IGS4

Ligne Paris-Provins : le trafic devrait reprendre ce samedi après-midi

La fin de la galère est finalement attendue ce samedi après-midi pour les 4500 voyageurs quotidiens des lignes Paris-Provins et Paris-Troyes, impactées par l’accident survenu mardi à Nangis.

C’est du moins ce que prévoit la SNCF après la collision qui s’était produite entre un train Intercités Belfort-Paris et un camion transportant un tracteur, mardi matin, au passage à niveau de Nangis. Au total, huit personnes ont été blessées dans l’accident dont deux grièvement. Sans compter la trentaine de voyageurs en état de choc et pris en charge par la cellule psychologique.

Après avoir dégagé les voitures de passagers qui avaient déraillé, la SNCF a terminé les opérations de relevage de la locomotive «ce mercredi à 16 h 45», précise l’entreprise. Désormais, les ouvriers se chargent de remettre en état le site afin que les trains puissent de nouveau y circuler.

La suite dans Le Parisien

Nangis, mardi. La collision entre un train et un camion au passage à niveau de la gare, mardi, a fait huit blessés dont deux graves.
Sans compter les personnes en état de choc prises en charge par la cellule psychologique. (LP/Olivier Lejeune.)

​Tout simplement sur les AC des gares (ou postes) encadrantes (ouvertes au service de la circulation) !!!

Postes téléphoniques de pleine voie

Un exemple parmi tant d'autres : les 29 PN à SAL de la section Le Mans (Poste 7 amont)
- Château-du-Loir (47,500 km) sont tous reliés par téléphone au Poste 7 du Mans (poste
permanent) et à la GAG (gare d'arrêt général) permanente de Château-du-Loir.

Source : Chapitre 5 - Prescriptions diverses des ex. RT 3711

Affligeant !!! Lamentable !!!

Une citation du forum trains français qui en dit long sur la mentalité de certaine personne !!!

Donc, pour résumer:

Bilan très important:
1 72000, 5 corails, quelques dizaines de mètres de voies ferrées et de quai, 1 passage à niveau,
1 semi remorque, 1 tracteur tout neuf .......................

Bilan accessoire:
1 conducteur de train opéré d'urgence de la colonne vertébrale avec toutes les conséquences qui
en découleront, 40 autres blessés dont 2 graves, mais cela n'est qu'accessoire ...................

Source

La SNCF veut porter plainte contre le transporteur

Le convoi exceptionnel n'aurait jamais dû se trouver sur le passage à niveau de la gare de Nangis. C'est ce qu'avance la direction de la SNCF, qui a annoncé hier vouloir porter plainte contre la société de transport qui a affrété le convoi impliqué dans l'accident ferroviaire survenu mardi.

Motif de la plainte : le camion qui transportait le tracteur n'aurait pas demandé d'autorisation pour traverser la ville auprès de la préfecture. La traversée de la commune est pourtant interdite à tout véhicule de plus de 3,5 t hors desserte locale. Si la municipalité confirme qu'aucune demande n'a été formulée auprès de la mairie, elle demeure incapable d'affirmer que ce transport avait bien le caractère de convoi exceptionnel.

La suite dans Le Parisien

Nangis, mardi. Le convoi exceptionnel bloqué au passage à niveau avait été percuté par le Belfort-Paris. (LP/Olivier Lejeune.)

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Collision. Les passages à niveau, 2e cause de mortalité ferroviaire

En 2014, 100 collisions ont eu lieu entre des trains et des véhicules, sur les 15 000 passages à niveau français, tuant 25 personnes. Repères.

En 2014, 100 collisions ont eu lieu entre des trains et des véhicules, sur les 15 000 passages à niveau français, tuant 25 personnes, et malgré une baisse constante du nombre de victimes, ces accidents restent la deuxième cause de mortalité ferroviaire.

25 morts en 2014

Ces accidents ont fait 25 morts et 17 blessés graves en 2014 dans l'Hexagone, selon SNCF Réseau (ex-Réseau ferré de France). Si depuis 10 ans, le nombre de morts et blessés graves aux passages à niveaux a diminué de moitié, ils restent la deuxième cause de mortalité sur le réseau ferroviaire, loin derrière les suicides, ou « accidents de personne » : on en compte un par jour en moyenne.

155 passages à risque

Un train met près de six secondes à parcourir 200 mètres, et les passages à niveau les plus exposés, dits « préoccupants », sont ceux situés sur les axes à forte circulation. Leur nombre est passé de 450 en 1997 à 155 en 2014. En 2015, une quinzaine de passages à niveau « préoccupants » va être démolie.

Le coût de suppression d'un passage à niveau est d'environ 5 millions d'euros, selon SNCF Réseau, qui indique investir chaque année entre 40 et 45 millions d'euros dans ce programme.

135 euros d'amende

La SNCF a récemment porté plainte contre des cyclistes du Paris-Roubaix, qui ne s'étaient pas arrêtés lors de la fermeture d'une barrière à un passage à niveau, juste avant l'arrivée d'un TGV. L'amende encourue pour une telle infraction est de 135 euros.

La suite dans Ouest-France du mardi 21 avril.

Lille : razzia sur les marteaux brise-vitres dans le TER Lille-Douai

Quatre jeunes de la métropole lilloise ont été interpellés vers 5 h, ce mardi matin dans la gare Lille-Flandres, soupçonnés du vol de marteaux brise-vitres dans un train. Ils ont été enregistrés par la vidéosurveillance.

Il est un peu plus de 5 h, ce mardi matin, sur le quai numéro 3 à la gare Lille-Flandres. Trois hommes et une femme montent dans le TER à destination de Douai, dont le départ est prévu à 5 h35. Mais le quatuor ne compte manifestement pas se rendre à Douai, et s’intéresse plutôt aux boîtiers de sécurité abritant les marteaux brise-vitres situés dans la rame. Ils tentent d’ouvrir un premier boîtier, en vain, puis finissent par le casser à coups de pied. Au total, selon les images de la vidéosurveillance, quatre marteaux sont ainsi dérobés et autant de boîtiers dégradés.

Les suspects sont âgés d’une vingtaine d’années.

La suite dans La voix du Nord

Accident de train à Nangis : un pompier a permis d'éviter une catastrophe

Une catastrophe a été évitée de justesse. Selon nos informations, un sapeur-pompier de Nangis est intervenu juste avant la collision entre un train et un poids lourd sur un passage à niveau près de Nangis (Seine-et-Marne) ce mardi matin, ce qui a empêché un bilan bien plus lourd.

L'homme, qui se rendait à sa caserne, était dans son véhicule juste derrière le camion bloqué sur la voie avec sa cargaison. Selon son témoignage, l'engin a «frotté» sur le passage à niveau, immobilisant le convoi. Le conducteur a essayé de redresser les suspensions, sans succès. Le pompier, sorti donner un coup de main, a alors eu le réflexe de faire évacuer la quai de la gare, bondé de voyageurs.

La suite dans Le Parisien

Décès du chanteur Richard Anthony

"Et j'entends siffler le train ...", "A présent tu peux t'en aller", le chanteur Richard Anthony est décédé
cette nuit à Pégomas (Alpes-maritimes) à l'âge de 77 ans. Dans toute sa carrière, il a enregistré
plus de 600 titres et vendus près de 50 millions de disques. 

La suite dans France 3 Côte d'Azur

Dimanche 19 avril.

1er rallye auto Tintin. Les vieilles bielles ont atteint Cheverny  

Le château de Cheverny a accueilli ce matin le rallye auto Tintin Le Mans-Cheverny. Les quarante automobiles
parties de la Sarthe ont fait le bonheur du public.

Après 150 kilomètres de routes et aucune bielle coulée, les 40 voitures de collection du rallye auto Tintin ont
relié Cheverny-la Cour. Meme la veteran, la Ford T, a effectue le trajet sans un pepin.

Sur le perron du chateau est venu les accueillir Charles Antoine de Vibraye, propriétaire des lieux. Les véhicules
se sont gare au pied du château, émoustillant la curiosité des visiteurs du château de Cheverny. Les conducteurs
ont sur eux leur costumes: vision surréaliste d'un capitaine Haddock visitant la chambre du roi ou d'un Tintin en
imper beige et pantalon de golf dans la salle d'armes du château.  

La suite dans Ouest-France du dimanche 19 avril.

Charles Antoine de Vibraye, à coté de Patrick Guilleux (ANVE) accueille les conducteurs
du rallye Tintin sur le perron du château. | ouest-france

ANVE = Association Normande de Véhicules Anciens.

Le public se régale des belles voitures de collection qui viennent ajouter une touche
prestige et histoire à la visite du domaine de Cheverny. | ouest-france

Ca vous rappelle rien ? Dans l'article du Ouest-France, les voitures sont mieux rangées.

Tintin en voiture de Blois à Cheverny  

Les rangs de passionnés de Tintin – les Timbrés, ou mieux « Les Tintinophiles » – sont légions. En voici de nouveaux : les amateurs des vieilles voitures sillonnant les aventures du malicieux reporter d'Hergé ! Avec l'Association normande de véhicules d'époque, voici ce week-end le premier « Rallye Tintin Le Mans-Cheverny ».

Il débutera aujourd'hui samedi par un rassemblement au Mans. A 15 h 30, les pittoresques véhicules prendront le volant pour rejoindre Blois, pour deux raisons évidentes. Premièrement, halte à 18 h à la Maison de la BD ! Tintin, BD, ça coule de source ! Secundo, coule aussi de source l'idylle Tintin/château de Cheverny, dont on ne répétera jamais assez que sa façade servit de modèle à Hergé pour « inventer » son château de Moulinsart ! Et que Tintin y a élu domicile depuis belle lurette.

Dimanche 19 avril, les équipages mettront avec magnificence le cap sur Cheverny, où Charles-Antoine de Vibraye ouvrira les portes de son domaine. Les conducteurs apprécieront en prime l'exposition maison, « Les secrets de Moulinsart ». Le rallye se poursuivra en fanfare avec une « présentation dynamique » à 15 h, pour se terminera à 16 h par un rassemblement autour du verre de l'amitié.

La suite dans La Nouvelle République du samedi 18 avril (avec description des différents véhicules participants au défilé).

Le rallye se terminera à Cheverny (avec son exposition à demeure). - (Photo SA Moulinsart)

L'Austin Healey 3000 (année 1960) en référence à la BD de Michel Vaillant.

L'Austin Healey 3000 devant la taverne des Arts avec l'incontournable Capitaine Haddock.

Place du jet d'eau avant le départ du rallye l'incontournable Capitaine Haddock.

Cette après-midi, place des Jacobins à 15h30 : départ du premier rallye Tintin pour le Château de Cheverny.

Un évènement rendu possible notamment grâce à Charles Antoine de Vibraye le proriétaire du château de Cheverny,
à Samuel Chauveau de la Llibrairie Bulle (Le Mans) et à l'Association Normande de Véhicules Anciens.

Demain, ce ne sera plus au Mans mais au château de Cheverny qu'il faudra être pour suivre le rallye. Charles Antoine
de Vibraye ouvrira les portes de son domaine et celles de l'exposition permanente "Les Secrets de Moulinsart".

La Lancia Ardennes (année 1936) de l'album "Tintin au Pays de l'or noir" avec la présence incontournable de Milou.

Photo de l'article : le PN 514 situé rue de Brest à Quimper.

La maison de la garde-barrière

Disséminées de part et d’autre de la ligne ferroviaire, en centre-ville ou en campagne, de typiques maisons près des passages à niveau rappellent l’époque des gardes-barrières.

Le métier se décline au féminin, de Quimper à Rosporden, de Douarnenez à Pont-l’Abbé ou Châteaulin, les femmes, souvent épouses de cheminots exercent la fonction de garde-barrière. Il s’agissait de fermer les barrières à l’approche du train, c’est le  régime ouvert.
Sur d’autres sites, et c’est plus astreignant encore, il fallait ouvrir les barrières à la demande des automobilistes. C’est le régime fermé, celui qu’assurait Rosalie au premier passage à niveau vers le centre après la gare. La maison a disparu laissant place à un petit parking rue Jacques-Cartier. Seule le rappelle la plaque émaillée bleue n° 512.

Construite en 1864

Plus loin, rue des Réguaires, c’est le passage à niveau ou PN dans le langage cheminot, 513 avec, cette fois, sa petite maison, reconnaissable car identique à toutes les autres. Derrière la façade blanchie, le même plan est reproduit sur tout le territoire, au rez-de-chaussée, une salle commune avec la cuisine et une chambre, à l’étage, accessible par un petit escalier intérieur, deux chambres mansardées.

Souvent, à l’arrière, un lopin de terre permet quelques cultures. En continuant le long de la voix de chemin de fer, voilà le passage à niveau 514, route de Brest. On y reconnaît la maison, construite en 1864, tout juste un an après l’inauguration de la gare.

La suite dans Côté Quimper

Les maisons de garde-barrière toujours construites sur un même plan.

Quimperlé - Pont-Aven - Concarneau-ville - Concarneau-PO

Exploitation : voie unique à voie métrique.
Longueur : 39 km.

Mise en service par les Chemins de fer départementaux du Finistère :
- section Quimperlé - Moëlan - Riec - Pont-Aven (21 km) : le 3 mars 1903.
- section Pont-Aven - Trégunc - Concarneau-ville (17 km) : le 14 juin 1908.
- section Concarneau-Ville - Concarneau-PO (1 km) : le 1er décembre 1909.
Fermeture à tous trafics : en 1936.

Pont-Aven

La gare à l'époque des Chemins de fer départementaux du Finistère.

Le viaduc de Pont-Aven : vue prise à l'entrée du bois d'amour.

Magali Violet est la troisième fille arrivée dans le groupe des 120
mécaniciens de locomotives du dépôt de trains de Genève.

Le Dauphiné Libéré

Un reportage sur une jeune aixoise (Aix-les-Bains) de 25 ans, fille de cheminot
de la SNCF (contrôleur), mécanicienne de locomotives au dépôt de Genève.

Magali Violet, mécanicienne de locomotives

Depuis début juin 2013, Magali commande sept machines, totalement indépendantes. Chaque matin, elle part ainsi de la gare de Genève où elle revient en fin de journée. Elle pilote quatre trains par jour, transportant chacun plus de 500 voyageurs. Elle roule à une vitesse de 200 km/heure sur les grandes lignes qui mènent à Zurich, Lucerne, Delémont et Brigue.

Elle conduit également les trains régionaux, toujours en Suisse. « Sur un régional, les conducteurs rentrent par la même porte que les voyageurs. Me voyant prendre place aux commandes de la machine, un voyageur a choisi de descendre du train. »

La suite dans Le Dauphiné Libéré

Troyes - Bar-sur-Aube - Chaumont

Bar-sur-Aube : la voiture évacuée des voies, le trafic SNCF a repris

Un automobiliste a perdu le contrôle de son véhicule avant de sauter en marche. La voiture
a continué sa course et s’est échouée sur la ligne SNCF. Le trafic a repris lundi soir.

Le point, mardi 14 avril, 7 heures :

Le trafic SNCF a repris lundi soir, en début de soirée. Plusieurs agents de Troyes se sont rendus
sur les lieux pour remettre en état deux câbles électriques situés à proximité de la ligne qui ont
été endommagés. L’un a été très écrasé, l’autre plus légèrement.

Ces derniers permettent le passage des informations vers le passage à niveau, situé sur la route
en direction de Bayel, et la signalisation électrique. Durant les vérifications, qui se sont terminées
vers 20 h 30, l’installation a été coupée et un gardiennage a été assuré sur le passage à niveau.

La suite dans L'Est éclair

Alençon - Mortagne-au-Perche - Condé-sur-Huisne

Carte ferroviaire du département de l'Orne

Mise en service par la Compagnie des chemins de fer de l'Orne : le 6 mai 1873.

En gare d'Alençon cette ancienne ligne avait son origine côté Argentan.

Fascicule 3-30-1 (situation en 1957). Longueur : 66,300 km. Point culminant :
PK 32 + 500 situé entre La Mesnière (27 + 800) et Mortagne-au-Perche
(PK 37 + 100). Déclivités maximales des rampes et pentes : 15 ‰.

Gare de Mortagne-au-Perche (PK 37 + 100)

Elle a été mise en service en mai 1873, en même temps que les sections  :
Mortagne-au-Perche - Alençon et Mortagne-au-Perche - Condé-sur-Huisne.

La cour de la gare à l'époque de l'Administration des Chemins de fer de l'Etat.

La gare de Mortagne-au-Perche était située autrefois au centre d'une étoile ferroviaire de 5 lignes :
- Mortagne-au-Perche - Le Mêle-sur-Sarthe - Hauterive-sur-Sarthe - Alençon.
- Mortagne-au-Perche - Lignerolles - Bonsmoulins - Sainte-Gauburge.
- Mortagne-au-Perche - Tourouvre - Randonnai-Irai - Crulai - L'Aigle.
- Mortagne-au-Perche - Mauves-Corbon - Rémalard-Bellou - Condé-sur-Huisne.
- Mortagne-au-Perche - Le Pin-la-Garenne - Bellême - Mamers.

L'intérieur de la gare à l'époque de l'Administration des Chemins de fer de l'Etat.

La gare en juin 2009.

Source

​Malgré la présence sur les lieux d'un véhicule de la brigade territoriale (gendarmerie nationale)
de Saint-Mars-la-Brière, la garde-barrière de l'époque n'avait pas à rouvrir le PN !!!

Un accident qui est resté longtemps dans la mémoire des cheminots sarthois !!!

Quelques mois auparavant, il y avait eu le même problème au PN gardé (régime fermé) de
la gare de Rouessé-Vassé (ligne : Le Mans - Laval), et malgré "l'insistance" de la brigade
territoriale de Sillé-le-Guillaume, le garde de Rouessé-Vassé avait attendu "tranquillement"
le passage (et le dégagement) de la circulation pour rouvrir le PN.

Photo : Tactac.

Pour compléter les commentaires de la photo de Tactac.

TOARC F - Lot 3.6 (10,200 km)

TOARC = Terrassement - Ouvrages d'art - Rétablissement des communications.

Le TOARC F s’étend sur 28 km environ de la commune de La Bazoge (PK 25 +600)
jusqu'à la commune de Chantenay-Villedieu (K 53 + 500).

Cette photo qui a très certainement été prise depuis la route de Beslan, ou depuis le chemin réservé
au service situé en contrebas de la route en question, représente le viaduc de la Courbe.

De bas en haut :

1) Le pont qui enjambe la ligne classique Le Mans (côté droit) - Laval (côté gauche).
Côté droit au-dessus de l'engin de chantier on devine un poteau caténaire et son portique.

2) Entre le pont de la ligne Le Mans - Laval et le viaduc de la Courbe, une tranchée réservée
à la traversée des animaux sauvages.

3) Le viaduc de la Courbe (PK 25 + 800) qui enjambe le ruisseau de la Courbe et une vaste
zone humide. Longueur : 374 mètres - Hauteur : 30 mètres - Poids : 1900 tonnes.

4) Le pont routier de la RD 148 A (ancienne route d'Alençon) donnant accès au bourg de La Bazoge.

5) Complètement dans le fond le pont routier de la RD 338 Le Mans - Alençon (déviation de La Bazoge).

Rive-de-Gier - Trèves-Burel - Givors-ville

Vendredi 10 avril.

Collision au PN à SAL 2 n° 337 de Saint-Romain-en-Gier.

Rhône : collision entre un tracteur et un TER

Photo : Tactac.

Cette photo qui a très certainement été prise depuis le pont de la route de Beslan
représente en fait le raccordement voyageurs de La Milesse.

Côté droit (hors photo) le pont de la RD 304 (Saint-Saturnin - Conlie - Sillé-le-Guillaume)
situé à proximité de la future bifur LGV de La Milesse.

Dans le fond au niveau du hangar vert l'ancien PN (privé) à SAL 2 n° 113
(PK 220 + 500) de La Ronce situé entre la bifur de la Petite Croix (PK 215)
et l'ancienne gare de La Milesse - La Bazoge (PK 222).

Juste devant le hangar vert la ligne classique Le Mans (côté droit) - Laval (côté gauche).

La maisonnette du PN est à présent rasée et le PN est définitivement supprimé car
l'agriculteur qui en était propriétaire ne peut plus accéder en bas du chemin.

En effet le chemin de la Ronce est traversé par les deux voies du raccordement voyageurs
de La Milesse. L'accès se fait à partir du PR 13 situé au niveau de la ferme de La Ronce.

Les PR (Points Rencontre) sont surtout là dans un but de prévention et de sécurité.
Leurs emplacements ont été définis avec les différents SDIS (Service départemental
d'incendie et de secours) concernés pour permettre une intervention rapide des secours
en cas d'accidents sur les différents chantiers.

Le téléphone d'alarme (côté voie 2) du PK 220 + 500.

40 ans que l'on s'envole de l'aéroport Lyon-Saint-Exupéry

L'Aéroport de Satolas, rebaptisé Lyon-Saint-Exupéry en juin 2000, souffle ses
40 bougies ce dimanche 12 avril. A cette occasion, nous vous avons sélectionné
des images de ses débuts, du chantier jusqu'à sa mise en service.

La suite dans Le Progrès de ce jour avec 42 autres photos.

Commençons donc par la visite du chantier en compagnie de cette charmante hôtesse / Archives Le Progrès

Le TGV arrive en gare dans deux ans

Le Maroc ambitionne d’avoir un réseau à grande vitesse de 1500 kilomètres à l’horizon 2030.

Lancés en septembre 2011, les travaux de construction de la ligne à grande vitesse reliant Tanger à Kenitra devraient être bouclés d’ici à deux ans. Entrée en service prévue au premier semestre de 2017. Initialement, ce projet spectaculaire d’un coût avoisinant 2 milliards d’euros comprenant notamment la construction de 200 kilomètres de doubles voies nouvelles, plus de 300 ouvrages d’art dont 13 viaducs, de nouvelles gares à Tanger, Kenitra, Rabat et Casablanca et d’un centre de maintenance, devait être bouclé à la fin de cette année. Mais comme souvent dans ce type d’aventure, des procédures d’expropriation plus longues que prévues ont provoqué des retards.

Le train est bel et bien lancé. Les premières des quatorze rames dupleix commandées à Alstom sont sorties des chaînes de fabrication et les premiers essais ont été réalisés en France. Le TGV aura une vitesse maximale de 350 kilomètres/heure, et une vitesse d’exploitation de 320 kilomètres/heure. Ce qui permettra de relier, à une fréquence cadencée de 1 heure, Tanger à Kenitra en 47 minutes au lieu de 3 h 15 actuellement, à Rabat en 1 heure 20 minutes contre 3 heures 45 aujourd’hui et à Casablanca en 2 heures 10 alors qu’il faut 4 heures 45 en ce moment, les rames circulant à une moyenne de 220 kilomètres/heure au-delà de Kenitra.

La suite dans L'Opinion.fr

Grenoble - Saint-Égrève-Saint-Robert - Moirans

Un article du Dauphiné Libéré de ce jour :

Saint-Égrève : grièvement blessé après avoir sauté d’un train