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Messages publiés par IGS4

  1. Gisors - Gournay-Ferrières - Serqueux

    Carte ferroviaire du département de l'Eure

    Carte ferroviaire du département de la Seine-Maritime

     

    Ligne SNCF Serqueux-Gisors : l’enquête publique démarre à l’automne

    De Serqueux à Cormeilles-en-Parisis, en passant par Ferrières-en-Bray, ils disent non au trafic de fret. Les riverains mécontents du projet de modernisation de la ligne Serqueux-Gisors et de ses conséquences militent au sein de l’association Voies et voix en pays de Bray.

    « Le fret, s’il reprend, n’apportera que des désavantages au pays de Bray. Financièrement, c’est un très mauvais choix également pour la SNCF, car les recettes attendues ne seront pas à la hauteur des dépenses engagées. C’est un projet moyennement rentable au regard de la dette colossale de l’entreprise », martèle Gilles Leflambe, qui réunissait récemment ses troupes lors de l’assemblée générale de l’association née en juillet 2012.

    « Fausses pistes et erreurs... »

    Voies et voix en pays de Bray s’est fixé comme mission « d’informer, de débattre et de faire réfléchir ses membres sur les choix de transport public en pays de Bray et les régions limitrophes, mais aussi sur les effets sur la qualité de vie, l’impact sur l’économie locale et l’environnement et de partager les résultats de ces réflexions avec les autorités concernées ».

    À ce titre, elle a participé aux réunions publiques organisées par SNCF réseau et ses membres sont reçus par l’administration, comme ce fut le cas l’année dernière à Rouen à propos des nuisances sonores engendrées par le passage des trains.

    La suite dans Paris Normandie

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    Gisors - Gournay-Ferrières - Serqueux

    Région de l'Ouest - Fascicule 3-10 (situation en 1957).

    Longueur : 50 km, dont environ 15 km dans l'Eure, 35 km dans la Seine-Maritime.

    Point culminant : Serqueux (PK 118 + 400).  Déclivités maximales des rampes et pentes :
    10 ‰ entre Gancourt-Saint-Etienne (PK 100 + 600) et Forges-les-Eaux (PK 115 + 800).

    Un petit rappel historique :

    Mise en service par la Compagnie des Chemins de fer de l'Ouest :  
    - section Gisors-Embranchement (1) - Gournay-Ferrières (25,100 km) : le 18 juillet 1870.
    - section Gournay-Ferrières - Serqueux (24,900 km) : le 20 août 1872.
    Reprise de l'exploitation par l'Administration des Chemins de fer de l'Etat :
    le 1er janvier 1909. Mise à double voie vers 1912/1913.

    (1) Ancienne appellation de la gare actuelle de Gisors.

    Gare de Sérifontaine (PK 76 + 700)

    La gare à l'époque de l'Administration des Chemins de fer de l'Etat.

    Un train en provenance de Dieppe et Serqueux.

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    Gare de Forges-les-Eaux (PK 115 + 800)

    La gare à l'époque de l'Administration des Chemins de fer de l'Etat.

    Un train en provenance de Paris-Nord, Pontoise et Gisors-Embranchement.

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  2. Gisors - Gournay-Ferrières - Serqueux

    Carte ferroviaire du département de l'Eure

    Carte ferroviaire du département de la Seine-Maritime

     

    Ligne SNCF Serqueux-Gisors : l’enquête publique démarre à l’automne

    De Serqueux à Cormeilles-en-Parisis, en passant par Ferrières-en-Bray, ils disent non au trafic de fret. Les riverains mécontents du projet de modernisation de la ligne Serqueux-Gisors et de ses conséquences militent au sein de l’association Voies et voix en pays de Bray.

    « Le fret, s’il reprend, n’apportera que des désavantages au pays de Bray. Financièrement, c’est un très mauvais choix également pour la SNCF, car les recettes attendues ne seront pas à la hauteur des dépenses engagées. C’est un projet moyennement rentable au regard de la dette colossale de l’entreprise », martèle Gilles Leflambe, qui réunissait récemment ses troupes lors de l’assemblée générale de l’association née en juillet 2012.

    « Fausses pistes et erreurs... »

    Voies et voix en pays de Bray s’est fixé comme mission « d’informer, de débattre et de faire réfléchir ses membres sur les choix de transport public en pays de Bray et les régions limitrophes, mais aussi sur les effets sur la qualité de vie, l’impact sur l’économie locale et l’environnement et de partager les résultats de ces réflexions avec les autorités concernées ».

    À ce titre, elle a participé aux réunions publiques organisées par SNCF réseau et ses membres sont reçus par l’administration, comme ce fut le cas l’année dernière à Rouen à propos des nuisances sonores engendrées par le passage des trains.

    La suite dans Paris Normandie

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    Gisors - Gournay-Ferrières - Serqueux

    Région de l'Ouest - Fascicule 3-10 (situation en 1957).

    Longueur : 50 km, dont environ 15 km dans l'Eure, 35 km dans la Seine-Maritime.

    Point culminant : Serqueux (PK 118 + 400).  Déclivités maximales des rampes et pentes :
    10 ‰ entre Gancourt-Saint-Etienne (PK 100 + 600) et Forges-les-Eaux (PK 115 + 800).

    Un petit rappel historique :

    Mise en service par la Compagnie des Chemins de fer de l'Ouest :  
    - section Gisors-Embranchement (1) - Gournay-Ferrières (25,100 km) : le 18 juillet 1870.
    - section Gournay-Ferrières - Serqueux (24,900 km) : le 20 août 1872.
    Reprise de l'exploitation par l'Administration des Chemins de fer de l'Etat :
    le 1er janvier 1909. Mise à double voie vers 1912/1913.

    (1) Ancienne appellation de la gare actuelle de Gisors.

    Gare de Sérifontaine (PK 76 + 700)

    La gare à l'époque de l'Administration des Chemins de fer de l'Etat.

    Un train en provenance de Dieppe et Serqueux.

    syrifo10.jpg

    Gare de Forges-les-Eaux (PK 115 + 800)

    La gare à l'époque de l'Administration des Chemins de fer de l'Etat.

    Un train en provenance de Paris-Nord, Pontoise et Gisors-Embranchement.

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  3. Bonjour Cri64,

    Le mieux encore est de prendre contact avec le Centre des Archives Historiques de la SNCF
    situé à l'intérieur du Technicentre SNCF du Mans.

    Tél public : 02 43 21 74 65.

    Tél SNCF 7465 avec le préfixe 37 devant le 7465 si ma mémoire est bonne.
    Le 377 étant de mémoire le préfixe (automatique SNCF) de la zone du Mans.

    Personnellement, j'ai utilisé de nombreuses années leur salle de lecture pour consulter
    de nombreuses archives, notamment les relevés successifs des ouvertures de lignes, ainsi
    que des horaires des anciens indicateurs de Napoléon CHAIX. Le plus ancien indicateur
    CHAIX remontant tout de même à avril 1858.

    Pour mémoire le Centre des Archives Historiques de la SNCF (30 km d'archives) se visite chaque
    année gratuitement à l'occasion des journées européennes du patrimoine (fin septembre).

    Cordialement.

    Un exemple d'indicateurs CHAIX disponibles d'avril 1858 à juin 1889.

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    Un exemple de relevé successif des ouvertures de lignes de 1828 à 1840.

    1828 (1) La région stéphanoise est incontestablement le berceau du rail français !

    Sans oublier, et j'y tiens !  RGR (Rive-de-Gier) - Trèves-Burel - Givors (Rhône) !
    Rive-de-Gier étant la première gare française à avoir délivrer un billet pour le transport des voyageurs !

    (1) Paris - Saint-Germain (Le Pecq) : 19 km, le 26 août 1837 seulement !

     

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  4. Comment et pourquoi le gouvernement allemand veut limiter le droit de grève

    Une loi qui vient d'être votée par le Bundestag réduit la capacité d'action et de grève des syndicats minoritaires. Une réponse à des grèves d'un nouveau type qui se multiplient outre-Rhin. Karlsruhe aura le dernier mot.

    Du 18 au 20 mai, les usagers de la Deutsche Bahn, la société allemande des chemins de fer, ont dû, une nouvelle fois, prendre leur mal en patience. Le syndicat des conducteurs de locomotives (GDL) a mené une grève très suivie pour obtenir de la direction la satisfaction de ses revendications salariales : pas plus d'un train sur trois sur les grandes lignes, deux trains sur trois sur le trafic régional. Et cette grève n'est pas exceptionnelle. La GDL est un syndicat qui n'hésite pas à recourir à l'arrêt de travail et, depuis deux ans, les grèves de trains sont devenues fréquentes outre-Rhin.

    La suite dans La Tribune

    L'Allemagne a connu une nouvelle grève des chemins de fer entre le 18 et le 20 mai.  (Crédits : reuters.com)

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  5. Gare de Donges

    Lundi 25 mai.

    Dégagement de fumée à la raffinerie de Donges : Le trafic SNCF a repris

    Le trafic SNCF a été interrompu près de 20 minutes entre Nantes et Saint-Nazaire.
    En cause un dégagement de fumée à la raffinerie de Donges.

    C'est vers 18 h 55 qu'un faible dégagement de fumée a été signalé sur une unité de
    raffinage au milieu de la raffinerie de Donges. Avec le vent, cette fumée se dirigeait
    vers la voie ferrée, qui traverse le site pétrolier.

    La suite dans Ouest-France

    Le trafic SNCF a été interrompu une vingtaine de minutes entre Nantes et Saint-Nazaire.© Basile CAILLAUD.

     

     

  6. juste une question pour aller avec ce sujet, comment appel t'on les supports du 3 ème rails?:cool:

    À tout hasard . . .

    Un isolateur en matériau composite posé sur un cavalier en métal, le cavalier étant lui-même boulonné sur une traverse en bois.

    ​Le rail conducteur est interrompu aux passages à niveau, ainsi qu’à l’emplacement de certains appareils de voie. Cependant, on essaie de limiter au maximum les "lacunes" en utilisant les deux côtés à chaque fois que c’est possible.

    En France, le rail conducteur était jusqu’en 2012 soutenu sur la plus grande partie du trajet par des plots en béton. Les supports d’origine ont été remplacés par ces blocs béton récupérés lors de la dépose du rail conducteur sur la ligne de la Maurienne à la fin des années 1970.

    À partir de l’automne 2012, des supports complètement nouveaux sont installés sur les voies renouvelées. Sur une traverse en bois, un cavalier en métal est d’abord boulonné. Sur ce cavalier est posé un isolateur en matériau composite, qui maintient le rail : du côté intérieur via une glissière, du côté extérieur grâce à des boulons.

     

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  7. Gare de Chambéry-Challes-les-Eaux

    La locomotive 262 AE 4 (PLM) - 2CC2 3404 (SNCF).

    Photo (non datée) : Collection TREVES.

    Source : A P M F S (Association pour la Préservation du Matériel Ferroviaire Savoyard)

    Dans le fond la direction de Montmélian (Grenoble) et de Saint-Pierre-d'Albigny (Bourg-Saint-Maurice et Modane).

    Complètement sur la droite on devine l'ancêtre de l'actuel Poste 1.

    La locomotive 242 AE1 (PLM) - 2BB2 3201 (SNCF) en mai 1948.

    Photo : H. ROUX.

    Source : A P M F S (Association pour la Préservation du Matériel Ferroviaire Savoyard)

    La locomotive 242 BE1 (PLM) - 2BB2 3301 (SNCF) en mai 1948.

    Photo : H. ROUX.

    Source : A P M F S (Association pour la Préservation du Matériel Ferroviaire Savoyard)

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  8. BHNS du Mans à Allonnes (Ligne T 3)

    T 54 - Boulevard d'Anjou (Allonnes)

    Collège d'Enseignement Secondaire John Fitzgerald Kennedy

    Future station n° 10

    Dans le fond la direction du Centre Hospitalier Spécialisé (station n° 11), du Lycée André Malraux
    (station n° 12), des Hautes-Métairies (station n° 13) et du terminus du Bois Joli (station n° 14).

    Le  séparateur central de chaussée implanté volontairement au niveau des stations (hors site propre) :
    il empêchera le dépassement d'un BHNS pendant son stationnement.

    Côté droit le futur quai en direction du terminus du Bois Joli. Sa longueur sera d'environ 20,50 mètres.

    Comme pour les stations de tramways, toutes les stations du futur BHNS seront équipées d'un abri et
    d'un DAT (Distributeur Automatique de Titres) sur chaque quai. Comme dans d'autres futures stations,
    l'abri est déjà posé. Le DAT qui est également installé fait l'objet d'une protection temporaire.

    Le  séparateur central de chaussée implanté à proximité de l'entrée
    du Collège d'Enseignement Secondaire John Fitzgerald Kennedy.

    A l'extrémité du séparateur central de chaussée (côté droit) il est prévu
    l'implantation d'un passage piéton protégé.

    A gauche côté CES le refuge réservé aux transports scolaires
    assurés par les Transports Interurbains de la Sarthe (TIS).

    A droite le refuge réservé à la dépose minute à l'intention des familles des élèves du CES.

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  9. Quelqu'un pourrait il traduire  "Stourm ar Brezhoneg " ?

    ​Google est notre ami :

    Stourm ar Brezhoneg (SAB ou Sab) (Le Combat de la langue bretonne en français) est une association
    bretonne créée en 1984 qui exige un statut officiel pour la langue bretonne dans la vie publique.

    Source

    Commune de Solesmes (Sarthe).

    Un article du télégramme du 5 janvier 2011.

    Solesmes. Ils volent les panneaux de la ville de Fillon pour défendre le breton

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  10.  

    Vandalisme. La gare de Plouaret couverte de tags

    La gare de Plouaret, récemment rénovée, a été couverte de tags, manifestement de militants bretons.

    La gare de Plouaret, rénovée à l'automne dernier, aux frais de la SNCF, de la région et de l’agglo, a été
    taggée en tous sens dans la nuit de jeudi à vendredi, manifestement par des défenseurs de la langue
    bretonne à en juger par les écrits: « Brezhoneg ofisiel », « SAB » pour le mouvement Stourm ar Brezhoneg…

    La suite dans Ouest-France du vendredi 22 mai.

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    La façade, refaite il y a peu... | OF

  11. Un article du Nouvelliste du mardi 19 mai quotidien de langue française publié à Sion (canton du Valais) :

    Saint-Gingolph: la Région Rhône-Alpes derrière le Tonkin

    Président de la Région Rhône-Alpes, Jean-Jack Queyranne lance ce matin le chantier du CEVA à Annemasse. A l’occasion de sa visite dans le Chablais hier, il a fait escale à Saint-Gingolph. Où il a longuement évoqué l’autre dossier ferroviaire sud-lémanique: le Tonkin.

    Hier, dans le cadre d’un véritable marathon à travers le Chablais français, le président du Conseil régional Rhône-Alpes a fait escale à Saint-Gingolph. L’occasion d’évoquer la réouverture de la ligne du Tonkin. «L’objectif est un démarrage des travaux à l’horizon 2020», souligne Jean-Jack Queyranne. « D’ici-là, il faudra prendre le temps de faire les études d’avant-projet : gabarits, financement, et pourquoi pas passer les marchés.» Pour le représentant du pouvoir exécutif de la Région, une certitude est déjà posée.

    Le Tonkin ne peut se penser que dans un contexte de transport de passagers, pas de marchandises. «Il ne s’agit pas de créer des flux qui ne se justifieraient pas. Ce RER sud-lémanique est d’autant plus nécessaire vu l’engorgement du trafic frontalier entre la Suisse et la France.»

    La suite dans Le Nouvelliste du mardi 19 mai.

    Le président Jean-Jack Queyranne a été reçu par la maire de Saint-Gingolph (Haute-Savoie) Géraldine Pflieger

    © Sabine Papilloud

  12. Vendredi 22 mai.

    Nancy - Réseau STAN

    Service de transport de l'agglomération nancéienne

    Vandoeuvre : un tram a pris feu ce matin dans la montée de la rue Jean-Jaurès

    Un tram a pris feu par l'arrière ce matin vers 5 h 30 dans la difficile montée de la rue
    Jean-Jaurès, en direction de Brabois, au niveau de la pharmacie du Reclus.

    Les quelques passagers à bord ont été évacués par le chauffeur qui, avec l'aide de deux
    agents de la CUGN équipés d'extincteurs, ont tenté, en vain, de stopper l'incendie.

    La suite dans L'Est Républicain

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  13. Gare d'Annemasse

    La gare fermée au trafic ferroviaire dès aujourd’hui jusqu’à lundi

    Dans le cadre du chantier de la ligne Cornavin Eaux-Vives Annemasse (CEVA), la gare annemassienne sera fermée au trafic ferroviaire de ce samedi (12 heures) à lundi (12 heures).

    Des travaux préparatoires au CEVA nécessitent la modification des installations, qui permettent de gérer la circulation des trains en gare d’Annemasse. Cette période qui correspond à une période moindre de trafic, sera mise à profit pour détourner des câbles électriques et préparer l’installation d’un nouveau support de feux de signalisation.

    La suite dans Le Dauphiné Libéré

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  14. Gare d'Annemasse

    La gare fermée au trafic ferroviaire dès aujourd’hui jusqu’à lundi

    Dans le cadre du chantier de la ligne Cornavin Eaux-Vives Annemasse (CEVA), la gare annemassienne sera fermée au trafic ferroviaire de ce samedi (12 heures) à lundi (12 heures).

    Des travaux préparatoires au CEVA nécessitent la modification des installations, qui permettent de gérer la circulation des trains en gare d’Annemasse. Cette période qui correspond à une période moindre de trafic, sera mise à profit pour détourner des câbles électriques et préparer l’installation d’un nouveau support de feux de signalisation.

    La suite dans Le Dauphiné Libéré

  15. La Région Languedoc-Roussillon offre 6 millions d'euros au Train Jaune

    La Région Languedoc-Roussillon vole au secours du Train Jaune de Conflent et Cerdagne, en lui allouant une aide exceptionnelle de 6 millions d'euros. L'Etat est invité à fournir 8 millions, mais le budget général de remise en état représente 200 millions.

    Parmi ses dernières décisions en infrastructures, le Conseil régional du Languedoc-Roussillon vote ce vendredi 22 mai à Montpellier une aide exceptionnelle au Train Jaune. Ce moyen de transport menacé de disparition devrait recevoir 6 millions d'euros, dans le cadre du contrat de plan Etat-Région.

    Cette subvention absorbera une partie des frais d'entretien et de rénovation des voies et du matériel roulant, sujets au vieillissement. Sur ces deux aspects, le budget nécessaire est évalué à 8 millions d'euros, tandis que la remise en état intégrale du train et de ses 63 km de ligne représente 200 millions.

    La suite dans La Clau du jeudi 21 mai.

    Le Train Jaune, en gare de Latour de Carol, Cerdagne 2012 © Georges Morin

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  16. Nancy - Réseau STAN

    Service de transport de l'agglomération nancéienne

     

    Vandoeuvre-lès-Nancy (54) : un tramway s'embrase, les passagers évacués

    Des flammes ont touché l'arrière d'un tramway ce vendredi matin, à Vandoeuvre-lès-Nancy.
    Plus de peur que de mal. Scène peu banale ce vendredi matin à l'aube, à Vandoeuvre-lès-Nancy.

    Un tramway circulant en direction de Brabois était en feu. Des flammes sortaient de l'arrière de
    l'appareil, dans la partie moteur qui a totalement été détruite, comme le montre cette photo prise
    par nos confrères de France 3 Lorraine.

    La suite dans Magnum.l'info

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    Photo : France 3 Lorraine

  17. Ligne Caen- Le Mans-Tours. Les présidents de région haussent le ton

    Les présidents des régions Pays de la Loire, Basse-Normandie et Centre-Val de Loire s’inquiètent pour l’avenir de la ligne de train.

    « Il faut préserver la ligne Caen - Le Mans - Tours ! » Dans un communiqué commun, Jacques Auxiette, président de la région Pays de la Loire, Laurent Beauvais, président de la Basse- Normandie et François Bonneau, président de Centre-Val de Loire s’inquiètent de l’avenir de la liaison TET (Train d’équilibre du territoire).

    La suite dans Ouest-France

  18. Evian-les-Bains - Meillerie - Saint-Gingolph (17,600 km)

    Région du Sud-Est - Ligne n° 892 (situation en 1959).

    Point culminant : Bains d'Evian (PK 212 + 700).  Déclivités maximales des rampes
    et pentes : 15 ‰ entre Bains d'Evian et Maxilly-Petite-Rive (PK 215 + 300).

    Ex. VUSS (Voie unique à signalisation simplifiée) : application
    de l'ex. IGS4 (annexe 1 du Règlement S 4 A de nos jours).

    Un petit rappel historique :

    Mise en service par la Compagnie du PLM : le 1er juin 1886.
    Fermeture au service voyageurs : le 5 mai 1938.

    Suspension du service marchandises : du 9 mai 1940 au 9 juillet 1941.
    Fermeture au service marchandises : en 1988.

    Gare de Saint-Gingolph (PK 228 + 900)

    La gare à l'époque de l'ancienne Compagnie du PLM.

    Au départ d'Évian-les-Bains la ligne desservait :

    Bains d'Évian (+ 1,400 km), Maxilly-Petite-Rive (+ 4 km), Lugrin-Tourronde
    (+ 6,700 km), Meillerie (+ 11,400 km) et Saint-Gingolph (+ 17,600 km).

    Gare de Meillerie (PK 222 + 700)

    Arrêt d'un autorail le 9 novembre 1968.

    Dans le fond la direction d'Évian-les-Bains.

    On remarquera au bout du quai la présence d'un T.I.V. pentagonal (T.I.V. à distance).

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  19. Tu plaisantes ?

    La gare de Pithiviers (BV) est bien une gare, pour les cheminots et les autres.

    Ce n'est pas parce qu'elle n'est plus ouverte au service voyageurs qu'elle n'est plus une gare. 

    Dans ce cas, il n'y a plus beaucoup de gare en France.

    Pithiviers est une gare terminus en VUSS (voie unique à signalisation simplifiée), et origine en VUTR (voie unique à trafic restreint).  

    Deux agents circulation (en 2X8) travaillent dans cette gare lors des circulations des trains, et pour assurer les protections travaux.

    :Smiley_63:

    ​Tout à fait Pascal !

    C'était notamment le cas autrefois en gare de La Flèche (Sarthe).

    Cette gare a cesser toutes activités voyageurs par fer le 6 avril 1970.

    Jusqu'au début des années 90 c'est l'AC (agent-circulation) de la gare de La Flèche
    qui remplissait les fonctions de Chef de ligne, conformément aux dispositions de
    l'article 1 du Règlement des lignes à voie unique à trafic restreint de 1939.

    A une certaine époque l'étoile ferroviaire de La Flèche était constituée de trois VUTR :

    - La Flèche - Malicorne-sur-Sarthe - La Suze-sur-Sarthe : cette VUTR servait à
    l'acheminement du trafic diffus vers Thoré-les-Pins, Gouis (Durtal) et en provenance
    de La Flèche (principalement les traverses en béton de l'usine SATEBA).

    - La Flèche - Thoré-les-Pins : desserte de l'ancien
    Camp militaire du CM 115 (Centre Mobilisateur).

    - La Flèche - Gouis (Durtal) : desserte de l'EP de la papeterie La Rochette-Cenpa,
    la Rochette-Atlantique de nos jours.

  20. BHNS du Mans à Allonnes (Ligne T3)

    T 43 - Patte d'oie (Le Mans)

    Construction du futur carrefour giratoire de la Patte d'oie et aménagements des abords.

    Devant le dépôt de la SETRAM le futur parking de proximité avec deux accès possibles :
    - coté gauche l'accès direct en provenance du Mans et d'Allonnes via le futur carrefour giratoire.
    - côté droit l'accès direct en provenance d'Arnage (et la sortie obligatoire vers le nouveau carrefour giratoire).
    A cause de son emplacement il ne sera pas possible de créer une bretelle directe : Arnage - Le Mans.

    A gauche côté Le Mans à proximité de la bretelle de sortie du parking des bus de la SETRAM la future station n° 5 Lefaucheux.

    A proximité de Clara automobiles (concession Peugeot) la future bretelle directe : Allonnes - Arnage.
    Pour faciliter la fluidité du trafic, elle évitera un transit obligatoire par le futur carrefour giratoire.

    Complètement en bas la future bretelle directe : Le Mans - Allonnes.
    Pour faciliter la fluidité du trafic, elle évitera un transit obligatoire par le futur carrefour giratoire.

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    Un article de Ouest-France du mercredi 20 mai.

    Le Mans. Le giratoire de la Patte d’oie remodelé pour le bus express

    Le nouveau giratoire, dit de la Patte d’oie, doit être ouvert à la circulation ce jeudi matin.
    Entre Allonnes et la gare SNCF du Mans, le chantier du futur bus express avance.

    C’est un cap symbolique que franchit le chantier du bus express, qui doit relier Allonnes à
    la gare SNCF du Mans, début 2016. À partir de ce jeudi matin, les automobilistes vont enfin
    pouvoir emprunter le nouveau giratoire de la Patte d’oie d’Allonnes.

    Fini le rond-point surdimensionné qui ressemblait à une piste d’atterrissage pour soucoupe
    volante. En 2015, on privilégie l’efficacité. Le giratoire retrouve une taille dix fois plus modeste.
    Le futur bus, qui roulera quasiment partout en site propre, traversera le rond-point en son
    milieu, avec des feux prioritaires, sur le modèle du tramway.

    Ouest-France du mercredi 20 mai.

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    Ce mercredi, la dernière couche d'enrobé a été posée sur le nouveau rond-point. | Ouest-France

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  21. Évian-les-Bains - Meillerie - Saint-Gingolph (17,600 km)

    La ligne du Tonkin (ou ligne du Sud-Léman)

    Carte ferroviaire du département de la Haute-Savoie

    Objectif 2024 pour la ligne de train du Tonkin

    Evian-Saint-Gingolph - Jean-Jack Queyranne, président de la région Rhône-Alpes a annoncé ce lundi la poursuite des études de réhabilitation de la ligne Evian-Saint-Gingolph (F).

    «Cette ligne de train constitue une alternative décisive à la route et présente un intérêt certain pour le désenclavement du Chablais et pour le bassin lémanique au sens large», a expliqué le Français Jean-Jack Queyranne, président du Conseil général de la région Rhône-Alpes, en visite à Saint-Gingolph France. L’élu socialiste a annoncé la poursuite des études de réhabilitation de la ligne Evian-Saint-Gingolph (ligne du Tonkin), que soutiennent aussi les cantons de Vaud et du Valais. A ses yeux, le chantier pourrait être entamé à l’horizon 2020 pour s’achever en 2024.

    Une fois rénovée, cette ligne, fermée au trafic voyageur depuis 1934 et au trafic marchandise depuis 1988, constituerait alors la seconde connexion en région Rhône-Alpes avec le réseau ferroviaire suisse, une fois que la liaison Cornavin-Eaux-Vives-Annemasses sera réalisée en 2019.

    Coût: plus de 124 millions d'euros.

    La suite dans 24 heures.ch

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    La ligne de train entre Evian et Saint-Gingolph est complètement désaffectée depuis 1988.

     

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  22. Carte ferroviaire du département de la Meurthe-et-Moselle

    Carte ferroviaire du département des Vosges

    Carte ferroviaire du département de la Haute-Marne

    (Nancy-ville) Jarville-la-Malgrange - Mirecourt - Vittel - Contrexéville - Merrey

    Association ADLF Nancy - Merrey = Association Développement Ligne Ferroviaire Nancy - Merrey

    Mirecourt : le sauvetage de la ligne de chemin de fer 14 en questions

    La réhabilitation de la ligne 14, nécessitant un financement de 50 millions d’euros, suscite une agitation soutenue « des politiques ». La visibilité du sauvetage intégral n’est pas totalement actée.

    La lutte pour la préservation du transport ferroviaire dans l’Ouest vosgien avec la ligne 14 (Nancy-Mirecourt-Vittel-Contrexéville-Merrey) ressemble à un vaste serpent de mer. Soucieux de conserver un atout essentiel dans le désenclavement d’un secteur à faible démographie et vieillissante, des usagers du rail ont d’ailleurs choisi de s’organiser sous la forme d’une association ADLF Nancy-Merrey créée en février 2012. « Si nous n’avions pas affirmé notre présence avec notamment une pétition de plus de 4 000 signataires, la ligne 14 serait vraisemblablement déjà fermée » , martèle Pascal Lopez, président de l’ADLF.

    Des travaux modestes. - Des avancées certaines ont été constatées sur cette ligne avec des travaux de maintenance et de réhabilitation, certes insuffisants (6,5 millions d’euros) pour pérenniser la ligne, mais tout de même salvateurs quant à la continuité provisoire de la prestation ferroviaire. « Les travaux actuels sur la ligne sont importants mais insuffisants. Ils répondent principalement à un besoin de maintenance avec la réfection de trois courbes usées : Hymont, Praye-sous-Vaudémont et Neuves-Maisons, ainsi que le remplacement de 13 000 traverses, du ballast à Xeuilley… Cependant, ce chantier n’assure en rien la pérennité de la ligne dans son intégralité », assure Pascal Lopez.

    La suite dans Vosges matin

  23. Annecy - Evires - La Roche-sur-Foron

    Le site de l'ancienne halte de Charvonnex (PK 51 + 341).

    Cette halte était située entre Pringy (PK 44 + 135) et Groisy-Thorens-la-Caille (PK 55 + 150).
    Plus précisément à proximité du PN à SAL 2 n° 52 (RD 176).

    Source photo

    Côté Annecy, de l'autre côté du PN à SAL 2 n° 52.

    Localisation de l'ancienne halte de Charvonnex. Le point d'arrêt était situé là où
    la bande de verdure sépare aujourd'hui la rue du village de la voie.

    Source photo

    L'ancienne gare de Charvonnex à l'époque ou le PN était encore manuel.

    Dans le fond la direction de La Roche-sur-Foron (Annemasse et Saint-Gervais-les-Bains)

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