Comme certains commentaires lus ou entendus à ce propos: "si ils bossaient mieux, on aurait moins envie de leur taper dessus"...
Nous voilà donc dans une situation où certains décisionnaires ne seront préoccupés que par les trains qui roulent, donc qui n'auront aucune compassion pour un matricule qui se fait agresser et des usagers-clients-voyageurs (au choix) qui pensent à peu près la même chose (c'est moins grave, eux-même ayant leurs propres problèmes à gérer), la seule façon de se faire entendre reste donc encore une fois le rapport de force... Dommage...
Exemple concret: les premiers trains du dimanche matin sont toujours la cible des petits c... qui rentrent de boîte, cela fait des années que ça dure et que les hautes instances sont au courant, faudra t'il une agression pour qu'on prenne enfin en compte ce problème ?