascal.baudouin/train.htm

    Ligne 131 de Ruffec à Aiffres (Niort) - Voie normale 77 km

    De la bifur d'Aiffres (km 420.500) à Niort (km 414.800) la ligne en provenance

    de Ruffec et de Chef-Boutonne était commune avec la ligne actuelle à voie

    unique 213 de Saintes à Niort par Saint-Jean d'Angély

    Dans les années 50 l'ancienne gare d'Aiffres disposait d'un quai militaire

    comportant une voie de chaque côté

  12. Le 4 novembre dernier à Ambérieu, un garçon de 18 ans qui revenait du lycée avait été menotté dans le dos, mis à genoux, et frappé, selon lui, par un agent de la police ferroviaire

    Quand le 4 novembre, vers 18 heures, les gendarmes d'Ambérieu-en-Bugey interviennent à la gare, ils découvrent un garçon « soulagé » de les voir arriver. Ce lycéen, âgé de 18 ans, était dans une cuisine plongée dans le noir, à genoux, face au mur, les mains menottées dans le dos. Ils constatent des traces de coups au visage et des griffures aux poignets. Le médecin constatera à son tour des traces aux lombaires et au torse.

    Le résultat d'une « interpellation » plutôt musclée d'un agent de la surveillance générale de la SNCF, plus connue sous le nom de Suge. Ces hommes, chargés de la sécurité des transports, peuvent en cas de délit ou crime flagrant retenir quelqu'un pour le présenter à la police ou gendarmerie.

    En l'occurrence, l'agent a expliqué qu'un de ses collègues en civil, présent dans le train venant de Bourg-en-Bresse, l'avait averti qu'une jeune fille avait été insultée et menacée par un groupe de jeunes, avant de lui désigner le lycéen qui sera emmené manu militari dans un local de la gare. C'est là qu'un agent SNCF, en ouvrant la porte, l'avait surpris la main levée sur le garçon qui avait gémi : « Sauvez-moi. »

    Pour le parquet de Belley, il s'agissait de violences volontaires et Sébastien C., 35 ans, a été jugé hier par le tribunal correctionnel. Dans une instruction minutieuse, le président Manteaux a cherché à comprendre comment il y avait pu y avoir une telle disproportion entre le comportement du lycéen et ce qu'on appelle communément une « bavure ». Il a cité les témoignages des agents et contrôleurs décrivant des jeunes provoqués par une jeune femme virée de la première classe, et qui auraient répondu par des quolibets. Et même une proximité de la jeune femme avec l'agent de la Suge en civil qui avait alerté Sébastien C. de troubles dans le train.

    Pour Me Pacaud, le défenseur du lycéen, « c'était un règlement de comptes » avec un groupe que les agents de la Suge avaient dans le nez : « Entre le chahut de potaches qui ricanent et les violences, il y a un détournement de l'autorité. » « Il y a un devoir de modèle, de respect des règles pour un chargé de mission de service public », a rappelé la procureure Marie-Gabrielle Ratel en requérant six mois de prison avec sursis contre le prévenu.

    Des réquisitions qui ont fait bondir Me Forrest, son défenseur, qui a plaidé la relaxe pure et simple. Selon, l'avocat bressan, ce n'est pas lui qui aurait été manipulé par son collègue en civil, mais les jeunes qui seraient responsables de tout en ayant gravement injurié et menacé la jeune femme. Et les gendarmes qui à leur tour auraient « enfoncé » celui qui aurait eu le tort de dire qu'ils venaient « parasiter » son travail. Lui qui a dix ans d'ancienneté et qui est décrit comme « exemplaire » par son supérieur. Le jugement a été mis en délibéré.

    Frédéric Boudouresque

    http://www.leprogres.fr

  13. Le nouveau régime de retraites des cheminots coûtera 38 millions d'euros à la Région

    Un contentieux oppose la Région à l'Etat sur le surcoût engendré par la réformes des

    retraites des cheminots sur l'exploitation du TER

    Côté pile, les leaders du conseil régional reconnaissent que les syndicats de cheminots

    ont bien joué dans la réforme de leur régime de retraites.

    Côté face, ils réclament compensation à l'Etat.

    La réforme du régime de retraites des cheminots, conduite par les syndicats et le ministre

    des Affaires sociales de l'époque, Xavier Bertrand, aura un impact financier sur la convention

    qui lie le conseil régional à la SNCF pour l'exploitation du réseau TER, soit un surcoût de

    38,7 millions d'euros pour la période 2008-2014.

    La collectivité a adressé un courrier au ministère de l'Intérieur, chargé du suivi des dotations

    de décentralisation aux collectivités, pour que l'Etat compense intégralement cette charge nouvelle.

    Sans réponse positive, le conseil régional déposera un recours auprès du tribunal administratif.

    Lundi, le conseil économique et social régional (CESR) a voté un avis dans lequelle cette

    assemblée consultative dit soutenir « le conseil régional dans sa démarche ». « Le CESR

    s'interroge sur le fait que la SNCF sollicite la Région pour augmenter sa participation

    financière suite à des décisions prises par décret du gouvernement ».

    « Je n'imagine pas un instant que nous n'obtenions pas une réponse positive, indique Bernard

    Roman, vice-président (PS) en charge du Budget. C'est l'application la plus stricte de la loi ».

    http://www.nordeclair.fr

  14. Appel de 8 membres du CA pour une autre politique des transports

    Huit des 18 membres du conseil d'administration de la SNCF ont appelé, mercredi dans une

    déclaration commune, à une autre politique des transports, plus favorable au fret ferroviaire,

    dans le cadre de la réflexion en cours sur la situation de Fret SNCF, lourdement déficitaire.

    Lors d'une réunion du CA mercredi, ces huit administrateurs, dont les six représentants des salariés,

    ont lu une déclaration que s'est procurée l'AFP et dans laquelle ils affirment: "le périmètre de

    pertinence du fret ferroviaire est dépendant des choix faits en matière de politique des transports".

    Cette remarque fait écho au titre d'un audit commandé par la direction SNCF intitulé "De la pertinence

    du fret ferroviaire à la pérennité de Fret SNCF", selon lequel seuls 50% des flux opérés en 2008 auraient

    eu un pertinence économique. Ce rapport précise même que "l'augmentation du prix des péages (ferroviaires)

    prévue à l'horizon 2010 ferait basculer 20% de flux supplémentaires hors du domaine de pertinence".

    Sur la base de ce lien entre fret ferroviaire et politique des transports, les huit administrateurs estiment

    "impossible une comparaison exhaustive entre la Deutsche Bahn et la SNCF et encore moins un +copié-collé+

    du modèle allemand dans notre pays où les choix politiques ont priorisé la route depuis des décennies".

    http://www.romandie.com

  15. La reprise du Mastrou en bonne voie - Décision du CG 07 le 29 juin

    Les négociations peuvent parfois se dérouler dans des lieux impromptus. Exemple ce samedi 20 juin

    sur la ligne du départ de l'Ardéchoise, à Saint-Félicien. Le président du conseil général de l'Ardèche,

    Pascal Terrasse et le vice-président de Région, Bernard Soulage, sont, chacun, sur un vélo.

    Parlant du Mastrou, Pascal Terrasse se félicite que le dossier est en bonne voie. « La Région doit nous

    aider à hauteur d'1,5 million d'euros », précise-t-il, en regardant Bernard Soulage. « Cela dépendra

    qui arrivera le premier à vélo », répond ce dernier, tout sourire.

    Le public et le privé impliqués

    Il y a quelques mois, cette boutade aurait été plutôt mal venue tant le Département avait du mal à

    digérer un dossier complexe et un financièrement très lourd à gérer. Avec Jean-Pierre Frachisse,

    nommé "médiateur", les services du Département et les élus sont restés tout de même mobilisés

    pour construire le projet le plus sérieux possible. Il sera présenté ce lundi 29 juin à Privas lors

    de l'assemblée plénière du conseil général.

    Trois principaux acteurs seront parties prenantes dans cette reprise. Spécialiste en la matière,

    le Département s'occupera des voies et des ouvrages d'art qu'il rachètera (autour de 5 millions

    d'euros hors taxes). Les communautés de communes auront la charge des gares et des entrepôts.

    Et l'exploitation commerciale de la ligne ainsi que la gestion du matériel roulant seront confiées à

    une société privée. Ce sont d'ailleurs quatre entreprises qui ont proposé au Département des

    scénarios de reprise (lire ci-contre). Ils ont été étudiés de près par le comité de pilotage

    http://www.ledauphine.com

  16. En général, c'est le sac qui est en crocodile et non l'inverse. Les douaniers norvégiens ont pourtant eu la surprise

    de découvrir un caïman vivant de 75 cm dans une valise à bord d'un train, a indiqué une responsable aujourd'hui.

    Le reptile, qui figure sur la liste des espèces menacées d'extinction, a été découvert dimanche lors d'un contrôle

    de routine dans un train effectuant la liaison entre la ville suédoise de Göteborg et Oslo, a expliqué à l'AFP Wenche

    Fredriksen, inspectrice en chef des douanes. "Il était logé dans un tube d'aération à l'intérieur d'un bagage", a-t-elle dit.

    Son propriétaire, un homme de 22 ans, a expliqué qu'il avait acheté cet "animal de compagnie" en Pologne, où il étudie,

    et qu'il voulait le ramener chez lui en Norvège. Le caïman a été remis aux autorités vétérinaires qui décideront de son sort

    http://www.rtlinfo.be

  17. La section Courtalain-Mondoubleau n'est plus exploitée du tout, à mon avis

    La section Mondoubleau-Bessé-sur-Braye a été déferrée en 1996

    Ligne 29.2. La compagnie de l'Etat ouvre la section Courtalain - Bessé sur Braye le 23 mai 1885

    Entre Droué et Boursay - Saint-Agil (aux environs du km 148) elle croise la branche Sud-Ouest

    de la LGV Atlantique (au environs du km 136)

    La compagnie du PO ouvre la section Bessé sur Braye - Château du Loir le 31 mars 1879

    Cette section de ligne a été rétrocédée à la compagnie de l'Etat en 1883

    De Courtalain à Château du Loir le service des trains express a été supprimé vers 1938/1939

    suite à l'électrification de la ligne Tours - Bordeaux et celui des omnibus le 5 juillet 1971

    Puis transfert du service voyageurs sur la route par autocar à tarification SNCF

    Ce service est à présent supprimé depuis de très nombreuses années par manque de rentabilité

    Pendant une certaine période précédant la mise en service du TGV A (1989) cette ligne

    a changer momentanément de régime d'exploitation (VUSS au lieu de VUTR)

    dans l'unique but de desservir la base travaux TGV de Courtalain

    La semaine 3 à 4 trains quotidiens (LRS, ballast, traverses) étaient ainsi engagés sur cette ancienne ligne

    Les gares de Courtalain, Mondoubleau et Bessé/Braye étaient ouvertes en permanence au service de la circulation

  18. Merci de la précision. Douze heures de voyage, quand même, avec des

    arrêts un peu longs à Niort et Saintes (et dans une moindre mesure à Thouars).

    C'était toute une époque !

    Train 780

    Bordeaux - Saint-Jean 19.00 Bordeaux - Benauge 19.06

    Saint-Mariens - Saint-Yzan 19.42/19.46 Montendre 20.04/20.06

    Jonzac 20.24/20.26 Pons 20.42/20.45 Beillant 20.59/21.01

    Saintes 21.12/21.28 Saint-Jean d'Angély 21.55/21.57

    Niort 22.41/23.00 Parthenay 0.09/0.11 Thouars 0.42/0.50

    Saumur-Orléans 1.33/1.36 Château-du-Loir 2.49/2.57

    Courtalain - Saint-Pellerin 4.12/4.15 Chartres 5.12/5.17

    Versailles-Chantiers 6.18/6.22 Paris-Montparnasse 6.46

  19. Bonsoir,

    De quelle gare parisienne partaient ces "Paris-Bordeaux par Saumur", et quel

    itinéraire suivaient-ils en région parisienne pour rejoindre la ligne de Château-du-Loir?

    Train 781

    Paris-Montparnasse 21.50 Versaille-Chantiers 22.12/22.16 Chartres 23.10/23.15

    Courtalain Saint-Pellerin 0.10/012 Château-du-Loir 1.22/1.25 Saumur-Orléans 2.36/2.40

    Thouars 3.18/3.31 Parthenay 4.23/4.25 Niort 5.12/5.40 Saint-Jean d'Angély 6.27/6.29

    Saintes 6.55/7.40 Pons 8.00/8.03 Jonzac 8.22/8.25 Montendre 8.46/8.48

    Saint-Mariens - Saint-Yzan 9.03/.9.08 Saint-André de Cubzac 9.26/9.28

    Bordeaux - Benauge 9.49 Bordeaux - Saint-Jean 9.57

    Composition: places assises 1ère, 2ème,3ème classe,

    couchettes 2ème classe et canapés-lits 1ère classe

  20. tracé historique Paris - Bordeaux par Chartres, Saumur, Niort et Saintes

    http://pagesperso-orange.fr/roland.arzul/e...es_bordeaux.htm

    La particularité de cette ligne était de posséder au km 220 une prise d'eau en marche

    d'environ 400 m de long permettant aux trains d'effectuer de longs parcours sans arrêt

    http://pagesperso-orange.fr/roland.arzul/e...u/prisedeau.htm

    Merci IGS4 pour toutes ces précisions

    http://pagesperso-orange.fr/roland.arzul/e...s_bordeaux2.htm

  21. André Gerin (PCF) a déposé une proposition de résolution afin de créer une commission

    d'enquête parlementaire sur le port de la burka ou du niqab - un voile qui les recouvre

    entièrement-, par certaines femmes musulmanes.

    Perso ,non seulement , je suis favorable à la mise en place de cette commission mais j'ajouterais

    qu'il faut interdire la Burka.....car même mon Dog Allemand a peur quand il voit des fantomes .... !

    Le maire de Vénissieux les a baptiser, à juste raison, les prisons ambulantes !

    En plus ça rappelle le célèbre feuilleton Belphégor ou le Fantôme du Louvre cestachier

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Belph%C3%A9go...%B4me_du_Louvre

  22. Il s'agit d'un tronçon survivant de l'ancienne grande ligne Paris-Bordeaux

    La ligne 25.3 Château du Loir - Vivy (61 km) mise en service le 11 juillet 1886 est en effet l'une

    des nombreuses sections du tracé historique Paris - Bordeaux par Chartres, Saumur, Niort et Saintes

    La compagnie de l'Etat voulait faire de cette ligne une grande ligne mais elle sera handicapée par son

    profil ne permettant pas de pratiquer des vitesses élevées

    Cette ancienne ligne a été mise en double voie par sections successives entre 1895 et 1897 puis remise

    en voie unique courant 1954. Le block de type Etat commence à faire son apparition à partir de 1900

    Le service des trains express a été supprimé vers 1938/1939 suite à l'électrification de la ligne

    Tours - Bordeaux et celui des omnibus le 6 avril 1970

    La particularité de cette ligne était de posséder au km 220 une prise d'eau en marche d'environ 400 m

    de long permettant aux trains d'effectuer de longs parcours sans arrêt

    Au début des années 30 circulation des trains de nuit

    781 - Paris 21.50 Château du Loir 1.22/1.25 Saumur-Orléans 2.36/2.40 Bordeaux 9.57

    780 - Bordeaux 19.00 Saumur-Orléans 1.33/1.36 Château du Loir 2.49/2.57 Paris 6.46

    De Vivy jusqu'à Saumur (7.700 km) la ligne était commune avec l'ancienne

    ligne 78 de La Suze sur Sarthe à Saumur via La Flèche mise en service en 1877

    de La Suze sur Sarthe à La Flèche et en 1887 de La Flèche à Vivy

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