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Le Web des Cheminots

IGS4

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Messages publiés par IGS4

  1. Savonnières (Indre-et-Loire)

    Déraillement du train rapide n° 7 Paris - Nantes - Le Croisic le 21 juillet 1908.

    La locomotive et son tender couchés dans le fossé, ont été
    dégagés des peupliers qu'ils avaient abattus sur eux.

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    Le fourgon de tête au bas du remblai et le premier wagon couché sur la pente.

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  2. Nice: Le train des Pignes à vapeur cherche un second souffle

    La « Portugaise » aura plus de travail cet été ! D’ici quelques semaines, la vieille locomotive à vapeur du train des Pignes, surnommée ainsi en raison du pays où elle vécut la première partie de sa vie professionnelle dans les années 20, ne tirera plus cinq mais six wagons de voyageurs au plus fort de la saison. Une nouvelle voiture, flambant neuve malgré ses plus de 120 ans, est attendue avec impatience par les bénévoles de l’association « Groupe d’étude pour les chemins fers de Provence » (GECP).

    Les travaux de restauration sont presque finis. A l’intérieur, ça sent le vernis frais mais il manque encore les banquettes. « Cela va augmenter la capacité à 310 places contre 260 actuellement », détaille Jean-Michel Delfino, le président de cette structure de passionnés qui chouchoute, gère et conduit le petit train chaque année de mai à octobre.

    La suite dans 20 minutes

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  3. Fraude : dans les trains c'était tolérance zéro.

     

    La SNCF a mis les gros moyens, hier, sur la ligne Marseille-Nice

    Il fouille ses poches, se tortille dans tous les sens, se lève, regarde sous son siège. Et commence à ruisseler. C'est que le contrôleur, flanqué de la police ferroviaire, arrive. Et il n'a toujours pas retrouvé son billet. Hier, il valait mieux ne pas l'avoir égaré sur la ligne Marseille-Nice. La SNCF avait organisé une journée "tolérance zéro". Il faut dire que la fraude est un fléau dans les trains.

    Yves Orliaguet, responsable marketing et services, notait : "Sur les TER, en Paca, la fraude coûte 15 M€ par an. Quand on sait que les nouvelles rames coûtent 10 M€ l'unité, en faisant le calcul on constate qu'en deux ans, on pourrait investir dans trois rames." 15 M€ à l'année et un taux de fraude variable selon les lignes de la région. "Le TGV c'est entre 3 % et 4 %.

    Le TER c'est 10 % de fraude." Et le "champion" de la fraude, c'est la ligne Marseille-Aix. Près de 15 % selon la SNCF. "Et il y a du racket aussi, assurait un agent de police qui participait à l'opération d'hier. Il n'y en a pas tous les jours mais le sentiment d'insécurité est réel."

    La suite dans La Provence du samedi 6 juin.

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  4. Génolhac - Encore une déception pour les défenseurs des guichets SNCF

    Le directeur territorial de la SNCF Yves Shoukroun devait présenter hier à Génolhac les modalités de réouverture du guichet SNCF. La vieille, il a annulé son rendez-vous, faisant à nouveau monter la colère des Cévenols.

    Le retour au calme dans la petite commune des Hautes-Cévennes n'est pas encore pour aujourd'hui semble t-il. Le combat mené par le comité de défense des services publics n'est pas tout à fait terminé. Hier, les usagers ont une nouvelle fois été déçus du comportement du représentant de la SNCF, Yves Shoukroun, qui avait rendez-vous en mairie de Génolhac pour présenter les modalités de dates et d'horaires du guichet, qui devrait rouvrir avant l'été. La vieille, le directeur territorial invoquait "une contrainte d'agenda" l'empêchant d'effectuer le déplacement.

    La suite dans Objectif Gard

    Les Cévenols en gare de Génolhac.

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  5.  

    Le bus qui reliera Allonnes au Mans s’appellera Tempo

    Jusqu’ici, on l’appelait « Bus à haut niveau de service » (BHNS).

    Un nouveau nom a été donné, et c’est « Tempo ».

    On trouvera donc le nom de Tempo sur les dix bus achetés par
    la Setram dans le cadre d’une première tranche d’acquisition.

    La suite dans Le Maine Libre

    Liaison Le Mans Allonnes : une histoire de « Tempo ».

    DR

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  6. Département de la Sarthe (Commune de Beillé).

    Samedi 6 et dimanche 7 juin 2015.

    La TRANSVAP fête ses 40 ans !

    La locomotive Diesel A1AA1A 68081 stationne sur l'ITE Agrial
    séparant la TRANSVAP et la gare de Connerré-Beillé.

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    Cet engin moteur a été construit en 1965, notamment dans mon pays natal (vallée du Gier),
    par la CAFL (Compagnie des Ateliers et Forges de la Loire) de Saint-Chamond.

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  7. Samedi 6 et dimanche 7 juin 2015.

    La TRANSVAP fête ses 40 ans !

    L'autorail Billard prêt au départ pour un aller et retour jusqu'au PK 4.

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    Une vue du poste de conduite.

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    Retour de l'autorail Billard, nous sommes dans la locomotive 030 T la "Chéronne",
    de retour d'un baptême jusqu'à la première pancarte "S" (PK 1,500).

    L'aiguilleur va modifier la position de l'aiguille pour recevoir le Picasso X 93953,
    (qui circule à distance de l'autorail Billard) sur la voie contiguë.
    L'autorail Billard circule lui même à distance de notre locomotive 030 T.

    transv14.jpg

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  8. A faire en correspondance du zentral bahn, vous allez aimer!!!

    J'ai déjà fait ! Lorsque je suis monter jusqu'à la gare
    souterraine (3454 mètres) de Jungfraujoch !

    "En voyageurs" à l'aller d'Interlaken-Ost à Lauterbrunnen.
    En cabine au retour de Grindelwald à Interlaken-Ost.

    La compagnie du BOB m'a offert le Dienstfahrplan (Horaires
    de service), l'équivalent des fiches-trains de la SNCF.

    Une fois arriver à la Jungfraujoch le fahrdienst (Agent-Circulation) m'a offert
    le même document en y apposant le TAD (Timbre à date) de sa gare.

    Que de bons souvenirs d'être à seulement 388 mètres en
    dessous de l'altitude de l'Aiguille du Midi (3842 mètres)

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  9. Canton de Berne (Bern).

    Le chemin de fer de l'Oberland bernois, en allemand Berner Oberland-Bahnen (BOB) est une
    entreprise ferroviaire suisse qui exploite un réseau à voie étroite dans le canton de Berne,
    reliant les stations touristiques de Grindelwald et Lauterbrunnen avec la gare d'Interlaken Ost.

    Le chemin de fer du BOB est en contact avec :

    . le chemin de fer du  Berne Lötschberg Simplon (BLS) en gare d'Iterlaken-Ost.
    . le chemin de fer à voie métrique du Brunig (Zentralbahn) en gare d'Interlaken-Ost.
    . le chemin de fer du Schynige Platte-Bahn en gare de Wilderswil.
    . le chemin de fer du Wengernalpbahn (WAB) à Lauterbrunnen et Grindelwald.

    Gare de Wilderswil

    Source (texte et photo)

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    • J'adore 4
  10. Canton de Berne (Bern).

    Chemin de fer de la Jungfrau

    Le Chemin de fer de la Jungfrau (en allemand : Jungfraubahn) est une ligne de chemin de fer
    suisse reliant la gare de Kleine-Scheidegg au Jungfraujoch, il traverse en tunnel l'Eiger et le
    Mönch pour s'arrêter au Jungfraujoch, un col entre le Mönch et la Jungfrau. Située à 3 454
    mètres d'altitude, la station de chemin de fer du Jungfraujoch est la plus haute d'Europe.

    Une automotrice BDhe 4/8 en gare de Kleine-Scheidegg

    Source (texte et photo)

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    Gare de Kleine-Scheidegg (2061 m)

    C'est la gare de contact entre le chemin de fer du Wengernalpbahn (WAB) et le chemin
    de fer de la Jungfrau (JB). Elle est accessible depuis Grindelwald ou Lauterbrunnen.

    Au premier plan les voies du WAB.
    Dans le fond à gauche la direction de Grindelwald. 
    En haut à droite les voies vers Jungfraujoch.

    La ligne d'Interlaken-Ost vers Grindelwald et Lauterbrunnen est
    exploitée par le chemin de fer du Berner Oberland-Bahn (BOB)

    Source (photo)

    wabz.jpg

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  11. Canton de Berne (Bern).

    Chemin de fer de la Schynige Platte (en allemand : Schynige Platte-Bahn)

    Le chemin de fer de la Schynige Platte circule à nouveau

    L'accès à la Schynige Platte, au-dessus du lac de Thoune (BE), est à nouveau
    possible, ont indiqué vendredi les exploitants de ce chemin de fer à crémaillère.
    La veille, deux locomotives avaient déraillé. Personne n'avait été blessé.

    La cause des déraillements survenus sur un aiguillage n'est pas encore connue.
    Une locomotive était sortie des rails en fin de matinée jeudi. Plus tard dans la
    journée, une seconde motrice descendue de la station sommitale pour dépanner
    la première s'est à son tour renversée.

    La suite dans La Liberté

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    La ligne à crémaillère traverse un panorama grandiose dans l'Oberland bernois
    et permet d'atteindre la Schynige Platte à 1967 mètres d'altitude. © Keystone.

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  12. Je ne savais pas que Saint Etienne - Roanne était électrifiée !  Les journalistes prennent leurs lecteurs pour des c....

    ​En effet les deux seules lignes électrifiées autour de Saint-Etienne sont celles du Puy-en-Velay
    (jusqu'à Firminy uniquement), et de Saint-Chamond - Rive-de-Gier - Givors-ville (Lyon).

    Le problème c'est que bien souvent, la presse utilise des images d'illustration (d'archives).

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  13. Région du Sud-Est - Ligne n° 750 (situation en 1959).

    Longueur : 79 km jusqu'au Coteau, 81,600 km jusqu'à Roanne.
    Point culminant (513 mètres) : Saint-Etienne-Châteaucreux.
    Point le plus bas (282 mètres) : viaduc de la Loire (214 mètres) au Coteau.
    Déclivités maximales des rampes et pentes : 12 ‰.

    Gare de Montrond-les-Bains ( PK 472 + 600)

    La gare à l'époque de la Compagnie du PLM.

    Un train en provenance de Saint-Etienne-Châteaucreux.

    La gare en été 2006.

    Photo : Wikipédia.

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  14. Gros chantier en vue sur la ligne TER entre Saint-Etienne et Roanne

    Cet investissement de 72,5 millions d’euros mobilisant près de 330 ouvriers et 150 agents SNCF pendant quatre mois doit permettre un meilleur entretien de la voie et une amélioration du confort des voyageurs.

    D’importants travaux de renouvellement de voie vont être réalisés sur la ligne ferroviaire entre Saint-Etienne et Roanne. De nouveaux horaires seront mis en place dès ce samedi 6 juin. Le chantier se poursuivra jusqu’au 11 septembre. Il s’agit pour SNCF Réseau, le maître d’ouvrage, de changer la totalité des composantes de la voie sur 64 km.

    La suite dans Le Progrès

    Les travaux vont durer jusqu'au mois de septembre. / Photo Rémy Perrin

    • J'adore 2
  15. S.C.F. Verney

    S.C.F. est un exploitant de réseaux ferroviaires puis routiers départementaux et un
    constructeur de véhicules routiers et ferroviaires. Il faut remonter en 1891 où deux
    entreprises mancelles fusionnent : Verney & Dequaindry avec Baert & Beldant pour
    obtenir le marché des Voies Ferrés d'Intérêt Local (VFIL).

    Source

    Chemin de fer du Mamers - Saint-Calais (MSC)

    Carte ferroviaire du département de la Sarthe

    Un autorail Verney en gare de Mamers en 1952.

    Un autorail Verney et sa remorque au dépôt de la TRANSVAP de Conneré-Beillé en 1977.

    Scan du livre d'André Papazian "Trains de caractère en France".

    Un autorail Verney au dépôt de la TRANSVAP de Conneré-Beillé en juillet 2005.

    Source

    Autorails formés par deux autocars Verney au dépôt de la TRANSVAP de Conneré-Beillé.

    Ce couplage d'autorails à voie normale, ou autocars sur rails Verney LP 48, est le seul exemplaire
    subsistant encore en France. A l'origine, durant la guerre de 1939-1945, des autocars fonctionnant
    au gazogène ont été utilisés sur les voies ferrées. Juste après la Guerre, des autocars sur rails,
    fonctionnant au diésel, ont continué à être utilisés pendant quelques années, notamment sur les lignes
    rurales, en particulier celle de Mamers à Saint-Calais, où ils pouvaient servir en couplage réversible.

    Source (Texte et photo)

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  16. Caen - Réseau TWISTO

    Tramway en feu à Nancy. Caen s'interroge « sur la fiabilité du matériel »

    Suite à l'incident du tramway de Nancy, qui a pris feu vendredi 22 mai 2015, Caen (Calvados) « s'interroge de nouveau sur la fiabilité du matériel ». Explications.

    Vendredi 22 mai 2015, vers 5h30, le moteur d’un TVR (Transport sur voie réservée), un tramway sur pneus, s’était embrasé, alors que celui-ci montait l’avenue Jean-Jaurès, à Vandoeuvre-lès-Nancy (Meurthe-et-Moselle). L’incident n’avait fait aucun blessé, mais questionne la Ville de Caen (Calvados). En 2002, elle avait commandé son tramway – qui fait depuis beaucoup parler – auprès de la même entreprise, Bombardier.

    La suite dans Normandie Actu

    Un tramway construit par l'entreprise Bombardier a pris feu, le 22 mai 2015, à Nancy (Meurthe-et-Moselle).
    Caen (Calvados) s'interroge sur la fiabilité de son matériel. (Photo : ©Côté Caen)

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