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IGS4

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Messages publiés par IGS4

  1. Section : Troyes - Bar-sur-Aube - Chaumont

    Ville de Bar-sur-Aube

    Une grève des élections pour sauver la ligne 4?

    Vendredi, Pierre Frison, conseiller municipal, a proposé que les élus concernés par la
    suppression programmée de trains n’organisent pas les élections municipales.

    Réduire la desserte ferroviaire actuellement de 15 allers-retours entre Paris et Troyes
    dont 6 prolongés jusqu’à Belfort à 9 allers-retours dont deux prolongés jusqu’à Belfort :
    « un vrai massacre de la ligne 4 » ,s’accordent à dire les élus. Un massacre qui pénalise
    les usagers et qui aura des conséquences économiques, sociales et touristiques majeures
    pour le Sud de la Champagne-Ardenne.

    Vendredi soir, lors du conseil municipal, une motion déjà votée au conseil régional le 30
    septembre dernier était proposée aux élus Baralbins.

    Une épreuve de force

    Cette motion réclame le maintien de tous les trains prévus par la convention actuelle
    d’exploitation des trains d’équilibres du territoire, d’assurer l’investissement nécessaire à
    l’horizon 2015/2016 pour disposer de suffisamment de trains neufs pour assurer l’ensemble
    des liaisons mais aussi de rétablir les deux allers-retours supprimés à la rentrée.

    La suite dans l'Est éclair

    radDA5D9.jpg

  2. Obnubilé par les trains, un Somainois infiltre la SNCF

    En se faisant passer pour un agent SNCF, un Somainois a failli provoquer une catastrophe ferroviaire.

    Suspecté d'avoir saboté des boîtiers électriques, il était jugé mardi 15 octobre devant le tribunal

    correctionnel de Douai et condamné à 18 mois de prisons ferme dont 12 mois avec sursis.

    Devant les juges, Fabrice François se présente comme un voyageur comme les autres. Pourtant cet

    homme de 46 ans, né à Somain, est obsédé par les trains et la SNCF. Suite à un sabotage à Fenain,

    Fabrice François aurait pu provoquer une véritable catastrophe ferroviaire. Au fil des débats de son

    procès, on découvre un homme bipolaire qui vit dans l’obsession du rail et des trains.

    Tout commence dans la nuit du 26 août. La police est alertée par des actes de sabotage sur plusieurs

    boîtiers électriques SNCF à côté du passage à niveau de Fenain. Sur place, à leur grande surprise, il

    découvre un homme en chasuble fluo, régulant la circulation automobile. Il se présente comme un

    agent de la SNCF et constate que les barrières ont été également détériorées.

    Cet homme n’est autre que Fabrice François. Mais son comportement alerte les policiers, sa chasuble

    n’est pas réglementaire, il a sur lui une serpette d’électricien. Plus étrange encore, dans son véhicule,

    les policiers trouvent plus d’une cinquantaine d’enveloppes de réclamation de la SNCF et même un

    bulletin. Au total, 12 boîtiers électriques situés le long de la voie ont été détériorés. Pour certains, des

    fils électriques ont été dénudés et raccordés de façon sauvage.

    La suite dans lobservateurdudouaisis.fr

    • J'adore 1
  3. Section : Le Mans - Sillé-le-Guillaume - Evron - Laval

    PN à SAL 2 n° 128 de Sain-Rémy-de-Sillé (Sarthe).

    Collision de TGV: le camion sur un passage à niveau limité à 6 tonnes

    L'enquête est ouverte après l'accident. Question: pourquoi un semi remorque se trouvait-il sur un passage
    à niveau limité aux véhicules de moins de 6 tonnes?

    Au lendemain de l'accident de TGV qui a coupé la circulation des trains entre Paris et Rennes via Laval,
    les enquêteurs sont au travail. Et s'intéressent notamment à la présence sur le passage à niveau 128
    de Saint-Rémy-le-Guillaume d'un camion avec remorque, là où le passage n'est autorisé que pour les
    véhicules de moins de 6 tonnes. Or l'ensemble routier, avec du matériel agricole sur un porte-char,
    excédait largement ce poids autorisé pour franchir le passage à niveau. Que faisait-il là et bénéficiait-il
    d'une dérogation pour une livraison dans cette zone rurale?

    La suite dans le Ouest-France de ce jour (11h38).

    rad55837.jpg

    Une partie de la cabine du camion percutée par le TGV, cette nuit en bord de voie ferrée: elle est pulvérisée

  4. La Ferté-sous-Jouarre - Sablonnières - Verdelot - Montmirail (45 km)

    Au départ de La Ferté-sous-Jouarre la ligne desservait : Saint-Ouen-sur-Morin

    Halte de Sain-Ouen-sur-Morin

    Source CPA, photos et commentaires :

    Voyage en train...La ligne la Ferté sous Jouarre - Montmirail

    rad6015D.jpg

    La même halte en mai 2013.

    rad490BD.jpg

    Aujourd'hui, grâce à l'association Nature et patrimoine du Petit Morin, un travail de mémoire remarquable a été réalisé.

    Une maquette grandeur nature de la locomotive qui circulait sur ces voies est présentée sous un auvent.

    rad00C7A.jpg

    La même locomotive.

    Source

    radE1F03.jpg

    • J'adore 3
  5. La dangerosité du PN à SAL n° 128 ne date pas d'aujourd'hui !

    J'ai toujours connu cette situation.

    question: y a t'il sur ce PN la signalisation routière adéquate a savoir un panneau d'interdiction au PL et autres surbaissés ?

    La preuve en images.

    "Lieu-dit" : Beauchêne (72140 Saint-Rémy-de-Sillé).

    De l'autre côté du PN la direction de Saint-Rémy-de-Sillé.

    Source (photos)

    rad6D8AC.jpg

    De l'autre côté du PN la direction de Sillé-le-Guillaume et Crissé (D 87).

    radB227A.jpg

    • J'adore 1
  6. le seul passage à niveau visible sur google est celui-là :

    https://maps.google.fr/maps?q=sill%C3%A9+le+guillaume&ie=UTF8&ll=48.179268,-0.093003&spn=0.023809,0.055189&client=firefox-a&hnear=Sill%C3%A9-le-Guillaume,+Sarthe,+Pays+de+la+Loire&t=h&z=14&layer=c&cbll=48.179268,-0.093003&cbp=12,0,,0,0&photoid=po-57354874 avec une "belle" bosse , ce qui peut etre tres genant pour un camion transportant des engins (souvent remorque surbaissée)

    La dangerosité du PN à SAL n° 128 ne date pas d'aujourd'hui !

    J'ai toujours connu cette situation.

    Willy Colin continue son parcours comme reporter spécialiste ès-ferroviaire sur FR3 sur cet accident.

    Rien d'étonnant, c'est le canton de résidence de Willy Colin.

    Sacré Willy, tu ne changeras donc jamais ! mdrmdrmdrmdrmdrmdr

  7. La Ferté-sous-Jouarre - Sablonnières - Verdelot - Montmirail (45 km)

    Dont 36 km dans la Seine-et-Marne, 5 km dans l'Aisne et 4 km dans la Marne.

    Source

    Commune à trois départements, la ligne est déclarée d'utilité publique en août 1885.

    Les mises en service interviennent par étapes :

    • La Ferté-sous-Jouarre - Condetz : 1er octobre 1889, avec franchissement de la Marne.
    • Condetz - Sablonnières - Verdelot - Montmirail : 15 février 1889
    • Gare d'eau de La Ferté-sous-Jouarre : 15 juillet 1891

    La ligne serpente dans la vallée du Petit Morin. La différence entre la plus haute et la plus
    basse des alitudes est de 100 m. Les rayons de courbures sont assez faibles, avec 80 m
    dans les gares. A Montmirail, il existe trois gares, les CBR, les CFD et l'Est. La ligne se
    raccorde aux CF du Sud-Est à Sablonnières, ainsi qu'aux CF de l'Aisne à Verdelot.

    Le pont sur la Marne est détruit pendant la première guerre. Le trafic ne sera remis en service
    entre La Ferté et Condetz qu'en 1922. Un transfert partiel sur route est opéré en 1938 par les
    CFD, pour les service voyageurs, total en 1939, mais repris en septembre par rail. La ligne est
    fermée à tout trafic en 1947. L'activité ferroviaire demeure à Montmirail avec un atelier de
    construction et entretien de matériels.

    Source (texte) : l'excellent site de Rémy Sarrade okok

    Gare de La Ferté-sous-Jouarre (PK 65 + 154)

    La gare à l'époque de la Compagnie des chemins de fer de l'Est.

    rad69DE4.jpg

    La gare après le bombardement du 15 juillet 1918.

    C'est à 22h40, le 15 juillet 1918, que tombent deux bombes sur la gare. Des décombres, on sortira
    plusieurs morts, notamment monsieur Maillet le chef de gare, monsieur Marchal le sous-chef de gare
    et monsieur Henry employé. La nouvelle gare, édifiée après le conflit, présente la particularité d'être
    construite en pierre meulière, spécialité de la ville.

    Source (texte)

    rad3F413.jpg

    Au départ de La Ferté-sous-Jouarre la ligne desservait :

    Condetz, Saint-Cyr-sur-Morin, Saint-Ouen-sur-Morin, Orly-sur-Morin,
    Boitron-la-Trétoire, Sablonnières, Bellot, Villeneuve-sur-Bellot, Verdelot,
    Montdauphin, La Celle (Aisne) et Montmirail.

    Gare de La Ferté-sous-Jouarre

    Le train pour Montmirail.

    rad0B827.jpg

    Gare de Condetz

    Elle était située sur la commune de La Ferté-sous-Jouarre.

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    • J'adore 4
  8. Halte de Rubelles-Voisenon

    Elle était située à 3,800 km de Melun et à 14,600 km de Verneuil-l'Etang.

    Emplacement actuel : un rond-point (commune de Maincy)
    situé entre la route de Guignes et la route de Voisenon.

    Croisement de la D 636 (Melun - Péage 15 de l'A5) et de la D 82 (Voisenon - Maincy).

    Source photo

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    Gare de Champdeuil-Crisenoy

    Elle était située à 9,600 km de Melun et à 8,800 km de Verneuil-l'Etang.

    Emplacement actuel : un rond-point situé au croisement de la N 36
    (Péage 15 de l'A5 - Guignes) et de la D 130 (Champdeuil - Crisenoy).

    Source

    rad4922B.jpg

    • J'adore 2
  9. Carte ferroviaire du département de Seine-et-Marne

    Melun - Saint-Germain-Laxis - Verneuil-l'Etang (18,400 km)

    Le Tramway de Verneuil (appelé aussi tacot de Verneuil), exploité par la
    Société générale des chemins de fer Economiques (SE), allait de Melun à
    Verneuil-l'Etang. Il partait du “ Mail Gaillardon ” (Melun), longeait l'Almont,
    montait la côte de la Rue de Trois-Moulins, traversait Trois-Moulins, suivait la Route
    de Meaux, traversait St-Germain-Laxis, Guignes-Rabutin avant d'arriver à Verneuil.

    Source (texte) avec plusieurs CPA (cartes postales anciennes).

    Gare de Melun-ville

    rad20CE8.jpg

    • 6 mai 1899 : déclaration d´utilité publique
    • Construction d´octobre 1900 à avril 1901
    • 1er mai 1901 : ouverture de la ligne
    Longueur de la ligne : 18,37 km
    • 3 allers-retours de voyageurs dans chaque sens (matin, midi et soir)
    • 1er mars 1934 : fermeture aux voyageurs (remplacé par autobus)
    • 1er septembre 1938 : fermeture aux marchandises
    • Les voies restent en place
    • 21 mars 1951 : décret de déclassement (démontage de la ligne)

    Source (texte) avec plusieurs CPA (cartes postales anciennes).

    Gare de Champdeuil-Crisenoy

    rad48878.jpg

    Au départ de Melun la ligne desservait :

    Melun-Octroi (+ 0,800 km), Les Trois-Moulins (+ 2 km), Rubelles-Voisenon (+ 3,800 km),
    Saint-Germain-Laxis (+ 6,200 km), Les Bordes (+ 7,700 km), Champdeuil-Crisenoy (+ 9,600 km),
    Genouilly-Suscy (+ 11 km), Guignes-sucrerie (+ 14,300 km), Guignes-ville (+ 15,200 km) et
    Verneuil-l'Etang (+ 18,400 km).

    Gare de Guignes-Rabutin

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  10. T 25 - Avenue du Docteur Zamenhof (semaine 41)

    Nuit du lundi au mardi : pose des traverses et des rails entre la rue des Fontenelles (PM 2683) et la rue Colette (PM 2825).

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    Devant la résidence des Fontenelles l'emplacement des aiguilles 8 et 9 de la future traversée Zamenhof.

    Elle servira notamment en cas de service dégradé.

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    Nuit du mardi au mercredi : pose de la future traversée Zamenhof (PM 2645).

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    L'aiguille 8 (PM 2631) située côté voie 2 (sens Bellevue - Préfecture).

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    L'aiguille 9 (PM 2659) située côté voie 1 (sens Préfecture - Bellevue).

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    • J'adore 2
  11. Ruffec - Champagne-Mouton - Roumazières-Loubert (45 km)

    Exploitation : voie unique à écartement standard.

    Mise en service par la Compagnie du PO : le 9 octobre 1911.
    Fermeture au service voyageurs : le 1er septembre 1938.
    Fermeture au service marchandises : le 6 août 1951.

    Déclassement (du PK 402,903 au PK 447,189) : le 12 novembre 1954.
    Dépose des voies : inconnue.
    Etat actuel de la ligne : déposée.

    Au départ de Ruffec la ligne desservait :

    Verteuil (+ 6,600 km), Saint-Georges-Pougné (+ 11,500 km), Nanteuil-en-Vallée (+ 16,700 km),
    Saint-Gervais (+ 19,300 km), Champagne-Mouton (+ 23,400 km), Vieux-Cérier (+ 26,700 km),
    Saint-Laurent-Grand-Madieu (+ 30,100), Saint-Claud-sur-le-Son (+ 35,600 km), Nieuil (+ 39,400 km)
    et Roumazières-Loubert (+ 45 km).

    Source (texte)

    Gare de Nanteuil-en-Vallée (PK 418 + 800)

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    Gare de Champagne-Mouton (PK 425 + 500)

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    Le viaduc de Saint-Gervais

    Source photo

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    • J'adore 3
  12. Carte ferroviaire du département d'Indre-et-Loire

    Port-Boulet - Chinon - L'Île-Bouchard - Port-de-Piles (52,200 km)

    Point culminant : PK 11 situé entre Avoine-Beaumont (PK 6 + 400) et Chinon (PK 14 + 200).

    Plus précisément entre Avoine-Beaumont et le Tunnel de Chinon (920 mètres)

    Déclivités maximales des rampes et pentes : 15 ‰ entre Port-Boulet et Chinon.

    A Chinon, cette ancienne ligne avait son origine côté Thouars (ex. Poste 3) après le viaduc de la Vienne.

    Mise en service :

    - section Port-Boulet - Chinon (14,200 km) : le 2 juillet 1882
    - section Chinon - L'Île-Bouchard (16,800 km) : le 27 novembre 1882
    - section L'Île-Bouchard - Port-de-Piles (21,200 km) : le 12 juillet 1885

    Fermeture au service voyageurs : le 6 février 1939.

    Au départ de Port-Boulet la ligne desservait . . .

    Avoine-Beaumont (+ 6,400 km), Chinon (+ 14,200 km), Ligré-Rivière (+ 19,600 km),
    Anché (+ 22,100 km), Sazilly (+ 24,300 km), Tavant (+ 28,200 km),
    L'Île-Bouchard (+ 31 km), Crouzilles (+ 34,700 km), Trogues (+ 37,900 km),
    Pouzay (+ 42,500 km), Nouâtre-Maillé (+ 47,300 km) et Port-de-Piles (52,200 km).

    Gare de Ligré-Rivière (PK 19 + 600)

    Elle était gare de bifurcation de l'ancienne ligne vers Richelieu mise en service le 7 septembre 1884.

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    • J'adore 4
  13. Merci pour ces infos. okok

    Carte ferroviaire du département de la Drôme

    Saint-Vallier - Châteauneuf-de-Galaure - Le Grand-Serre

    Ouverture de la ligne 29 octobre 1893 - Fermeture le 10 juillet 1931.

    D'une longueur de 26 kms 753, cette ligne desservait la fertile vallée de La Galaure. Le projet
    d'approbation fut signé le 31 mars 1892, et on commença aussitôt les travaux qui débutèrent
    très lentement. Mais les communes concernées demandèrent l'accélération du chantier, ce qui
    permit l'ouverture de la ligne le 29 octobre 1893.

    En 1896 on étudia le projet de prolonger la ligne de Grand Serre à Roybon qui permettait le
    ralliement avec les tramways du Dauphiné, mais il semble que cette liaison ne fut jamais réalisée.

    Les trains étaient généralement composés de locomotives à vapeur auxquelles on accrochait un
    maximum de 10 voitures qui ne devaient pas excéder 60 mètres.

    La vitesse était de 20 Km heure et 6 km heure dans la traversée des agglomérations.

    A la demande du Conseil Municipal et des responsables du Port de St-Vallier un raccordement
    supplémentaire fut ouvert le 25 octobre 1901. La demande avait été faite le 10 février 1896,
    et approuvé le 23 octobre 1899. Il fallut 5 ans pour donner fin à ce projet.

    Source (texte)

    Le site de Jean-Yves BERSIO :

    L'histoire en images des lignes départementales des Chemins de Fer de la Drôme okok

    Gare du Grand-Serre

    radD4FFB.jpg

    Au départ de Saint-Vallier PLM la ligne desservait :

    Saint-Vallier-ville, Saint-Vallier-Champ-de-Mars, Rochetaillée, Saint-Uze,
    Mureils-Saint-Bonnet, La Motte-de-Galaure, Châteauneuf-de-Galaure,
    Treignieux, Hauterives-Saint-Germain et Le Grand-Serre.

    Aux arrêts prévus initialement, furent ajoutés d'autres stops à la demande des habitants notamment.

    Les Belliers (entre Treigneux et Châteauneuf-de-Galaure), Le Pont de Courbe-Tourmente (entre Saint-Uze et
    Villeneuve-de-Vals) facultatifs au départ, ces arrêts furent ensuite définitifs grâces aux recettes qu'ils dégageaient.

    Il fut créé d'autres arrêts facultatifs :

    • Les Cornets (entre Mureils et La Motte-de-Galaure)
    • Les Jays et la Guette (entre la Motte-de-Galaure et Saint-Uze)
    • La Nativité à Saint-Vallier, proche de l'école supérieure.

    Source (texte)

    Gare d'Hauterives

    La commune d'Hauterives est connu pour son Palais idéal du facteur Cheval

    radDF530.jpg

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  14. C'est bien Le Mans, le pont sur la Sarthe direction Rennes et Nantes, photo prise depuis le pont des Tabacs

    Effectivement c'est bien le viaduc des tabacs (PK 211 + 400) vu depuis le pont des tabacs (rue d'Eichtal).

    Sur droite la rue du canal et l'ancienne manufacture des tabacs (aujourd'hui Altadis).

  15. Le tramway de Bellegarde à Chézery a tté le théâtre d'un "affaire" peu reluisante mettant

    en cause la femme du directeur de l'usine électrique alimentant la ligne.

    Igs4 une illustration montrant cette fameuse usine?

    Bonjour,

    Usine électrique de Sous-Roche

    (Commune de Champfromier)

    L'usine électrique de Sous-Roche qui fournissait son énergie électrique à la ligne de

    tramway, toujours en service à l'heure actuelle, elle est pilotée depuis Génissiat.

    Ce fut également un lieu apprécié des "gentlemen" de l'époque qui contribua au succès

    commercial de la ligne, activité très rentable que la morale réprouve, mais chut !!!

    Plus de renseignements sur la petite histoire de Sous-Roche sur le site "Coup de Coeur Champfromier".

    Source : commentaires et illustration

    usine_10.jpg

    Un bâtiment de l'usine électrique en août 2008.

    Crédit photographique : Ghislain Lancel.

    Source

    champf10.jpg

    Planche du document Sous-Roche

    Source

    trampl10.jpg

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