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IGS4

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Messages publiés par IGS4

  1. Carte ferroviaire du département de la Sarthe

    La Hutte-Coulombiers - Les Mées - Mamers

    Mise en service par la Compagnie des Chemins de fer de l'Ouest : le 30 août 1880.
    Reprise de l'exploitation par l'Administration des Chemins de fer de l'État : en 1909.
    Fermeture au service voyageurs : le 15 mai 1938.

    Source : Centre des Archives Historiques de la SNCF.

    En gare de La Hutte-Coulombiers, cette ancienne ligne avait
    son origine côté Le Mans (en face de l'actuel Poste 2).

    Longueur : 24,600 km. Son point culminant (PK 17,7) se situait
    entre Saint-Rémy-du-Plain (PK 15,3) et Villaines-Vezot (PK 18,3).
    Déclivités maximales des rampes et pentes : 15 ‰.

    Au départ de La Hutte-Coulombiers, la ligne desservait :

    Chérancé (+ 6 km), Thoiré (+ 9 km), Les Mées (+ 11,700 km), Saint-Rémy-du-Plain
    (+ 15,300 km), Villaines–Vezot (18,300 km) et Mamers (+ 24,600 km).

    Dans les années 80, cette ancienne ligne était encore exploitée sous le
    régime de la VUTR (Voie unique à trafic restreint). Un TOM (Train omnibus
    marchandises) circulait jusqu'à Mamers, pour desservir notamment
    l'usine Raclet (fabrication de caravanes pliantes).

    Gare de Chérancé (PK 6)

    La gare à l'époque de l'Administration des Chemins de fer de l'État.

    Dans le fond la direction de Mamers et Mortagne-au-Perche.

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    La gare à l'époque de l'Administration des Chemins de fer de l'État.

    Un train en provenance de La Hutte-Coulombiers.

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  2. Le ‎22‎/‎04‎/‎2018 à 12:11, IGS4 a dit :
    Carhaix - Rostrenen - Mûr-de-Bretagne - Loudéac
     
    Exploitation : voie unique à voie métrique.
     
    Longueur : 71,700 km, dont environ 1,700 km dans le Finistère et 70 km dans les Côtes-d'Armor.

    Gare de Plouguernével (PK 27,2)

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    L'ancienne gare de Plouguernével, en automne 2013.

    Photo : Wikipédia (Pymouss).

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    L'ancienne gare de Plouguernével, transformée en logements, en automne 2013.

    Photo : Wikimedia Commons (Pymouss).

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  3. 50 ans de voyages pour le Mastrou

    La gare du train de l’Ardèche, située sur la commune de Saint-Jean-de-Muzols, sera le théâtre, ce samedi 5 mai, d’un double événement.

    En effet, quelques privilégiés participeront à la reconstitution du voyage inaugural marquant le 50e  anniversaire des voyages touristiques sur la ligne de la vallée du Doux jusqu’en gare de Lamastre. Il s’agira également d’inaugurer la nouvelle présentation du musée du chemin de fer du Vivarais et du simulateur de conduite d’une locomotive à vapeur.

    Pour l’occasion, le gérant du Chemin de fer du Vivarais, Kléber Rossillon, s’est associé à la SGVA (association de sauvegarde et gestion de véhicules anciens), ainsi qu’à la Fédération des amis des chemins de fer secondaires (FACS), présidée par Jean-Paul Lescat.

    La suite dans Le Dauphiné Libéré de ce jour.

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    Un voyage en train de l’Ardèche comme en 1968.

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  4. Mai-68 au jour le jour : le 3 mai, les premiers pavés fusent
     
    Il y a 50 ans, la France vivait un mois de revendications et de contestations d'une ampleur inédite. Retour sur ce mois riche en événements, au jour le jour. Le 3 mai, la police évacue la Sorbonne. C'est le coup d'envoi de ce qui allait devenir Mai-68.
     
    Vendredi 3 mai, meeting dans la cour de la Sorbonne.
     
    Les étudiants de l'Unef et du Mouvement du 22 mars, dirigé par Daniel Cohn-Bendit, sont à la manœuvre. Ce matin-là, dans l'Humanité, Georges Marchais, l'étoile montante du Parti communiste dénonce l'activisme de cet "anarchiste allemand" faux révolutionnaire...
     
    Pourtant, la "révolution" de Mai-68 n'a pas encore commencé. C'est justement pour ce vendredi...
     
    Devant la Sorbonne, un cortège du groupuscule d'extrême droite Occident s'approche. Un certain Alain Madelin est en tête du cortège...
     
    À l'intérieur du bâtiment, les "enragés" sont prêts à en découdre : maoïstes de l’Union des jeunesses communistes marxistes-léninistes (UJCML), trotskistes de la Jeunesse communiste révolutionnaire (JCR) et du Centre de liaison des étudiants révolutionnaires (CLER)...
     
    Le recteur Roche demande - par écrit - à la police d'intervenir...
     
    La suite dans Le Progrès de ce jour.
     
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    Les policiers investissent la Sorbonne, plus prestigieuse université de France. Photo archives AFP.
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  5. [GE] Canton de Genève
     
     
    Bisbille sur des noms de gare du CEVA entre Genève et la Confédération
     
    A Genève, le nom des gares de la future ligne du CEVA situées sur le territoire de Lancy continue de faire des vagues. La Confédération était intervenue pour arrêter la polémique, mais le Conseil d'Etat ne l'entend pas de cette oreille.
     
    Le Département fédéral de l'environnement, des transports, de l'énergie et de la communication (DETEC) avait décidé que les gares s'appelleront "Lancy-Pont-Rouge" et "Lancy-Bachet". Il donnait raison à la commune de Lancy, qui voulait être mentionnée dans le nom des deux stations.
     
    Le gouvernement genevois avait, de son côté, défendu les appellations "Genève-Pont-Rouge" et "Genève-Bachet". Entre le DETEC et l'Office fédéral des transports (OFT), il existe une argumentation contradictoire, a relevé mercredi le conseiller d'Etat Antonio Hodgers, qui a annoncé recourir pour avoir des éclaircissements.
     
    La suite dans RTS
     
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    Inauguration de la gare CEVA Lancy-Pont-Rouge (ou alors Genève-Pont-Rouge), avec le CEO des CFF Andreas Meyer,
    derrière le podium, et le conseiller d'Etat Luc Berthassat (2e depuis la droite), en décembre 2017. [Keystone]
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  6. Ligne de Nantes à Savenay (Redon et Le Croisic).

    Des travaux ferroviaires entre les gares de Nantes et de Chantenay
     
    SNCF Réseau procède actuellement à des travaux sur la voie ferrée entre les gares de Nantes et Chantenay. Du lundi 14 mai au vendredi 22 juin, le secteur Baco sera concerné. Des nuisances sonores sont à prévoir.
     
    Depuis janvier, et jusqu’à juin, SNCF Réseau renouvelle les principaux constituants de la voie ferrée entre les gares de Nantes et de Chantenay, sur 5 km. Ces travaux sont réalisés dans le cadre de la modernisation du réseau ferré national.
     
    Ils ont déjà été effectués sur près de 4 km, sur les secteurs de Chantenay et du CHU.
     
    Du lundi 14 mai au vendredi 22 juin, le secteur de Baco, entre Bouffay et la gare de Nantes, sera en chantier.
     
    La suite dans Ouest-France de ce jour.

     

     

  7.  
    Toulon - Hyères - La Foux - Saint-Raphaël
     
    Voie unique à voie métrique.
    Longueur : 107 km.
     
    Ligne exploitée successivement par :
    Compagnie des chemins de fer du Sud de la France (SF).
    Chemins de fer de Provence (CP).
    Régie des Ponts et Chaussée.
     
    Mise en service :
    - section Toulon - Carqueiranne - Hyères (23 km) : en 1905;
    - section Hyères - Le Lavandou - Cavalaire - La Foux (51 km) : en 1890;
    - section La Foux - Sainte-Maxime - Saint-Aygulf - Saint-Raphaël (33 km) : en 1889.
    Fin du service voyageurs et marchandises : en 1948.
     
     
    Gare de Toulon
     
    Inauguration de la gare de la Compagnie des chemins de fer du Sud de la France (SF).
     
     
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    Gare de Saint-Jean-du-Var
     
     
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  8. Mai-68 au jour le jour : le 2 mai, la faculté de Nanterre est fermée

    Il y a 50 ans, la France vivait un mois de revendications et de contestations d'une ampleur inédite. Retour sur ce mois riche en événements, au jour le jour. Le 2 mai, la faculté de Nanterre était fermée.

    Jeudi 2 mai. Prémices de ce qui allait devenir Mai-68.

    Ce matin-là, un drame est évité. Vers 7h45, incendie dans un local étudiant, celui de la FGEL, à l'Université de la Sorbonne, à Paris. L'alerte est donnée par une femme de ménage. Heureusement, car le logement juste au-dessus est occupé...

    La rumeur court : ce serait l’œuvre du groupuscule nationaliste et raciste Occident (Alain Madelin, Gérard Longuet, Patrick Devedjian...). Occident a beau nier par communiqué, la tension est à son comble dans la matinée.

    Un peu plus tard, Occident menace de venir "rétablir l'ordre" prochainement à Nanterre. La faculté est en pleine effervescence depuis plusieurs semaines...

    En réaction, les étudiants de Nanterre s'organisent, barricadent les bâtiments, s'arment de gourdin. Plusieurs cours sont annulés, dans celui de René Rémond, qui tente en vain de chasser lui-même les occupants...

    Le recteur de Nanterre, Pierre Grappin, conscient du risque d'affrontements, décide la fermeture "sine die" de Nanterre, à partir du lundi 6 mai.

    La suite dans Le Progrès de ce jour.

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    Affrontements au Quartier Latin. Photo archives AFP

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  9.  
    Mardi 1er mai.
     
    Défaut d'alimentation entre Aigueblanche, Moûtiers - Salins - Brides-les-Bains,
    et l'ancienne commune de Montgirod (ancienne gare de Centron).
     
    Ce mardi, depuis la fin de l’après-midi, la circulation SNCF entre Saint-Pierre d’Albigny et Albertville est à l’arrêt. Le trafic aurait été interrompu en raison d’une rupture de caténaire provoquant un défaut d’alimentation entre Aigueblanche et Montgirod. Les voyageurs attendent patiemment dans les gares de Moûtiers et Albertville où des plateaux repas leur ont été distribués.
     
    Un article du Dauphiné Libéré du mardi 1er mai :
     
     
    Gare d'Aigueblanche (PK 49,5)
     
    La gare à l'époque de la Compagnie du PLM.
     
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    Gare de Pomblière-Saint-Marcel (PK 57,2)
     
    La gare à l'époque de la Compagnie du PLM (année 1914).
     
     
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    Un certain "PLM" à 10 ans devant une BB 67000 à Pomblière en 1969.
     
     
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  10. Il y a 4 heures, IGS4 a dit :

    Carte ferroviaire du département d'Eure-et-Loir

    Il y a 131 ans aujourd'hui.

    Le 1er mai 1887, mise en service, par l'Administration des Chemins de fer de l'État de la ligne :
    Arrou - La Bazoche-Gouet - Authon-du-Perche - Souancé-au-Perche - Nogent-le-Rotrou (41 km).

    Source : Centre des Archives Historiques de la SNCF.

     
    Gare d'Authon-du-Perche (PK 23,7)
     
    La gare à l'époque de l'Administration des Chemins de fer de l'État.
     
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    Gare de Souancé-au-Perche (PK 33,7)
     
    La gare à l'époque de l'Administration des Chemins de fer de l'État.
     
     
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    Gare de Saint-Lazare (PK 39,5)
     
    Elle était située sur le territoire de la commune de Nogent-le-Rotrou.
     
    La gare à l'époque de l'Administration des Chemins de fer de l'État.
     
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    Gare de Nogent-le-Rotrou (PK 41,2)
     
    La gare à l'époque de l'Administration des Chemins de fer de l'État.
     
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  11. Carte ferroviaire du département d'Eure-et-Loir

    Il y a 131 ans aujourd'hui.

    Le 1er mai 1887, mise en service, par l'Administration des Chemins de fer de l'État de la ligne :
    Arrou - La Bazoche-Gouet - Authon-du-Perche - Souancé-au-Perche - Nogent-le-Rotrou (41 km).

    Source : Centre des Archives Historiques de la SNCF.

    Gare d'Arrou

    La gare vers la fin des années 1950.

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    Gare de Chapelle-Royale (PK 7,9)

    La gare à l'époque de l'Administration des Chemins de fer de l'État.

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    La gare de Chapelle-Royale, superbement réhabilitée, qui est utilisée comme bureaux pour l'entreprise voisine.

    Source

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    Gare de La Bazoche-Gouet (PK 13,7)

    La gare à l'époque de l'Administration des Chemins de fer de l'État.

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  12. [Grand Lyon] Réseau TCL
     
    Dans cet article de France 3 Auvergne-Rhône-Alpes du lundi 30 avril, une vidéo (47 secondes) de la visite
    du chantier (20 mars 1975), par Louis Pradel, maire de la ville de Lyon, d'avril 1957 à novembre 1976.
     
    Il était une fois le métro de Lyon...
     
    A Lyon, le réseau de métro a été inauguré au printemps 1978 par le Président Valéry Giscard d'Estaing. Les travaux avait débuté cinq ans plus tôt, en 1973... Les lignes A et B sont entrées en fonction , après 5 ans de chantier, il y a tout juste 40 ans.
     
    La première ligne de métro de Lyon a ouvert en décembre 1974, après la transformation d'une ligne de funiculaire en chemin de fer à crémaillère, entre les stations Croix-Paquet et Croix-Rousse. Concernant le réseau de transport souterrain lyonnais, il est officiellement inauguré à Lyon le 28 avril 1978 par le président de la République en personne.
     
    Les ligne A (Perrache - Laurent-Bonnevay) et ligne B (Charpennes - Part-Dieu) sont inaugurées ce 28 avril 1978 en présence du président de la République, du premier ministre Raymond Barre, du nouveau maire Francisque Collomb pour la section passant sous la ville de Lyon, et du maire Charles Hernu pour celle passant sous la ville de Villeurbanne. La ligne de métro à crémaillère est également intégrée au réseau à cette date.
     
    Les travaux ont duré près de cinq ans et ont marqué durablement l'agglomération lyonnaise. Au final ce chantier pharaonique a coûté 1,3 milliard de francs. Le le 2 mai 1978, quelques jours après l'inauguration officielle, les premiers usagers ont pu emprunter les rames oranges...
     
    La suite dans France 3 Auvergne-Rhône-Alpes du lundi 30 avril.
     
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    © INA.
     
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    © INA.
     
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    © INA.
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  13.  
    La ligne TER Sarreguemines-Béning sera remise à niveau en 2019. La région Grand Est financera 72 % du chantier. Une nécessité pour sauvegarder la liaison. Le point avec Nicole Muller, vice-présidente au conseil régional.
     
    La ligne TER Sarreguemines-Béning fera l’objet d’importants travaux de remise à niveau l’an prochain. Le chantier s’achèvera en juin 2020. « Ce qui entraînera des perturbations », indique Nicole Muller, vice-présidente à la région Grand Est.
     
    La rénovation nécessitera de fermer durant trois mois et demi l’accès des voies aux trains voyageurs pour permettre la régénération de l’ouvrage en terre de Farébersviller, le renouvellement de 4,1 km de voies et de ballast, de 5 km de rails et le remplacement de 8 300 traverses.
     
    Un article du Républicain Lorrain du dimanche 29 avril :
     
     
    Gare de Sarreguemines (PK 84)
     
    Départ d'un train allemand en 1972.
     
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    Gare de Béning  (PK 106,5)
     
    La gare à l'époque de la Compagnie de l'Est.
     
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  14. Il y a 161 ans aujourd'hui.
     
    Le 1er mai 1857, mise en service, par la Compagnie des Chemins de fer de l'Ouest,
    de la section : Laval - Port-Brillet - Vitré - Châteaubourg - Rennes (73 km).
    Reprise de l'exploitation par l'Administration des Chemins de fer de l'État : le 1er janvier 1909.
     
    Source : Centre des Archives Historiques de la SNCF.
     
    Gare de Laval (PK 300,1)
     
    La gare à l'époque de l'Administration des Chemins de fer de l'État.
     
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    Gare du Genest (PK 310)
     
    La gare à l'époque de l'Administration des Chemins de fer de l'État.
     
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    Commune du Genest-Saint-Isle.
     
    Relevage d'une locomotive BB 25200 après un déraillement, suite à une collision avec 3 bœufs, en mars 1986.
     
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    Gare de Port-Brillet (PK 317,1)
     
    La gare à l'époque de l'Administration des Chemins de fer de l'État.
     
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    Gare de Saint-Pierre-la-Cour (PK 321,5)
     
    C'est la dernière gare de la région SNCF de Nantes.
     
    Dans les années 80, les gares de Voutré, d'Évron, de Neau, de Montsûrs, de La chapelle-Anthenaise,
    de Louverné, de Laval, du Genest, de Port-Brillet et de Saint-Pierre-la-Cour, étaient toutes gérées
    par l'ancienne CEX (Circonscription Exploitation) de Rennes-zone (Région SNCF de Rennes).
     
    De nos jours, ces mêmes gares, situées dans la région des Pays de la Loire (département
    de la Mayenne), sont toutes gérées, par la région SNCF de Nantes.
     
    La gare à l'époque de l'Administration des Chemins de fer de l'État.
     
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  15. Gare de Château-du-Loir (PK 283,9)
     
    (Compagnie du PO).
     
    Gare de Château-du-Loir (PK 217)
     
    (Administration des Chemins de fer de l'État).
     
    La gare de Château-du-Loir a été mise en service, par la Compagnie du PO, en juillet 1858,
    en même temps que la section : Le Mans (Bifur du Parc) - Arnage - Mayet - Château-du-Loir
    - Neuillé-Pont-Pierre - La Membrolle-sur-Choisille - Tours (Bifur de Grammont).
     
    Source : Centre des Archives Historiques de la SNCF.
     
    Le Mans, Sillé-le-Guillaume, et la GAG (gare d'arrêt général) de Château-du-Loir,
    sont les 3 seules gares permanentes (ouvertes au service de la circulation jour et
    nuit), encore en service, dans le département de la Sarthe.
     
    La gare à l'époque de la Compagnie du PO et de l'Administration des Chemins de fer de l'État.
     
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    Dans le fond les directions du Mans et de Vivy (Saumur).
     
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    Dans le fond les directions de Tours et de Courtalain-Saint-Pellerin, Chartres et Paris.
     
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    L'arrivée de l'express n° 84 : Thouars - Saumur - Chartres - Paris.
     
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    L'arrivée de l'express n° 87 : Paris - Chartres - Saumur - Thouars - Niort - Saintes - Bordeaux.
     
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  16. Carte ferroviaire du département des Haute-Alpes

    Carte ferroviaire du département des Alpes-de-Haute-Provence

    Chorges - Le Sauze - Ubaye - Le Lauzet - Revel-Méolans - Barcelonnette (43 km)

    Ligne de Chorges à Barcelonnette (Wikipédia)

    Ligne de chemin de fer Chorges - Barcelonnette sur le site :

    Base de données internationale d'ouvrages d'art et du génie civil (lien direct)
     
    Un article du Dauphiné Libéré de ce jour (avec 10 photos) :

    La ligne de chemin de fer qui devait relier Chorges à Barcelonnette

    Citation

    Le projet titanesque qui n’a jamais vu le jour

    En 1878, un plan national de grande envergure, le plan Freycinet, est voté par le Parlement. Il prévoit notamment que toutes les préfectures et sous-préfectures de France soient reliées au réseau ferré national. Sa réalisation sera presque totale. Une ligne est ainsi imaginée, tracée et en partie achevée, entre Chorges et Barcelonnette. Malheureusement, et malgré la construction de nombreux ouvrages d’art nécessaires à sa création, ce projet titanesque ne verra jamais le jour.

    Après de nombreuses études et différents projets abandonnés pour différentes raisons, l’année 1909 voit le démarrage de la construction d’une voie ferrée reliant Chorges à Barcelonnette. Un projet colossal, déclaré d’utilité publique, qui n’aboutira pourtant pas.

    Le plan Freycinet

    Il faut remonter à l’année 1878 : le ministre des Travaux publics, l’ingénieur et polytechnicien Charles de Freycinet, lance un ambitieux programme de travaux publics.

    C’est ainsi que la desserte de Barcelonnette, sous-préfecture des Alpes-de-Hautes-Provence, fut prévue au n°128 sous l’intitulé de “Savines à Barcelonnette” par une ligne à voie unique.

    La suite dans Le Dauphiné Libéré de ce jour.

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    Le viaduc de Pralong (ou viaduc des Moulettes) constituait le premier ouvrage de la ligne après Chorges.  Document des achives départementales des Hautes-Alpes.

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  17. Breil-sur-Roya - Saint-Dalmas-de-Tende - Tende - Coni (Cuneo)

    La ligne Cuneo-Vintimille ne rouvrira pas en mai

    Le chantier de modernisation et de sécurisation de la ligne ferroviaire entrepris sur le tronçon entre Breil et le col de Tende ne pourra être fini à temps. La remise en service est décalée à juillet.

    Un train plus que jamais nommé désir… La ligne ferroviaire reliant Cuneo à Vintimille – en passant par la vallée de la Roya – devait initialement rouvrir à l’aube du mois de mai. Au terme de huit mois de chantier de sécurisation sur le tronçon Breil-Tende.

    La suite dans Nice Matin de ce jour.

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  18. Les Aubrais-Orléans - Neuville-aux-Bois - Pithiviers - Malesherbes (61,700 km)
     
    Mise en service par la Compagnie du PO :
    - section Les Aubrais-Orléans - Neuville-aux-Bois - Pithiviers (43,100 km) : le 12 août 1872;
    - section Pithiviers - Malesherbes (18,600 km) : le 14 septembre 1868.
    Fermeture au service voyageurs : en 1969.
     
    Source : Centre des Archives Historiques de la SNCF.
     
    Gare des Aubrais-Orléans (PK 118,9)
     
    La gare à l'époque de la Compagnie du PO.
     
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    Gare de Marigny-les-Usages (PK 126,3)
     
    La gare de Marigny-les-Usages, fermera aux voyageurs, en 1969. Elle se situait entre la
    halte militaire de la Foulonnerie (PK 119,4), et la gare de Loury - Rebréchien (PK 131,9).
     
    La gare à l'époque de la Compagnie du PO.
     
     
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  19.  
    Gare de La Suze (PK 229,4)
     
    Ils refusent la fermeture de la gare
     
    La gare suzeraine est menacée d'une diminution des horaires d'ouverture du guichet, voire de fermeture. Jeudi matin, les syndicats ont manifesté leur opposition.
     
    La gare n'a déjà plus que deux plages horaires : le mardi, de 10 h 15 à 16 h, et le vendredi, de 14 h à 19 h 50, ainsi qu'un bureau géré par un agent communal pour les billets TER. Cette décision est aussi validée par le conseil régional. De son côté, la municipalité a été approchée pour racheter le bâtiment.
     
    Jeudi, le syndicat Sud rail a organisé une manifestation devant la gare et a récolté des signatures pour une pétition. « La décision met en péril l'équivalent de 60 emplois de vendeurs, la Région a mis en place une gamme tarifaire entraînant une hausse des tarifs, souligne Dominique Leveau, de Sud rail. Cela n'assure pas l'accès et l'essor du service public ferroviaire de qualité. » Les syndicats CGT, CFDT et Unsa partagent cet avis.
     
    La suite dans Ouest-France du vendredi 27 avril.
     
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    Dominique Leveau de Sud rail (à gauche) discute avec le maire.
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  20. Suède : Transitio AB commande huit automotrices Kiss à Stadler

    Transitio AB a commandé le 14 février 2018 au constructeur suisse Stadler huit automotrices électriques à deux niveaux de la famille Kiss, qui seront livrées fin 2019, et utilisées sur la desserte régionale Upptaget que va exploiter Transdev, à savoir les relations Upplands Väsby – Arlanda C – Uppsala C – Gävle C et Uppsala – Sala.

    Cette nouvelle commande est une option de la commande de 33 autres automotrices de la famille Kiss passée par Transitio AB pour les relations Mälardalen, qui comportait une option pour 110 autres. L’autorité organisatrice des transports Mälardalstrafik avait sélectionné en avril 2016 les SJ pour l’exploitation, pour une durée de 4 ans courant à partir de décembre 2016, du réseau Mälardalen, qui comprend les relations :
    – Svealandsbanan : Örebrö – Eskilstuna – Stockholm – Uppsala ;
    – Nyköpingsbanan : Norrköping – Nyköping – Stockholm ;
    – Sömlandspilen : Hallsberg – Katrineholm – Stockholm ;
    – Uven : Linköping – Norrköping – Eskilstuna – Västeras – Sala.

     À l’horizon 2019-2020, les nouvelles automotrices de Stadler devraient remplacer le matériel actuel utilisé par les SJ. Équipées de transformateurs de type sec et avec un châssis en aluminium, ces automotrices remplissent les critères de charge à l’essieu du réseau suédois ainsi que ceux d’Europe du Nord, en particulier de protection contre le froid et la neige grâce à leur isolation renforcée.

    La suite dans Rail Passion de ce jour.

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    L’autorail Itino Y 31.1422, appartenant à Transitio AB et loué à l’opérateur Kustpilen, dans les emprises du dépôt de Linköping (19 septembre 2016).

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  21. Sillé-le-Guillaume - Loué - Brûlon - Juigné-sur-Sarthe (Sablé-sur-Sarthe)
     
    Mise en service par la Compagnie des Chemins de fer de l'Ouest : le 26 mai 1884.
    Reprise de l'exploitation par l'Administration des Chemins de fer de l'État : le 1er janvier 1909.
    Fermeture au service voyageurs : le 15 mai 1938.
     
    Source : Centre des Archives Historiques de la SNCF.
     
    A Sillé-le-Guillaume, cette ancienne ligne à voie unique, avait son origine à
    proximité de l'ex-Poste 2, situé côté Laval. Côté Sablé-sur-Sarthe, la bifur
    était située à 400 mètres en amont de Juigné-sur-Sarthe (côté Le Mans).
     
    Longueur : 45,400 km. Son point culminant (PK 27) se situait entre
    Chemiré-en-Charnie (PK 28,3) et Joué-en-Charnie (PK 23,6).
    Déclivités maximales des rampes et pentes : 15 ‰.
     
    Gare de Brûlon (PK 13,6)
     
    L'intérieur de la gare à l'époque de l'Administration des Chemins de fer de l'État.
     
    Un train en provenance de Sillé-le-Guillaume et Loué.
     
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    La place de la gare à l'époque de l'Administration des Chemins de fer de l'État.
     
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    La gare en été 2010.
     
    Brûlon est la ville natale de Claude Chappe, l'inventeur du sémaphore (télégraphe).
     
    Claude Chappe est un Lycée des Métiers situé dans la banlieue du Mans (ville d'Arnage).
     
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  22. Le parc des BB 7200 tombe à 133 unités
     
    Faisant partie de la trilogie des Nez Cassés regroupant aussi les 15000 et 22200, la série des BB 7200 à courant continu a été la dernière de cette catégorie acquise par la SNCF de 1976 à 1984. Aptes à 160 km/h, ces machines ont été conçues pour être universelles avec traction de rapides, express, de trains omnibus de voyageurs mais aussi de messageries et marchandises, d’abord sur les lignes du réseau Sud-Est. En 1979, les 7201-7235 sont équipées de bogies à couple 100 pour trafic fret et mutées à Limoges à compter de 1982 où des machines GV sont également allouées à PSO.
     
    L’ouverture de la LGV Sud-Est écrème le trafic voyageurs rapides et express de l’axe Paris – Lyon – Marseille et embranchements influant sur le rendement de la série. En 1985, les 7261-7263 de PSO reçoivent les bogies 200 des 22358-22360 et servent d’appoint aux CC 6500 sur les trains drapeaux de la radiale Paris – Bordeaux. Du fait de l’avènement du TGV Atlantique, les 7200 doivent une nouvelle fois rétrograder sur le réseau Sud-Ouest en direction de Bordeaux, Hendaye et Tarbes.
     
    La répartition par activités à compter de 1999 conduit à un bouleversement des affectations entre les directions Grandes Lignes, Fret et TER. La baisse continue du fret entraîne la mise à disposition de nombreuses unités, ce qui permet par la suite de transférer : 14 machines rendues réversibles et renumérotées 7601-7614 au Transilien pour usage sur Paris-Montparnasse ; 21 rendues réversibles MUX pour service TER Bourgogne avec rames Corail. De plus, 20 7200 de la sous-série 7201-7235 dites « petites cabines » repassent GV pour des missions TER et Intercités.
     
    La suite dans Rail Passion du samedi 28 avril.
     
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    La BB 7271 en tête d’un TER Bayonne - Toulouse près de Saint-Pé-de-Bigorre (20 septembre 2011).
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