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IGS4

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Messages publiés par IGS4

  1. La mise en service de la nouvelle gare d'Annecy n'aura pas lieu ce matin.

    L’ouverture est reportée au mardi 4 décembre.

    Le Dauphiné Libéré du lundi 26 novembre.

    La nouvelle gare d'Annecy n’ouvrira pas demain

    L’ouverture est reportée au mardi 4 décembre. Photo DL/Norbert FALCO

    La commission de sécurité a donné hier un avis défavorable à l’ouverture de la nouvelle gare d’Annecy, qui était

    prévue demain matin. Selon un responsable de la communication, la commission a pointé plusieurs « petits défauts ».

    L’ouverture est reportée au mardi 4 décembre.

  2. Jeudi 22 novembre . . .

    Le Dauphiné Libéré du vendredi 23 novembre.

    Un wagon déraille, un périmètre de sécurité mis en place

    Les deux roues avant de ce wagon sont sorties des rails. Photo DL/François COOLEN

    Aux alentours de midi, un wagon à destination de la centrale nucléaire de Cruas/Meysse par le sud a déraillé

    alors qu’il n’était pas encore sur le site. Lors de son arrivée, pour une raison indéterminée, les deux roues avant

    sont sorties des rails. Le wagon sur lequel reposait un conteneur vide est resté debout. Aucun blessé n’est à

    déplorer et aucun risque pour l’environnement n’est à signaler.

    Le wagon est immobilisé sur une voie qui est traversée par une route peu fréquentée. Après le passage des

    personnels d’EDF pour s’assurer qu’il n’y avait aucun risque, les experts de la SNCF sont également venus sur

    place. Ils devraient, ce matin, intervenir afin de remettre le wagon sur les rails. En attendant, un périmètre

    de sécurité, matérialisé par des barrières, a été mis en place.

    Le Dauphiné Libéré de ce jour.

    Le wagon remis sur les rails

    Comme prévu, les agents de la SNCF sont intervenus hier matin. Ils ont remis en place le wagon dont les deux

    roues avant étaient sorties des rails, à la hauteur d’un aiguillage, jeudi 22 novembre aux alentours de midi. Le

    wagon, sur lequel était posé un conteneur vide, a pu reprendre le chemin de la centrale nucléaire. L’intervention

    s’est terminée vers midi et le périmètre de sécurité a été levé. Pour l’instant, les causes de ce déraillement, qui

    n’a pas fait de blessé et n’a pas de conséquence sur l’environnement, ne sont pas connues

  3. Pétards à griffes

    Les pétards à griffes sont posés à la main sur le rail.

    Les pétards à griffes ont une validité limitée.

    Leur durée de conservation est fixée à dix-sept ans

    à partir de leur date de fabrication.

    Passé ce délai, les pétards sont considérés comme

    périmés et doivent être retirés du service et détruits.

    Les conditions et les Etablissements de regroupement des pétards et

    cartouches avariés ou périmés, ainsi que les lieux et modalités de

    destruction, sont fixés par la Consigne Régionale S 6 B.

    Plus haut on te dis qu'un pétard sert principalement à protéger d'un obstacle!

    Il existe une distance pour implanter le ou les pétards! ( je t'en dis déjà trop ).

    Couverture des obstacles

    La distance normale de couverture des obstacles est de 1500 mètres.

    Sur certaines sections de ligne, la distance peut être soit augmentée, soit réduite.

    Pour chaque section de ligne, la distance de couverture des obstacles est indiquée

    au L.M.Tr., ainsi que dans les R.T. (Renseignements Techniques) : Chapitre 1

    - Caractéristiques générales d'exploitation - Dispositions communes.

    Tout agent (appelé dans ce qui suit "couvreur") qui doit effectuer la couverture d'un

    obstacle se porte dans les plus brefs délais au devant du premier train attendu en

    présentant une torche allumée, à défaut, un signal d'arrêt à main qu'il se tient prêt,

    si possible, à appuyer par des pétards si un train survient.

    Arrivé à la distance de couverture, il présente le signal d'arrêt à main appuyé si possible

    par 3 pétards répartis sur les deux rails à environ 30 mètres d'intervalle.

    Le pétard le plus rapproché du signal d'arrêt à main doit

    être placé à 30 mètres au moins en amont de ce signal.

    Il faut éviter, sauf en cas d'urgence, de poser des pétards :

    - dans une zone de 100 mètres de part et d'autre d'un signal,

    - dans un endroit fréquenté.

  4. Pour compléter le sujet . . .

    La section Argentière - Vallorcine a été mise en service le 1er juillet 1908.

    L'exploitation est assurée par la compagnie du Martigny-Châtelard,

    qui reverse un tiers de la recette au PLM, au titre de droit de péage.

    Le tunnel des Montets sur l'excellent site : Trains du Mont-Blanc de Christophe Jacquet. okok

    Une automotrice ABDeh 4/4 6 du Martigny - Châtelard en gare de Montroc-le-Planet en 1985.

    Source

    • J'adore 2
  5. Le Dauphiné Libéré

    Bévue à Chamonix : le tunnel des Montets n’est pas au gabarit des bus !

    Ni train ni bus dans le tunnel, cet hiver... Photo DL/ archives

    Le bruit a couru dans la vallée de Chamonix, jeudi. Une rumeur ? Loin de là. Ce qui se disait comme une bonne blague a été

    confirmé par la mairie de Chamonix : les bus ne passent pas dans le tunnel des Montets !

    Ce tunnel, ferroviaire au départ, est ouvert à la circulation l’hiver, lorsqu’un risque d’avalanche implique la fermeture de la

    route du col des Montets, entre la vallée de Chamonix et Vallorcine et la frontière suisse.

    Actuellement rénové à grands frais (16,8 millions d’euros) par les collectivités locales, les conseils général et régional, et

    RFF, il doit, le temps des travaux, permettre le passage des bus de 22 places remplaçant le train sur une ligne transfrontalière,

    mais surtout “de vacances”. Il s’avère que, si ceux-ci rentrent dans la voie roulante quoique très étroites pour leur gabarit,

    des parapets empêchent l’ouverture des portes en cas d’incident ou d’accident.

    Les passagers ne pouvant être évacués tant que les véhicules sont dans le tunnel, les bus ne passeront pas cet hiver. Du coup,

    les mairies devront trouver autre chose, comme des minibus de 8 à 9 places, quitte à les faire rouler en convois. Il en va de la

    bonne organisation du flux touristiques les jours de danger d’avalanche.

    Les vacances d’hiver s’annoncent houleuses dans la vallée de Chamonix.

    • J'adore 1
  6. Selon ce site les barrières auraient pu ne pas fonctionner

    http://www.rtl.fr/ac...ture-7753964205

    Mes condoléances aux familles et bon rétablissement aux bléssés et courage à la collègue.

    ALALALA les journaleux... qui n'y connaissent rien en ferroviaire et apparemment rien non

    plus en code de la route... on parle des barrières certes... mais personne parle des feux de

    signalisation routières (qui font foi si je ne m'abuse). Après l’enquête nous le dira

    Effectivement, reste à savoir si tous les feux routiers fonctionnaient normalement.

    Si oui arrêt absolu (c'est prévu au code de la route), même si les barrières sont

    maintenues en position d'ouverture.

    • J'adore 2
  7. Le Dauphiné Libéré (avec 6 autres photos)

    Un automobiliste prend les escaliers de la gare... en voiture

    La scène a eu le mérite de laisser complètement incrédules les personnes présentes, hier peu après

    17 heures, devant la gare SNCF de Romans. Un automobiliste âgé de 76 ans, circulant au volant d’un

    Renault Scenic, s’est engagé dans les escaliers passants sous la voix de chemin de fer, croyant que

    c’était un accès au parking. La voiture s’est immobilisée d’elle-même sur les marches, évitant ainsi

    à son conducteur de dévaler entièrement les escaliers.

    Heureusement, et malgré l’heure de pointe, personne ne se trouvait sur sa route à ce moment-là.

    L’automobiliste romanais, victime d’une grosse frayeur et d’un malaise, a, par précaution, été

    transporté par les sapeurs-pompiers à l’hôpital Drôme Nord de Romans pour y passer des examens.

    Le véhicule a été enlevé par une dépanneuse près de 45 minutes après les faits, le tout sous le regard

    médusé et amusé de plusieurs dizaines de badauds.

    Photo Le DL

  8. Le Dauphiné Libéré

    Le passage à niveau de Mésinges sera supprimé, mais pas avant 2015

    Patience et longueur de temps… voilà un avertissement qui colle au projet de suppression du passage

    à niveau de Mésinges. À l’heure de la seconde concertation pour arrêter le tracé de la voie qui doit

    contourner le site, les experts en charge du dossier pointent l’été 2015 pour la finalisation.

    Sept ans après le drame qui a coûté la vie à sept collégiens dans la collision de leur car scolaire avec

    un TER. Au plus fort de l’émotion marquée par la venue en Chablais d’un aréopage de ministres et

    parlementaires, des promesses avaient pourtant fusé de toutes parts : des décisions allaient être prises,

    le passage à niveau n° 68 devait rapidement disparaître du paysage.

    C’était faire fi des arcanes administratifs, contraintes financières, environnementales, faunistiques,

    floristiques… et autre zone humide. Retenu parmi trois hypothèses, le tracé “Nord” est depuis lundi

    soumis à l’appréciation du public. De quelque 1,2 kilomètre, il contourne par l’ouest la zone d’activités

    de Mésinges et se raccorde à la RD 903 (route de Bons-en-Chablais) par un giratoire. L’option supprime

    dans la foulée un second passage à niveau (n°67).

    Ce tracé est déjà jugé perfectible par les élus d’Allinges qui demandent son éloignement des habitations.

    Quant au procès devrait intervenir au mieux au cours du 1er semestre 2013...

    • J'adore 1
  9. Le Dauphiné Libéré (avec 6 autres photos)

    Un train d'hydrocarbure percute un poids lourd à Sénas

    Hier après-midi, un train d‘hydrocarbure, en l’occurrence du gasoil, a percuté la remorque d’un poids

    lourd au passage à niveau se trouvant à l’entrée du village de Sénas (Bouches-du-Rhône).

    Par chance, le véhicule n’a pas explosé. Les wagons chargés de gasoil ne se sont pas renversés. Et

    le chauffeur du poids lourd ainsi que le conducteur de la motrice sont indemnes.

    La motrice du train est venue percuter la remorque du poids lourd chargée de barre de fer. Les gendarmes

    tentent de déterminer comment l’accident a pu se produire.Photo Le DL/Manuel PASCUAL

  10. Un panneau indique , en gare de Château-Gontier (53) la construction d'une plateforme multimodale (avec la

    photo d'un G 1206 de chez ECR). Coût de l'opération: 3 millions d'€ pour une mise en service début 2012.

    Les voies de la gare marchandises ont été déposées, le terrain nivelé. Et la suite? Est-ce vraiment une plateforme

    multimodale qui va être construite, alors que le trafic de la ligne Sablé-Château-Gontier n'est pas très important, et

    que la voie comporte encore des traverses métalliques par endroits ?

    Le fil des territoires du mardi 9 octobre.

    Château-Gontier : la gare bientôt prête pour plus de fret

    La Communauté de communes du Pays de Château-Gontier s'apprête à aménager une zone

    de fret au sein de la gare de Château-Gontier. Avec un transfert conséquent de flux routiers

    vers le train, l'initiative est résolument durable.

    "La voie ferrée reliant Château-Gontier au Mans via Sablé-sur-Sarthe n'était plus utilisée que

    par une société, avec seulement une centaine de wagons par an", raconte Philippe Henry,

    président de la Communauté de communes du Pays de Château-Gontier. Il fallait donc réfléchir

    à l'avenir de la gare. C'est là que sont intervenues les sociétés locales Transports Bréget, Séché

    Environnement et Combiwest, intéressées par la perspective de transférer une partie de leurs

    flux routiers vers le train.

    Entre économies à réaliser et réduction des risques liés au transport, les bonnes raisons ne

    manquaient pas. Ainsi, une plateforme multimodale va voir le jour en gare de Château-Gontier.

    Le projet est cofinancé par la Région des Pays de la Loire pour plus de 380 000 €. La plateforme

    s'insère parfaitement dans le volet d'actions durables de la Communauté de communes. Le report

    modal estimé est conséquent : annuellement, 10 à 15 000 camions devraient abandonner les

    routes pour voir leurs chargements emprunter les voies ferrées. ''C'est un projet novateur. Les

    discours ont fait leur temps, il faut passer à l'acte. Et c'est aux collectivités locales de décliner

    les grands enjeux nationaux du développement durable.''

    Deux trajets quotidiens en prévision

    La plateforme comptera trois voies d'exploitation : deux pour le chargement et le déchargement des

    marchandises, la troisième pour la locomotive. ''Nous souhaitons inscrire le projet sur une vision régulière",

    prévient Philippe Henry. "Un train le matin vers Lyon, un autre le soir vers Château-Gontier, du lundi au

    vendredi". Car au niveau national, l’initiative entre dans le cadre d’une diagonale multimodale reliant le

    Grand Ouest à Lyon.

    "La gare sera exploitée par des chargeurs mais chacun pourra l'utiliser pour faire venir un convoi. Et pas

    seulement les industriels". À 2 km, un terrain de 40 hectares pouvant être raccordé à la voie ferrée sera

    ainsi en mesure d’accueillir des entreprises. Il ne manque plus que l'accord de la SNCF pour la réalisation

    d'une voie verte permettant le passage des écoliers en toute sécurité, dernière étape avant la mise en

    circulation des premiers convois.

    La gare de Château-Gontier à l'époque de la Compagnie de l'Etat.

    • J'adore 2
  11. Le Progrès

    Exercice de sécurité civile : la gare Part-Dieu entièrement évacuée

    Lyon. Pendant 15 minutes, quelque 200 voyageurs sont restés sur l’esplanade de la gare. L’exercice simulait un incident sur un train transportant des matières dangereuses.

    L’exercice s’est poursuivi jusqu’à 23 heures, loin des regards, sur un quai où avait été stationné le train « défaillant ». Photo C. M.

    Quinze minutes. C’est le temps qu’aura duré, hier, l’attente des voyageurs regroupés sur la place Charles-Béraudier, à Lyon. Car, événement inédit, la gare Part-Dieu a été entièrement évacuée, à 21 heures précises et les services interrompus. Rapidement, sans mouvement de panique. À 21 h 15, tout est rentré dans l’ordre et les trains étaient prêts à circuler à nouveau.

    La raison ? Un exercice de sécurité civile, placé sous l’autorité du préfet, avec comme scénario un incident sur un wagon transportant des matières dangereuses.

    L’objectif était de mettre en œuvre le plan ORSEC de la zone Part-Dieu (lire ci-contre), de tester la procédure d’évacuation de la gare, d’effectuer fictivement le bouclage de la zone pour estimer le temps nécessaire à sa réalisation et vérifier la coordination des différents services (préfecture, police, SNCF, pompiers, ville de Lyon, agence régionale de santé et Kéolis).

    Une cinquantaine de pompiers a assuré l’intervention.

    Prévue à 20 h 50, l’évacuation a finalement commencé à 21 heures. Le temps de laisser arriver à quai un dernier train, et un agent SNCF a « prié les voyageurs d’évacuer calmement vers les sorties les plus proches ».

    Ce que les gens ont fait volontiers, mais pas forcément avec le sourire ! Comme cette femme quasi hystérique : « C’est sérieux ? Je dois être hospitalisée demain à Paris. Si c’est grave, pourquoi ils ne préviennent pas par mégaphone ? » Ou encore : « C’est une honte. C’est dans l’armée qu’on fait des exercices ! Je vais écrire au préfet, je vais demander à être payé pour ce temps perdu. Non, mais c’est trop, on est des citoyens libres. »

    Parions que ceux-là seraient les premiers à râler si les pompiers mettaient un peu de temps à intervenir ! Les pompiers étaient là, justement, une cinquantaine en tout. De leur intervention, les témoins de l’exercice n’auront vu que les véhicules. L’exercice, lui, s’est poursuivi jusqu’à 23 heures, loin des regards sur un quai où avait été stationné le train défaillant.

  12. Le Progrès

    Lyon : la gare de la Part-Dieu va être évacuée ce soir

    En début de soirée, les voyageurs vont être évacués de la gare de la Part-Dieu pour un incident sur

    un wagon transportant des matières dangereuses. Mais pas de panique pour autant, il s’agira d’un

    exercice de sécurité civile avec le déclenchement du plan Orsec.

    L'exercice de sécurité civile sera réalisé ce mardi soir à partir de 20h15 et devrait prendre fin une heure

    plus tard. Plus de 200 voyageurs pourraient néanmoins être concernés.

    Tout devrait être prévu pour que ceux ayant une correspondance ne la rate pas, notamment avec des

    navettes en direction de la gare de Perrache. La fin des perturbations est programmée pour 21h05.

  13. L'Yonne.fr

    En deux semaines, deux trains ont raté la gare de Villeneuve-sur-Yonne

    Mardi, le train de 12?h?29 s’est arrêté entre 300 et 400 mètres après la gare de Villeneuve-sur-Yonne. La même

    mésaventure s’est produite il y a 15 jours. Mardi, Pierre Testemale a affaire à Paris. Il décide de prendre le train

    de 12?h?29, en gare de Villeneuve-sur-Yonne (Sénonais) mais manque de le rater. Et pas de son fait.

    L’intéressé raconte la suite : « A l’heure dite, j’ai vu arriver le train à une vitesse inhabituelle pour un arrêt. S’était-il

    endormi ou rêvait-il?? Le conducteur a brusquement réalisé qu’il était en train de louper l’arrêt. Freinage violent. La

    rame s’est immobilisée 3-400 mètres plus loin, dans une odeur de ferraille portée au rouge. »

    Pas question pour la rame de reculer, ni pour les passagers de la rejoindre à pied. « L’agent de service en gare,

    encore présent nous a informés que des taxis nous permettraient d’aller à destination. Pour ma part, j’ai pris à

    Sens le direct suivant. Les voyageurs, qui descendaient à Villeneuve, ont rallié la gare à pied, le long des voies.

    J’ai appris que le même incident s’était déjà produit une quinzaine de jours plus tôt, à la même heure. »

    Maryse Colle, directrice de ligne à la SNCF, confirme ce témoignage. « Bien qu’il vienne de se produire deux fois

    en quinze jours, je tiens à préciser qu’il s’agit d’un incident rarissime. Des procédures sont prévues pour pallier les

    incidents possibles. C’est ce qui a permis d’obtenir des taxis en une dizaine de minutes. En outre, des mesures de

    sécurité sont immédiatement prises (arrêt de circulation sur la voie contiguë), qui ont permis aux voyageurs

    descendant à Villeneuve de rejoindre la gare en toute sécurité, sous la responsabilité du contrôleur chef de train.

    Un rappel très ferme à la vigilance a été adressé au personnel de conduite. »

    • J'adore 1
  14. La Provence du jeudi 20 septembre.

    Le train Paris-Briançon cherche une locomotive

    La Région vient à la rescousse de la liaison ferroviaire avec Paris

    Le Train d'Équilibre du Territoire ? C'est le nom du train de nuit assurant la liaison entre la capitale

    et les Hautes-Alpes, un terme retenu par la SNCF et l'État pour définir une ligne en déséquilibre

    financier - déficitaire donc - mais que l'opérateur ferroviaire historique maintient grâce à des subsides

    de l'État. Mais l'État ne suffit plus, seul, à l'équilibre financier du Paris-Briançon et le Conseil régional

    a été lui aussi sollicité.

    Depuis trop longtemps déjà, au goût des usagers, ce train est touché par des dysfonctionnements, le

    dernier en date étant survenu en juillet quand la locomotive est tombée en panne dans un tunnel à

    quelques kilomètres de Briançon, entraînant un retard de 3h30 et beaucoup de désagréments. "Les

    locomotives sont vieilles et tombent en panne, et leur nombre diminue également, ce qui entraîne des

    difficultés pour mettre des trains supplémentaires sur les rails. Nous demandons à la SNCF d'utiliser

    des locomotives de fret inutilisées. Nous attendons d'en connaître le coût" complète Jean-Yves Petit.

    Les problèmes ne surgissent pas seulement sur la voie ferrée en travaux en divers endroits, ce qui entraîne

    des problèmes assez compréhensibles sur les horaires, mais également dans la commercialisation des billets.

    En début de semaine, une réunion mettant en présence la SNCF, Réseau Ferré de France, les élus

    haut-alpins et régionaux et des acteurs socio-professionnels s'est tenue en gare de Briançon afin

    d'envisager le déroulement de la saison hivernale qui se profile. Histoire d'anticiper d'éventuels

    problèmes comme celui de la réservation des places qui s'était avéré catastrophique l'année dernière.

    Jean-Yves Petit, vice-président de la Région en charge des transports en a gardé un amer souvenir.

    "Nous avions pris l'initiative d'une réunion en novembre car le train de nuit n'était pas ouvert à la réservation.

    La rencontre avait été vive et les usagers, comme les professionnels du tourisme et les élus locaux étaient

    mécontents. Cette année, nous avons donc anticipé à 3 mois de la saison d'hiver."

    Qu'en est-il ? "Tous les horaires ne sont pas encore garantis et l'ouverture à la commercialisation interviendra

    le 15 octobre" précise l'élu régional. Joël Giraud, député et conseiller régional, et le sénateur Pierre Bernard-Reymond

    ont regretté ce retard car les réservations s'effectuent dès maintenant. Autre point abordé, la qualité de l'offre à

    bord du train, comme les défaillances du chauffage.

  15. C'est reparti pour un tour ! Sacré Willy, tu changeras pas ! mdrmdrmdrmdrmdrmdr

    Ouest-France du vendredi 7 septembre.

    Trains : l’AVUC relance sa grève des abonnements

    Willy Colin, porte- parole de l’AVUC.

    Retards en série ou annulation de plusieurs trains en début de semaine à l’heure de la rentrée scolaire.

    Impossibilité de convaincre la Région et la SNCF de remodifier les horaires de certains TER du matin et

    du soir destinés à faciliter la vie des salariés qui empruntent le transport ferroviaire.

    L’association des voyageurs et usagers des chemins de fer (AVUC) a décidé, hier, de relancer la grève

    de la présentation des abonnements aux contrôleurs ; un mouvement qu’elle avait initié il y a quelques

    mois. L’AVUC appelle tous les usagers des trains TGV et TER a manifester, ainsi, un mécontentement

    « face à un service public qui ne cesse de se dégrader ».

  16. Ouest-France

    Le Mans - La CGT Cheminots dénonce l’état des voies de la gare

    La CGT Cheminot de la Sarthe dénonce « l’état déplorable des voies sur le site du Mans.

    Actuellement, le fonctionnement du triage est grandement réduit par la fermeture de six

    voies. Le plateau de voies situé à proximité de la gare et lieu du stationnement des rames

    voyageur, est lui aussi actuellement fermé à 50 % ».

    Ce fait risquerait selon le syndicat d’entraîner des retards pour les TER, car « les rames TER,

    devant initialement être garées à proximité de la gare, sont stationnées sur des voies du triage

    normalement affectées à la réception de trains fret. Les difficultés rencontrées sont les mises

    en place tardives des rames en gare, entraînant des retards voire des suppressions ».

    Le syndicat regrette aussi que « la réduction de la capacité de réception au triage du Mans,

    entraîne la suppression des trains fret à destination du Mans ».

    Le syndicat CGT demande par conséquent « que soient attribués de manière rapide, les moyens

    humains, financiers et nécessaires au rétablissement de ces voies afin de garantir une sécurité

    optimale et un service public SNCF de qualité ».

  17. VUTR : Les Laumes-Alésia - Epoisses (32,700 km)

    Le Bien Public

    Pouillenay : quatre wagons plein de céréales déraillent

    Le train venait de quitter les entrepôts de Dijon Céréales à Epoisses. Photo Yannick Dupin

    Hier en début d’après-midi, un train commercial transportant des céréales s’est retrouvé immobilisé

    sur les voies entre Marigny-le-Cahouët et Pouillenay, dans le canton de Venarey-Les Laumes. Celui-ci,

    en provenance d’Époisses, devait faire un arrêt à Venarey-Les Laumes avant de reprendre sa route

    pour Fos-sur-Mer, dans les Bouches-du-Rhône.

    Selon les premières constatations, il semblerait qu’un attelage se soit cassé provoquant le déraillement

    de quatre des onze citernes que comprenait le convoi. Le contenu de ces wagons s’est alors déversé sur

    la voie ferrée. Une partie des rails a également été arrachée.

    La voie ferrée, essentiellement utilisée pour l’acheminement de céréales, est aussi utilisée en ce moment

    par l’association Acta qui organise des voyages touristiques sur le territoire durant les week-ends.

    Hier, à 21 heures, une partie du convoi était toujours immobilisée.

  18. Le Bien Public

    Aiserey : une camionnette percutée par un TER

    Un TER parti de Brazey-en-Plaine a percuté ce matin vers 9 heures un fourgon qui traversait les voies,

    au passage à niveau d’Aiserey. D’importants moyens de secours, pompiers, gendarmes, hélicoptère du

    SAMU, ont été dépêchés sur les lieux. Le conducteur de la camionnette, dont l’identité n’a pas été

    communiquée, a été légèrement blessé.

    Et deux passagères du train, à bord duquel se trouvaient 46 voyageurs, ont été choquées.

    La circulation ferroviaire est toujours interrompue dans les deux sens, et les passagers vont être acheminés

    par autocar sur la gare de Brazey-en-Plaine, où des attestations seront remises aux lycéens et aux personnes

    qui devaient prendre leur travail à Dijon, avant de les acheminer sur leurs destinations initiales.

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