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Le Web des Cheminots

ADC01

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Messages publiés par ADC01

  1. Bonjour,

    Evite de mettre ton identité et ton numéro de téléphone en clair, des visiteurs mal intentionnés pourraient s'en servir.

    Un modo va certainement les effacer et te contacter par MP pour s'en expliquer.

    Pour ta question, désolé, je ne sais pas quelles sont les conditions d'embauche des travailleurs handicapés.

    Bon courage.

    Le mieux est de signaler le message à un(e) modo.

  2. Un monde merveilleux...

    Les nouvelles peurs...

    les nouvelles rumeurs...

    Vous avez survécu à 5 années de Sarkozisme !

    Vous avez survécu à l'endettement ! à la crise de l'Euro !

    Résisterez-vous à ça ... ?

    ... Un énorme volcan allemand pourrait bientôt détruire l'Europe

    Le volcan Laacher See, en Allemagne, est-il sur le point d'exploser ? Les scientifiques répondent positivement à cette question, laissant peser une forte menace sur l'Europe.

    Une inquiétude règne chez les scientifiques. Le volcan Laacher See, en Allemagne, pourrait se réveiller brusquement, comme le relaie Daily Mail. Ce monstre, qui entre en éruption tous les 10 à 12 000 ans, a explosé pour la dernière fois il y a 12 900 années. La menace de son éveil en 2012 est donc de plus en plus pressante. Ainsi, son activité sismologique a débuté en 2010. Les dernières secousses remontent à février 2011, avec l'enregistrement de sept tremblements de terre allant de 2 à 4,5 de magnitude.

    Caché sous les eaux du lac Laacher See, la taille du volcan peut être comparée à celle du Mont Pinatubo qui, en 1991, a créé la plus grande éruption du XXe siècle. Si l'hypothèse des experts se révèle exacte, des milliards de tonnes de cendres et de magma pourraient être éjectés.Ce volcan géant est qualifié d'actif de part de nombreuses activités sismiques et de fortes anomalies thermiques sous le lac. Des bulles de gaz provenant du magma - dioxyde de carbone (CO2) - sont encore visibles sur la rive sud.

    Aussi, son éruption serait une catastrophe pour l'Europe. S'il ne s'éteint pas, cela pourrait conduire à une dévastation généralisée, des évacuations de masse et même à court terme, le refroidissement global par le nuage de cendres bloquant le soleil. La France serait également fortement touchée par l'éruption de ce volcan,avant d'être couverte d'un voile épais. Toutefois, il y a des raisons d'être rassuré. Selon le site Gizmodo, le volcan dégazerait régulièrement, empêchant ainsi son explosion. Et tant que ce phénomène se produira, toute l'Europe sera à l'abri du danger.

    http://www.francetv....mand_45909.html

    http://www.leparisie...012-1795185.php

    http://www.maxiscien...e_art20192.html

    http://www.lefigaro....agne-menace.php

    On en parle sur HB aussi:

    http://www.hoaxbuste...truire-l-europe

  3. Un train électrique qui parcourt Lima du nord au sud pour soulager la capitale péruvienne asphyxiée par la circulation a transporté cette semaine ses premiers passagers, 25 ans après le début du chantier, retardé pour des problèmes de corruption puis de priorités politiques.

    Le Système électrique de transport de masse de Lima ou "Tren electrico", comme il est connu et attendu à Lima depuis un quart de siècle, a transporté mardi quelque 1.200 passagers par rame, sur 22 km entre la banlieue sud de Villa El Salvador et le quartier nord de Gamarra.

    Le train, aérien pour l'essentiel, assurera dans un premier temps une ligne du nord-est au sud-est de 32 km, à 40 kmh. A long terme, le réseau de la métropole de près de 9 millions d'habitants devrait comporter sept lignes.

    Le Tren electrico, chantier vital pour une capitale congestionnée, dépourvue de métro, et au transport en commun chaotique régi par les minibus-taxis, avait été entamé au début de la première présidence d'Alan Garcia (1985-90).

    Des irrégularités présumées de contrats, des procédures judiciaires, puis des autorités nationales et municipales se renvoyant l'initiative, ont retardé le projet jusqu'à nouvelle impulsion, sous le second mandat de Garcia (2006-2011).

    M. Garcia a d'ailleurs "inauguré" une rame juste avant son départ du pouvoir en juillet, mais le train n'a transporté ses premiers passagers que cette semaine. Et encore: il s'agit "d'essais pré-opérationnels", après des essais privés fin 2011. La phase opérationnelle normale, et payante, doit débuter en février.

    Le groupe français Alstom fournira 19 rames de type Metropolis au Tren Electrico, pour compléter les rames actuelles, italiennes (Ansaldobreda), acquises dans les années 80 et qui ont été modernisées.

  4. Des salariés de SeaFrance dénoncent le «système CFDT»

    http://www.lefigaro.fr/social/2012/01/05/09010-20120105ARTFIG00641-des-salaries-de-seafrance-denoncent-le-systeme-cfdt.php

    Des témoignages recueillis au sein de la compagnie de ferries par Europe 1 relatent des pressions parfois violentes. La CFDT nous précise qu'elle entend faire le ménage dans ses rangs «le moment venu».

    La CFDT maritime SeaFrance, qui porte le projet de reprise de la compagnie par la société coopérative (Scop), se serait bien passée de cette polémique. Selon Europe 1, certains salariés osent braver le syndicat majoritaire en pointant du doigt ses «pratiques douteuses». Intimidations, violences, passe-droits, plusieurs salariés non-syndiqués témoignent, sous couvert d'anonymat, des moyens de pression, parfois violents, utilisés par les leaders syndicaux. Europe 1 cite plusieurs exemples qui lui ont été rapportés: «une voiture vandalisée devant le domicile d'un salarié, des salariés victimes de harcèlement verbal ou d'agressions physiques». Certains représentants syndicaux auraient même déjà été condamnés par la justice.

    Concrètement, ces témoignages relèvent qu'un véritable «système CFDT» s'est mis en place au sein de l'entreprise basée à Calais ces dernières années. Et ce, sous les yeux de la direction qui aurait préféré ignorer ces faits afin de préserver la «paix sociale» au sein de SeaFrance. Europe 1 cite un compte-rendu de CE datant de 2009, dans lequel la nouvelle direction du groupe dénonce certaines pratiques de la CFDT, comme celle d'accorder des «passe-droits» à certains salariés. Un rapport de la Cour des comptes aurait également pointé certains dysfonctionnements. Philippe Hénon, le rédacteur en chef de Nord Littoral, raconte à la radio que «c'est la CFDT qui embauchait, c'est elle qui accordait les promotions, les congés. (...) Certains salariés avaient le droit à 100 ou 120 jours de congés négatifs», c'est-à-dire en bonus de leur solde légal.

    Enfin, selon Europe 1, une enquête de justice est en cours sur des vols à bord des ferries de la compagnie. Les noms des deux principaux chefs de la CFDT - Éric Vercoutre et Didier Capelle - apparaissent dans ce dossier. En réaction à ces accusations, la CFDT dénonce un «complot». «Je ne peux pas mettre un revolver sur la tempe de chaque salarié qui sont adhérents à la CFDT pour leur dire: fais comme je te dis», répond Éric Vercoutre, en rappelant qu'il a remporté près de «80% des suffrages» aux dernières élections.

    «On règlera nos comptes le moment venu», promet l'état major CFDT

    Malgré tout, les pratiques pointées du doigt chez SeaFrance ne surprennent pas certains membres de l'état major de la CFDT à Paris, régulièrement informés des dérapages de leurs élus de l'entreprise. «On ne sait pas ce à quoi ils jouent, explique un dirigeant de la centrale de Belleville: défendent-ils l'intérêt des salariés ou les leurs, c'est difficile à dire.» Un autre les traite même volontiers de «boulets» et reporte la quasi-faillite de SeaFrance sur leurs épaules. «Ils n'ont pas voulu étudier les offres de reprise d'autres compagnies par simple idéologie, considérant que leur activité ne devait pas tomber entre les mains du privé», avoue-t-il.

    Ce haut responsable de la CFDT ne croit pas non plus au projet de scop développé par les élus de l'entreprise. «A titre personnel, je déconseillerais aux salariés d'investir leurs indemnités de licenciement ou leurs économies dans la coopérative, je n'y crois pas», tranche-t-il, en partie à cause de l'inconsistance des porteurs du projet. Soit des élus de son propre syndicat. «On ne peut pas s'exprimer tant que le dossier n'est pas réglé et parce qu'il y a des vies en jeu, mais on réglera nos comptes le moment venu», conclut-il.

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