IGS4

J'aurais aussi très bien pu me tromper.

"Errare humanum est, perseverare diabolicum !"

"L'erreur est humaine, persévérer est diabolique !"

Avec ton PN situé sur l'une des 5 anciennes lignes de l'étoile de La Flèche,

ça faisait un moment que tu me faisait tourner en "bourrique".

Je passe la main.

Géant Vert tu expliques que ce n'est pas sur l'ancienne ligne de Bazouges-sur-le-Loir.

C'est à mon avis pourtant bien sur l'ancienne ligne de (Angers) Saint-Barthélemy-d'Anjou

à La Flèche via Durtal (Maine-et-Loire) et Bazouges-sur-le-Loir (Sarthe).

Pourquoi ?

Département de la Sarthe

A l'Est de la commune de Bazouges-sur-le-Loir (côté La Flèche)

présence de l'ancien PN 309 au lieu-dit "Le Clos".

A l'Ouest de la commune de Bazouuges-sur-le-Loir (côté Durtal et Angers)

présence de l'ancien PN 303 au lieu-dit "Pré de la Barbée".

La numérotation des PN allant "décroissant" de La Flèche vers Angers.

Département du Maine-et-Loire

Si ta photo correspond bien à l'ancien PN 296, cela pourrait correspondre aux

environs de l'ancien EP des papeteries de La Rochette-Cempa (Rochette-Atlantique)

situé au lieu-dit" Gouis" sur la commune de Durtal.

Ex. EP qui était encore desservi par fer à l'époque "mémorable", ou la

gare de La Flèche disposait encore d'un Chef de gare.

Dans tous les cas, je pense que ce PN est situé aux environs immédiats de la commune

de Durtal. Ou un peu plus au Sud-Est de Durtal, sur la commune de Lézigné.

Si la réponse est correcte je passe la main.

Le réseau des Chemins de fer du Calvados était un réseau

d'intérêt local à voie étroite de type Decauville (0,60 m).

Exploitation :

Société Decauville : de 1891 à 1894.
Société des Chemins de fer du Calvados (CFC) : de 1895 à 1936.
Société des Courriers Normands à partir de 1937.

Section : Dives - Cabourg - Bénouville - Caen-État (25 km)

Section : Dives - Cabourg - Sallenelles - Bénouville (15 km).
Mise en service : en 1892 - Fermeture : en 1932.

Section : Bénouville - Hérouvilles-Colombelles - Caen-État (10 km).
Mise en service : en 1893 - Fermeture : en 1944.

Le pont tournant de Ranville.

Le même pont en 1905.

Section : Dives - Cabourg - Bénouville - Caen-État (25 km)

Au départ de Dives la ligne desservait :

Cabourg (+ 1 km), Le Home-Varaville (+ 4 km), Le Home-Sainte-Marie (+ 5 km),
Franceville-plage (+ 6 km), Merville (+ 7 km), Sallenelles (+ 10 km),
Amfreville-l'Écarde (+ 12 km), Ranville (+ 14 km), Pont de Bénouville (Canal de Caen
à la mer), Bénouville (+ 15 km), Blainville (+ 18 km), Hérouvilles-Colombelles
(+ 21 km), Calix (+ 23 km), Caen-Saint-Pierre (+ 24 km) et Caen-État (+ 25 km).

Un train Decauville en gare de Bénouville.

Un train Decauville en gare de Caen-Saint-Pierre.

">Carte ferroviaire du département du Calvados

Pont-l'Évêque - Honfleur - Quetteville (24,700 km) - Fascicule 3-24-2

Mise en service par la Compagnie des chemins de fer de l'Ouest : le 7 juillet 1862.
Reprise de l'exploitation par la Compagnie des chemins de fer de l'État : le 1er janvier 1909.

Fin du service voyageurs entre Pont-l'Evêque et Honfleur : le 26 septembre 1971.
Fin du service marchandises entre Pont-l'Evêque et Quetteville : le 26 septembre 1971.

Déclassement de la section Pont-l'Evêque - Quetteville (du PK 208 + 040 au PK 220 + 400) par décret
du 11 juillet 1994. Etat actuel de la ligne Quetteville - Honfleur : service marchandises (1).

(1) Le trafic marchandises a cessé sur cette section en 2005, avant de reprendre le 21 août 2008.

Source des différentes dates

Gare de Pont-l'Évêque (PK 207 + 500)

Elle a été mise en service en juillet 1858 en même temps que la section : Lisieux - Pont-l'Évêque (17,400 km).

La gare à l'époque de la Compagnie des chemins de fer de l'État.

Pont-l'Évêque - Honfleur - Quetteville (24,700 km) - Fascicule 3-24-2

A Pont-l'Évêque, cette ancienne ligne à voie unique à écartement standard avait son origine, à
la bifur de Quetteville (PK 207 + 900) située à 400 mètres de la gare côté Trouville-Deauville.

Son point culminant (PK 218) se situait à l'intérieur du tunnel d'Hébertot
Déclivités maximales des rampes et pentes : 10 ‰ entre Pont-l'Évêque
(PK 207 + 500) et Saint-André-d'Hébertot (PK 216 + 100).

Halte de Saint-André-d'Hébertot (PK 216 + 100)

Dans le fond le tunnel de Saint-André-d'Hébertot (2929 mètres)

Portail côté Saint-André-d'Hébertot (PK 216 + 200). Portail côté Quetteville (PK 219 + 100).

En Haute-Loire, sur l'ancienne ligne du Puy-en-Velay à Langogne (Lozère) ?

Je passe la main.

Bonjour Jackv,

c'est tout simplement l'ancienne gare de Mugron (PK 180 + 200).

Je passe la main.

Bonne fin de soirée.

Amicalement.

Alexis.

La réponse a été confirmée par BB 7241 le lundi 9 décembre à 16h23.

Gare de Saint-Frézal-de-Ventalon (PK 17 + 300)

Altitude : 500 mètres.

Elle était située à 17,300 km de Saint-Cécile-d'Andorge (Gard) et à 31,600 km de Florac.

Autorail Billard n° 314 et De Dion-Bouton n° 204 en 1968.

Train de marchandises pour Florac (le 22 avril 1965)

Photo : Jean-Louis ROCHAIS.

Gare de Saint-Hilaire-de-Lavit (PK 12 + 500)

Altitude : 384 mètres.

Elle était située à 12,500 km de Saint-Cécile-d'Andorge (Gard) et à 36,400 km de Florac.

Année 1965 - Croisement entre un train de bois et l'autorail De Dion-Bouton n° 202.

Photo (couleurs) : Jaques Forget.

Source

La gare de Saint-Hilaire-de-Lavit en 2006.

Source : Les Forums du GEMME (Discussions sur les chemins de fer à voie étroite réels et miniatures).

Bonjour Fabrice,

Rassure-toi, le SDIS 72 (Service Départemental d'Incendie et de Secours) de la

caserne Saint-Michel de Coulaines, qui réceptionne tout les appels du 18 de mon

département est en alerte maximum en permanence ! ! ! ! !

A tout hasard . . .

Ancienne section : Sain-Bel - Saint-Pierre-la-Palud.

L'ancien chemin de fer des mines de pyrite de l'usine de souffre

Saint-Gobain avec son ancien plan incliné automoteur.

A tout hasard . . .

Un ancien chemin de fer minier situé à Givors (ou dans ses environs).

A tout hasard . . .

1) Ligne de Lyon-Fourvière à Vaugneray et Mornant (FOL).

2) La ligne de Messimy à Saint-Symphorien-sur-Coise (CRL).

3) La ligne des tramways électriques de Saint-Symphorien-sur-Coise à Viricelle-Chazelles (VCS)

Je dirais même plus, en tant que ripagérien averti,

la ligne inachevée de Mornant à RGR (Rive-de-Gier).

Petit hors-sujet, les sections : La Grand-Croix - Rive-de-Gier - Givors et

Saint-Etienne - Andrézieux (transports de charbon par traction animale)

sont, comme tout un chacun devrait le savoir, le berceau du rail français.

Autre petit hors-sujet.

Les armoiries de la BB 22302 de Dijon-Perrigny (baptême du 21 novembre 1981).

A tout hasard . . .

sur les deux lignes à voie métrique du réseau des CFB (Chemins de fer du Beaujolais) :

1) soit sur la ligne du tacot de Tarare : Villefranche-sur-Saône - Bois-d'Oingt - Tarare PLM.

2) soit sur la ligne du tacot du Perréon : Villefranche-sur-Saône - Le Perréon - Beaujeu PLM - Monsols.

A tout hasard . . .

A la limite des départements du Rhône et de la Loire. Des anciennes antennes

de la ligne : Le Coteau (Roanne) - Tarare - Saint-Germain-au-Mont-D'or (Lyon).

Limite : monts du lyonnais et du Beaujolais.

1) Chemin de fer d'intérêt local (SVT et SVC) de Saint-Victor-Thizy (Loire) à Thizy

et Cours (Rhône).

2) Chemin de fer d'intérêt local d'Amplepuis (Rhône) à Saint-Victor-de-Reins (Rhône).

Cyril83, si tu avait comme moi, le relevé successif des ouvertures des lignes

(Document officiel du Centre des Archives de la SNCF), ça peut déjà aider

"sérieusement" à résoudre la solution.

En fait, pour une fois, je me suis un peu trop vite précipiter

sur Google images "gare de Villechaud".

Comme toutes les photos sont mélangées.

J'ai pas pris le temps de vérifier que l'article du journal du Centre, ne concernait

pas la gare de Villechaud, mais la gare de Cosne-sur-Loire.

A tout hasard . . .

la gare de Villechaud (PK 200 + 345).

Si la réponse est correcte je passe la main.

Merci Alexis pour l'histoire de cette ancienne ligne, pour

ces CPA, et pour tous ces différents liens.

Bonjour Louis,

Gare du Collet-de-Dèze (PK 6 + 400)

Altitude : 311 mètres.

Elle était située à 6,400 km de Sainte-Cécile-d'Andorge (Gard) et à 42,500 km de Florac.

Dans le fond le tunnel du Collet (58 mètres)

Source : La Cévenne Lozérienne et ses environs

Construction de la ligne des CFD.

Source : La Cévenne Lozérienne et ses environs

">Carte ferroviaire du département du Gard

Gare de Sainte-Cécile-d'Andorge (PK 652 + 444)

Altitude : 290,800 mètres.

Elle a été mise en service par la Compagnie du PLM en août 1867, en même temps que
la section : Villefort - Chamborigaud - Sainte-Cécile-d'Andorge - La Levade (30,809 km).

Autorail Billard n° 314 en 1956.

De 1909 à 1968, la gare de Sainte-Cécile-d'Andorge était gare
origine de l'ancienne ligne à voie métrique vers Florac (Lozère).

Manœuvre d'un autorail De Dion-Bouton

La locomotive Mallet 030+030 T n° 410 SACM, livrée en 1927 au
réseau du Vivarais, lors d'un séjour sur le réseau de la Lozère.

">Carte ferroviaire du département du Gard

Carte ferroviaire du département de la Lozère

Sainte-Cécile-d'Andorge - Saint-Privat-de-Vallongue - Florac

Longueur : 48,900 km, dont environ 1,500 km dans le Gard et 47,400 km dans la Lozère.

Exploitation : voie unique à voie métrique.
Compagnie de chemins de fer départementaux (CFD)

Mise en service : le 24 juillet 1909.
Inauguration officielle : le 8 août 1909.
Fermeture : 31 mars 1968.

Source

Gare de Florac (altitude : 540 mètres)

La gare en 1917.

Autorail Billard A 150 D n° 214 en gare de Florac en 1963.

Photo : Jean-Michel VAUGOUIN.

Retournement de l'autorail De Dion-Bouton n° 201 en gare de Florac en 1968.

Manœuvre de l'autorail De Dion-Bouton n° 202 en gare de Florac en 1963.

Je passe la main.

A tout hasard . . .

pour avoir passé quelques années de ma jeunesse dans

la cité des caladoises et des caladois.

Ca ressemble étrangement au bâtiment (ancien SERNAM) situé côté pair, entre le

pont de l'avenue Edouard Herriot (côté Lyon) et le B.V. de Villefranche-sur-Saône.

Derrière le bâtiment le grand parking de la rue Grange Blazet.

Avec à gauche du bâtiment en question la zone des garages [G].

Source : carnet de profils de la région du Sud-Est de 1959.

Si la réponse est correcte je passe la main.

Carte ferroviaire du département de la Haute-Marne

Carte ferroviaire du département de la Meuse

Wassy - Joinville - Poissons-Noncourt - Gondrecourt-le-Château - Sorcy

Longueur : 88,300 km, dont environ 46 km dans la Haute-Marne et 42,300 km dans la Meuse.

Mise en service par la Compagnie de l'Est : le 1er juin 1892.

Fermeture au service voyageurs

- section Wassy - Joinville - Poissons-Noncourt - Gondrecourt-le-Château (59,700 km) :
le 1er juillet 1938 (réouverture durant la deuxième guerre mondiale).
- section Gondrecourt-le-Château - Rosières-en-Blois - Sauvoy - Sorcy : le 15 mai 1938.

Fermeture au service marchandises

- section Wassy - Somancourt-Maizières - Joinville (23,500 km) : le 17 mai 1953.
- section Joinville - Poissons-Noncourt (7,900 km) : le 27 mai 1990.
- section Poissons-Noncourt - Soulaincourt - Luméville-Chassey (19,500 km) : le 17 mai 1953.
- section Luméville-Chassey - Gondrecourt-le-Château (8,800 km) : le 3 novembre 1969.
- section Gondrecourt-le-Château - Rosières-en-Blois - Void (22,300 km) : le 17 mai 1953.
- section Void - Saint-Martin-Sorcy - Sorcy (6,300 km) : le 1er octobre 1964.

Gare de Poissons-Noncourt (PK 291 + 200)

La gare à l'époque de l'ancienne Compagnie de l'Est.

Elle était située à 31,400 km de Wassy, à 7,900 km de Joinville, à 28,300 km
de Gondrecourt-le-Château, et à 56,900km de Sorcy.

La gare en mai 2002.

Source

La gare de Poissons-Noncourt a depuis été reconvertie en centre socioculturel, et la halle
marchandises fait désormais partie intégrante de la caserne des pompiers de Poissons .

Photo (mai 2013) : Bernard Dieffenbacher.

Viaduc de Noncourt à l'époque de l'ancienne Compagnie de l'Est