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  1. Gare d'Uzerche (Corrèze) Tamponnement du 30 juin 1908. En bas à droite la voie métrique du POC (PO-Corrèze).
  2. Le Mans - La Suze-sur-Sarthe - Sablé-sur-Sarthe - Angers-Saint-Laud Longueur (du Mans-Voyageurs à la bifur d'Angers-Maître-École) : 95,200 km, dont environ 57 km dans la Sarthe, et 38,200 km dans le Maine-et-Loire. La gare de Sablé-sur-Sarthe a été mise en service par la Compagnie des Chemins de fer de l'Ouest en mars 1863, en même temps que la section : Le Mans - La Suze-sur-Sarthe - Sablé-sur-Sarthe (48 km). Reprise de l'exploitation par l'Administration des Chemins de fer de l'État : le 1er janvier 1909. Gare de Sablé-sur-Sarthe (PK 258 + 900) La gare à l'époque de l'Administration des Chemins de fer de l'Etat. Avant la mise en service du BAL (Block automatique lumineux ordinaire) entre Le Mans (ex. Poste 11) et Écouflant, cette gare temporaire était ouverte en permanence au service de la circulation. Le cantonnement (espacement des trains) était assuré en 3 x 8 (5h00/13h00/21h00). A l'ex. Poste 2 (situé côté Le Mans) par un aiguilleur. A l'ex. Poste 1 (situé côté Angers) par un AC (agent-circulation). L'AC du Poste 1 était Chef de ligne de la VUTR Sablé-sur-Sarthe - Château-Gontier, et de l'ancienne VUTR Sablé-sur-Sarthe - Louailles (Ex. EP de la défense nationale) en application de l'article 1 du Règlement des lignes à voie unique à trafic restreint de 1939. Le block manuel de type Regnault était interrompu à la traversée de la gare. A présent la gare de Sablé-sur-Sarthe est doté d'un PRG (Poste tout relais à câblage géographique) Avant la mise en place des DPX la gare de Sablé-sur-Sarthe était gérée par un CG2 (Chef de gare de deuxième classe - Ex. niveau 7).
  3. Vogüé - Aubenas - Lalevade-d'Ardèche-Prades Au départ de Vogüé la ligne desservait : Saint-Sernin (+ 4,600 km), Aubenas (+ 9,600 km), Pont-d'Aubenas (+ 12,100 km), Vals-les-Bains-Labégude (+ 14,900 km) et La Levade-d'Ardèche-Prades (+ 18,900km). Gare d'Aubenas (PK 702 + 500) La gare à l'époque de la Compagnie du PLM. Source La gare en été 2008 (Photo : Wikipédia). Autorail Picasso de Viaduc 07 en Juillet 1990.
  4. Le Mans - Arnage - Mayet - Château-du-Loir Le 19 juillet 1858 - Mise en service par la Compagnie du PO de la ligne : Le Mans (bifur du Parc) Arnage - Écommoy - Mayet - Aubigné-Racan - Château-du-Loir. Gare d'Écommoy (PK 312 + 300) La gare à l'époque de la Compagnie du PO. La gare à l'époque de la Compagnie du PO.
  5. Dunières (Haute-Loire) - Bourg-Argental (Loire) - Annonay (Ardèche) Gare de Bourg-Argental (PK 51 + 700) La gare à l'époque de la Compagnie du PLM. La gare à l'époque de la Compagnie du PLM. La gare à l'époque de la Compagnie du PLM. Plan schématique de la "spirale ferroviaire" de Bourg-Argental. Source
  6. Firminy (Loire) - Saint-Didier-La Séauve - Dunières (Haute-Loire) Longueur : 27,200 km, dont environ 2,200 km dans la Loire et 25 km dans la Haute-Loire. Gare de Pont-Salomon (PK 8 + 300) La gare à l'époque de la Compagnie du PLM. La gare à l'époque de la Compagnie du PLM.
  7. Carte ferroviaire du département de l'Isère Grenoble - Jarrie - Vizille - Le Bourg-d'Oisans (56 km) Exploitation : Société des Voies Ferrées du Dauphiné (VFD) de 1893 à 1919. Régie départementale des Voies Ferrées du Dauphiné (VFD) à partir de 1920. Mise en service/fermeture : . Grenoble - Gières (7 km) - 1894 - 1951. . Gières - Vizille (17 km) - 1894 - 1951. . Vizille - Rioupéroux (16 km) - 1893 - 1964. . Rioupéroux - Livet (3 km) - 1894 - 1964. . Livet - Le Bourg-d'Oisans (13 km) - 1894 - 1946. Source (texte) Gare d'Uriage-les-Bains Séchilienne
  8. Firminy (Loire) - Saint-Didier-La Séauve - Dunières (Haute-Loire) Longueur : 27,200 km, dont environ 2,200 km dans la Loire et 25 km dans la Haute-Loire. Point culminant : gare de Saint-Pal-Saint-Romain (PK 19 + 700). Déclivités maximales des rampes et pentes : 22 ‰. Mise en service par la Compagnie du PLM : le 1er septembre 1885. Fermeture au service voyageurs : le 7 juillet 1991. Fermeture au service fret : le 15 décembre 2003. Petit rappel historique Le bassin industriel d’Annonay était un important consommateur de houille stéphanoise Peu après sa création en 1869, la Chambre de commerce d’Annonay tente de susciter la construction d’une voie ferrée qui relierait Annonay à Firminy, via Bourg-Argental et Dunières. Celle-ci permettrait de faire baisser le coût du charbon de près de 30 %. Mais la guerre de 1870 est déclenchée et le projet remis dans un tiroir. Pas pour longtemps cependant, en 1872, le ministère de la Guerre déclare ce projet d’intérêt stratégique. Il doit permettre de conduire rapidement les mobilisés aux frontières. Outre les intérêts industriels et commerciaux, cette ligne devait permettre en temps de guerre, d'acheminer rapidement les armes fabriquées à Saint-Étienne vers la vallée du Rhône. Au départ de Firminy la ligne desservait : Pont-Salomon (+ 8,300 km), Saint-Didier-La-Séauve (+ 13,300 km), Saint-Pal-Saint-Romain (+ 19,700 km) et Dunières (+ 27,200 km). Gare de Saint-Didier-La-Séauve (PK 13 + 300 km) Située sur la commune de La Séauve-sur-Semène, elle desservait les communes de La Séauve-sur-Semène et de Saint-Didier-en-Velay. La gare à l'époque de la Compagnie du PLM. Autorail spécial X 2845 de l'ARF (Amis du Rail du Forez) le 8 octobre 1978 .
  9. Pourtant, au début le lien fonctionnait correctement. Hélas, comme on ne peut plus éditer ses messages après 1h00 ! Carte ferroviaire du département de l'Ardèche
  10. Lyon-Saint-Just - Le Tupinier - Messimy - Mornant (et ses antennes) Exploitation : - Compagnie Fourvière Ouest-Lyonnais (FOL) jusqu'en 1910. - Compagnie Omnibus Tramways de Lyon (OTL) à partir de 1911. Au départ de Lyon-Saint-Just la ligne desservait : Les Massues (+ 1,770 km), Grange-Blanche (+ 2,600 km), Demi-Lune (+ 2,733 km), La Demi-Lune (+ 3,320 km), Alaï (+ 4,470 km), Francheville-Étoile d'Alaï (+ 4,910 km), Bel-Air (+ 6,080 km), La Patelière (+ 6,720 km), Craponne-La Tourette (+ 7,600 km), Craponne-centre (+ 8,660 km), Le Tupinier (+ 9,840 km), Grézieu-la-Varenne (+ 11,260 km), La Chanconche (+ 12,550 km), Vaugneray-Maison-Blanche (+ 13,500 km) et Vaugneray-Bourg (+ 14,874 km). Source (gares, haltes et distances) Gare de Vaugneray-Maison-Blanche (Vaugneray-Gare) Automotrice électrique à l'époque ou la gare de Vaugneray-Maison-Blanche était encore terminus de la ligne. Vaugneray-Maison-Blanche (Vaugneray-Gare) - Vaugneray-Bourg (1,400 km) : mise en service le 6 août 1906. Gare de Vaugneray-Bourg Motrice électrique Manage stationnée au terminus de Vaugneray-Bourg le 23 juin 1953. Une motrice à boggies, de type "Manage" stationnée à Vaugneray Bourg. Ces motrices desserviront la ligne de Vaugneray jusqu'à sa fermeture, en 1954. (Archives A.M.T.U.I.R.)
  11. Carte ferroviaire du département de l'Oise Estrées-Saint-Denis - Saint-Just-en-Chaussée - Froissy - Crèvecœur-le-Grand Compagnie du Chemin de fer d'Estrées à Froissy (EF). Réseau exploité successivement par : Compagnie du Chemin de fer d'Estrées à Froissy (EF). Compagnie du Chemin de fer d'Estrées à Froissy et Crévecoeur (EFC) à partir de 1911. Compagnie Générale de chemins de fer d'Intérêt Local (CGL) à partir de 1920. Longueur totale : 55 km. Saint-Just-en-Chaussée - Etrées-Saint-Denis : 23 km. Saint-just-en-Chaussée - Crévecoeur-le-Grand : 32 km. Mise en service/fermeture : Section : Saint-Just-en-Chaussée - Estrées-Saint-Denis (23 km) - 1891 - 1948. Section : Saint-Just-en-Chaussée - Froissy (20 km) - 1891 - 1961. Section : Froissy - Francastel (7 km) - 1911 - 1961. Section : Francastel - Crèvecœur-le-Grand (5 km) - 1911 - 1953. Source Gare de Rouvillers (PK 4) Gare de La Neuville-Roy (PK 8)
  12. Dunières (Haute-Loire) - Bourg-Argental (Loire) - Annonay (Ardèche) Gare de Saint-Sauveur-en-Rue (PK 42 + 100) La gare à l'époque de la Compagnie du PLM. La gare en juin 2005. Photo : Massif Central Ferroviaire.
  13. Dunières - Bourg-Argental (Loire) - Annonay (Ardèche) Gare de Riotord (PK 33 + 200) La gare à l'époque de la Compagnie du PLM.
  14. Lyon-Saint-Just - Le Tupinier - Messimy - Mornant (et ses antennes) Exploitation : - Compagnie Fourvière Ouest-Lyonnais (FOL) jusqu'en 1910. - Compagnie Omnibus Tramways de Lyon (OTL) à partir de 1911. Mise en service : - Lyon-Saint-Just - Le Tupinier - Vaugneray-Gare (13,500 km) : le 19 avril 1886. - Le Tupinier - Brindas - Messimy (5,400 km) : le 25 janvier 1887. - Messimy - Orliénas - Mornant (12,300 km) : le 11 juillet 1887. - La Demi-Lune - Écully PLM (2 km) : le 5 avril 1895. - Vaugneray-Gare (Maison-Blanche) - Vaugneray-Bourg (1,400 km) : le 6 août 1906. Observations : la liaison de 2 km entre les gares de la Demi-Lune (FOL) et d'Ecully (PLM) a été réalisée en vue de permettre l'échange direct de marchandises avec les grands réseaux. Rame du FOL au terminus de Vaugneray-Bourg en août 1916. Fermeture au trafic voyageurs : - Le Tupinier - Brindas - Messimy - Mornant (17,700 km) : le 3 avril 1933. - Lyon-Saint-Just - Le Tupinier - Vaugneray-Bourg (14,900 km) : le 2 novembre 1954. Fermeture au trafic trafic marchandises : - Le Tupinier - Brindas - Messimy - Mornant (17,700 km) : en 1935. - La Demi-Lune - Écully PLM (2 km) : en juin 1935. - Lyon-Saint-Just - Le Tupinier - Vaugneray-Bourg (14,900 km) : le 2 novembre 1954. Gare de bifurcation du Tupinier A gauche la direction de Brindas, Messimy et Mornant. A droite la direction de Vaugneray-Gare et Vaugneray-Bourg. Ancienne gare du Tupinier à Grézieu-la-Varenne, une rame arrive de Vaugneray alors qu'une motrice du service partiel, garée sur l'amorce de l'ancienne ligne de Mornant attend l'heure du retour sur Lyon-Saint-Just. Cliché François COLLARDEAU - 6 octobre 1954. Source (texte et photo)
  15. La seule ligne Diesel autour du Mans possédant des caténaires est la ligne de Tours. En effet, rue Denis Papin, entre la bifur du parc (entrées/sorties triage), et un point situé en aval du Poste 7 côté Tours, il existe encore quelques centaines de mètres de caténaires.
  16. Autrefois, entre la bifur de la Petite Croix et le PN 110-1 de La Chapelle-Saint-Aubin (110 pour la ligne de Brest), (1 pour la ligne de Mézidon) il y avait l'ancien EP (embranchement particulier) des miroiteries de l'Ouest. C'était l'ancienne desserte de la ZIN (Zone industrielle Nord). Cependant, cette desserte était assurée en traction Diesel (BB 63000).
  17. Les autorails Renault ABH des Chemins de Fer de Provence La Renault X-322 La série Renault ABH est directement dérivée de la série ABJ à voie normale, de la même époque. Cette fabrication soignée, la caisse en aluminium et la robustesse de l'ensemble expliquent leur exceptionnelle longévité. Il faut remonter au 8 octobre 1934 pour trouver trace de la commande de cet autorail, numéroté ZZ-2 lors de sa livraison le 22 février 1935. L'automotrice est l'unique survivante de la première série des premiers autorails CP. Elle sera modernisé en 1959 (renuméroté ZZ-22) et son moteur porté à 330 chevaux (1967). Rénovée à nouveau en 1989, elle terminera provisoirement sa carrière en juin 2000, suite à un problème d'embrayage. Elle est depuis "en attente de réparation". Gare de Touët-sur-Var (PK 48 + 665) La Renault X-322 en 1990. Photo : José Banaudo. Source (Texte et photo) La Renault X-326 La ZZ-6 est née (et réceptionnée par les Chemins de fer de Provence) le 12 novembre 1936. Equipée d'origine d'un moteur diesel de 265 chevaux, d'une capacité de 58 places (depuis 1973) l'automotrice est la dernière survivante d'une série de 4 exemplaires (ZZ-3 à 6). Entre 1942 et 1944, elle sera équipée d'un gazogène, puis remise ne état d'origine. En 1949, son moteur passera d'une puissance de 265 à 300 chevaux, puis à 330 chevaux dans les années 60. Gravement accidentée par un déraillement suite à une coulée de boue (13 juillet 1981), elle sera remise en service en mars 1984 après avoir subi une rénovation complète. Elle terminera (provisoirement, donc) son service en septembre 2001, suite à un problème de transmission. Gare de Nice La Renault X-326 en 2005. Source (Texte et photo)
  18. Menace de fermeture de la section : Vif - Clelles-Mens - Lus-La-Croix-Haute en 2018. Menace de fermeture de la section : Livron - Crest - Die - Beaurières en 2020.
  19. Un article du Dauphiné Libéré de ce jour. Ligne ferroviaire Grenoble-Gap : une « situation catastrophique » pour Christian Estrosi
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