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Le Web des Cheminots

IGS4

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Tout ce qui a été posté par IGS4

  1. A tout hasard . . . Chemin de fer des Centovalli. La stazione (gare) de Santa-Maria-Maggiore ? ou celle de Re ?
  2. Pancartes et tableaux à inscriptions diverses (Application de l'article 607 du Règlement S 1 A). S'il s'agit de cette pancarte rien à voir avec les autorails.
  3. Tout à fait ! C'est conforme à la définition du premier paragraphe de l'article 311 du Règlement S 1 A.
  4. Petit hors sujet . . . un autre exemple d'implantation de T.I.V. pentagonaux. Ligne des Alpes : Grenoble - Aspres-sur-Buëch - Veynes-Dévoluy Le pont cage franchissant la Romanche à la sortie de la gare de Jarrie-Vizille côté Veynes-Dévoluy. Photo Wikipédia (été 2009).
  5. A tout hasard . . . l'ancienne gare de Flaujac.
  6. (Auray) Bifur de Pontivy - Pluvigner - Baud - Saint-Nicolas-des-Eaux - Pontivy (50,600 km) Gare de Lambel-Camors (PK 604 + 700) La gare a été édifiée lors de la construction de la ligne de chemin de fer d'Auray à Napoléonville (nom de la ville de Pontivy) à cette époque). Elle a été achetée par la commune de Camors, en 1999, au titre de la réhabilitation du Patrimoine et dans la perspective d'une création d'un train touristique et d'un musée. Source (texte et photo) Les tenues des cheminots de Lambel-Camors et de la Compagnie du PO en général. Source
  7. Bonjour, Pour compléter le sujet sur la zone de Saint-Nicolas-des-Eaux. Commune de Pluméliau (canton de Baud) Un train sur le Pont de Gueltas (PK 624 + 450) au début du 20ème siècle. Pont de Saint-Nicolas sur le Blavet. Dans le fond le Tunnel de Castennec (94 mètres) et le pont de Gueltas sur le Blavet. Photo : Wikipédia. T.I.V. pentagonaux (Application de l'article 311 du Règlement S 1 A). Gare de Saint-Nicolas-des-Eaux (PK 625) Autorail X 2402 en gare de Saint-Nicolas-des-Eaux le 1er mai 1984.
  8. (Auray) Bifur de Pontivy - Pluvigner - Baud - Saint-Nicolas-des-Eaux - Pontivy (50,600 km) Gare de Lambel-Camors (PK 604 + 700) La gare avant 1934. Source La gare en mai 2010. Dans le fond la direction de Baud et Pontivy. Source La gare en mai 2010. Dans le fond la direction d'Auray. Source
  9. Tout à fait ! Bravo ! J'étais sur le point de répondre. C'est tout simplement à proximité du PN à SAL 2 n° 272.
  10. C'est tout simplement les châteaux d'eau de la gare de Langogne (Lozère). Je passe la main.
  11. (Auray) Bifur de Pontivy - Pluvigner - Baud - Saint-Nicolas-des-Eaux - Pontivy (50,600 km) Carte ferroviaire du département du Morbihan Cette ancienne ligne avait son origine (PK 589 + 300) à 4,400 km d'Auray côté Quimper. Fascicule 3-63-3 (situation en 1957). Point culminant : Lambel-Camors (PK 604 + 700). Déclivités maximales des rampes et pentes : 14 ‰ entre Lambel-Camors et Baud (PK 610 + 300). Mise en service par la Compagnie du PO : le 19 décembre 1864. Fin du service voyageurs : le 2 octobre 1949. Gare de Pluvigner (PK 596 + 500) Le quai d'embarquement des rondins. Expédition de bois. Source
  12. Pont-l'Abbé - Pont-Croix - Audierne (40 km) Carte ferroviaire du département du Finistère Au départ de Pont-l'Abbé la ligne desservait : Plonéour-Lanvern (+ 7km), Tréogat (+ 12 km), Pouldreuzic (+ 17 km), Plozévet (+ 24 km), Plouhinec (+ 29 km), Pont-Croix (+ 35 km) et Audierne (+ 40 km). Section : Pont-l'Abbé - Pouldreuzic - Pont-Croix (35 km) Exploitation : voie métrique CFA : Chemins de fer armoricain Mise en service : le 1er octobre 1912. Fin du service voyageurs : en 1933. Fin du service marchandises : en 1933. Gare de Plozévet Section : Pont-Croix - Audierne (5 km) Exploitation : voie métrique CFDF : Chemins de Fer Départementaux du Finistère Mise en service : le 29 janvier 1894 en même temps que la section : Douarnenez - Pont-Croix. La ligne de Douarnenez à Audierne via Pont-Croix était surnommée Le Train Youtar Fin du service voyageurs : en 1946. Fin du service marchandises : en 1946. Gare de bifurcation de Pont-Croix Comme celle d’Audierne, la gare de Pont-Croix était très animée, notamment les jours de foire ou du pardon de ND de Roscudon. Aujourd’hui le bâtiment des voyageurs est bien conservé, mais les wagonnets garés au pignon sont pour le moins anachroniques. Photo : Paul Cornec Source (texte et photo couleur) : Le Youtar Audierne La gare au début du 20ème siècle. Collection Frédéric Tanter Source : Le Youtar Le grand Pont du Goyen et la gare. Collection Roland Bordas Source : Audierne infos
  13. Protection des voies principales - Obstacles inopinés Présence de couvercles de caniveaux sur la voie.
  14. [Finistère] Histoire des lignes oubliées sur notre forum. Un petit rappel historique . . . (Quimper) Bifur de Pont-l'Abbé - Pluguffan - Pont-l'Abbé - Saint-Guénolé (38,100 km) Carte ferroviaire du département du Finistère Cette ancienne ligne avait son origine (PK 685 + 900) aussitôt après le Tunnel de Quimper (310 mètres) Fascicule 3-67-2 (situation en 1957). Point culminant : Pluguffan (PK 694). Déclivités maximales des rampes et pentes : 20 ‰. Section : Bifur de Pont-l'Abbé - Pluguffan - Pont-l'Abbé (20,300 km) Mise en service par la Compagnie du PO : le 7 avril 1884. Fin du service voyageurs : en 1950. Gare de Pont-l'Abbé (PK 706 + 200) La gare à l'époque de la Compagnie du PO (en 1910). La gare à l'époque de la Compagnie du PO. Section : Pont-l'Abbé - Guilvinec - Saint-Guénolé (17,800 km) Exploitation : voie métrique CFDF (Chemins de fer départementaux du Finistère). Mise en voie normale en 1947. Exploitation : SE (Société générale des chemins de fer économiques). Mise en service le 4 juillet 1907. Fin du service voyageurs : le 19 mai 1947. Fin du service marchandises : le 1er juillet 1963. Gare de Saint-Guénolé (PK 724)
  15. Rosporden - La Boissière - Concarneau (15,100 km) Fascicule 3-67-1 (situation en 1957). Point culminant : (PK 667 + 500) situé entre Rosporden (PK 664 + 600) et La Boissière (PK 673 + 400). Déclivités maximales des rampes et pentes : 20 ‰ entre Rosporden et La Boissière. Mise en service par la Compagnie du PO : le 1er juillet 1883. Reprise de l'exploitation par l'Administration des chemins de fer de l'État : le 1er janvier 1934. Fin du service voyageurs : le 4 octobre 1959. Fin du service marchandises entre La Boissière et Concarneau : en septembre 1998. Gare de Rosporden (PK 664 + 600) Elle a été mise service par la Compagnie du PO en septembre 1863, en même temps que la section : Lorient - Quimperlé - Quimper (65,400 km). L'arrivée d'un train en provenance de Concarneau. Un train de marchandises en 1965 au crochet de la 141 R 1081. Photo : Jacques BAZIN. Gare de Concarneau (PK 679 + 700) « Pour beaucoup de Concarnois, cet endroit évoquera longtemps aussi des souvenirs peu agréables de séparations : départs en masse vers les mines du Nord en 1907, mobilisation de 1914, de 1939, dernière permission avant l'Algérie». Années 60 : la fin d'une époque « Côté voyageurs aussi, la multiplication rapide des automobiles fera décliner le nombre des amateurs de train. Le 4 octobre 1959, la liaison avec Rosporden, au départ de Concarneau, est remplacée par une navette autocar. Dans les années 70, le bilan « marchandises » de la gare est encore de 76 000 tonnes par an, notamment composées d'engrais, de ciment, de fer-blanc, d'huiles et de pommes de terre. En 1979, le directeur régional de la SNCF affirme d'ailleurs : «Je peux vous assurer qu'aucune menace ne plane sur cette ligne!» Les derniers convois de tôles destinées à Carnaud-BMA circuleront dans les années 90. Un ultime train chargé de matériel pour GDF sera le dernier à emprunter la voie ferrée, en septembre 1998. Dépouillée aujourd'hui de ses trains, la gare continue pourtant à assurer la billetterie comme autrefois malgré son aspect décalé, au milieu des herbes sauvages et des camping-cars. La vénérable bascule qui trône encore près des guichets garde encore la tête haute, dernier témoin des heures de gloire de cette maison du train qui fêtera l'année prochaine ses 125 ans d'existence. Deviendra-t-elle bientôt un gîte d'étape pour randonneur fatigué ou bien quelque nostalgique fortuné est-il prêt à redonner vie à cette émouvante station du chemin de fer. Qui sait ? » Source (texte et photo) Michel GUEGUEN : L'aventure du train de Concarneau La gare à l'époque de la Compagnie du PO. Desserte marchandises à l'époque de la Compagnie du PO. Source photo Michel GUEGUEN : L'aventure du train de Concarneau Desserte marchandises en été 1977. Photo : Roland Bouchet.
  16. (Quimper) Bifur de Pont-l'Abbé - Pluguffan - Pont-l'Abbé - Saint-Guénolé (38,100 km) Carte ferroviaire du département du Finistère Cette ancienne ligne avait son origine (PK 685 + 900) aussitôt après le Tunnel de Quimper (310 mètres) Fascicule 3-67-2 (situation en 1957). Point culminant : Pluguffan (PK 694). Déclivités maximales des rampes et pentes : 20 ‰. Section : Bifur de Pont-l'Abbé - Pluguffan - Pont-l'Abbé (20,300 km) Mise en service par la Compagnie du PO : le 7 avril 1884. Fin du service voyageurs : en 1950. Gare de Pont-l'Abbé (PK 706 + 200) La gare à l'époque de la Compagnie du PO (en 1910). La gare à l'époque de la Compagnie du PO. Section : Pont-l'Abbé - Guilvinec - Saint-Guénolé (17,800 km) Exploitation : voie métrique CFDF (Chemins de fer départementaux du Finistère). Mise en voie normale en 1947. Exploitation : SE (Société générale des chemins de fer économiques). Mise en service le 4 juillet 1907. Fin du service voyageurs : le 19 mai 1947. Fin du service marchandises : le 1er juillet 1963. Gare de Saint-Guénolé (PK 724)
  17. Petit hors-sujet . . . Sacré Christophe, tu m'étonneras toujours ! Les chèvres et les moutons de Christophe, le maire de Coulaines (Le Mans Métropole).
  18. L’un de paris les plus stupides que l’on puisse imaginer a eu lieu ce mercredi vers 1 h 45 dans la région grenobloise. Le Dauphiné Libéré
  19. La rétention des circulations en amont d'un PN à SAL (demi-barrières ouvertes) . . . C'est notamment le cas dans de nombreuses gares en BM possédant des PN voisins, soit par exemple pour attente de voie libre du poste suivant (dégagement du canton), ou encore manoeuvre en cours dans la gare. La rétention des circulations se fait la plupart du temps au moyen d'un GA (Guidon d'arrêt). Bien entendu les PN en question sont munis d'un sélecteur "automatique-manuel" commandé à distance depuis le poste de gare. Cette commande se fait au moyen d'un commutateur (manette) et de boutons poussoir (ouverture et fermeture du PN). C'est l'action de la manette du commutateur (et des boutons poussoir) de la position "automatique" vers la position "manuel" qui permet la présentation d'office du GA. Dans certaines gares la présentation du GA et donc par conséquent l'ouverture (complète) du PN peut-être assujetti à une temporisation de 3 à 5 minutes. Le passage de "manuel" à "automatique" (opération inverse) permet l'effacement du GA à condition que les demi-barrières soient complètement abaissées. Toutes ces opérations sont réalisées grâce à la présence d'enclenchements électriques.
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