gilles_tagada

Je pense que Rigolo ne doit pas être loin de la vérité car, vérification faite sur les sillons demandés pour 2012, disponibles sur le site RFF, ECR n'aurait demandé aucun sillon régulier pour des trains de voyageurs. Comme la licence implique que les services doivent commencer dans les 12 mois, cela laisse la porte ouverte à des trains spéciaux...

En fait, il y a 2 solutions valables : - soit ne rien déclarer, ni les frais, ni le remboursement, - soit déclarer les 2, frais et remboursement. Il faut faire les calculs pour savoir ce qui est le plus avantageux, car je ne suis pas sûr que les 2 solutions soient équivalentes...

Les 19 trains de Veolia dont je parle sont des trains de voyageurs, tracés en 36000 + corail. Et la série continue : ECR vient à son tour d'obtenir sa licence : Journal Officiel A noter l'article 2 :

A priori, vu le nom, cela concerne aussi les 19 trains assurés par Véolia (sans compter les remontes...).

Tout cela augure mal de la situation à partir de l'année prochaine, lorsque Veolia et Trenitalia auront peut-être, ou pas, eux aussi, leurs distributeurs de billet en gare... Lequel choisir?

Je viens de vérifier : effectivement, sur internet, le premier prix est à 16,20€. Ce qui m'a cependant encore plus surpris, c'est le billet à 67,10€ qui m'est proposé! Est-ce que la SNCF est incapable de se rendre compte que le train direct qui part 10 minutes plus tôt, arrive 4h10 avant celui qui passe par Rennes? Est-ce que la SNCF prend les Bretons pour des c*** pour imaginer qu'elle va réussir à leur vendre des Brest-Quimper passant par Rennes?

Le journal officiel publie ce mardi l'arrêté accordant à "Trenitalia Veolia Transdev"sa licence pour le transport de voyageurs.

Lu dans le Ouest-France de ce mardi :

Sur le site de RFF, le 3631 est un Paris-Austerlitz (9:53) Cerbère (19:33), arrêt à Narbonne de 17:47 à 18:12. Les horaires donnés par le site de la SNCF sont bien incomplets.

Le site de RFF donne les sillons suivants : - 3330 : départ de Caen à 5:08, arrivée à Paris St-Lazare à 7:16 - 3332 : départ de Caen à 6:08, arrivée à Paris St-Lazare à 8:18

On retrouve encore aujourd'hui un panneau de ce type sur la VUTR Carnoules - Gardanne, à l'arrivée sur Gardanne.

Un point qui me surprend, c'est que les panneaux semblent avoir été démontés dans l'autre sens : il y a bien les poteaux mais pas de panneau dessus!

Avec l'arrivée de nouveaux EF sur le trafic voyageurs au service 2012, quelle peut être la justification de diffuser un logiciel qui ne serait pas complet? Et puis la DB diffuse elle un logiciel qui couvre toute l'Europe, sans tenir compte de la compagnie qui tracte le train.

Il y a aussi une exposition statique de matériels ferroviaires en gare de Brignoles, avec baptême à bord d'un engin rail-route : http://journeesdupatrimoine.culture.fr/search/jep2011/Gare%20de%20Brignoles

Si je me souviens bien, cette ligne n'est pas en réglementation SNCF, mais ex-CFTA, en cantonnement téléphonique.

Journée de présentation du matériel préservé par l'Association du Train Touristique du Centre-Var à Brignoles le samedi, avec baptême, présentation du matériel, et projection du film "La fille du puisatier" le soir.

L'hypothèse très réaliste d'une privatisation ‎ Depuis plus de 20 ans, les édiles des cantons de Genève et duValais ainsi que les élus de la région Rhône-Alpes dépensent de l'argent public pour financer des études d'opportunité, des études d'impacts, des chantiers de débroussaillages dans le but de réactiver la fameuse ligne du Tonkin.

Bonjour, A ma connaissance, la présence de personnes non autorisées était déjà un délit avant le printemps. Il s'agit simplement d'un "changement" de texte : le code des transports et non plus la loi de 1845. Ceci dit, seule la présence "non autorisée" est sanctionnée : la SNCF a toujours le droit d'accorder des autorisations. Reste à l'obtenir...

Précision, ce n'est pas seulement sur de vieux textes réglementaires : ces dispositions sont encore en vigueur aujourd'hui!

Sinon quelqu'un sait ce qui va arriver au matériel? Sera-t-il découper ou transférer à une association?

Train complet ou niet.... ou s'adresser ailleurs....

Bonjour, A ma connaissance, le camp des matelots (celui que tu cites) appartient au ministère de la défense (ex- 5è régiment du Génie). Un moment, à la suite de la dissolution de ce régiment, il était question de créer une association pour lui transférer ce matériel.

Et le tire-bouchon n'est pas exploité par une régie départementale, mais bien par la SNCF, sur une ligne ouverte au trafic.

Bonjour, A ma connaissance, la seule "norme" qui existe est la limite admise par les impots lors du calcul des frais réels. Ils n'acceptent que 50 km aller et retour par jour. Mais ils peuvent admettre plus si le conjoint travaille aussi et que le domicile est situé entre les 2 lieux de travail. ou pour un motif légitime du même genre. Pour le reste, l'employeur n'a pas le droit de fixer de limite à la liberté de choix du domicile par son salarié (ou son agent). A ma connaissance, les seuls qui soient astreints à une obligation dans ce domaine, ce sont les gendarmes qui sont tenus d'habiter en caserne!

On m'a raconté l'histoire d'un cheminot, syndiqué probablement, qui travaillait dans les années 60 au poste de Monaco. Un jour que le grand Charles devait aller à Monaco en train, toutes les précautions que vous avez évoquées ont été prises. Et même plus puisque, après avoir tracé l'itinéraire, notre cheminot a été éjecté du poste par les forces de l'ordre et les cadres qui craignaient un attentat. Notre cheminot est donc allé sur le quai attendre qu'on veuille bien le laisser reprendre son poste. A l'arrivée du train présidentiel, le général a salué tous les cheminots qui avaient conduit le train et ceux qui étaient présents sur le quai, dont le notre... Extrait du dialogue : - Le général : "Tiens, Richard, mais comment vas-tu?" - Richard : "Très bien, mon général. - "Et qu'est-ce que tu fais là?" - "Les cadres et la police n'ont pas voulu que je reste dans le poste, par crainte d'une mauvaise manipulation probablement..." - "Ah, les imbéciles!" Et le général lui sert la main chaleureusement, tout en rigolant. Devant ce dialogue très cordial, les dirigeants SNCF sont venus lui tirer les vers du nez afin de comprendre pourquoi il avait eu le droit à cet entretien impromptu (eux n'avaient eu le droit qu'à une poignée de main très rapide). - "Le général et moi, nous avons combattu les Allemands ensemble : je l'ai très bien connu à Londres pendant la Résistance!"