Aller au contenu
Le Web des Cheminots

IGS4

Membre
  • Compteur de contenus

    4 850
  • Inscription

Messages publiés par IGS4

  1. Orages : pas de trains Pau-Oloron ce lundi matin

    Le sort semble s’acharner sur la ligne ferroviaire Pau-Oloron. Après une circulation interrompue du 15 avril au 21 juillet à cause d’un affaissement de terrain, les trains

    sont à nouveau à l’arrêt depuis vendredi soir. En cause, les orages survenus dans la soirée de vendredi, qui ont provoqué des chutes d’arbres sur les voies.

    La République des Pyrénées

  2. Charente : le conducteur du TGV oublie de s'arrêter en gare

    Dans la série, la SNCF et ses frasques, on vous présente la suite. Après qu'un Charentais se voit vu refuser un remboursement suite à un retard parce qu'il y avait des conditions climatiques "exceptionnelles" -selon la SNCF- à savoir 31 degrés ce jour là (lire l'article), c'est maintenant un train qui oublie de s'arrêter dans une gare charentaise.

    Charente Libre

  3. Un article du Journal du Centre du 17 octobre 2012.

    Il y a 100 ans naissait l’activité ferroviaire à Vauzelles

    En 1911, la compagnie PLM possède ses ateliers de réparation de locomotives dans la gare de Lyon à Paris. Confrontée à un problème de place, elle se voit contrainte de rechercher un autre emplacement. Différents critères techniques et économiques firent que le site d'une vingtaine d'hectares compris à la fourche des lignes de chemin de fer Nevers Dijon et Nevers Paris a été sélectionné.

    Le premier détachement américain a pris possession du site en octobre 1917

    Après études techniques et autorisations administratives, les travaux d'édification des ateliers ont commencé en juillet 1912 pour une durée estimée à trois ans. Cinq grands bâtiments à charpente métallique de 120 à 137 m de long, perpendiculaires au chemin qui est aujourd'hui la rue Benoît-Frachon, sont prévus avec possibilité d'extension ultérieure. En avant de ces ateliers sont édifiés parallèlement à la rue précitée les bâtiments administratifs, le réfectoire, le service médical et le local de lutte contre l'incendie.

    Après études techniques et autorisations administratives, les travaux d'édification des ateliers ont commencé en juillet 1912 pour une durée estimée à trois ans. Cinq grands bâtiments à charpente métallique de 120 à 137 m de long, perpendiculaires au chemin qui est aujourd'hui la rue Benoît-Frachon, sont prévus avec possibilité d'extension ultérieure. En avant de ces ateliers sont édifiés parallèlement à la rue précitée les bâtiments administratifs, le réfectoire, le service médical et le local de lutte contre l'incendie.

    Le 3 août 1914, à la déclaration de la Première Guerre mondiale, les travaux sont encore loin d'être terminés. Les différents bâtiments alors construits sont réquisitionnés par les services militaires, notamment le bâtiment administratif qui est érigé en hôpital anglais.

    Le 3 avril 1917, l'Amérique entre en guerre. En juillet 1917, le ministère des Transports ordonne à la compagnie PLM de terminer les ateliers afin qu'ils soient mis à disposition de l'armée américaine. A l'origine, la structure des bâtiments était métallique, le manque de métal a fait que la construction des ateliers de chaudronnerie, de montage et d'ajustage a été réalisée en béton.

    Le premier détachement américain a pris possession du site en octobre 1917. Les militaires logeaient dans le camp Stephenson (quartier des Carpeaux). Ils aménagent les ateliers d'où la première locomotive est prise en révision générale en juin 1918 pour atteindre un rythme mensuel de cinquante machines en janvier 1919.

    Les américains ont également construit un atelier de réparation de wagons, situé à proximité de l'actuelle régie municipale, où en deux ans trois mille cinq cents wagons et des trains ambulances furent révisés. Cet atelier a cessé son activité en 1975.

    Le Journal du Centre du 17 octobre 2012.

    86268410.jpg

    De l'origine, jusqu'au début de la seconde moitié du siècle dernier, la réparation des locomotives à vapeur a constitué la principale activité des "Ateliers de Vauzelles". - CASIMIR BERNARD

    • J'adore 5
  4. Ville de Sète le samedi 9 août.

    Pont levant sur le canal de la Bordigue (PK 104 + 900)

    Sète : le trafic reprend après le blocage du pont SNCF

    Le trafic reprend avec plus d'une heure de retard après le blocage du pont SNCF à Sète qui a retenu plusieurs trains dans les gares de la région ce samedi matin.

    Le trafic des trains reprend ce samedi matin après que le pont SNCF de Sète, seul pont ferroviaire à bascule de France, est tombé en panne. Un problème, dû au système de verrouillage, désormais résolu selon l'équipe technique dépêchée sur place. Le trafic a donc repris avec, néanmoins, plus d'une heure de retard sur les horaires annoncés. Cet aléa a retenu plusieurs trains dans les gares de la région.

    Midi Libre

    le-pon10.jpg

    Le pont est bloqué depuis ce matin. Une équipe technique est sur place.
    Archives Vincent DAMOURETTE

    • J'adore 1
  5. (Roanne) - Le Coteau - Pouilly-sous-Charlieu - La Clayette-Baudemont - Clermain - Cluny

    Carte ferroviaire du département de la Loire

    ">Carte ferroviaire du département de la Saône-et-Loire

    Longueur : 81,700 km, dont environ 28 km dans la Loire, et 53,700 km dans la Saône-et-Loire.

    Point culminant (495,36 mètres) en gare de Montmelard (PK 37 + 500).
    Déclivités maximales des rampes et pentes : 20 ‰.

    Mise en service par la Compagnie du PLM :
    - section Le Coteau - Pouilly-sous-Charlieu (15,700 km) : le 1er juin 1882.
    - section Pouilly-sous-Charlieu - La Clayette-Baudemont - Clermain (56 km) : le 1er mars 1889.
    - section Clermain - Cluny (10 km) : le 22 août 1870.

    Fin du service voyageurs :
    - section Le Coteau - Pouilly-sous-Charlieu - La Clayette-Baudemont - Clermain (71,700 km) : le 2 octobre 1938.
    - section Clermain - Cluny (10 km) : le 15 mai 1939.

    Gare de Pouilly-sous-Charlieu (PK 18 + 300)

    Elle était gare de bifurcation de l'ancienne ligne vers Paray-le-Monial.

    Croquis Gares et Bifurcation PLM 1904.

    Collection Roland Forcet.

    Source : Wiki PLM

    377px-10.jpg

    La gare à l'époque de la Compagnie du PLM.

    pouill10.jpg

    Arrivée d'un train en septembre 1914.

    pouill11.jpg

    • J'adore 8
  6. Il me semble que la photo publiée a été prise à l'intérieur , dans l'espace séparant les grandes halles et les bâtiments annexes.

    On voit militaire sur la droite, et les voitures semblent avoir des marquages militaires. A-t-on plus de précisions sur cette image?

    Je ne saurais te dire ?

    Vue aérienne de l'ancien dépôt de Vauzelles en 1957

    C'est plein de 141R et de vieux chaudrons, voir très vieux chaudrons !

    La photo d'origine (acheté il y a qqes années dans une brocante à la Charité sur Loire pour 50 France

    (vous vous rapellez ... c'était l'unité monaitaire avant l'Euro) est un format A3 N&B.

    La légende au dos:

    DEBUT DE CITATION

    58. NEVERS

    7. VAUZELLES, Les ateliers de réparation de locomotives.

    3. Km. N.O. de NEVERS. Vue prise en 1957.

    La ligne de ch. de fer du BOURBONNAIS de PARIS à St-GERMAIN des FOSSES coupe à NEVERS,

    au Km. 260, la ligne transversale TOURS-DIJON.

    Un dépôt de machines et des ateliers de réparations de locomotives ont été installés à proximité

    de la vaille. Les machines sont garées dans des "rotondes".

    Les voies sont disposées suivant les rayons d'une circonférence, au centre de laquelle se trouve un

    pont-tournant qui permet d'orienter les machines soit vers leur voie de garage, soit vers une voie de départ.

    Des cheminées sont prévues à chaque emplacement d'une locomotive pour l'évacuation des fumées.

    A proximité du dépôt et des ateliers sont groupées les habitations des cheminots sous forme de "cités".

    Documentation Aérienne Pédagogique LAPIE. 118, rue Garibaldi - St-Maur (Seine).

    Source : Texte et scan photo

    4b1c2b10.jpg

    • J'adore 4
  7. La naissance de l’activité ferroviaire sur le site de Vauzelles

    Dans notre édition du jeudi 7 juillet dernier, nous avons évoqué les origines de la commune de Varennes-les-Nevers. Aujourd'hui nous présentons la naissance de la cité de Vauzelles.

    En 1911, la compagnie PLM possède ses ateliers de réparation de locomotives dans la gare de Lyon à Paris. Confrontée à un problème de place, elle se voit contrainte de rechercher un autre emplacement. Différents critères techniques et économiques firent que le site d'une vingtaine d'hectares compris à la fourche des lignes de chemin de fer Nevers Dijon et Nevers Paris a été sélectionné.

    Réaffecté avant d'être achevé

    Après études techniques et autorisations administratives, les travaux d'édification des ateliers ont commencé en juillet 1912 pour une durée estimée à trois ans. Cinq grands bâtiments à charpente métallique de 120 à 137 mètres de long, perpendiculaires au chemin qui est aujourd'hui la rue Benoît-Frachon sont prévus avec possibilité d'extension ultérieure. En avant de ces ateliers sont édifiés parallèlement à la rue précitée les bâtiments administratifs, le réfectoire, le service médical et le local de lutte contre l'incendie. Le 3 août 1914, à la déclaration de la Première Guerre mondiale, les travaux sont encore loin d'être terminés. Les différents bâtiments alors construits sont réquisitionnés par les services militaires, notamment le bâtiment administratif qui est érigé en hôpital anglais.

    L'arrivée des GI's

    Le 3 avril 1917, l'Amérique entre en guerre. En juillet 1917 le ministère des Transports ordonne à la compagnie PLM de terminer les ateliers afin qu'ils soient mis à disposition de l'armée américaine. A l'origine, la structure des bâtiments était métallique, le manque de métal a fait que la construction des ateliers de chaudronnerie, de montage et d'ajustage a été réalisée en béton.

    Le premier détachement américain prend possession du site en octobre 1917. Les militaires logent dans le camp Stephenson (quartier des Carpeaux). Ils aménagent les ateliers où la première locomotive est prise en révision générale en juin 1918 pour atteindre un rythme mensuel de 50 machines en janvier 1919.

    Les Américains construisent également un atelier de réparation de wagons, situé à proximité de l'actuelle régie municipale, où en deux ans 3 500 wagons et trains ambulances sont révisés. Cet atelier a cessé son activité en 1975.

    Prochainement, nous reviendrons sur l'évolution des ateliers.

    Le Journal du Centre de ce jour.

    17037010.jpg

    Face Nord des ateliers de réparation des locomotives à vapeur en 1919 - CASIMIR BERNARD

    • J'adore 4
  8. J'avais gardé en mémoire des voies de garage à La clayette (ancienne gare de croisement des lignes paray-lozanne et charlieu-cluny).

    Pourtant à la grande époque, c'était une gare importante.

    Les deux gares de la commune de La Clayette

    Gare de La Clayette-Baudemont (PK 28 + 132)

    La gare à l'époque de la Compagnie du PLM.

    A gauche les voies dédiées au trafic de l'ancienne ligne :

    Roanne - Pouilly-sous-Charlieu - Clermain - Cluny - Chalon-sur-Saône.

    A droite les voies dédiées au trafic de la ligne :

    Paray-le-Monial - Lamure-sur-Azergues - Lozanne - Tassin - Brignais - Givors-Canal.

    Source CPA : Site du regretté ancien cheminot bourguignon feu Gilbert GILLET

    la_cla10.jpg

    Croquis Gares et Bifurcation PLM 1904.

    Collection Roland Forcet.

    Source : Wiki PLM

    293px-10.jpg

    La Clayette - Monsols (Le Tacot de Monsols)

    Longueur : 30 km, dont environ 9 km dans la Saône-et-Loire, et 21 km dans le Rhône.

    Carte ferroviaire du département de la Saône-et-Loire

    Carte ferroviaire du département du Rhône

    Exploitation : Réseau du RSL (Rhône-Saône et Loire)

    Gare RSL de La Clayette

    La gare était à côté de la gare PLM, laquelle était une bifurcation entre la ligne de l'Azergues

    (Paray-le-Monial à Givors) et la ligne de Pouilly-sous-Charlieu à Chalon-sur-Saône.

    Source CPA : Site de Gilbert GILLET

    garela10.jpg

    Les anciens horaires du réseau RSL

    Source : Site de Gilbert GILLET

    horair10.jpg

  9. La délivrance d'un bulletin S se fait toujours lorsque l'AC a la certitude que le canton est libre.

    Normal car en BMU dans le cas d'un dérangement du block . . .

    Un exemple parmi tant d'autres. mdrmdrmdrmdrmdrmdr

    (Application de l'article 111 du Règlement S 5 B).

    Exemple d'un canton de BM (avant la mise en service du BAL) à l'époque ou Conlie était

    encore "gare de rupture de block" et Sillé-le-Guillaume gare permanente également.

    1) Après avoir substituer le cantonnement téléphonique au block par appareils :

    "Conlie à Sillé-le-Guillaume cantonnement téléphonique substitué au block sur voie 1

    à . . . h . . . mn" inscrit sur le registre de cantonnement (colonne observations).

    2) Après avoir effectuer une reconnaissance de canton (échange de dépêches) :

    "Conlie à Sillé-le-Guillaume dernier train expédié vers Sillé-le-Guillaume est train

    n° . . . à . . . h . . . mn . . . Prochain train pourra-t-il être expédié sans ordre de

    marche à vue du poste de Conlie au poste de Sillé-le-Guillaume ?"

    "Sillé-le-Guillaume à Conlie Dernier train reçu de Conlie est bien train n° . . . à . . .

    h . . . mn. Prochain train pourra être expédié sans ordre de marche à vue du poste

    de Conlie au poste de Sillé-le-Guillaume".

    L'AC de Conlie annotait son registre de cantonnement (colonne observations)

    de la façon suivante : "Conlie - Sillé-le-Guillaume canton libre"

    • J'adore 2
  10. Dunières - Tence - Le Chambon-Mazet - Saint-Agrève

    Carte ferroviaire du département de la Haute-Loire

    ">Carte ferroviaire du département de l'Ardèche

    Longueur : 38 km, dont 25 km dans la Haute-Loire, et 13 km dans l'Ardèche.

    Mise en service par les CFD (Chemins de fer départementaux) : le 21 septembre 1902.
    Fin du service : le 1er novembre 1968.

    Gare de Tence

    tence10.jpg

    Gare du Chambon-Mazet

    le_cha12.jpg

    • J'adore 3
  11. Culoz - Aix-les-Bains-le-Revard - Chambéry-Challes-les-Eaux - Modane

    Carte ferroviaire du département de l'Ain

    ">Carte ferroviaire du département de la Savoie

    L'orage a été brutal et la montée des eaux spectaculaire. A Modane, vendredi 1er août, peu avant 20 heures,
    le ruisseau de Saint-Antoine a débordé, drainant de la boue. Cette masse a détruit l'entrepôt d'une entreprise
    de transport en commun et 20 cars, mais aussi endommagé la voie ferrée.

    Coulée de boue : le classement en catastrophe naturelle demandé

    Il y a une semaine, dans la nuit, une coulée de boue provenant de la crue du ruisseau Saint-Antoine dévastait une partie de la zone industrielle des Boucles à Modane. Si aucune victime n’a été déplorée, les dégâts matériels sont importants avec, notamment, l’entreprise Transdev qui a perdu 20 bus sur les 23 qu’elle faisait rouler.

    À la suite de cet événement, un conseil municipal exceptionnel est organisé mardi, à 18 h 30. À l’ordre du jour figure un point sur la crue et la demande de classement du sinistre en catastrophe naturelle. Cette procédure permet, notamment, d’accélérer les indemnisations des victimes. Des demandes de subventions vont aussi être faites auprès de l’État, la Région et le Département.

    Le Dauphiné Libéré

    l-entr10.jpg

    title15.jpg

    L’entreprise Transdev a été la plus touchée par la coulée de boue, il y a une semaine.

  12. Dunières - Tence - Le Chambon-Mazet - Saint-Agrève

    Les voies ferrées du Velay

    Des traverses de chemin de fer volées à Tence

    Une cinquantaine de traverses de chemin de fer ont été volées à Tence entre dimanche 3 et
    lundi 4 août. Les gendarmes de la communauté de brigades de Tence ont ouvert une enquête.

    Entre dimanche 3 et lundi 4 août, un ou plusieurs malfaiteurs ont dérobé une cinquantaine de
    traverses de chemin de fer à Tence, au lieu-dit La Gare. Ces dernières étaient prévues pour la
    voie ferrée utilisée pour le train touristique. Une enquête a été ouverte par les gendarmes de
    la communauté de brigades de Tence.

    Mon43.fr

  13. [TI] Canton du Tessin (Ticino)

    Les CFF donnent un coup de frais au Tessin

    D'importants travaux de rénovation du réseau CFF sont en cours au Tessin pour préparer l'arrivée de la Nouvelle ligne ferroviaire à travers les Alpes.

    Les CFF investissent plus de 1,5 milliard de francs d'ici 2020 pour préparer le Tessin au développement de la Nouvelle ligne ferroviaire à travers les Alpes (NLFA) avec des gares rénovées et de nouveaux trains. Une partie de la gare de Lugano modernisée a été inaugurée jeudi.

    Le tunnel de base du Ceneri ne sera probablement achevé qu'en 2019, mais le nouveau matériel roulant est déjà là. Le patron des CFF Andreas Meyer et le conseiller d'Etat tessinois Claudio Zali ont fait le trajet de Bellinzone à Lugano à bord du nouveau train pendulaire ETR 610.

    Des travaux de rénovation ont également démarré dans la gare du chef-lieu cantonal Bellinzone. Ils devraient être terminés d'ici l'ouverture du tunnel de base du Gothard, le 11 décembre 2016.

    A la gare de Lugano, le chantier a démarré en 2012 déjà. La partie historique du bâtiment est désormais assainie, mais la finition du hall central durera jusqu'en 2016. Parallèlement, le funiculaire qui relie la gare au centre historique de la ville au bord du lac sera également rénové. Des bus prendront le relais durant les deux années à venir.

    Les voyageurs pourront emprunter les nouveaux trains de la génération ETR 610 dès décembre prochain sur l'axe du Gothard entre Zurich et Milan. Sur l'axe du Simplon, sur les lignes Bâle-Brigue-Milan et Genève-Brigue-Milan, ces rames circulent déjà.

    Arcinfo.ch

    97780811.jpg

    Les travaux en gare de Lugano ont débuté en 2012 et se poursuivront jusqu'en 2016.

    • J'adore 4
  14. Section : Laroche-Migennes - Saint-Florentin-Vergigny - Tonnerre - Montbard - Dijon

    Mardi 5 août vers 16h30.

    Commune de Fulvy (canton d'Ancy-le-Franc)

    Feu de motrice sur la voie, le trafic ferroviaire perturbé

    Le trafic sur la ligne Paris-Lyon a été perturbé l'après-midi du mardi 5 août par le début d’incendie d’une motrice. Des voyageurs ont été bloqués, notamment à Tonnerre et Aisy-sur-Armançon.

    Grosse frayeur pour le conducteur d’un train de marchandises en provenance de Paris qui traversait, mardi 5 août, le Tonnerrois. Vers 16?h?30, il a vu s’échapper des flammes de l’avant de la motrice. Il a arrêté son convoi ferroviaire composé de huit wagons en pleine campagne, à hauteur de la commune de Fulvy. Après avoir vidé pas moins de quatre extincteurs, il a finalement pu venir à bout de l’incendie.

    Un train bloqué à Aisy-sur-Armançon

    Une douzaine de pompiers de Tonnerre et d’Ancy-le-Franc ont été appelés sur place. Coordonnés par le capitaine Philippe Marty, ils ont été mobilisés pendant une heure pour empêcher toute reprise du feu.

    L’intervention ayant nécessité la coupure de l’alimentation électrique, le trafic a été interrompu jusqu’à 18 heures environ. Un train transportant une centaine de voyageurs, ravitaillés en eau, a ainsi été bloqué en gare d’Aisy-sur-Armançon. Les passagers d’un autre train ont quant à eux été stoppés en gare de Tonnerre. Un bus a été affrété afin qu’ils terminent leur voyage jusqu’à Dijon.

    Le train de marchandises immobilisé à Fulvy a été dérouté quelques kilomètres plus loin, sur une voie de garage à Nuits-sous-Ravières. Les services de la SNCF évoquent une « défaillance technique au niveau du moteur » pour expliquer cet incident.

    Lyonne.fr

    feu-tr10.jpg

    • J'adore 4
  15. CEVA - Liaison ferroviaire Cornavin - Eaux-Vives - Annemasse

    Site officiel de la République et Canton de Genève

    Réseau CEVA: vers un RER France-Genève-Lausanne en 2017

    Le projet CEVA Cornavin-Eaux-Vives -Annemasse dans le Grand Genève préfigure la création d’un RER franco-suisse géré par une filiale SNCF-Chemins de fer fédéraux. La CGT voit se profiler une ouverture à la concurrence.

    Le CEVA est le grand projet ferroviaire trans-frontalier permettra en 2017, la connexion des réseaux ferrés suisses et français reliera en 2017 la gare d’Annemasse à Genève Cornavin en 20 minutes. Il desservira les gares de Chêne Bourg / Genève Eaux Vives / Champel Hôpital / Carouge Bochet Lancy Pont Rouge, sur 16 kilomètres dont 2 kilomètres en territoire français, en tunnel et tranchées couvertes, en double voie intégrale et électrifiée.

    CEVA doit permettre la mise en place d’un RER Franco Valdo Genevois (Réseau Express Régional) qui ferait circuler 220 trains quotidiens sur 230 kilo­mè­tres de lignes, desservant 45 gares. Pour mettre en service ce RER le parc maté­riel est estimé dans un pre­mier temps à 40 rames dont 19 pour la France. A terme il sera de 55 rames dont 23 pour la France. Le maté­riel retenu aura un impact lié à son entre­tien.

    La SNCF et les Chemins de Fer Fédéraux suisses ont annoncé à la fin de 2013, la créa­tion d’une société com­mune. Le choix est le même que celui qui a été retenu pour des TGV internationaux desservant Bruxelles ou Londres depuis Paris.

    Enviscope du mercredi 23 juillet.

  16. Saint-Marcel-lès-Annonay - Annonay - Peyraud

    Un été 1944 à Annonay.

    La Résistance détourne un train de prisonniers

    Dans la nuit du 3 au 4 août 1944, des maquisards ardéchois détournent un train de déportés et l’aiguillent vers Annonay. Quelque 70 prisonniers échapperont aux camps nazis. Un événement unique en France pendant la Seconde Guerre mondiale.

    Il y a 70 ans, le domaine de la Gare, à Annonay, était une vraie gare. Les trains de voyageurs circulaient encore en Ardèche et venaient s’arrêter à l’endroit où se trouve aujourd’hui un supermarché discount. Il y a 70 ans, ce quartier désormais résidentiel était le théâtre d’un haut fait de la Résistance. De ceux qui font la fierté d’un pays et que l’on commémore chaque année.

    Le Dauphiné Libéré

    alors-10.jpg

    Alors que les résistants cherchaient depuis plusieurs jours comment sauver ces prisonniers, c’est
    en gare d’Annonay que tout s’est joué. Il n’existe toutefois pas de cliché de cet événement.

    • J'adore 2
  17. (Agen) Bon-Encontre - Castex-Lectourois - Fleurance - Auch

    R. Vall : «Le premier combat, c'est le fret»

    La ligne de fret Fleurance-Agen a obtenu un sursis. Le sénateur-maire Raymond Vall entend bien transformer l'essai et pérenniser ce répit, et ne s'interdit pas d'envisager le futur… Et le trafic passagers…

    La ligne ferroviaire entre Fleurance et Agen rouvrira le 22 août. Les coopératives peuvent souffler, elles n'auront pas à vider leurs silos par camions. Pour autant, Réseau ferré de France (RFF) gestionnaire des voies, n'a pas accordé plus de trois ans de vie à cette ligne. Raymond Vall, le sénateur maire de Fleurance, principal acteur de cette réouverture, n'entend pas laisser fondre cette possibilité de désenclavement.

    Quel a été le déclencheur de votre action en faveur de la ligne ?

    Il y a deux mois, les présidents de Gersycoop et Val de Gascogne m'ont contacté : RFF Toulouse fermait la voie ferrée vers Agen pour cause de dégâts dûs à la météo, sur des infrastructures dans le Lot-et-Garonne. Les élus n'avaient même pas été avertis ! Or, quand une ligne ferme, elle ne rouvre pas… Au même moment, je pilotais le débat sur la réforme ferroviaire au Sénat. J'ai contacté les présidents de la SNCF et de RFF. Au bout du compte, RFF a débloqué de quoi rouvrir la ligne pour un à trois ans. A ce moment, le plus urgent était d'assurer le transport des 100 000 t de grains des silos, avec la récolte 2014 qui se profilait.

    La Dépêche

    20140810.jpg

    Le 28 juillet, Raymond Vall s'est rendu sur le chantier de la ligne Agen-Fleurance.
    Il revient pour La Dépêche sur les enjeux de la pérennisation de cet axe./ Photo F.C.

×
×
  • Créer...

Information importante

Nous avons placé des cookies sur votre appareil pour aider à améliorer ce site. Vous pouvez choisir d’ajuster vos paramètres de cookie, sinon nous supposerons que vous êtes d’accord pour continuer.