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Le Web des Cheminots

IGS4

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  1. La Renault X-322 La série Renault ABH est directement dérivée de la série ABJ à voie normale, de la même époque. Cette fabrication soignée, la caisse en aluminium et la robustesse de l'ensemble expliquent leur exceptionnelle longévité. Il faut remonter au 8 octobre 1934 pour trouver trace de la commande de cet autorail, numéroté ZZ-2 lors de sa livraison le 22 février 1935. L'automotrice est l'unique survivante de la première série des premiers autorails CP. Elle sera modernisé en 1959 (renuméroté ZZ-22) et son moteur porté à 330 chevaux (1967). Rénovée à nouveau en 1989, elle terminera provisoirement sa carrière en juin 2000, suite à un problème d'embrayage. Elle est depuis "en attente de réparation". Gare de Touët-sur-Var (PK 48 + 665) La Renault X-322 en 1990. Photo : José Banaudo. Source (Texte et photo) La Renault X-326 La ZZ-6 est née (et réceptionnée par les Chemins de fer de Provence) le 12 novembre 1936. Equipée d'origine d'un moteur diesel de 265 chevaux, d'une capacité de 58 places (depuis 1973) l'automotrice est la dernière survivante d'une série de 4 exemplaires (ZZ-3 à 6). Entre 1942 et 1944, elle sera équipée d'un gazogène, puis remise ne état d'origine. En 1949, son moteur passera d'une puissance de 265 à 300 chevaux, puis à 330 chevaux dans les années 60. Gravement accidentée par un déraillement suite à une coulée de boue (13 juillet 1981), elle sera remise en service en mars 1984 après avoir subi une rénovation complète. Elle terminera (provisoirement, donc) son service en septembre 2001, suite à un problème de transmission. Gare de Nice La Renault X-326 en 2005. Source (Texte et photo)
  2. L'Alpazur en été 1971 Train 704/703 - Quotidien du 29 Juin au 3 Septembre. Genève-Cornavin 11.00 Bellegarde 11.30/11.31 Culoz 11.54/11.59 (Rebroussement) Aix-les-Bains-Le Revard 12.15/12.18 Chambéry-Challes-les-Eaux 12.30/12.33 Montmélian 12.43/12.43 Pontcharra 12.50/12.50 Grenoble 13.18/13.29 Veynes-Dévoluy 15.06/15.15 Sisteron 15.57/15.58 Saint-Auban 16.11/16.22 Malmoisson 16.38/16.38 Digne-les-Bains 16.49. Train 707/708 - Quotidien du 29 Juin au 3 Septembre. Digne-les-Bains 13.23 Malmoisson 13.34/13.34 Saint-Auban 13.48/13.53 Sisteron 14.05/14.06 Veynes-Dévoluy 14.50/15.02 Grenoble 16.35/16.52 Pontcharra 17.19/17/19 Montmélian 17.26/17.26 Chambéry-Challes-les-Eaux 17.37/17.40 Aix-les-Bains-Le Revard 17.54/17.56 Culoz 18.14/18.22 (Rebroussement) Bellegarde 18.49/18.53 Genève-Cornavin 19.23. Les trains 703 et 708 se croisaient théoriquement sur la courte section à double voie : Aspres-sur-Büech - Veynes-Dévoluy (6,400 km). Source : Centre des Archives Historiques de la SNCF. Gare de Digne-les-Bains L'Alpazur en 1965.
  3. Effectivement, sans doute une erreur de légende sur le site Delcampe.
  4. La région SNCF de Chambéry et le TEE Catalan-Talgo. Gare de Chambéry-Challes-les-Eaux Le TEE 70/71 Catalan-Talgo (Talgo 3) en avril 1984. Photo : Ernst Wolf. Source Gare de Montmélian (Savoie) Le TEE 70/71 Catalan-Talgo au crochet de la BB 67331. Aux environs de Myans (canton de Montmélian) Le TEE 70/71 Catalan-Talgo au crochet de la BB 67330.
  5. Dépôts titulaires et répartition du matériel Marseille-Saint-Charles de 1959 à 1960 avec détachement pendant l'été de plusieurs engins au Centre Autorails de Grenoble pour la relation "Alpazur". Marseille-Blancarde, de 1960 à 1982, puis transfert à Nîmes le 23 mai 1982 avec détachement pendant l'été (jusqu'en 1975) de plusieurs engins au Centre Autorails de Grenoble pour la relation "Alpazur". Nîmes du 23 mai 1982 au 1er juin 1985, avec les X 4202, X 4204, X 4206, X 4207 et X 4208, les autres ayant été réformés auparavant. Section : Béziers - Faugères - Bédarieux (42,900 km) Carte ferroviaire du département de l'Hérault Mise en service par la Compagnie du Midi : le 20 septembre 1858. Couplage d'autorails panoramiques X 4200 à proximité de Faugères en avril 1985. Gare de Faugères (PK 464 + 500) au début des années 1900. Elle était gare de bifurcation de l'ancienne ligne vers Paulhan et Montpellier Dans le fond la direction de Bédarieux, Millau et Neussargues.
  6. Section : Alès - Robiac - Bessèges (31,300 km) ">Carte ferroviaire du département du Gard Mise en service par la Compagnie du PLM : le 1er décembre 1857. Autorail Panoramique X 4200 en gare de Molières-sur-Cèze (PK 740 + 700) en février 1983. Autorail Panoramique X 4206 en gare de Saint-Ambroix (PK 745 + 100) en 1985.
  7. Autorails panoramiques X 4200 L'autorail panoramique X 4200 est un autorail à deux niveaux construit à 10 exemplaires numérotés X 4201 à 4210. La structure de l'autorail panoramique X 4200 présentait la particularité de comprendre une cabine de première classe surélevée, située dans la partie centrale au-dessus du compartiment moteur, offrant une vision à 360°. Cet autorail est équipé de deux bogies, dont un moteur et un porteur, de deux essieux. Sa ligne est due au designer Paul Arzens qui les a revetu d'une livrée rouge et crème avec toit et bas de caisse gris anthracite. La série a été construite par la branche ferroviaire de la Régie Nationale des Usines Renault ("RNUR") dans l'usine de Choisy-le-Roi. Source Au niveau supérieur, les passagers de première classe jouissent d'une vue à 360 degrés. Source En seconde classe, les passagers bénéficient d'un confort quasiment équivalent et d'une vue presque aussi dégagée derrière le conducteur. Source Gare de Veynes-Dévoluy (Hautes-Alpes) Manoeuvre d'un autorail panoramique en 1973. Autorail Panoramique Mistral X 4209. Source
  8. Villefranche-sur-Saône - Perréon-Vaux - Beaujeu - Monsols (48 km) Le tacot du Perréon. Gare de Perréon-Vaux et la boucle du Perréon La gare était curieusement située sur une boucle complète. Cette disposition permettait de continuer le voyage sans changer la machine de bout. Elle facilitait également les terminus et origines. Toutefois la vraie raison était la rivalité entre les communes de Vaux-en-Beaujolais et du Perréon. Déraillements Les déraillements se produisaient régulièrement le lundi matin à la bifurcation du Fond de Vaux. Ce jour là, le chef de train devait sauter en marche pour manœuvrer l’aiguillage après le passage du convoi mais lorsqu’il effectuait trop vite ce travail, il arrivait que la dernière voiture quitte la voie. On détachait alors le wagon et on faisait descendre les voyageurs pour les regrouper dans les autres voitures. Des anecdotes beaujolaises parmi tant d'autres . . . Des gamins du Perréon posaient des pièces de monnaie d’un sou sur les rails pour que le train les écrase et les fasse ressembler à des pièces de deux sous, ce qui permettait à ces petits garnements de s’offrir des bonbons et des friandises à bon compte chez l’une des épicières du village, en l’occurrence la plus myope. Le patron du café du Perréon savait, au nombre de coups de sifflets, combien il devait servir de pots de Beaujolais aux cheminots à leur descente du train. Gare de Perréon-Vaux Elle était située à 17 km de Villefranche-sur-Saône, à 15 km de Beaujeu PLM, et à 31 km de Monsols.
  9. Circulation des trains (Règlement S 2 C) L.M.Tr. = Livret de la marche des trains. Circulation des trains (Règlement S 2 C) L'article 406 et ses 4 D.C. (Dispositions complémentaires).
  10. Carte ferroviaire du département de la Mayenne ">Carte ferroviaire du département de l'Orne (Laval) La Chapelle-Anthenaise - Mayenne - Domfront Longueur : 57,200 km, dont environ 40 km dans la Mayenne, et 17,200 km dans l'Orne. Fascicule 3-37 (situation en 1957). Point culminant : PK 335 situé entre Ceaucé (PK 334) et Torchamp (PK 338 + 700). Déclivités maximales des rampes et pentes : 15 ‰. Mise en service par la Compagnie des chemins de fer de l'Ouest : - section La Chapelle-Anthenaise - Mayenne (19,900 km) le 6 novembre 1866. - section Mayenne - Ceaucé - Domfront (37,300 km) le 21 septembre 1874. Reprise de l'exploitation par l'Administration des chemins de fer de l'État : le 1er janvier 1909. Fin du service voyageurs : le 31 mai 1970. L'autorail immatriculé XBD 3923 quitte le quai B de la gare de Laval à 17h50 pour effectuer un dernier voyage vers Mayenne et Domfront. Dès le lendemain, toutes les gares de la ligne sont fermées, hormis celle de Mayenne. Gare de Commer (PK 301 + 400) La gare à l'époque de l'Administration des chemins de fer de l'État. Dans le fond la direction de Mayenne et Domfront (Flers).
  11. Bitche - Rohrbach-lès-Bitche - Sarreguemines (39 km) Carte ferroviaire du département de la Moselle
  12. En bas de la photo c'est tout simplement le trottoir du boulevard Bertrand de Doué au Puy-en-Velay. Derrière le wagon trémie, le tracteur rouge des Transports Premat qui a assurer l'acheminement de cet engin moteur de Saint-Vincent jusqu'au Puy-en-Velay début juillet 2014. Je passe la main. La locomotive reste coincée au croisement Photo Claude Essertel (Le Progrès).
  13. Carte ferroviaire du département du Maine-et-Loire Carte ferroviaire du département des Deux-Sèvres Zone Industrielle de Méron (Montreuil-Bellay) Données techniques de la zone industrielle de Méron : • Statut : ZAC • Superficie de la zone : 210 ha • Superficie disponible : 84 ha • Superficie des lots : à la demande Source (Données techniques et plan de situation)
  14. Un article sur la ligne thermique Le Puy-en-Velay - Firminy . . . . . . avec comme illustration, une photo de la gare d'Ambérieu-en-Bugey et de son célèbre Poste 1, situé côté Saint-Denis-en-Bugey (côté Lyon) !
  15. Des lycéens ont pris l’habitude de fréquenter la gare. La SNCF a alerté les autorités.
  16. Concernant cet accident, une fois de plus, c'est le non respect de l'usage des TVP (Traversée Voie Piétons) qui est en cause ! Le Parisien du 9 janvier 2011 a écrit :
  17. Dans le même article, le point de vue de Patick Chaize, le Maire de la commune de Vonnas (canton de Châtillon-sur-Chalaronne).
  18. Carte ferroviaire du département de la Loire Carte ferroviaire du département de la Haute-Loire Bonson - Saint-Bonnet-le-Château - Sembadel Région du Sud-Est - Ligne n° 795 (situation en 1959). Longueur : 66,700 km, dont 46,400 km dans la Loire, et 20,300 km dans la Haute-Loire. Point culminant : Sembadel (1089 mètres). Déclivités maximales des rampes et pentes : 30 ‰ entre Valinches (PK 21 + 700) et Saint-Bonnet-le-Château (PK 26 + 700). Section Bonson - Périgneux-Marieux - Saint-Bonnet-le-Château (26,700 km) : mise en service par la Compagnie anonyme du chemin de fer de Saint-Etienne à Saint-Bonnet-le-Château le 4 octobre 1873. Reprise de l'exploitation par la Compagnie du PLM : le 2 août 1886. Section Saint-Bonnet-le-Château - Estivareilles - Craponne-sur-Arzon (25,800 km) : mise en service par la Compagnie du PLM le 1er août 1897. Section Craponne-sur-Arzon - Sembadel (14,200 km) : mise en service par la Compagnie du PLM le 15 septembre 1902. Fermeture au service voyageurs : le 7 juillet 1969. Gare de bifurcation de Bonson (PK 126 + 500) Clermont-Ferrand - Saint-Just-sur-Loire (Saint-Étienne-Châteaucreux) via Thiers et Montbrison Croquis Gares et Bifurcation PLM 1904. Collection Roland Forcet. Dans les années 50, il existait encore côté Montbrison, l'embranchement de l'intendance militaire. La gare à l'époque de la Compagnie du PLM. La gare à l'époque de la Compagnie du PLM. Un train en provenance de Sembadel (Haute-Loire) en 1924. Gare de Saint-Marcellin (PK 4 + 100) Un train en provenance de Sembadel (Haute-Loire).
  19. Merci pour ces anciens documents. ">Carte ferroviaire du département du Gard Remoulins-Pont-du-Gard - Comps - Beaucaire (20,200 km) Région de la Méditerranée - Ligne n° 913 (situation en 1961). Mise en service par la Compagnie du PLM : le 25 septembre 1883. Fermeture au service voyageurs : le 5 décembre 1938. Gare de Sernhac (PK 71 + 200) La gare à l'époque de la Compagnie du PLM. Source de la CPA : Cparama. La gare a été transformée en habitation. Source A côté de la gare, route du Puits d'Agathe, l'ancienne maison du garde-barrière. Source
  20. Villefranche-sur-Saône - Perréon-Vaux - Beaujeu - Monsols (48 km) Le tacot du Perréon. Villefranche-sur-Saône La rue Victor Hugo en 1936. A gauche, venant du boulevard Louis Blanc, la voie unique en provenance de la gare commune des CFB (Chemins de fer du Beaujolais) et des TA (Tramways de l'Ain). Dans le fond la direction de Légny (Les Ponts-Tarrets) et de Tarare (Tacot de Tarare). En bas la direction de l'actuelle rue Pierre Berthier (RD 504 vers Bourg-en-Bresse). La voie en direction de la gare marchandises commune des CFB et des TA, des ateliers des CFB, de la zone d'échange CFB - PLM, et de Jassans-Riottier (Tramways de l'Ain). La halte de la Porte de Belleville en 1906. Photo Belin - Collection Olivier Simonin. Le viaduc de la Quarantaine. Parmi les vestiges des Chemins de Fer du Beaujolais (CFB), le viaduc de la Quarantaine. Ce viaduc se situe à l'intersection du boulevard Louis Blanc et de la rue de la Quarantaine. Les trains pour Le Perréon, Beaujeu et Monsols circulaient sur le viaduc de la Quarantaine. Le même viaduc en août 2012.
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