IGS4

Une nouvelle qui ne passera certainement pas "inaperçue" en ce dimanche 1er avril : 

Le vélorail remplace le TER sur la ligne Angoulême-Limoges

La SNCF rouvre déjà la ligne Angoulême-Limoges! Le vélorail de Charente limousine s’y installe pour une durée indéterminée. À tester dès ce dimanche.

A eux de nous faire préférer... le vélorail! La SNCF n’a plus de trains, mais elle a des idées pour maintenir la ligne Angoulême-Limoges, inutilisée depuis le 13 mars. Elle n’est pas allée pêcher très loin son inspiration puisqu’elle a décidé de confier la gestion à l’association du vélorail et du Chemin de fer de Charente limousine (CFCL).

Son président, Denis Quentier, a tout de suite mordu à l’hameçon, surtout qu’il s’agit de remplacer définitivement les TER. «Quand j’ai reçu ce coup de fil de la SNCF, j’ai cru à la blague d’un copain... Et puis, non! Le directeur régional en personne m’a appelé à son tour.»

Pour faire avaler la pilule aux usagers quotidiens, la SNCF leur offrira un tour gratuit de vélorail pour quatre personnes, sur la partie charentaise de leur choix.

Quant aux cheminots de la ligne abandonnée par les TER, ils seront redéployés pour conduire les vélorails. Évidemment, l’entreprise leur proposera une formation et un entraînement spécifiques dès le 3 avril, à condition de renoncer à la grève. Les cyclistes de club de La Rochefoucauld ont été sollicités pour entraîner les agents qui auront également le droit à une formation de guide touristique.

La SNCF se penche également sur la mise en place de vélorails à moteur électrique pour remplacer dès 2019 les bus qui font actuellement le trajet entre Angoulême et Limoges. Une manière verte de joindre l’utile à l’agréable, même sans dépasser les 35 km/h. Ce qui était déjà de toute façon la vitesse de la ligne avant son arrêt.

Ce dimanche matin à 9 heures dans les gares

À première vue, ce mariage de la carpe et du lapin peut intriguer. Pour convaincre les sceptiques, tout le monde est invité dès ce dimanche à tester la nouvelle attraction.

Les bénévoles du CFCL ont plongé à fond dans l’aventure: ils ont passé leur journée de vendredi à transporter par la route les vélorails dans les gares charentaises de la ligne. Rendez-vous dès 9 heures à Angoulême, La Rochefoucauld, Chasseneuil, Roumazières et Chabanais pour les curieux prêts à repêcher cette ligne dont la survie ne tient plus qu’à un fil.

La suite dans la Charente Libre

À partir de ce dimanche, le vélorail investira la ligne Angoulême-Limoges au départ de plusieurs gares charentaises.

Photo archives CL.

Le tunnelier du Grand Paris Express baptisé

 

Depuis le 3 février le premier tunnelier de la ligne 15 répond au nom de « Steffie-Orbival », qui rappelle que le métro du Val-de-Marne, Orbival, est pleinement intégré au projet du GPE. La première partie de la machine est en cours de montage au fond du puits de Champigny, de quoi lui permettre d’avancer d’une centaine de mètres pour terminer son assemblage. C’est en juin que le tunnelier devrait commencer à creuser les 2 200 m du tunnel de raccordement entre le SMR de Champigny et la ligne 15.

 

La suite dans Rail Passion de ce jour.

 

 

Le premier tunnelier du Grand Paris Express dans le puits de Champigny (13 février 2018).

Virgule et barreau (raccordement) de Sablé-sur-Sarthe

Virgule et barreau (raccordement) de Sablé-sur-Sarthe

En complément, un article de Ouest-France de ce jour :

Virgule de Sablé: pas de reprise avant le mois de septembre

Citation

Virgule de Sablé : Marc Joulaud interpelle Christelle Morançais, la présidente de région

La virgule de Sablé est à l'arrêt depuis janvier dernier. Dans ce contexte, le maire de Sablé-sur-Sarthe, Marc Joulaud a adressé un courrier à Christelle Morançais, la présidente de la région des Pays de la Loire.

Dans ce courrier, le maire LR de Sablé salue d'abord "la décision courageuse" de Christelle Morançais "de suspendre la circulation dès le constat de dysfonctionnements électriques dont l’origine demeure non identifiée. Il n’était en effet pas concevable que les trains circulent dans des conditions qui ne permettaient pas d’assurer la sécurité des voyageurs."

Les problèmes techniques déjà constatés à l'automne dernier sur la virgule ferroviaire de Sablé-sur-Sarthe n'étant pas résolus, le trafic des TER a de nouveau été interrompu le 22 janvier. "La réponse apportée aujourd'hui par la SNCF c'est de réduire le nombre de trajets pour raisons de sécurité. S'il y a un risque sur 10 trajets, il y en aura sur 2, donc je préfère stopper la circulation" précisait alors Christelle Morançais.

Après trois mois d’arrêt, nous ne comprenons pas que les opérateurs SNCF Réseau, et Eiffage Rail Express soient dans l’incapacité d’apporter une réponse technique à ces dysfonctionnements", s'interroge Marc Joulaud, qui poursuit : "cette liaison représente pour notre ville un extraordinaire vecteur de développement." 

"Sablé est un pôle d’équilibre régional entre les métropoles de Nantes et Le Mans. Ces pôles sont essentiels à l’équilibre harmonieux de la région, équilibre auquel je vous sais être attachée."

L'élu sabolien demande à Christelle Morançais de se faire le relais de sa requête : "une remise en circulation dans les plus brefs délais des trains sur le tronçon reliant la ligne TER à la LGV", concluant "c’est la vitalité de notre région et l’équilibre de notre territoire qui est en jeu."

La suite dans France 3 Pays de la Loire du mercredi 28 mars.

La Baule. Les trains sont remplacés par des bus, pendant les travaux

Des travaux sont menés sur la ligne de train Saint-Nazaire/Le Croisic, jusqu’au 20 avril. Les gares de Pornichet, La Baule, Le Pouliguen, Batz-sur-Mer et du Croisic sont desservies en car, entre 10 h et 14 h.

La SNCF assure des travaux sur la voie de trains reliant Saint-Nazaire au Croisic, jusqu’au 20 avril. Il s’agit, d’après un communiqué du service ferroviaire, d’un chantier de  « maintenance de la voie » . Plusieurs gares sont impactées, notamment Pornichet, La Baule-les-Pins, La Baule-Escoublac, Le Pouliguen, Batz-sur-Mer et Le Croisic.

La suite dans Ouest-France

Ligne de Bayonne à Saint-Jean-Pied-de-Port

Pays basque : les trains ne circulent plus entre Bayonne et Saint-Jean-Pied-de-Port

La circulation est interrompue en raison d’un effondrement du sol en surface. La Région demande des efforts à SNCF Réseau.

SNCF Réseau a interrompu la circulation de trains entre Bayonne et Saint-Jean-Pied-de-Port, suite à la détection d’un fontis (effondrement du sol en surface) entre Bayonne et la halte de Béhéréharta, juste avant Villefranque.

Pour l’heure, aucun train ne circulera avant jeudi. Aucune date de fin des travaux n’a été communiquée pour l’instant. Des autocars assurent dès ce mercredi la desserte des gares sur l’ensemble de la ligne.

"Dégradation inacceptable"

Il s’agit de la troisième ligne interrompue en un mois dans la grande région, avec la ligne Limoges Brive-la-Gaillarde et la ligne Limoges-Angoulême. La Région Nouvelle-Aquitaine parle d’une "dégradation inacceptable" de l’état du réseau, qui exige un engagement fort du gouvernement. Une situation "d’autant plus inacceptable" à ses yeux que cette ligne a bénéficié de 63 millions d’euros d’investissements publics ces dix dernières années.

La suite dans Sud-Ouest de ce jour (14h35).

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Gare de Trélazé. Le tablier de la passerelle est en place

 

Le chantier s’est déroulé dans la nuit de lundi 26 à mardi 27 mars dans la halte ferroviaire. La mise en service est prévue fin août 2018.

 

On se croyait dans un film de science-fiction, avec plusieurs plans séquences, dans la nuit de lundi 26 à, mardi 27 mars, du côté de la gare de Trélazé. Premier plan, il est 23 h 30. Nuit noire. Au loin, des grues, des projecteurs éblouissants et des hommes casqués qui s’affairent. Quelques ombres furtives pénètrent dans une brasserie, à l’angle d’un parking qui dessert un centre commercial. En ouvrant bien les yeux, on distingue quelques responsables politiques, des cadres de la SNCF, un cameraman, quelques journalistes et correspondants de presse locale.

 

10 arrêts par jour

 

Cette nouvelle halte va permettre de mettre en place une desserte périurbaine de la première couronne d’Angers, avec 10 arrêts par jour, dans les deux sens. Cette alternative à la voiture situera le centre-ville à cinq minutes de la Quantinière, et à 30 minutes de la gare de Saumur. Elle sera accessible à tous les voyageurs, en particulier les personnes à mobilité réduite. Des retombées économiques sont attendues et les usagers qui travaillent en ville devraient gagner du temps.

 

La suite dans Ouest-France de ce jour.

 

 

L’immense grue de 250 tonnes a servi à déplacer et mettre en place le tablier de la passerelle. | Ouest-France.

Collision entre un TER et une voiture: le trafic reprend lentement entre St-Etienne et Lyon

 

Un peu avant 7 heures ce mardi, un automobiliste a perdu le contrôle de son véhicule, à L'Horme, à l'angle de la rue de la Libération et de la rue d'Onzion. Le conducteur aurait manqué un virage. La voiture est tombée 3 mètres en contrebas sur la voie ferrée. Le conducteur a pu sortir seul de son véhicule. Fort heureusement, puisqu'un un train arrivant de Lyon a ensuite percuté la voiture.

 

Aucun blessé, 91 personnes à évacuer

 

Aucun blessé n'est à déplorer, mais de fortes perturbations sont occasionnées sur la ligne de TER : la ligne de TER Saint-Etienne/Lyon est coupée et les voies SNCF sont immobilisées dans les deux sens de circulation.

 

La suite dans Le Progrès de ce jour.

 

 

Photo Richard Mouillaud.

Ariège : circulation des trains bloquée entre Foix et Ax-les-Thermes

 

À cause du déraillement partiel d'un train de marchandises à l'entrée de la gare de Luzenac ce dimanche après-midi, les trains en partance d'Ax-les-Thermes n'ont pas pu circuler en fin de journée.

 

Près de 150 skieurs venus profiter des dernières neiges ont ainsi dû patienter dans la station thermale en attendant que la SNCF mette quatre cars à disposition afin d'effectuer les navettes. Les trains concernés étaient ceux au départ d'Ax-les-Thermes à 17h53 et à 18h20, les deux derniers trains de la journée.

 

La suite dans La Dépêche de ce jour (19h18).

Fermeture du trafic TER sur Rodez – Sévérac-le-Château

Avec celle de Montréjeau – Luchon, fermée en 2014, cette VU était la seule ligne de Midi-Pyrénées à n’avoir pas bénéficié des bienfaits du Plan rail régional. Avec un armement désuet composé de rails DC usagés, la vitesse de fond de 70 km/h avait dû être ramenée à 50 km/h. La ligne n’étant plus parcourue de longue date que par un unique TER quotidien, sa fermeture définitive était inéluctable, ce qui est chose faite depuis le 10 décembre.

Section de ligne de 45 km, avec sept gares et haltes intermédiaires, elle se raccorde à Sévérac-le-Château à la rocade Nord – Sud Neussargues – Béziers. Dorénavant, la desserte est intégralement assurée par autocars.

La suite dans Rail Passion de ce jour.

Une UM d’X 73500, dont un continuant vers Sévérac, arrive en gare de Rodez depuis Toulouse (20 septembre 2015).

La base de maintenance de la SNCF bientôt livrée à Chartres

 

Elle conditionne la construction du parking souterrain et de la plate-forme multimodale du Pôle gare de Chartres. La base de maintenance de la SNCF doit être mise en service en mai.

 

Des bâtiments flambant neufs de 3.000 m² avec vue imprenable sur la cathédrale : ce n'est pas un nouveau lotissement haut de gamme qui est actuellement en cours de finition, rue de l'Arbre-de-la-Liberté, à Chartres, mais le nouveau quartier général des services de maintenance des infrastructures ferroviaires de la SNCF.

 

Huit nouvelles voies ferrées

 

Le chantier a commencé en 2016, rue de l'Arbre-de-la-Liberté, sur une friche qui appartenait, déjà, à SNCF Réseau. La pose de huit nouvelles voies ferrées est lancée et sera terminée au cours du printemps. Elles permettront de desservir le site qui assurera la maintenance des voies, des caténaires et des infrastructures ferroviaires en Eure-et-Loir.

 

Une centaine d'agents seront basés dans les deux nouveaux bâtiments conçus en lien avec l'architecte des Bâtiments de France. Le premier, en bordure de la rue, accueillera les bureaux de la direction départementale (vingt-cinq personnes) ainsi que les installations techniques (chaufferie, ventilation, électricité et eau pour l'ensemble du site).

 

La suite dans L'écho Républicain de ce jour.

 

 

Le bâtiment à vocation industrielle a été conçu pour s’intégrer à l’environnement. © Quentin reix.

il y a 41 minutes, cyclodocus a dit :

juste un jour de grève

étonnant non ?

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Après la fuite de gaz à Tencin, les trains reprennent entre Grenoble et Chambéry

 

Interrompue pendant deux jours, la circulation des trains reprend finalement ce vendredi entre Grenoble
et Chambéry. La circulation des trains entre Grenoble et Chambéry était bloquée depuis mercredi soir.

 

Aucun train pendant deux jours

 

Une importante fuite de gaz à Tencin a en effet été détecté le 21 mars le long de la voie.

Cet incident a nécessité d'importants travaux qui ont empêché toute circulation.

 

Deux jours après, ce vendredi, les trains entre Grenoble et Chambéry vont pouvoir à
nouveau circuler "progressivement dans la soirée", indique la préfecture de l'Isère.

 

La suite dans France 3 Auvergne-Rhône-Alpes

 

 

© Christian Deville - Yves-Marie Glo - France 3 Alpes.

SNCF Réseau modernise les voies ferrées sur la ligne Lille-Baisieux

Depuis le 19 février dernier, des travaux de modernisation de la voie ferrée sont en cours sur la ligne Lille-Baisieux, entre Villeneuve d’Ascq (59) et Baisieux. D’un montant total de 10 millions d’euros, ce chantier concerne le renouvellement de 7 km de voies.

Après des travaux préparatoires, menés de nuit du 19 janvier au 23 février dernier, les équipes de SNCF Réseau s’apprêtent à démarrer le 26 mars prochain les travaux dits « principaux » qui dureront jusqu’au 27 avril.

Ces derniers consistent à renouveler entièrement le rail, le ballast et les traverses sur 7 km et à remplacer trois aiguillages par de la voie ferrée classique.

Dans le cadre de travaux de finitions (du 30 avril à fin juin), les quais de la gare de Baisieux seront aussi modernisés : rehaussement à 55cm, ajout de bandes d’éveil à la vigilance et amélioration de l’éclairage.

La suite dans Constructioncayola de ce jour.

Gare TGV de Vandières : le projet peut-il être relancé ?

 

Les défenseurs de la gare TGV de Vandières en Lorraine ne désarment pas, mais si pour la région Grand Est le dossier n'est pas enterré, il n'est pas aujourd'hui une priorité.

 

C’est l’Arlésienne en Lorraine, objet de nombreuses tergiversations et de polémiques entre élus locaux : ceux qui défendent l'actuelle gare de Louvigny, et ceux qui réclament une gare d'interconnexion entre TGV et TER à Vandières.

 

Pas une priorité pour la Région

 

En 2015, le président de la région Lorraine, Jean-Pierre Masseret essuyait un non en réponse à la consultation organisée sur le sujet. Après lui, Philippe Richert, élu à la tête de la grande région Grand Est s'était refusé à rouvrir ce dossier brûlant. Son successeur, Jean Rottner ne semble pas plus pressé.

 

On ne se fixe pas comme objectif de relancer Vandières, il y a d'autres priorités. Pour autant Vandières n'est pas définitivement enterré, il faut prendre les sujets les uns après les autres. (Jean Rottner, président du Grand Est).
 
L'Alsacien ne ferme pas la porte, mais reste très prudent. Au delà de la complexité du dossier, ce n'est pas le moment pour lui de se mettre à dos la droite lorraine, et la Moselle en général, dont la majorité des élus est farouchement opposée à Vandières et ne veut même plus en entendre parler.

 

La suite dans France Bleu de ce jour.

 

 

L'emplacement prévu pour la gare TGV de Vandières © Maxppp - Alexandre Marchi.

LGV en Mayenne. La gare de Laval boostée par la Ligne à grande vitesse

Selon la SNCF, les premiers résultats de la ligne à grande vitesse sont bons pour le département de la Mayenne : la fréquentation des TGV a progressé de 20 % depuis juillet 2017, date du lancement de la LGV dans l’ouest.

La ligne à grande vitesse a été mise en service le 2 juillet 2017. Neuf mois après son arrivée en Mayenne, la SNCF dit enregistrer une fréquentation en forte hausse des TGV qui font Paris-Laval et Laval-Paris. Pour la gare de Laval, désormais à 1 h 10 de Paris, l’augmentation du nombre d’usagers est de 20 % depuis juillet 2017, de 22 % pour le seul mois de janvier 2018.

Seulement deux directs en 1 h 10

Mettre Paris à une heure et dix minutes de Laval, telle était la promesse de la SNCF au lancement du projet de Ligne à grande vitesse en 2011. En réalité, seuls deux TGV bouclent au quotidien le trajet selon cet horaire. Il s’agit du TGV de 7 h 04 dans le sens Laval-Paris, en 1 h 12. Et du TGV de 19 h 24 (heure d’arrivée), en 1 h 10 dans le sens Paris-Laval. Est-ce suffisant pour dire que Paris est à 70 minutes de Laval ?

La suite dans Ouest-France de ce jour.

La gare de Laval à l'arrivée du TGV de 18h42. | Arnaud Roiné.

Ville de Perpignan

Perpignan : le passage à niveau de La Fauceille ne sera plus franchi par les bus de l'agglo

Par mesure de précaution, la communauté urbaine Perpignan Méditerranée Métropole a décidé de modifier l'itinéraire de la ligne 11 du réseau de transport pour éviter le passage à niveau du chemin de la Fauceille.

"Ce passage à niveau n'est pas le plus dangereux du département mais nous préférons modifier la circulation pour que les bus de transport public ne le traversent plus", Daniel Mach, vice-président de Perpignan Métropole, délégué aux mobilités, assume ce choix. Le drame de Millas reste omniprésent et les passages à niveau sont de plus en plus stigmatisés.  A chaque fois qu'un incident survient, à chaque fois que le sujet revient dans l'actualité, les mêmes images terribles ressurgissent.   

La suite dans L'indépendant

SNCF : supprimer le statut de cheminot pourrait coûter cher

C'est l'analyse d'une source proche de la direction de la compagnie ferroviaire qui émet plusieurs réserves sur la suppression des cheminots.

Selon une source anonyme proche de la direction de la SNCF et travaillant au sein de la compagnie ferroviaire, la suppression du statut de cheminots pourrait coûter très cher.

Interrogée jeudi par Capital, la source explique que même si "une partie du coût actuel de la main d’œuvre pour la SNCF provient" de l'existence du statut cheminot, "tout ce qui touche au temps de repos, aux horaires, sont des règles qui font partie d’autres dispositions, indépendantes du statut".

Par ailleurs, pour certains travailleurs de la SNCF, "le statut est plus avantageux pour l’entreprise publique que le droit du travail commun, notamment s’agissant des travaux de nuit”, précise cette même source.

Double peine

Le proche de la direction explique notamment que si la compagnie ferroviaire est privatisée, comme le permettrait la réforme par ordonnances du gouvernement, la suppression du statut de cheminots ne serait pas une si bonne opération.

“Quand on transforme une entreprise publique en société anonyme, immédiatement, tous les accords d’entreprise tombent. Dans une entreprise privée, l’essentiel du coût travail provient de ces accords d’entreprise. Et le scénario d’accords qui seraient finalement plus avantageux pour les cheminots que le statut actuel n’est pas à exclure”, confie-t-il.

La suite dans Le Progrès de ce jour.

Ligne de Limoges-Bénédictins à Angoulême

La SNCF suspend Angoulême-Limoges au moins un mois!

Coup dur pour une ligne en déshérence où les trains devaient déjà ralentir, parfois jusqu'à 50 km/h pour "raisons de sécurité". La SNCF vient d'annoncer la suspension de la circulation des trains sur la ligne Angoulême-Limoges jusqu'à mi-avril... au moins.

En cause, un problème de "géométrie des voies" entre Angoulême et Saillat-sur-Vienne. De lourds travaux sont nécessaires avant de rétablir la circulation.

La suite dans Charente Libre du mardi 13 mars.

Gare de Mâcon-Ville (PK 439,7)

Les trains ne circuleront pas ce week-end entre Dijon et Lyon

D’importants travaux auront lieu ce week-end en gare de Mâcon (71) pour la modernisation de sept aiguillages. Ils nécessiteront notamment une interruption des circulations sur l’axe Dijon-Lyon les  17 et 18 mars, et un impact fort sur le trafic voyageurs les week-ends du 24-25 mars et 7-8 avril.

La suite dans Le Bien Public

Les trains s’adaptent au Ceva

 

L’importance des travaux menés en gare pour accueillir fin 2019 la liaison ferroviaire Cornavin Eaux-Vives Annemasse (Ceva) impose une première coupure de la circulation des trains. À compter de 23h ce soir et jusqu’au 15 avril au matin, aucun train ne desservira Annemasse.

 

En conséquence, le trafic ferroviaire sera totalement interrompu avec Évian, Bellegarde et La Roche. Des cars de substitution seront mis en place par TER Auvergne-Rhône-Alpes. Deux autres coupures totales du trafic seront nécessaires, du 22 au 26 avril puis du 5 au 9 décembre. Engagée en mars 2017 par SNCF Réseau, l’adaptation de la gare d’Annemasse est à la mesure de son futur rayonnement, avec création d’un passage souterrain et d’un 4e quai.

 

Annemasse - La Roche par autocar jusqu’en fin d’année

 

Le chantier du Ceva nécessite l’adaptation du plan de transports jusqu’à la fin de l’année.

 

Dès demain lundi et jusqu’au 8 décembre prochain, les trains prennent un nouveau rythme. En matinée et en soirée, en moyenne un train par heure circulera entre Évian, Annemasse et Bellegarde. Les circulations entre Annemasse et La Roche seront assurées par autocars, en correspondance avec les trains Saint-Gervais/Annecy. Les autocars TER réguliers sont maintenus entre Annecy, La Roche, Annemasse et Genève Eaux-Vives. Pour se rendre à Lyon et Paris, les voyageurs en provenance de Saint-Gervais devront passer par Annecy. Les correspondances vers Lyon et Paris sont maintenues à Bellegarde pour les voyageurs venant d’Évian.

 

La suite dans Le Dauphiné Libéré de ce jour.

Le ‎08‎/‎01‎/‎2018 à 13:52, IGS4 a dit :

(Ligne 18) Épinal - Saint-Dié-des-Vosges -  Molsheim - Strasbourg-Ville

 

Section :  Arches - Bruyères (Vosges) - Saint-Dié-des-Vosges.

 

(Ligne 16) Blainville-Damelevières - Épinal - Bains-les-Bains - Lure

 

Section : Épinal - Bains-les-Bains.

 

À la fin 2018, les usagers TER de la ligne Épinal - Saint-Dié pourraient ne plus monter dans des trains en gare d’Arches. Comme ceux d’Épinal - Belfort en gare de Bains-les-Bains. SNCF Réseau envisagerait d’affecter des bus en remplacement.

 

SNCF Réseau s’apprêterait à « neutraliser » deux portions de lignes dans les Vosges. Neutraliser ? Un terme qui signifie que la circulation des trains serait suspendue. L’échéance ? Ce serait la fin 2018 pour les usagers des TER Arches - Saint-Dié-des-Vosges (ligne 18 Épinal - Strasbourg) et ceux d’Épinal - Bains-les-Bains (ligne 16 Épinal - Belfort). Les habituels passagers de ces trains devraient alors monter dans des bus. Un non-sens pour les deux cheminots qui désapprouvent l’augmentation du trafic sur les départementales à laquelle participe SNCF Réseau en mettant en place du transport routier en lieu et place du ferroviaire, comme cela est le cas sur une partie de la ligne 14 Nancy - Merrey par exemple (portion Vittel-Xeuilley).

 

Un article de Vosges Matin :

 

Deux lignes de train menacées