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Merci pour ces précisions techniques, et pour ces photos.
Bonsoir Louis.
TOARC G - Lot 4.1 (25,600 km) - Semaine 13
Le TOARC G s’étend du PK 0 (commune de Connerré) au PK 25 + 600 (commune de La Bazoge).
Section de ligne à trafic mixte fret/voyageurs.
Les principaux obstacles à franchir
L'A11 (PK 4 + 800)
Ligne Le Mans - Alençon (PK 21 + 350)
La RD 47 (PK 21 + 500)
La Sarthe (PK 21 + 600)
L'A28 (PK 23 + 800)
La RD 338 (PK 24 + 900)
VIA 0214 de Neuville-sur-Sarthe (Viaduc du PK 21 + 400)
Viaduc de la Sarthe : le plus long des 9 viaducs recensés sur la carte de
la DUP (Déclaration d’Utilité Publique). Longueur d’environ 440 mètres.
Hauteur par rapport au terrain naturel de 13 mètres environ, 10 mètres dans la DUP.
Les piles côté rive gauche (PK 21 + 600).
Les piles côté rive droite (PK 21 + 650)
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ER TCSP = Extension du Réseau de Transports en Commun en Site Propre.
La première des 800 soudures aluminothermiques aura lieu fin
le mercredi 27 mars, à 11h30, place des Jacobins.Place des Jacobins - Voie 2 (PK 0 + 726) - Semaine 13
Mercredi 27 mars (12h00) : première soudure aluminothermique en présence de Pascal Lelarge, préfet de la Sarthe.
Suite du message précédent . . .
Retrait du bac à corindon à l'aide d'une pince (ou fourche) à creuset après la coulée.
Le bac à corindon sert à récupérer l'excédent de la fusion.
Tranchage de la masselotte, 6 minutes après la coulée, à l'aide d'une trancheuse.
C'est Jean-Claude Boulard, maire du Mans, et président du Mans Métropole,
qui a effectuer cette première soudure.Fin des opérations : Jean-Claude Boulard est satisfait !
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La première des 800 soudures aluminothermiques aura lieu fin
le mercredi 27 mars, à 11h30, place des Jacobins.Place des Jacobins - Voie 2 (PK 0 + 726) - Semaine 13
Mercredi 27 mars (12h00) : première soudure aluminothermique en présence de Pascal Lelarge, préfet de la Sarthe.
Suite du message précédent . . .
Mise en place du creuset jetable sur le moule réfractaire.
C'est Jean-Claude Boulard, maire du Mans, et président du Mans Métropole,
qui a effectuer cette première soudure.
Une fois la température de 2000 degrés atteinte, un débouchage automatique
du creuset se produit, permettant à la matière en fusion de couler dans le moule
afin de réaliser un rail continu.Le temps de débouchage est compris entre 17 et 27 secondes, (l'origine
de ce temps correspond au piquage du tison dans la charge).La réaction se développe en quelques secondes et la coulée s’effectue
automatiquement après la fin de la réaction.Retrait du creuset à l'aide d'une pince (ou fourche) à creuset après la coulée.
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La première des 800 soudures aluminothermiques aura lieu
le mercredi 27 mars, à 11h30, place des Jacobins.
Place des Jacobins - Voie 2 (PK 0 + 726) - Semaine 13
Mercredi 27 mars (12h00) : première soudure aluminothermique en présence de Pascal Lelarge, préfet de la Sarthe.
La première soudure de la future ligne T2 a été effectuée côté voie 2 (PK 0 + 726).
Le bouchon qui sera posé dans le logement du moule réfractaire (à base de sable siliceux),
à l’aide de la pince prévue à cet effet, après les opérations de préchauffage.
Le kit de soudure Railtech.
Le creuset jetable Railtech.
Mise en place du moule réfractaire (à base de sable siliceux), autour de la partie à créer qui assemblera
les deux abouts de rails. L’acier y est ensuite coulé à une température de plus de 2000 degrés.
Ce dernier est élaboré à partir d’une réaction chimique d’oxyde de fer avec de l’aluminium en poudre.
Intervient ensuite le préchauffage (800 degrés) qui a pour but d’évacuer l’humidité résiduelle du moule et
de relever la température des rails. Cette période de préchauffage dure 8 minutes (ce temps est impératif).
Période pendant laquelle le mélange d’aluminium et d’oxyde de fer est mis en place dans le creuset.
Devant le moule réfractaire, le bac à corindon. Ce bac sert à récupérer l'excédent de la fusion.
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Bonjour,
Merci pour ce reportage, mais une question me taraude l'esprit: pourquoi, sur la dernière photo, les traverses sont elles "en l'air"?
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Bonjour,
Place des Jacobins - Semaine 13
Lundi 25 mars : pose des premières traverses.
Dans un premier temps les traverses ont été posées sur une première plateforme bétonnée de type BC3.
Mardi 26 mars, après la pose complète des rails à gorges (18 mètres/une tonne), les
deux voies ont été relevées volontairement pour la mise à niveau (altitude définitive).
Sur la photo ci-dessous on voit bien les tiges filetées qui permettent de maintenir les voies
à leur niveau définitif. A l'extérieur des rails on aperçoit les mousses anti-vibratives (joints)
qui ont été posées jeudi et vendredi (Photo de ce jour).
Sur la photo ci-dessous on voit bien les tiges filetées qui permettent de maintenir les voies
à leur niveau définitif. A l'extérieur des rails on aperçoit les mousses anti-vibratives (joints)
qui ont été posées jeudi et vendredi (Photo de ce jour).
(Photo de ce jour)
parce que du béton va être coulé dessous et autour... après calage millimétré de la voie !
Par la suite, une plateforme bétonnée de type BC5 sera coulée jusqu'au niveau supérieur du sabot des traverses.
Un revêtement final (pavage ou gazon) permettra une maintenance des voies (changement éventuel de rails).
Pavage : du débranchement (bifur) de la préfecture jusqu'au PK 0 + 900 (future station des Jacobins).
Puis du gazon jusqu'à la zone de retournement du terminus (PK 3 + 400) soit environ 1,5 hectare.
La pose du gazon sera confiée à l'entreprise Robert paysagiste (78000 Versailles)
Entreprise qui a déjà effectuer la pose des 7 hectares de gazon de la première ligne de tramways manceau.
(Photo de ce jour)
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Place des Jacobins - Semaine 13
Lundi 25 mars : pose des premières traverses.
A droite la future voie 1 (Préfecture - Bellevue).
A gauche la future voie 2 (Bellevue - Préfecture).
Mardi 26 mars (8h15) : arrivée des premiers rails à gorge.
Les rails sont fabriqués en République fédérale d'Allemagne, et transportés par fer jusqu'en Île-de-France.
L'entreprise Colas Rail[ (91340 Ollainville) se charge du cintrage des rails destinés aux tracés en courbe.
Profil d'un rail à gorge de type "Broca".
Mardi 26 mars (8h20) : début du déchargement des rails.
Mardi 26 mars (9h18) : le premier rail de la future ligne T2 a été posé côté voie 2 (PK 0 + 726).
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TOARC F - Lot 3.6 - Semaine 13
Le TOARC F (27,900 km) comprend 2 lots.
Lots 3.5 (17,700 km) et 3.6 (10,200 km) réalisés par ERE (Eiffage Rail Express).Le TOARC F s'étend du PK 25 + 600 (commune de La Bazoge)
au PK 53 + 500 (commune de Chantenay-Villedieu).Les principaux obstacles à franchir
La Courbe (PK 25 + 800)
Ligne Le Mans - Rennes (PK 26 + 100)
La RD 304 (PK 27 + 700)
La tranchée couverte d'Aigné (PK 28 + 500)
L'A81 (PK 35 + 800)
La RD 357 (PK 37 + 400)SDM 269 de La Milesse (Saut de mouton du PK 26 + 900)
Zone des raccordements voyageurs/fret de La Milesse.
A gauche (hors photo) la zone de la future traversée (VL 170 km/h) du PK 26 + 500.
Derrière les murs du saut-de-mouton (côté gauche) : le futur raccordement voyageurs
voie 1 ligne classique (PK 220) Le Mans - Sillé-le-Guillaume - Voie 1 LGV (PK 28 + 400).Sur le saut-de-mouton : le futur raccordement voyageurs voie 2 LGV (PK 28 + 700)
- Voie 2 ligne classique (PK 220) Sillé-le-Guillaume - Le Mans.Devant le saut-de-mouton, entre la grue télescopique et la grue à tour :
le futur raccordement fret banalisé de Bois-Roger.A gauche : voie 1 LGV Bifur de Connerré - Rennes.
A droite : voie 2 LGV Rennes- Bifur de Connerré.-
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Oloron-Sainte-Marie - Bedous - Canfranc (57,900 km)
Section : Bedous - Urdos - Les Forges-d'Abel - Canfranc (33,200 km)
France : 28 km - Espagne 5,200 km
Mise en service par la Compagnie du Midi : le 11 juillet 1928.
Son point culminant (1211 mètres) se situe (en Espagne) à l'intérieur du
Tunnel du Somport (7874 mètres). Portail côté France : PK 300 + 100
Frontière franco-espagnole : PK 303 + 300 - Portail côté Canfranc (PK 308 + 500) : PK 308.Déclivités maximales des rampes et pentes : 43 ‰ entre Etsaut (PK 286 + 400)
et Les Forges-d'Abel (PK 299 + 700).Déclivités maximales des rampes et pentes : 43 ‰ entre Etsaut (PK 286 + 400)
et Les Forges-d'Abel (PK 299 + 700).Cependant on atteint un pic de 55 ‰ sur un faible parcours (PK 291 + 500) à la traversée
du Tunnel de Lagaüde (165 mètres) situé entre Urdos (PK 290 + 400) et Les Forges-d'Abel.Tunnel du Somport (7874 mètres)
Entrée du tunnel du Somport côté français.
Entrée du tunnel du Somport côté espagnol.
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Un lien pas mal fait sur cette ligne: http://marc-andre-dubout.org/cf/baguenaude/orleans-montargis/orle-mont.htm
Les Aubrais-Orléans - Bellegarde-Quiers - Montargis (73 km)
La construction
Si les premiers projets remontent à 1846, la construction de cette ligne de 71,8 Km fait suite à
la défaite de 1870 et l'idée d'une grande boucle 1 autour de la capitale germe dans l'esprit des
militaires ? Après des hésitations, c'est la Compagnie Orléans à Chalon (O.C.) qui en devient
concessionnaire. Pour l'armée, c'est la naissance d'une relation Est-Ouest, Nantes-Strasbourg
qui met ainsi l'arsenal de Bourges en relation avec le camp de Mourmelon et les places fortes de
l'Est. La ligne est construite en 1874/1875 d'Orléans à Montargis dernier tronçon de cette rocade.
La bifurcation
La bifurcation est située au PK 118. La voie sens Montargis—Orléans a été déposée et se termine en
tiroir. La voie de Pithiviers est parallèle avant de la rejoindre côté Les Aubrais. La ligne commence au
PK 117,765 au nord du triage des Aubrais qu'elle quitte en s'infléchissant vers l'Est.
La double voie a été abandonné (celle de gauche en impasse). La voie de droite est toujours actuelle,
c'est celle de Pithiviers. Vue en direction d'Orléans.
La ligne quitte l'artère Paris—Orléans et s'infléchit vers l'est. Vue en direction de Montargis.
De nombreuses CPA et photos de la ligne : Baguenaude sur la ligne Orléans—Montargis (Loiret)
Merci à Marc André Dubout pour la qualité de son site.
Les Aubrais-Orléans - Bellegarde-Quiers - Montargis (73 km)
La construction de cette ligne de 71,8 Km
Les-Aubrais BV - Bifur de Montargis = 1,200 km + 71,800 km jusqu'à Montargis.
Aux Aubrais-Orléans cette ancienne ligne avait son origine à hauteur du Poste B.
Les Aubrais-Orléans (Bifur) - Bellegarde-Quiers - Montargis-Eau
(Poste de cantonnement : PK 187 + 600) = 69,900 km.
Observations : PK décroissants des Aubrais-Orléans (PK 118 + 928) à la bifur de Montargis
(PK 117 + 765) = 1,163 km, puis PK croissants vers Montargis (PK 189 + 500).
Point culminant (PK 158 + 500) situé entre Boiscommun-Nibelle (PK 157 + 400)
et Montliard (PK 161). Déclivités maximales des rampes et pentes : 15 ‰ entre
Montliard et Bellegarde-Quiers (PK 164 + 800).
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Je confirme, Saulzet,
photo prise hier lors de mon retour de week en Auvergne....
Je passe la main.
mdrmdr
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D'accord, je te remercie....
Une ligne pour la CFR alors....
Aucun Silot a ceréales, rien qui ne justifierait des circulations sur ces lignes ?
Je ne saurais te dire.
Des "locaux" pourront peut-être nous en dire plus ?
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Sur la nationale 151, a Clamecy, en direction d'Auxerre, on croise 3 lignes....
- 2 qui semblent endormies.
- 1 toujours en service, vu le ballast qui semble neuf...
Celle utilisée doit provenir d'Auxerre j'imagine, une seconde doit etre en direction de Nevers.... Et la 3e ??? Cercy ?
Si c'est dans le quartier de Beaugy (D 951) il doit s'agir effectivement :
- de l'ancienne ligne 753 vers Entrains et Cosne-sur-Loire.
- de l'ancienne ligne 754 vers Nevers.
- de la ligne actuelle vers Corbigny (Tamnay-Châtillon et Cercy-la-Tour).
Clamecy - Entrains - Cosne-sur-Loire (62,500 km)
De Clamecy (PK 226 + 700) à la bifur de Beaugy (PK 229) la ligne était en tronc
commun avec les lignes 754 (Clamecy - Nevers) et 762 (Clamecy - Cercy-la-Tour).
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Marlieux - Châtillon-sur-Chalaronne (11 km)
Ce fut un précurseur en matière de chemin de fer, il était établi en site propre. Pour l'exploitation,
il y avait 2 locomotives 020 T Schneider, une locomotive 020 T Corpet Louvet, 3 voitures à essieux,
une automotrice à vapeur rapidement reconvertie en voiture, et 12 wagons marchandises.Exploitation : voie unique à écartement métrique.
Compagnie du Chemin de fer de Marlieux à Châtillon (MC) km de 1879 à 1918.
Régie Départementale des Tramways de l'Ain (RDTA) à partir de 1919.Mise en service : le 15 août 1879 - Fermeture : en 1934.
Gare des tramways de Châtillon-sur-Chalaronne
Horaires des tramways en été 1913
Marlieux 6.45 Châtillon-sur-Chalaronne 7.15 (a)
Marlieux 9.30 Châtillon-sur-Chalaronne 10.00 (b)
Marlieux 12.05 Châtillon-sur-Chalaronne 12.35 (b)
Marlieux 15.15 Châtillon-sur-Chalaronne 15.45 - Quotidien
Marlieux 17.03 Châtillon-sur-Chalaronne 17.33 - Quotidien
Marlieux 18.55 Châtillon-sur-Chalaronne 18.25 - Quotidien
Marlieux 21.38 Châtillon-sur-Chalaronne 22.08 - Quotidien(a) Avancé de 25 mn les jours de marchés à Châtillon-sur-Chalaronne.
(b) Les samedis seulement + les jours de marchés à
Châtillon-sur-Chalaronne ou le jour qui le remplace.Source : Centre des Archives Historiques de la SNCF.
Train en Gare de Châtillon-sur-Chalaronne vers 1880/1885
Horaires des tramways en été 1913
Châtillon-sur-Chalaronne 5.40 Marlieux 6.10 (b)
Châtillon-sur-Chalaronne 7.45 Marlieux 8.15 - Quotidien
Châtillon-sur-Chalaronne 10.45 Marlieux 11.15 (b)
Châtillon-sur-Chalaronne 14.00 Marlieux 14.30 (a)
Châtillon-sur-Chalaronne 16.20 Marlieux 16.50 - Quotidien
Châtillon-sur-Chalaronne 18.00 marlieux 18.30 - Quotidien
(a) Avancé de 25 mn les jours de marchés à Châtillon-sur-Chalaronne.
(b) Les samedis seulement + les jours de marchés à
Châtillon-sur-Chalaronne ou le jour qui le remplace.
Source : Centre des Archives Historiques de la SNCF.-
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Carte ferroviaire du département de la Loire-AtlantiqueCompagnie des Chemins de fer du Morbihan (CM)
Exploitation : voie unique à écartement métrique.
Section : Pornic - La Plaine-sur-Mer - Paimboeuf (39 km).
Mise en service : en août 1906 - Fermeture : en juin 1938.Antenne La Plaine-sur-Mer - Préfailles (2 km).
Mise en service : en août 1906 - Fermeture : en juin 1938.Saint-Michel-Chef-Chef
Le train inaugural (20 août 1906).
Les horaires et tarifs en 1914
L'arrivée du train à Mindin
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Clamecy - Entrains - Cosne-sur-Loire (62,500 km)
Historique
Cette ligne par Entrains et Donzy a été inaugurée le 1er juin 1893, étant ainsi la dernière ligne ouverte
par le P.L.M. en Nivernais. Sa vocation était avant tout stratégique. En effet elle constituait un maillon
de l'itinéraire qui d'Issoudun à Laroche-Migennes reliait les radiales Paris - Toulouse et Paris - Lyon.
Le projet, apparu sous le n° 24 dans le plan Freycinet (Loi du 17 juillet 1879), fut déclaré d'utilité publique
le 22 août 1881 et concédé 5 ans plus tard au PL M. Celui-ci exploitait donc l'ensemble du tronçon Laroche
- Cosne ; le tronçon Cosne - Bourges - Issoudun par Saint-Florent-du-Cher appartenant quant à lui à la
compagnie P.O. (Paris - Orléans).
La ligne
L'équipement de la ligne fut dès ses origines à la hauteur des ambitions : double voie avec bloc sémaphorique,
avec ses pentes maximales de dix millimètres par mètre de part et d'autre du faîte situé à Etais-la-Sauvin, qui
est par ailleurs la seule localité icaunaise de la ligne. Un raccordement direct à la ligne de Bourges au sud de
Cosne, également à double voie permettait d'éviter le rebroussement en gare et desservait le parc militaire.
La desserte et la traction
Le trafic voyageurs "civil" demeura peu fourni tout au long de sa carrière : deux allers retours omnibus et un
train mixte voyageurs-fret entre Clamecy et Cosne, dans des temps de parcours s'échelonnant de 1 h 55 à
2 h 35 en 1914, et de 1 h 30 à 3 h (pour le train mixte) à l'été 1936. Ils étaient assurés par des locomotives
de type 120 et 030 Bourbonnais de Clamecy et Nevers, puis, après la guerre, 230 A et C de Nevers, 140 E et
K de Montargis et enfin 232 BT de Clamecy et 232 AT de Laroche.
L'échange des locomotives entre le P.L.M. et le P.O. avait lieu à Cosne (pour certains trains qui continuaient sur Bourges).
Sitôt constituée, la S.N.C.F. transféra le service voyageur sur route à l'aide d'autocars le 15 mai 1938. Cependant du
début de la seconde guerre mondiale à octobre 1947 des trains de voyageurs y circulèrent périodiquement.
Gare de Donzy (PK 268) à l'époque de la Compagnie du PLM (en septembre 1907)
Le Chef de gare en 1909 était Monsieur Martin.
Personnel de la gare en 1909 et CPA : Source
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Bravo IGS4 pour tous ces sujets sur les chemins de fer d'autrtefois.
Pour compléter le sujet sur la ligne du Mastrou.
Le vélorail des Gorges du Doux emprunte sur douze kilomètres la ligne historique du Chemin
de Fer du Vivarais construite en 1891. Taillée à flanc de montagne avec de nombreux ouvrages
d’art (pont, viaducs, tunnel), la ligne est l’unique moyen de découvrir les paysages magnifiques
des Gorges du Doux, affluent du Rhône au nord de l’Ardèche.
Chemin de fer du Vivarais (Tournon - Lamastre)
Locomotive Mallet 030 n° 414 (restaurée en 1972).
Photo Bublegun.
Le Mastrou en gare de Boucieu-le-Roi dans les années 70.
En été 2008 la circulation du Mastrou a été supprimée.
Le Mastrou dans la campagne aux environs de Boucieu-le-Roi dans les années 70.
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Pour changer un peu du département de la Loire (berceau du rail français),
des régions Rhône-Alpes et Pays de la Loire . . .. . . une dédicace spéciale "Bourgogne nivernaise" à l'intention d'un
membre de notre forum qui se reconnaîtra.Clamecy - Entrains - Cosne-sur-Loire (62,500 km)
Mise en service par la Compagnie du PLM : le 1er juin 1893.
Fin du service voyageurs : le 15 mai 1938.De Clamecy (PK 226 + 700) à la bifur de Beaugy (PK 229) la ligne était en tronc
commun avec les lignes 754 (Clamecy - Nevers) et 762 (Clamecy - Cercy-la-Tour).Son point culminant se situait au niveau d'Etais (PK 244 + 200).
Déclivités maximales des rampes et pentes : 10 ‰A Cosne-sur-Loire à partir de la bifur de l'ex. Poste 4 :
- un raccordement direct à double voie permettait de rejoindre la ligne
du Bourbonnais en direction de Nevers (bifur de l'ex. poste 3).
- un raccordement direct à voie unique permettait de rejoindre la gare et
la ligne du Bourbonnais en direction de Montargis (bifur de l'ex. poste 2).Gare de Clamecy (PK 226 + 700) à l'époque de la Compagnie du PLM
Au départ de Clamecy la ligne desservait :
Moulot (+ 4,900 km), Billy-sur-Oisy (+ 9,700 km), Etais (+ 17 + 500),
Entrains (+ 25 + 300), Ciez-Couloutre (+ 31,900 km), Perroy (+ 36,200 km),
Donzy (+ 41,300), Suilly (+ 47,900 km), Saint-Quentin (50,800 km),
Saint-Martin-Saint-Laurent (+ 53,800 km) et Cosne-sur-Loire (+62,500 km).Gare de Billy-sur-Oisy (PK 236 + 400)
La gare de Billy-sur-Oisy à l'époque de la Compagnie du PLM.
Le Chef de gare en 1909 était Monsieur Payan.
Personnel de la gare en 1909 : Source
La gare de Billy-sur-Oisy en 2000.
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Carte ferroviaire du département de l'Ardèche
Le réseau du Vivarais de la Compagnie des chemins de fer départementaux (CFD), était un réseau
de chemin de fer à voie métrique qui desservait les départements de l'Ardèche et de la Haute-Loire.
Ce réseau a été concédé au titre de l'intérêt général.Lignes exploitées
- La Voûte-sur-Loire - Yssingeaux - Raucoules-Brossettes (39,400 km)
- La Voulte-sur-Rhône - Le Cheylard (47,500 km)
- Tournon - Lamastre - Le Cheylard (52,200 km)
- Dunières - Saint-Agrève - Le Cheylard (61 km)Les gares de Tournon, La Voulte-sur-Rhône, Dunières et Lavoûte-sur-Loire étaient communes avec le PLM.
Le chemin de fer assurait un important trafic de transbordement avec le grand réseau.
Les locomotives tractaient des trains mixtes, c'est-à-dire transportant à la fois des voyageurs,
des marchandises (essentiellement du bois) et le courrier postal.Tournon - Boucieu-le-Roi - Lamastre (32,600 km)
Mise en service : le 12 juillet 1891 - Fermeture : le 31 octobre 1968.
Gare de Lamastre
L'autorail Billard n° 314 de Type A 80D aux environs de Colombier-le-Vieux en 2003.
Photo Pierre Virot.
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Oloron Sainte-Marie - Bedous - Canfranc (57,900 km)
Section : Oloron-Sainte-Marie - Escot - Bedous (24,700 km)
Son point culminant se situe à Bedous (PK 275 + 300). Déclivités maximales des
rampes et pentes : 18 ‰ entre Escot (PK 265 + 800) et Sarrance (PK 268 + 900).Mise en service par la Compagnie du Midi : le 21 avril 1914.
Fermeture au service voyageurs : le 31 mai 1980.
Fermeture au service du fret : en 1985.Gare de Gurmençon (PK 255 + 300)
Gare de Gurmençon en août 2008.
Oloron Sainte-Marie - Bedous - Canfranc (57,900 km)
Horaires des trains en été 1968
Rapide 29/830 Pyrénées-Express - Paris-Austerlitz 21.49 Pau 6.38
Train MV n° 3635/7669 - Pau 7.45 Buzy-en-Béarn 8.09/8.14 Oloron-Sainte-Marie 8.35 Bedous 9.05/9.11
Urdos 9.44 Canfranc 10.24 - Quotidien jusqu'au 27 juin et à partir du 29 septembreTrain MV n° 3637/4833 - Pau 9.00 Buzy-en-Béarn 9.23/9.25 Oloron-Sainte-Marie 9.43 Bedous 10.13/10.19
Urdos 10.44 Canfranc 11.24 - Quotidien du 28 juin au 28 septembreTrain n° 3639 - Pau 10.24 Buzy-en-Béarn 10.47/10.48 Oloron-Sainte-Marie 11.06 Bedous 11.36
Quotidien du 28 juin au 28 septembreTrain MV n° 3631/7671 - Pau 12.53 Buzy-en-Béarn 13.18/13.23 Oloron-Sainte-Marie 13.42 Bedous 14.12/14.27
Urdos 15.00 Canfranc 15.40 - Quotidien jusqu'au 27 juin et à partir du 29 septembre.Train n° 3641 - Pau 12.55 Buzy-en-Béarn 13.20/13.23 Oloron-Sainte-Marie 13.43 Bedous 14.13/14.15
Urdos 14.41 Canfranc 15.14 - Quotidien du 28 juin au 28 septembreRapide n° 11/812 Paris-Austerlitz 8.10 Pau 16.16
Train n° 3645 - Pau 18.27 Buzy-en-Béarn 18.54/18.55 Oloron-Sainte-Marie 19.14 Bedous 19.46/19.48
Urdos 20.13 Canfranc 20.33 - QuotidienSource : Centre des Archives Historiques de la SNCF.
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c'est une impression d'optique , ou c'est pas aligné , gaffe à la vitesse sur l'aiguille ! 5km/h max! sinon on pose le gros bouzin sur voies principale !
La gare de Collonges-Fort-l'Ecluse était autrefois gare-école pour la voie unique.
Je dis bien autrefois !
C'est bien connu sur la région SNCF de Chambéry, surtout pour ceux qui ont fréquenter cette anciennne
gare-école : la rampe à la sortie de la gare vers Gex et Divonne-les-Bains est plus que "raide" !
Carte ferroviaire du département de l'Ain
Ligne 891 - Collonges-Fort-l'Ecluse - Gex - Divonne-les-Bains (37,900 km)
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Déclivités maximales des rampes et pentes : 23 ‰ entre
Collonges-Fort-l'Ecluse (PK 142 + 500) et Paradis (PK 146).
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A Durtal il y a encore quelques vestiges de la voie lorsqu'on passe sur la RN 23 direction La Flèche et
on peut apercevoir en parallèle à cette route ou passait la voie à certains endroits. Je ne savais pas par
contre que la ligne allait de La Flèche via Seiches et Saint Barthélémy à Angers.
C'est normal, au départ de La Flèche la ligne desservait :
Bazouges (+ 8 km), Gouis (+ 13 km), Durtal (+ 15 km), Lézigné (+ 20 km), Le Bourgneuf (+ 24 km),
Seiches-sur-le-Loir (+ 28 km), Villevêque-Corzé (+ 33 km), Pelouailles (+ 37 km),
Le Plessis-Grammoire (+ 39 km), Saint-Barthélémy-d'Anjou (+ 45 km) et Angers (+ 49 km).
Gare de Seiches-sur-le-Loir à l'époque de la Compagnie du PO (en 1935)
A la fin des années 80, je me souviens être passé en voiture près de la voie ferrée à
La Flèche et j'y avais vu un 67000 HLP, je m'en rappelle comme si c'était hier....
C'est normal la D 308 vers Baugé et Saumur passe à proximité de l'ancienne gare de La Flèche.
A gauche l'ancienne ligne vers Bazouges, Durtal, Le Plessis-Grammoire et Angers.
A droite l'ancienne ligne vers Sablé-sur-Sarthe et Le Mans, en tronc commun jusqu'à
la bifur de l'Aubinière située 3,600 km après l'ancienne gare de Verron (km 332 + 800).
A la fin des années 80, je me souviens être passé en voiture près de la voie ferrée à
La Flèche et j'y avais vu un 67000 HLP, je m'en rappelle comme si c'était hier....
C'est normal la D 306 du Lude à Sablé-sur-Sarthe (via la rocade de La Flèche) passe
avenue du Général de Gaulle : même configuration que la première photo.
Je ne savais pas par contre que la ligne allait de La Flèche via Seiches et Saint Barthélémy à Angers.
Le complexe ferroviaire d'Angers à la fin des années 50.
En bas à gauche (Saint-Barthelémy garages), l'origine de la VU vers La Flèche
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Pour changer un peu du département de la Loire (berceau du rail français),
des régions Rhône-Alpes et Pays de la Loire . . .. . . une dédicace spéciale "berrichonne et sancerroise" à l'intention d'un
membre de notre forum qui se reconnaîtra.Carte ferroviaire du département du Cher
(Bourges) Saint-Germain-du-Puy - Veaugues - Sancerre - Cosne-sur-Loire (60,100 km)
Construite dans un but stratégique, relier les arsenaux du Sud-Ouest aux éventuelles lignes de front
de l'Est. La ligne St Germain du Puy - Cosne construite par la compagnie du Chemin de Fer de Paris à
Orléans (P-O) a été ouverte à la circulation le 18 décembre 1893, après deux ans et demi de travaux;
à cette époque, le trajet complet prenait deux heures, et il y avait 3 aller - retours par jour pour les
voyageurs et 2 trains de marchandises.Des Aix d'Angillon (gare la plus proche de Rians: 3.2Km) il fallait de 30 à 35 minutes pour rejoindre
Bourges et de 1h13 à 1h35 pour Cosne. A Veaugues cette ligne croisait celle du "tacot" qui reliat à
partir de 1907 La Guerche-sur-l'Aubois et Argent-sur-Sauldre. De Veaugues, il fallait compter 2 heures
pour gagner l'une ou l'autre de ces 2 villes (50 Km). Pendant les 2 conflits mondiaux, un important
trafic militaire transita par la ligne et, en 1944, elle subit plusieurs bombardements des alliés.A partir de 1946, les autorails remplaceront les trains de voyageurs tractés par des locomotives à vapeur et
ce jusqu'à fin mai 1966, date à laquelle le service voyageurs fut supprimé. La section Veaugues - Sancerre fut
alors démontée. Les trains de marchandises continuèrent à circuler entre Bourges et Veaugues, essentiellement
pour la desserte des silos, jusqu'au 24 juin 1987. Pendant les 2 conflits mondiaux, un important trafic militaire
transita par la ligne et, en 1944, elle subit plusieurs bombardements des alliés.Gare de Sancerre PO (PK 286 + 500)
De gauche à droite :
- le service de secours aux blessés militaires (infirmerie de la gare)
- le bureau du médecin chef
- l'infirmerie militaireLa gare de Sancerre à l'époque de la Compagnie du PO.
(Bourges) Saint-Germain-du-Puy - Veaugues - Sancerre - Cosne-sur-Loire (60,100 km)
Son point culminant (PK 264 + 500) se situait entre Montigny-Azy (PK 263 + 700) et Veaugues (PK 271 + 600).
Déclivités maximales des rampes et pentes : 10 ‰
- au PK 254 situé entre Sainte-Solange (PK 247 + 400) et Les Aix-d'Anguillon (PK 254 + 500)
- au PK 269 + 500 situé entre Montigny-Azy (PK 293 + 500) et Veaugues (PK 271 + 600)
- au PK 295 + 500 situé entre Bannay (PK 294 + 200) et le viaduc de la Loire (826 mètres)-
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la tension de 10 KV 25 Hz se retrouvait dans pas mal de réseaux secondaires électrifiés, qui utilisaient des moteurs monophasés directs.
un des plus dramatiquement connus est celui des CDHV, qui desservait Oradour sur Glane...
Un reportage sur les tramways à la traversée du village
martyr d'Oradour-sur-Glane sur notre forum :
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[jeu] Où Que C'est ? Quoi Qu'est-ce ?
dans Photos ferroviaires
Publication: · Modifié par IGS4
A tout hasard . . .
Ligne 17-6 ancienne Ligne 9b/c
1) L'ancienne gare de Thanvillé (PK 5 + 300)
2) L'ancienne gare de Villé (PK 9 + 400)