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Le Web des Cheminots

YBE

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Tout ce qui a été posté par YBE

  1. Surtout que côté Français il n'y a plus de train depuis 1970...
  2. YBE

    L'Amérique...

    Les ponts là-bas sont pas vraiment prévu pour une rencontre pièton-train : l'espace entre la voie et le rebord est réduit au strict minimum !...
  3. Ça parle des essais de l'ETR-460 en 1997, sur Paris-Limoges-Toulouse. En bref, ça http://www.intermodalite.com/polt_2010.html mais en plus détaillé.
  4. Édifiant : apparemment, en 1997, Paris-Limoges-Toulouse était faisable en... 4h22 ! Un lien instructif : http://www.trainsdumidi.com/t8300-etr-460-italien-en-gare-de-toulouse
  5. Paris - Valence, composante essentielle du futur Berlin - Algeciras, lui-même premier maillon de la future liaison Helsinki - Le Cap une fois le tunnel de Gibraltar réalisé, bien sûr... :Smiley_05:
  6. J'ai bien compris que c'était pas faisable excepté pour un coup de comm', mais j'essayais de réfléchir à ce qui serait possible techniquement si depuis le Capitole la ligne avait continuée à être bichonnée, tout en prenant en compte le matos actuel, l'existence de la LGV Atlantique ainsi que des ambitions raisonnables. De toute manière une fois la LGV Tours-Bordeaux en service - sans parler de la LGV Bordeaux-Toulouse - il n'y aura plus guère de palabres et de fantasmes possibles...
  7. transport en commun (RER+VAL+navette aéroport ou taxi) et enregistrement compris ? Je m'attendais à 3h30 / 4h... Cela dit, il faudrait aussi comparer les prix...
  8. Impressionnant cette régression. Après vérification, voici ce que j'ai trouvé pour les temps de parcours actuels (corrigez si je me trompe) 5h17 à 5h21 pour un direct Toulouse / Paris-Montparnasse en TGV par Bordeaux 6h21 à 7h49 pour un direct Toulouse / Paris-Austerlitz En voiture on peut mettre moins de 7h sans être hors-la-loi (donc c'est tout bénef pour le covoiturage)... En avion ? En fantasmant un peu sur les 5h56 de jadis et les soit-disant 5h40 du TGV détourné en 2009, avec l'appui de quelques portions de parcours relevés de 200 à 220 et de 160 relevé à 200, on pourrait presque atteindre du 5h30 en marches tendues si on s'en donnait les moyens, non ? Je sais que ce n'est absolument pas cohérent par les temps qui cours, mais on a encore le droit de rêver...
  9. Waow... C'est confirmé ? Parce que 40mn de plus que par Bordeaux seulement, c'est drôlement bien !. Pour info, quelqu'un pourrait rappeler quels sont les meilleurs temps actuels et quels étaient les meilleurs temps à l'époque du Capitole ?
  10. Pas comparable à un 72000 : le design si singulier de leurs diesels date d'entre les deux guerres (même si ce modèle est plus récent) . Tous les vieux diesels qui ont suivi, partout dans le monde, s'en sont inspiré (les nohab et tout et tout). Le streamline est un mouvement dérivé de l'Art déco (années 20 à 40) qui a eu son apogée dans les années 30 et qui a perduré dans certains domaines. Chez nous, dans les années 30 on en était au design des 2d2 5500, BB 4200, BB 300 et CC1100... Les machines électriques de l'État (2d25400, Z3700, Z3800, etc...), par leur design, s'apparentent à ce mouvement, sans parler des gros diesels doubles du PLM et de quelques vapeurs carénées de plusieurs réseaux. Nos sous-marins CC 65000, ont un design inspiré des diesels amerloques donc c'est comparable mais franchement pas les nez-cassé Arzens, qui effectivement sont typiquement françaises mais se sont peu vendues ailleurs dans le monde (Corée du Sud, Pays-bas, Maroc, Slovénie, Brésil, Portugal)... Non ? Désolé pour la parenthèse et désolé de pinailler, mais bon. Quant au type, punaise, un tel enthousiasme, c'est proche de l'orgasme. J'espère qu'il a des sous-vêtements de rechange... :Smiley_40:
  11. L'aiguille n'a jamais été déposée (à ma connaissance) malgré les multiples effets d'annonce. ET C'EST TANT MIEUX !!!
  12. Ah ah. Cet éboulement, les politiques l'auraient probablement trouvé plus opportun sur Cahors-Capdenac, histoire d'en remettre une couche sur la voie verte !
  13. On en est à 898... C'est bien beau, mais c'est pas suffisant pour faire rouvrir une ligne, d'autant qu'une signature électronique n'engage pas à grand chose. Si un appel à action sur place était lancé on aurait entre dix et cinquante personnes maxi à mon avis... Par contre, effectivement, la population autochtone est vraiment très, très clairsemée mais dire qu'il n'y a que Saint-Cirq-Lapopie qui soit touristique sur la ligne, c'est méconnaitre le site !
  14. Pour les vitres d'angle, bien vu, j'ai bien la même impression aussi. Pour en revenir au reportage vidéo posté au début, ils semble s'y dire pas mal d'âneries (la loco de... 800 tonnes par exemple me semble bien petite vu son prétendu poids)...
  15. De toute façon, en l'état il y a actuellement à peine plus de 600 signataires de cette pétition. C'est insignifiant : un pourcentage infime (et ce n'est pas un reproche, c'est un constat) relèverait les manches s'il fallait par exemple se réunir pour une action médiatique (manifestation, week-end organisé de débroussaillage, etc...). Si la pétition atteint 5 à 10000 signatures, là ce sera un signe et on pourra commencer à espérer. Si on plafonne à un millier à peine dans quelques semaines, il n'y aura pas grand chose à en attendre...
  16. Bonjour à tous. Ici une pétition contre le projet de voie verte ( ) et la réhabilitation de la voie ferrée : http://www.petitionp...?pi=P2011N18249 SVP, faites tourner cette pétition dans votre entourage !
  17. N'exagérons pas, même si la situation est impressionnante et pas commune : le train de fret fait une petite vingtaine (maxi) de wagons VIDES. Et puis (à la pousse surtout) avec cette charge, les attelages doivent pas tant souffrir : on est quand même loin des 3600 tonnes, non ?
  18. Certes. Ça semble en partie logique, merci pour cette mise au point. Mais sur le terrain elle ne modifie que très partiellement le problème vu la dernière phrase de l'Article 226-1, que tu as “omis” de mentionner : “Lorsque les actes mentionnés au présent article ont été accomplis au vu et au su des intéressés sans qu'ils s'y soient opposés, alors qu'ils étaient en mesure de le faire, le consentement de ceux-ci est présumé.” Par conséquent si les personnes photographiées sont parfaitement conscientes de la prise de vue et ne s'y opposent pas, c'est considéré comme un accord tacite. Ma formulation du précédent message était motivée par ce texte, tiré d'ici : http://2.8.pagesperso-orange.fr/technique/droitimage.htm : “Qui s'expose à la vue du regard d'autrui dans un lieu public consent à être vu et la capture d'une image est licite sans autorisation s'il n'y a pas de diffusion ou d'utilisation, notamment à des fins publicitaires." Personne ne peut, en principe, vous interdire de photographier ce qui est à la vue de tous, on peut simplement vous interdire de pénettrer sur une propriété privée pour faire votre photo ou de géner la circulation des piétons ou des véhicules. La même image réalisée avec un téléobjectif depuis le domaine public est parfaitement licite. Mais le droit de photographier n'implique pas un droit d'utilisation de l'image, qu'elle soit gratuite ou rémunérée. L'image du château privé visible depuis la route par tous, ne vous donne pas droit de la publier et encore moins de la commercialiser. Gardez donc l'image dans votre jardin secret ou pour le fameux "cerle familial". Si l'on peut photographier tout et n'importe quoi (sauf dans un lieu privé et certains lieux publics en l'absence d'autorisation : gares,métro,musées,installations militaires...,sauf des personnes en fonction : gendarmes,policiers, agents de la fonction publique...), il convient de rester faire-play, correct et courtois pour éviter les incidents. Les affaires ont rendu les gens succeptibles et il devient plus difficile de photographier dans la rue. Attention à "l'agression" par appareil photographique interposé et sachez que la confiscation de votre matériel par un particulier est illicite.” Par déformation personnelle et professionnelle j'ai probablement fait excès de naïveté puisque par prises de vues à partir de la voie publique je pensais aux plans larges de paysages, qui pourraient inclure des riverains visibles dans leur propriété, non pas comme sujet exclusif mais comme composants secondaires. Effectivement, la photographie délibérée au téléobjectif à partir de la voie publique de personnes dans leur propriété privée, à leur insu est fort heureusement répréhensible. Mais à la fin des années 90 et au tout début des années 2000 il y a eu de nombreuses affaires d'action en justice abusives menées contre des photographes par des particuliers procéduriers et en mal de reconnaissance (l'affaire de la barque de Collioure était tout simplement révoltante). Depuis, les choses se sont assouplies pour le droit à l'image en faveur des photographes et de la liberté de la presse comme de nombreuses affaires récentes tendent à le confirmer, sans pour autant négliger la protection de la vie privée. En tous cas, en participant à ce post je me suis remis le nez dans ces considérations juridiques et c'est franchement une usine à gaz. J'ai trouvé des choses intéressantes ici http://www.dolphin2001.net/photo/legis/droit/ (inventaire très complet) et ici http://droit-et-photographie.over-blog.com/ (compte-rendu très à jour de l'actualité juridique). Dans ce dernier blog, un article et justement consacré à la prise de vue dans les gares mais il est plutôt... déconcertant ! Je vous laisse vous faire une idée, c'est ici : http://droit-et-photographie.over-blog.com/article-photos-metros-gares-gare-a-vous-48887876.html Au final je ne sais pas si les choses sont moins embrouillées après lecture qu'avant.
  19. Non, non MAK ce n'est pas ce que j'ai dit et juridiquement ce n'est pas ça : À partir de la voie publique, c'est simple, on peut sortir son appareil et quasiment tout prendre en photo, y compris les choses que tu cites. Du point de vue de la loi, c'est autorisé et c'est normal sinon on ne sortirait plus un appareil photo de peur d'avoir une procédure aux fesses ou des types qui s'énervent ! Ce qui est interdit ou fortement réglementé c'est l'usage et la diffusion des images : prendre des photos sans autorisation peut être légal, ça n'implique pas forcément la possibilité de diffuser sans autorisation ces images Y COMPRIS SUR DES RÉSEAUX SOCIAUX. C'est aussi simple que ça. Les cas que tu cites font partie de ce cas de figure. Tu peux les prendre en photo, mais ces images, hormis si tu dispose des autorisations des personnes concernées, tu n'as rien le droit d'en faire, ou alors dans un bon siècle, tes descendants pourrons les diffuser car les personnes sur les images seront décédées et probablement que plus personne ne sera en mesure de les reconnaître ! Dés lors on pourra apprécier ces images pour leur statut patrimonial et leurs qualités “artistiques”, pour peu qu'elles en aient !!! Toute prise de vue à partir de la voie publique est donc autorisée (excepté cas très rares souvent précisés : enclos militaires avec précisions d'interdiction de photographier disposée à l'extérieur de la “zone”, par exemple, membres de services sensibles des forces de l'ordre, etc...) , mais la diffusion de ces clichés ne l'est pas d'office car elle pourrait nuire à des individus ou des entreprises ou spolier les intérêts de quelqu'un. Suis-je clair ? Après c'est une question de politesse : si un type dans la rue prend ma copine en photo, je peux lui demander gentiment d'arrêter et lui il peut poliment s'excuser et s'arrêter, voire me montrer sa bonne volonté en effaçant les photos déjà prises mais en aucun cas je ne peux le forcer à arrêter car il est dans son bon droit, excepté si les photos sont clairement tendancieuses (comme ces types qui photographient sous les jupes) : ce qui ne me donne pas non plus le droit de lui casser la gueule même si l'envie est forte et justifiée... Bref, je m'égare. Désolé pour ces méandres lourds et insistants mais j'essaye d'être clair.
  20. Merci pour ce lien très clair. Les choses sont assez simples : Photographier à partir de la voie publique avec un matériel portable et “standard” ne demande aucune espèce d'autorisation pour peu que ces images restent non diffusées et à usage privé. On peut donc considérer qu'à partir de la voir publique, on peut tout photographier et que personne ne peut vous en empêcher, à condition bien sûr que vous n'enfreigniez aucune loi par votre comportement : si des vigiles vous menacent, appelez les flics*. Eux savent et calmeront les cowboys des sociétés privés dont le pouvoir est relativement limité et ne doit pas dépasser le cadre géographique strict de la société pour laquelle ils travaillent. * Pour l'anecdote, s'il est parfaitement autorisé de photographier des gendarmes et policiers sur la voie public, il est interdit de photographier des agents des services "dont les missions exigent, pour des raisons de sécurité [...] le respect de l'anonymat des fonctionnaires qui y sont affectés". Pour en revenir à nos moutons, s'il est donc parfaitement possible et autorisé de photographier ce que l'ont veut à partir de la voie publique l'autre soucis très contraignant c'est qu'avec les médias modernes c'est très rare que les images que les amateurs ou le public lambda réalisent ne soient pas diffusées (au moins sur Facebook) et, en fonction du sujet figuré, cette diffusion devrait la plupart du temps faire l'objet de demande d'autorisation. Dans la pratique il existe donc d'innombrables cas particuliers qui restreignent le diffusion d'images réalisées à partir de la voie publique. “L'innocence” a bon dos mais nul n'est censé ignorer la loi ! La confusion entre voie publique et lieux fréquentés par le public n'est pas pour arranger les choses. Finalement beaucoup de lieux sont privés et la réalisation de prises de vues dans ces lieux mais surtout leur diffusion est donc naturellement soumise au bon vouloir des propriétaires de ces lieux bien que là aussi une certaine souplesse existe. Dans le cadre par exemple des cheminots qui prennent des photos de leur lieu de travail, je suis plutôt dubitatif, non pas pour les photos de leur quotidien (en cabine, et le long des voies), mais plutôt quand certains diffusent en avant-première des informations sur des livrées inédites ou des photos détaillées d'accidents, par exemple, bref, des informations dont l'entreprise pourrait trouver bon de restreindre la diffusion. Je suis la plupart du temps bien content de les voir sur les forums mais je ne serais pas étonné que la SNCF n'apprécie pas : il me semble tout à fait légitime qu'une entreprise veuille contrôler son image et les informations qui sortent de ses murs ! Je ne suis pas cheminot donc d'autres ici seront peut-être plus renseignés que moi mais je ne serais pas étonné non plus qu'en étant employé d'une entreprise ferroviaire il existe quelques contraintes dans la divulgation d'images du matériel, du personnel et des emprises de l'entreprise. Enfin, pour sortir à nouveau du ferroviaire, les photos “à la Doisneau” sont un vieux fantasme de photographes amateurs et de gentils rêveurs : Doisneau lui-même ne faisait pas de photos “à la Doisneau” au sens où l'entend cet article. Si ses images partaient de scènes constatées dans le quotidien, la majorité étaient des mises en scènes avec des personnages qui faisaient de la figuration : Doisneau le disait lui-même, sa fille le répète et ceux qui l'ont connu (dont un de mes proches) le disent encore et toujours si je ne m'abuse, mais le mythe de la photo “sur le vif” est coriace...
  21. Merci pour ce lien : les images sont en bonne résolution ce qui n'est pas si fréquent. L'occasion de (re)découvrir un maitre de la photographie ferroviaire.
  22. Bonjour à tous.

 Utiliser un appareil photo ne rend pas photographe.
 Je suis consterné par les approximations et les certitudes débitées dans ce sujet. 
Être photographe, même amateur ce n'est pas se cantonner au discours de l'amour de la belle photo, de la recherche de la maitrise technique de son appareil ou de la passion des trains mais c'est aussi avoir des connaissance pointues en droit à l'image.
 Ce n'est pas une soi-disant dérive.
 C'est juste normal.

 Par exemple tout le monde semble faire l'amalgame entre “espace public“ et “espace accessible aupublic” : une gare est un espace privé (appartenant à une entreprise) accessible au public.
Par conséquent, d'un point de vue juridique il n'y a aucun droit absolu pour le photographe amateur, juste une tolérance : les responsables de l'établissement ont entièrement le droit d'interdire les prises de vues, sans avoir à se justifier d'ailleurs, et il est parfaitement compréhensible que le plan vigipirate accentue le manque de tolérance à cet égard. 
Et je ne vois pas en quoi un photographe peut avoir l'arrogance de remettre en cause les restrictions liées à ce plan !

 Comme beaucoup l'ont dit ici un minimum de savoir-vivre devrait simplement inciter à se présenter aux responsables avant d'envisager une série de prises de vues.
 Quant aux prises de vues “spontanées“, pas de problème pour peu qu'en cas de réclamation de responsable locaux, le photographe fasse profil bas et cesse les prises de vues...

 Pour revenir à cette histoire de prises de vues sur l'espace public, il faut préciser qu'effectivement, tout ce qui est visible à partir de la voie publique est en principe photographiable sans autorisation, justement si la prise de vue est réalisée à partir de la voie publique (en référence aux petits malins qui s'introduisent dans les emprises ferroviaires pour “optimiser” leur point de vue...).
 Quelques bémols toutefois, même au sujet de cette histoire de voie publique : 
En ville toute prise de vue avec un trépied (ou/et du matériel volumineux, tel que des flash-parapluies, des projecteurs ou des déflecteurs) est soumise à demande préalable d'autorisation.
 Pour ceux qui réalisent régulièrement des prises de vues nocturnes en ville sans s'en soucier ni être inquiétés , sachez que si personne ne relève ce point c'est que bien souvent les policiers ne sont tout simplement pas au courant. En tous cas s'ils laissent passer ces prises de vues il faut bien se mettre dans la tête que c'est par tolérance (ou ignorance, donc) et non parce que c'est un droit absolu, donc point d'excès de zèle.

 Les règles concernant les droits à l'image des individus photographiés sont encore plus draconiennes et c'est tant mieux : par conséquent il est fréquent qu'elles restreignent les droits à photographier à partir de la voie publique. 
Par exemple si l'on désire photographier depuis la rue une maison, et seulement une maison, sans autorisation de son propriétaire, dans certains cas le photographe peut faire l'objet de poursuites car en considérant la maison d'un particulier comme sujet exclusif d'une photographie, on peut facilement violer le cercle intime, ce qui peut potentiellement est considéré comme une intrusion dans la vie privée. C'est aussi ça la liberté... À ce titre le bien d'autrui, comme les photographies de personnes est autorisé sans restriction seulement quand il concerne une ensemble de biens (plusieurs maisons et voitures par exemple, auquel cas l'image ne “vise” personne en particulier) ou plusieurs personnes (plus d'une dizaine, auquel cas c'est une foule, et il n'est normalement pas nécessaire de flouter les visages car on peut objectivement considérer que l'image d'aucune personne n'est visée en particulier).

 Voilà juste quelques points parmi d'autres (je manque de temps pour développer). Tout ça pour dire que dans la majorité des cas, il est nécessaire d'avoir des autorisations de prise de vue dés que l'on dépasse l'utilisation dans un cadre privé des images : la diffusion même sans intentions commerciales des clichés induit que l'auteur prenne ses responsabilité et assume les effets de son image... Je précise que ces règles s'assouplissent pour la presse quand un cliché documente une actualité (notamment pour les photographies de personnes). J'ajoute aussi que ce même cliché, dans un contexte d'actualité pourra être diffusé sans demandes d'autorisations particulières mais que sa diffusion “hors-contexte” sera à nouveau soumises à toutes les restrictions citées plus haut. Enfin, être photographe ne donne pas une immunité particulière et rien ne justifie qu'un photographe dépasse le cadre des lois pour réaliser un cliché, même magistral. 

 

 Une brève visite du site en question me confirme mes doutes.
 Ce genre d'infos compilées n'est absolument pas fiables.
 Pour exemple la Russie et la Bièlorussie : essayez-donc d'aller spotter là-bas !
 Ce n'est pas impossible mais c'est franchement difficile : ce n'est pas vraiment ce qui est mentionné sur la carte et ce n'est qu'un exemple parmi d'autres... 
En se basant sur des sources aussi peu fiables, il ne faut pas s'étonner d'avoir des soucis...

 

“On” croit rêver !
 Cette personne nous dit gentiment : je me ballade tranquillou dans les emprises ferroviaires le dimanche, n'hésitez pas, c'est interdit mais y a pas de soucis ! Incroyable...
  23. YBE

    B e r l i n

    Pourquoi étonnant ? Comme son nom l'indique, les origines du Hamburger, c'est à Hambourg, pas aux États-Unis !...
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