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likorn

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Messages publiés par likorn

  1. Citation

     

    Les discussions devraient être houleuses entre les «faucons», partisans d’un resserrement monétaire rapide pour tenter de juguler la flambée de prix, et les «colombes», qui craignent qu’un retrait des soutiens plombe une croissance chancelante.

    La BCE est jusqu’à présent la plus attentiste des grandes banques centrales. Partout ailleurs, les taux d’intérêt ont commencé à augmenter. Annoncée de longue date, la première hausse de la banque centrale américaine (Fed), d’un quart de point de pourcentage (0,25%) en mars, sera suivie de plusieurs autres. Les taux de l’institution de Francfort campent toujours à un niveau historiquement bas.

     

    https://www.letemps.ch/economie/entre-inflation-risque-recession-bce-cherche-parade

    Pendant ce temps, grâce au Franc (qui renchérit), l'inflation reste limitée à 2.4% en Suisse. Avec une très forte augmentation du coût des transports et des équipements.

    https://labs.letemps.ch/interactive/2022/dashboardEco/

    Pour l'instant hein...

  2. Tout à fait, d'ailleurs je dois m'être mal exprimé mais quand je parle de prix, je ne parle pas de valeur d'échange mais de valeur d'usage.

    Et pour la lignite, sa valeur d'usage est justement inférieur à l'anthracite ou à la houile, par exemple et notamment parce que son pouvoir calorifique est environ 40% inférieur . Et le Grisou aussi.

    Cela dit, Grisou comme Lignite produise du CO2, je vous rappelle qu'on est sensé s'en passer et faire avec du renouvelable. Et c'est plutôt compliqué d'avoir une production stable quand les producteurs (le vent et le soleil) ne le sont pas.

    P.ex un collègue a mis des panneaux, et un accumulateur. Bah il tient 24 heures sans soleil, c'est pas glorieux en hiver (et en hiver, les barrages sont presque vides, c'est pas au point tout ça).

    Pour en revenir au sujet, c'est un vrai problème aux CFF. Environ 10% de notre énergie (bon c'est 30 pour la Confédération) provient du nucléaire. Or le pays est sensé en sortir, on ne peut plus construire de centrale, c'est dans la Constitution.

    Du coups, malgré l'augmentation du trafic, on est sensé consommer moins. Donc tout un tas de programmes ont été mis en place, comme la régulation adaptative et, évidemment, des abaissements de vitesse pour une réduction prévue d'environ 20% de la consommation en courant de traction. Le problème étant que là où l'on économise à l'exploitation, l'administration et les services nous rattrapent avec la numérisation, le bilan global de consommation électrique des CFF étant stable en tenant compte des serveurs externalisés.

  3. Il y a 2 heures, CGO a dit :

    Le problème du solaire et de l'éolien, c'est le stockage.

    Pourtant avec son relief, la Suisse pourrait plus facilement que d'autres pays installer des barrages réservoirs ?

    C'est déjà fait, 60% de l'électricité est hydraulique. Mais bon, on a plus trop d'endroits où en ajouter...

     

    Il y a 2 heures, fabrice a dit :

    Y a pas que la corrosion, y a aussi l'entretien devant etre fait debut 2020 qui a été repoussé à cause du COVID et ces réacteurs sont arrivés à la limite de pas  de visite

     

    Certes, mais les sous sol lorrains et nordiste regorgent de grisou exploitable et dont l'extraction est largement moins destructeur pour l’environnement que pour le gaz de schiste ( des experts l'estiment plus de 50 années). Ca fait des années qu'ils en parlent, des essais avaient été entamés avant l'arret imposé par l'état. L'utilisation des friches miniers ( les carreaux ) est un plus pour les installations

     

    Je ne savais pas, mais ça reste émetteur de CO2, ce n'est pas renouvelable, et je doute que cela soit si "bon marché", parce que le vrai problème ça va être ça, le prix.

    Quand le prix augmente, on consomme moins (sauf en France où l'État s'endette), le prix baisse, les investissements cessent (car le prix de revient augmente avec l'épuisement des ressouces faciles à exploiter), le marché se contracte, les besoins remontent et les prix aussi. Le yoyo. Cela n'a rien a voir avec l'état réel des réserves mais est un révelateur d'une énergie (fossile donc) qui devient onéreuse à exploiter.

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  4. De toute manière, il est assez évident que l'on va avoir de vrais problèmes d'ici très peu de temps.

    Rien que là, la gaz qui a pris 500%, je vous garantis que ça ne va être sympa. Et ce n'est pas fini.

    Se passer des ressources russes, moi, je veux bien (et c'est tant mieux) mais le prix à payer, c'est nous qui le paieront, européens. Aucun moyen d'avoir plus de pouvoir d'achats avec de l'énergie qui augmente.

    Je ne suis pas sûr que les gens sachent vraiment ce que ça signifie la société à 2000w, parce que pour tenter de le faire :

    - plus de bagnole, juste le vélo sans assistance. Remorque si besoin de place.

    -plus de vacances en avion, ni en véhicule privé (faut au moins une bagnole avec 6 passagers).

    -pas d'ordinateur, ni téléphone portable.

    -pas de bain, sauf deux/trois fois par an.

    -pas de produits venant de plus de 100km, tous les produits, habits compris. Cherchez donc des habits en tissus français tient. Ah, et ça signifie que le moindre pull neuf me coûte 400francs (main d'oeuvre locale...), autant dire que je n'en ai que trois.

    -environ 20% de ma nourriture provient du jardin.

    -chauffage à 19°, avec bois de la forêt que j'ai acheté à un cousin (et ce n'est pas une solution durable pour l'entier de l'humanité, c'est juste que j'habite un coin à brouillard hivernal  dans lequel les PAC géothérmiques sont interdites (protection des eaux)).

    Et je triche, j'ai encore des appareils éléctroniques de mon employeur, je tape dessus là. D'ailleurs c'est rigolo sans je ne pourrais plus payer mes impôts, ça me fait bien marrer comme politique (car un ordinateur juste pour payer mes impôts, oui ça a une forte empreinte par rapport à trois feuilles A4 de papier)

    Le truc le plus rigolo avec ce modèle, c'est que c'est le marché qui est sensé arriver à nous amener à 2000w. Donc on est sensé vendre plus mais avec moins. C'est déja contradictoire dans les termes et suffit de lire le créateur du concept pour trouver que la démarchandisation est un des piliers du concept.

    Alors que bon, sans un appauvrissement massif, on n'arrivera à rien. Parce que la société à 2000w, c'est juste 4% de consommation en moins pendant 100 ans (on doit diviser notre consommation par 4 hein). Le reste, c'est du vent (et de l'energie grise délocalisée au delà du territoire de référence). En 1950 on consommait 2000w, alors certes on peu rêver de doubler l'efficacité, ça nous remetrait à la fin des années '80. Mais du vrai renouvelable 2x plus efficace, et en permanence, je ne vois pas encore bien sans terre rares (pas renouvelable) ni constructions massives (pas tout le temps du vent ni du soleil) elles non plus pas renouvelable. Une éolienne se recycle super mal par exemple. Et je ne parle pas de l'énergie nécessaire pour construire et maintenir un parc de dizaine de milliers de pylônes.

    Du coups, ce qui est sûr c'est qu'il y a peu de choses que je consomme qui doivent être transporté, et ça ce n'est pas terrible ni pour le rail (même intégré), ni pour la route.

     

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  5. Le 07/04/2022 à 20:42, CGO a dit :

    En tous cas la doctrine européenne de séparation des opérateurs infra et EF passe mal auprès de tous les candidats qui sont tous pour le réseau intégré sous la coupe de l'Etat...
     

     

    Il y a 19 heures, CGO a dit :

    Moi tout ce que je dis, c’est que ,selon moi ,aucun des candidats ne souhaite appliquer pleinement les dispositions européennes, y compris celui que ses opposants qualifient d’idolâtre de l’Europe, Macron.

    Maintenant, je te laisse la responsabilité de tes propos peu aimables sur les « lapins de 6 semaines et des ignares »

     

    Donc non, ce n'est pas ce que tu disais.

    D'abord, tu dis que les candidats veulent un réseau intégré (ce qui n'existe même plus en Suisse non plus), et ensuite tu prétends avoir dit que les candidats "ne veulent pas entièrement appliquer les demandes de l'UE", ce qui n'est pas du tout la même chose puisque le socle commun des normes UE est justement de ne pas faire de réseau intégré.

    Soyons clair, ce qui pejore le rail, c'est le prix bas (encore maintenant) de l'energie, car on croule sous le pétrole et que c'est pratique, ce qui permet d'avoir un transport par route largement plus réactif que le rail, ce qui limite les stocks, ce qui coûte bien moins cher.

    Et tant que les hydrocarbures seront a moins de 5.- le litres, et disponibles facilement*, ça ne changera pas. Le seul sauvetage du climat ne changera rien à la volonté humaine de vivre dans un monde moderne, les seuls tonnes de CO2 gagné en europe l'ont été en exportant/délocalisant nos industries, les émissions de CO2 au niveau mondiales augment toujours, sans ralentissement aucun (sauf Covid) depuis 150 ans.

    Parce qu'on a tendance à l'oublier mais le problème, ce n'est pas le transport, ou la mondialisation, le problème c'est l'énerge. Et voyez la guerre en Ukraine, tout le monde semble tomber de sa chaise devant le fait que l'argent ne crée pas de l'énergie, ce serait rigolo si cela n'était pas si dramatique.

    *Il n'y a pas de réelle dépendance entre offre et prix dans ce domaine.

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  6. Je me suis "amusé" à traduire un article de RIA Novosti (Agence de presse, comme TASS et Interfax) dont on parle un peu ces jours.

    ça parle de la politique que devrait mener la Russie en Ukraine, il ne s'agit pas d'une vision purement officielle mais de celle  de Timofei Sergeitsev, un Philosophe de l'université d'Etat de Moscou. Cela dit, son texte est publié par RIA, cela a un sens, il ne s'agit pas d'une opinion au sens de la justification de la guerre mais d'une opinion politique acceptée sur ce qu'il faudra faire après elle.

    La traduction est faite par DeepL, car je ne parle pas le russe.  J'ai relu par derrière, en corrigeant les contresens, les corrections sont signalées par les signes [ et ].

    Citation

    En avril de l'année dernière, nous avons écrit sur le caractère inévitable de la dénazification de l'Ukraine. Nous n'avons pas besoin d'une Ukraine nazie, composée de bandit, ennemie de la Russie et instrument de l'Occident pour détruire la Russie. Aujourd'hui, la question de la dénazification est passée au plan pratique.

    La dénazification est nécessaire lorsqu'une partie importante du peuple - très probablement sa majorité - est maîtrisée et entraînée par le régime nazi dans sa politique. C'est-à-dire lorsque l'hypothèse "le peuple est bon - le gouvernement est mauvais" ne fonctionne pas. La reconnaissance de ce fait est la base de la politique de dénazification, de toutes ses activités, et le fait lui-même constitue son objet.

    L'Ukraine se trouve exactement dans cette situation. Le fait que les électeurs ukrainiens aient voté pour la "paix de Porochenko" et la "paix de Zelensky" ne doit pas induire en erreur : les Ukrainiens étaient tout à fait satisfaits de la voie la plus courte vers la paix, à savoir la guerre éclair [contre le Donbass], à laquelle les deux derniers présidents ukrainiens ont fait allusion de manière transparente lors de leur élection. C'est précisément cette méthode de "pacification" des antifascistes internes - par la terreur totale - qui a été utilisée à Odessa, Kharkov, Dnepropetrovsk, Mariupol et dans d'autres villes russes. Et cela convenait très bien au citoyen ukrainien moyen. La dénazification est un ensemble de mesures à l'égard de la masse nazie de la population, qui ne peut techniquement pas être directement punie en tant que criminel de guerre.

    Les nazis qui ont pris les armes doivent être détruits sur le champ de bataille dans toute la mesure du possible. Il ne faut pas faire de distinction significative entre [l'armée] et les forces dites de sécurité nationale, ainsi que les milices de défense territoriale qui ont rejoint ces deux types de formations militaires. Tous sont également engagés dans une cruauté scandaleuse contre les civils, [sont ] également responsables du génocide du peuple russe, et ils ne respectent pas les lois et coutumes de la guerre. Les criminels de guerre et les nazis actifs doivent être punis de manière approximative et exemplaire. Il faut procéder à une lustration totale. Toutes les organisations qui se sont liées à la pratique du nazisme doivent être éliminées et interdites. Cependant, en plus des hauts gradés, une partie importante des masses populaires qui sont des nazis passifs, des collaborateurs du nazisme, sont également coupables. Ils ont soutenu le pouvoir nazi et se sont montrés indulgents à son égard. Une punition juste pour cette partie de la population n'est possible qu'en supportant les charges inévitables d'une guerre juste contre le système nazi, [guerre] menée aussi doucement et discrètement que possible contre des civils. La dénazification ultérieure de cette masse de la population consiste en une rééducation, qui est réalisée par une répression idéologique des attitudes nazies et une censure sévère : non seulement dans la sphère politique, mais nécessairement aussi dans la sphère de la culture et de l'éducation. C'est par le biais de la culture et de l'éducation que la nazification [profonde de la masse populaire] a été préparée et réalisée. [Réalisation] garantie par la promesse des dividendes de la victoire du régime nazi sur la Russie, [par] la propagande nazie, [par] la violence et la terreur internes, et [par] la guerre de huit ans du peuple nazi ukrainien [contre les] rebelle du Donbass.

    La dénazification ne peut être effectuée que par le vainqueur, ce qui présuppose (1) son contrôle inconditionnel du processus de dénazification et (2) le pouvoir d'assurer ce contrôle. A ce titre, le pays dénazifié ne peut être souverain. L'État dénazifiant - la Russie - ne peut pas procéder à une approche libérale de la dénazification. L'idéologie du dénazificateur ne peut être contestée par le coupable en cours de dénazification. La reconnaissance par la Russie de la nécessité de dénazifier l'Ukraine signifie la reconnaissance que le scénario de la Crimée est impossible pour l'Ukraine dans son ensemble. Cependant, ce scénario était également impossible en 2014 dans le Donbass rebelle. Seules huit années de résistance à la violence et à la terreur nazies [du l’Ukraine] ont conduit à une cohésion interne et à un rejet massif conscient et sans équivoque de la préservation de toute unité et de tout lien avec une Ukraine qui se [définit] comme une société nazie.

    La durée de la dénazification ne peut en aucun cas être inférieure à une génération pour naître, grandir et mûrir. La nazification de l'Ukraine se poursuit depuis plus de 30 ans - depuis au moins 1989, lorsque le nationalisme ukrainien a reçu des formes légales et légitimes d'expression politique et a conduit le mouvement "indépendantiste" vers le nazisme.

    La particularité de l'Ukraine nazifiée moderne est sa nature amorphe et ambivalente, qui permet au nazisme d'être masqué comme une aspiration à l'"indépendance" et à une voie de "développement" "européenne" (donc occidentale, pro-américaine). [Ce masque permet d’]affirmer qu'"il n'y a pas de nazisme en Ukraine, seulement des excès sporadiques privés". Il n'y a pas de parti nazi principal, pas de Führer, et pas de lois raciales à part entière (seulement une version dépouillée sous la forme d'une répression de la langue russe). Par conséquent, il n'y a pas d'opposition ni de résistance au régime.

    Cependant, tout ce qui précède ne fait pas du nazisme ukrainien une "version allégée" du nazisme allemand de la première moitié du vingtième siècle. Au contraire - comme le nazisme ukrainien est libéré de ces cadres et restrictions de "genre" (technologie politique par essence), il se déploie librement comme la base fondamentale de tout nazisme - comme le racisme européen ou, dans sa forme la plus développée, le racisme américain. La dénazification ne peut donc pas se faire dans le cadre d'un compromis, sur la base d'une formule du type "OTAN - non, UE - oui". L'Occident collecti[vement] est lui-même le concepteur, la source et le sponsor du nazisme ukrainien, tandis que les cadres occidentaux et leur "mémoire historique" ne sont qu'un des instruments de la nazification de l'Ukraine. L'ukronazisme ne représente pas une menace moindre, mais plus grande pour la paix et la Russie que le nazisme allemand version Hitler.

    Le nom "Ukraine" ne peut apparemment pas être retenu comme titre d'une entité étatique entièrement dénazifiée sur un territoire libéré du régime nazi. Les républiques populaires nouvellement créées sur les territoires libérés par les nazis naîtront de la pratique de l'autonomie économique et du bien-être social, de la restauration et de la modernisation des systèmes de survie de la population.

    Leurs aspirations politiques ne peuvent en effet être neutres - la rédemption de la culpabilité envers la Russie pour l'avoir traitée comme un ennemi ne peut se réaliser que dans la dépendance à l'égard de la Russie dans les processus de reconstruction, de régénération et de développement. Aucun "plan Marshall" pour ces territoires ne devrait être autorisé. Il ne peut y avoir de "neutralité" au sens idéologique et pratique compatible avec la dénazification. Les cadres et les organisations qui sont les instruments de la dénazification dans les nouvelles républiques dénazifiées ne peuvent que compter sur le pouvoir direct et le soutien organisationnel de la Russie.

    La dénazification sera inévitablement une désukrainisation - un rejet de l'inflation artificielle à grande échelle de la composante ethnique de l'auto-identification de la population des territoires de la Malorossia et de la Novorossia historiques, [identification] que les autorités soviétiques ont entamée. Outil de la superpuissance communiste, l'ethnocentrisme artificiel n'est pas resté orphelin après la chute du communisme. Dans cette capacité de service, elle a été reprise par une autre superpuissance - la superpuissance de l'Occident. Elle doit être rendue à ses limites naturelles et dépouillée de sa fonctionnalité politique.

    Contrairement à la Géorgie et aux États baltes, par exemple, l'Ukraine ne peut historiquement pas être un État-nation, et les tentatives de "construction" d'un tel État mènent inévitablement au nazisme. L'ukrainisme est une construction artificielle anti-russe sans contenu civilisationnel propre, un élément subordonné d'une civilisation étrangère et étrangère. La suppression des bandits en soi ne suffira pas à la dénazification - l'élément criminel n'est qu'un interprète et un écran, un déguisement pour le projet européen de l'Ukraine nazie, de sorte que la dénazification de l'Ukraine est aussi son inévitable dés-européanisation.

    Le gratin criminel doit être éliminé, il est impossible de le rééduquer. La société qui l'a soutenu activement et passivement par son action et son inaction doit survivre aux épreuves de la guerre et assimiler cette expérience comme une leçon historique et une expiation de sa culpabilité. Ceux qui n'ont pas soutenu le régime nazi, qui ont souffert de lui et de la guerre qu'il a déclenchée dans le Donbass, doivent être consolidés et organisés, doivent devenir le soutien du nouveau gouvernement, son vertical et son horizontal. L'expérience historique montre que les tragédies et les drames de la guerre [frappent] peuples qui ont été séduits et emportés par [leur] rôle d'ennemi de la Russie.

    La dénazification en tant que but de l'opération militaire spéciale elle-même est comprise comme une victoire militaire sur le régime de Kiev, la libération des territoires des partisans armés de la nazification, l'élimination des nazis irréconciliables, la capture des criminels de guerre et la création des conditions systémiques pour une dénazification ultérieure en temps de paix.

    [La Russie], devrait commencer par l'organisation de l'autonomie locale, de la police et de la défense, purgée des éléments nazis, en lançant sur leur base les processus de fondation du nouvel État républicain, en intégrant cet État en étroite coopération avec l'agence russe de dénazification (nouvellement créée ou refaite, disons, à partir de Rossotrudnichestvo), avec l'adoption sous contrôle russe d'un cadre réglementaire républicain (législation) pour la dénazification, en définissant directement ses frontières et son cadre. À cet égard, la Russie devrait agir comme un gardien du processus de Nuremberg.

    Tout ce qui précède signifie que pour atteindre les objectifs de dénazification, il est nécessaire de soutenir la population, de la faire passer en Russie après l'avoir libérée de la terreur, de la violence et de la pression idéologique du régime de Kiev, après l'avoir sortie de l'isolement informationnel.
    Bien sûr, il faudra un certain temps pour que les gens se remettent du choc de l'action militaire et soient convaincus des intentions à long terme de la Russie – [à savoir] qu'"ils ne seront pas abandonnés [par elle].
    Il est impossible de prévoir à l'avance dans quels territoires cette masse de population constituera une majorité indispensable. "La partie catholique" (Ukraine occidentale, comprenant cinq régions) a peu de chances de faire partie des territoires pro-russes. La ligne d'exclusion, cependant, sera trouvée par l'expérience. Une Ukraine hostile à la Russie, mais neutre et démilitarisée par la force, avec un nazisme formellement interdit, [subistera]. Les personnes qui détestent la Russie vont y aller. Une garantie que cette Ukraine résiduelle restera neutre devrait être la menace d'une poursuite immédiate de l'opération militaire si les exigences énumérées ne sont pas satisfaites. Cela nécessiterait probablement une présence militaire russe permanente sur [ce futur] territoire. De la ligne de [démarcation] et jusqu'à la frontière russe [se trouve] le territoire d'intégration potentielle dans la civilisation russe, anti-fasciste dans sa nature profonde.

     

    L'opération de dénazification de l'Ukraine, qui a commencé par la phase militaire,[poursuivra] en temps de paix la même logique d'étapes que l'opération militaire. À chacune d'elles, il sera nécessaire de réaliser des changements irréversibles, qui seront les résultats de l'étape correspondante. Les étapes initiales nécessaires de la dénazification peuvent être définies comme suit :

    - -

    1- Liquidation des formations armées nazies (nous entendons par là toutes les formations armées de l'Ukraine, y compris les forces armées ukrainiennes), ainsi que de l'infrastructure militaire, informationnelle et éducative qui assure leur activité ;

    - -

    2- la formation d'un gouvernement populaire autonome et de forces de police (défense et ordre public) sur les territoires libérés afin de protéger la population de la terreur des groupes nazis clandestins

    - -

    3- l'installation d'un espace d'information russe ;

    - -

    4- Retrait du matériel pédagogique et interdiction des programmes éducatifs à tous les niveaux qui contiennent des attitudes idéologiques nazies ;

    - -

    5- des actions d'enquête de masse visant à établir la responsabilité personnelle pour les crimes de guerre, les crimes contre l'humanité, la diffusion de l'idéologie nazie et le soutien au régime nazi ;

    - -

    6- Lustration, divulgation des noms des collaborateurs du régime nazi et de leur travail forcé pour reconstruire les infrastructures détruites en guise de punition pour les activités nazies (parmi ceux qui ne seront pas soumis à la peine de mort ou à l'emprisonnement)

    - -

    7- Adoption au niveau local, sous l'autorité curatoriale de la Russie, d'actes primaires de dénazification "par le bas", interdisant toute forme de renaissance de l'idéologie nazie ;

    - -

    8- La création de mémoriaux, de monuments commémoratifs et de monuments aux victimes du nazisme ukrainien, et la perpétuation de la mémoire des héros qui l'ont combattu ;

    - -

    9- L'inclusion d'un ensemble de normes anti-fascistes et de dénazification dans les constitutions des nouvelles républiques populaires ;

    - -

    10- Création d'organismes permanents de dénazification pour une période de 25 ans.

    La Russie n'aura pas d'alliés dans la dénazification de l'Ukraine. [Déjà parce qu’] il s'agit d'une affaire purement russe. Et aussi parce que ce n'est pas seulement la version criminelle de l'Ukraine nazie qui sera soumise à l'éradication, mais aussi et surtout le totalitarisme occidental, les programmes imposés de dégradation et d'effondrement des civilisations, les mécanismes de subordination à la superpuissance de l'Occident et des États-Unis.

    Pour mettre en œuvre le plan de dénazification de l'Ukraine, la Russie elle-même devra mettre fin à ses illusions pro-européennes et pro-occidentales, se réaliser comme la dernière instance de protection et de préservation des valeurs de l'Europe historique (le Vieux Monde), qu'elle mérite et auxquelles l'Occident a finalement renoncé, ayant perdu la lutte pour lui-même. Cette lutte s'est poursuivie tout au long du vingtième siècle et s'est manifestée par la guerre mondiale et la révolution russe, inextricablement liées l'une à l'autre.

    La Russie a fait tout ce qu'elle pouvait pour sauver l'Occident au vingtième siècle. Elle a réalisé le principal projet occidental, [à savoir] l'alternative au capitalisme qui a vaincu les États-nations, ce projet était le socialisme rouge. Elle a écrasé le nazisme allemand, rejeton monstrueux de la crise de la civilisation occidentale. Le dernier acte d'altruisme russe a été la main tendue de l'amitié, pour laquelle la Russie a reçu le coup monstrueux des années 1990.

    Tout ce que la Russie a fait pour l'Occident, elle l'a fait à ses propres frais, en faisant les plus grands sacrifices. L'Occident a fini par rejeter tous ces sacrifices, a dévalorisé la contribution de la Russie à la résolution de la crise occidentale et a décidé de se venger de la Russie pour l'aide qu'elle a fournie de manière désintéressée. À partir de maintenant, la Russie suivra sa propre voie, sans se soucier du sort de l'Occident, en s'appuyant sur une autre partie de son héritage : le leadership dans le processus de décolonisation mondiale.

    Dans le cadre de ce processus, la Russie a un fort potentiel de partenariat et d'alliance avec des pays que l'Occident a opprimés pendant des siècles et qui n'ont aucune intention de remettre leur joug. Sans le sacrifice et la lutte des Russes, ces pays n'auraient pas été libérés. La dénazification de l'Ukraine est en même temps sa décolonisation, un fait que la population ukrainienne doit comprendre lorsqu'elle commence à se libérer des fantômes, des tentations et des dépendances du soi-disant choix européen.

     

    https://ria.ru/20220403/ukraina-1781469605.html

     

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  7. Bah ouais, perso j'en ai un et je l'utilise.

    Depuis que je suis allé en Asie, j'ai compris quand même qu'en Europe, nous étions sale du cul-cul...

    Quand vous touchez quelque chose de sale, à priori un déjection, vous vous essuyez juste les mains avec un mouchoir? Moi pas en tous cas, et c'est pareil avec mon fondement.

    P.S, dans mes "petits toilettes", où je n'avais pas la place, j'ai mis une douchette. Et des serviettes en tissu, voilà.

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  8. Pas sûr, en tout cas à court terme. Déjà parce que lesdits terminaux gaziers français sont plutôt au maximum de leur capacité, et surtout deuxièmement parce que le GNL ne roule actuellement pas vraiment sur les rails. On fait un peu de camion pour de petite quantité, mais sinon on utilise les gazoducs existants.

    Sur les rails, c'est du GPL, ce qui n'est pas du tout pareil puisque c'est du pétrole à l'origine. Or il faut donc acheter du matériel spécialisé, ce qui coûte, ou utiliser les citernes routières sur wagon plat, ce qui est possible mais là encore il faut les avoir, les citernes.

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  9. Sachant qu'il y a eu dès 2018 des rencontres entre le ministre des transports jurassien et le délégué machin du conseil truc de la Bourgogne-Franche-Comté, notamment pour ce problème, ça m'étonnerait. Il a été clairement défini que les correspondances étaient une raison de retard valable, en l’occurrence ça renvoie juste la responsabilité aux CFF, ce qui d'ailleurs est le cas quand on arrive avec +2.

    Non, le PCD, il peut maintenir le signal fermé, il devrait même, mais bon.

  10. Le 14/03/2021 à 13:43, Greg4546 a dit :

    Lui laisser du temps, avec la fin des périodes de restrictions, elle connaîtra forcément un embellie, sur le plan touristique assurément, concernant les pendulaires, avec plus de télétravail, c'est à ce niveau que le développement risque d'être compliqué.

     

    Ça m’étonnerait, quand on n’arrive même pas à maintenir une correspondance pour 2mn de retard, soit on reconnaît qu’on est un incompétent je m’enfoutiste, soit qu’on est simplement un imbécile.

    Et actuellement, ça arrive de nouveau tous les jours.

    Je comprend en tout cas pourquoi le Territoire ne veut plus bosser avec la SNCF, faut admettre qu’on tel niveau de bêtise mérite un prix, ou la porte.

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  11. En raison de la pandémie et maintenant de la guerre en Ukraine, le Conseil Fédéral a décidé de renforcer le système de l'Approvisionnement Économique du Pays. Cette structure, historiquement, a été crée suite à la première guerre mondiale pour assurer à notre pays enclavé le plus de possibilité possible en matière d'approvisionnement et de stockage*. Si la direction sera professionnalisée, la structure continuera de reposer sur des cadres de milice, appelés par obligation militaire.

    De plus, une révision de la loi sur l'approvisionnement du pays est commanditée, la consultation aura lieu cette année encore.

    https://www.admin.ch/gov/fr/accueil/documentation/communiques.msg-id-87796.html

    Par ailleurs, la législation anti-cartel a été suspendue dans le domaine gazier, de manière à ce que l'industrie d'importation et de stockage puisse effectuer des achats de gros afin d'éviter une pénurie l'hiver prochain. En effet, si la suisse-romande dépend principalement du gaz français, et donc de Fos, la suisse-allemande est dépendante à plus de 50% de l’Allemagne, et donc du gaz russe.

    Le Conseil fédéral part du principe qu'au plus tard l'automne prochain le gaz russe sera indisponible en Europe, par suite de sanction ou de suspension des livraisons. Dès lors, elle a déjà chargé les entreprises gazières de réorienter les importations notamment depuis l'Italie, qui dispose de surcapacité dans ses terminaux GNL, sachant que la Suisse a l'avantage d'être au centre du réseau de gazoduc européen. À plus long terme, l'industrie est priée de chercher des solutions de stockage dans le massif du Gotthard , en dehors des stockages actuellement situé dans le Jura français.

    https://sid.delemont.ch/sid/SID/Actualites-Presse/Les-informations-de-l-ASIG-en-lien-avec-la-situation-du-gaz-en-Suisse.html (Information d'un petit distributeur et producteur d’énergie)
    https://gazenergie.ch/fr/association/news/detail/le-gaz-en-suisse-le-point-sur-la-securite-dapprovisionnement/ (Information de l'Association Suisse de l'Industrie Gazière, qui regroupe les quelques 90 entreprises du pays).

    D'une manière générale, la Confédération pousse désormais au développement d'énergie locale, notamment à partir du bois, ressource abondante dans le pays, du biogaz et bien entendu du solaire et de l'éolien.

    À mon sens, on ne coupera pas à un débat sur le nucléaire. Cela dit, cela sera difficile, la loi interdit toute nouvelle construction. Enfin la loi... la Constitution, cela demande donc la double majorité peuple/canton.

    *C'est toujours actif, nous disposons d'au moins trois mois de stock de diverses produits, farine, sucre, huile, gaz, essence, certains médicaments, etc...

    Pour ceux que cela amusent, l'information du Conseiller Fédéral à la Défense, en charge de l'AEP. Cela discute aussi de l'approvisionnement en nourriture, sachant que Guy Parmelin est un agriculteur (il a réellement travaillé plus de 15 ans sur le domaine familiale, dispose d'une maitrise d'agriculture alors qu'il n'a jamais fait d'étude au delà de la Maturité (notre Baccalauréat)).

    En Français dès 1mn20, questions dès 6mn10 (les réponses sont toujours en français, même lorsque les questions sont dans une autre langue). A 24mn05, il y a une réponse marrante.

     

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  12. Le 06/03/2022 à 21:41, capelanbrest a dit :

    Déjà qu'il ne passe pas grand chose sur cette ligne.....pourtant modernisée à grand frais....au final ça ne vas gêner grand monde....seuls les tgv prendront 20 mn....

    On met bien des millions pour trois minutes, alors 20 tu n'imagines pasce qu'on pourrait faire.

    Faut pas oublier nos distances et le cadencement, trois minutes ça permet d'arriver au noeud de corresponance à l'heure. Par exemple, on parle et on finira sûrement par faire un nouveau tunnel entre Lausanne et Fribourg car le trajet dure .... 66mn. C'est pas pratique avec un horaire cadencé à l'heure.

    Le 13/03/2022 à 09:02, MAGORINO a dit :

    Surtout qu'il n'y a jamais eu de chute de rocher à cet endroit à ma connaissance.

    C'est vrai que l'investissement est calculé au plus juste des financements mais cela à sauvé cette ligne;

    Le risque zéro n'existe pas .Hier il y a eu un tremblement de terre sur la région(4,10 sur l'échelle de Richter qui en compte 9 )

     

    Vu le nombre de filets de sécurité et de parois de retenues, le risque était identifié.

     

    Le 12/03/2022 à 23:58, assouan a dit :

    Ok on a bien compris, MAIS car il y a toujours un mais, faut-il vraiment que nous allions rechercher tous les cas ou nos « voisins suisses et italiens » n’ont pas construits de galeries/tunnels etc… ? 

    Car, j’imagine, il doit y avoir de nombreux contre-exemples et ce ne serait pas tout à fait honnête de laisser entendre que certains font des ouvrages d’art systématiquement et que ces minables de français font tout au moins cher.

    On fait le recensement ? 
    (m’en fiche un peu en vrai mais ça m’agace quand même) 

     

    Il y a des contres-exemples. La ligne Genève-Lausanne-Berne(-Zurich) est régulièrement interrompue à hauteur de Flamatt, dans un secteur de molasse instable et ce malgré de très importants investissements.

    https://www.letemps.ch/suisse/dixhuit-millions-securiser-falaises-flamatt

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  13. Le 19/03/2022 à 09:22, Pascal 45 a dit :

    Covid-19 : près de 3200 classes fermées en France et plus de 52000 élèves contaminés (20minutes.fr - 18/03/2022)

    https://www.20minutes.fr/societe/3255231-20220318-covid-19-pres-3200-classes-fermees-france-plus-52000-eleves-contamines

    Masques buccaux — Ottignies Louvain-la-Neuve

    Mouais... on ferait mieux de le faire réellement, pas juste avec un tissu sur la gueule.

    https://www.lemonde.fr/societe/article/2022/03/26/scandale-des-ehpad-le-pdg-d-orpea-presente-ses-excuses-mais-refute-tout-systeme-organise-qui-aboutirait-a-de-la-maltraitance_6119302_3224.html

    Ca, par exemple, ça mériterait vraiment qu'on soit enfin solidaire des vieux. J'avais vu le reportage, et quand je lis "Nous aurions dû faire notre mea culpa plus tôt ", ou que ces excédents « n’ont eu aucun effet sur les profits du groupe »,  alors que tu peux lire ensuite que selon l'enquête la « satisfaction de [leurs] besoins nutritionnels » laiss[ait] à désirer,[...]et des résidences accueillaient trop de pensionnaires par rapport à leur capacité autorisée.

    Donc, on les affamait bel et bien, faut quand même savoir lire les textes à pincettes, et on les entassait tranquillement, ces sacs à pognons et à caca que sont les pensionnaires.

    Moi je trouve qu'une balle coûte encore trop cher pour des pareils personnages. Même, ce serait une injure au métal et au travail des mineurs.

    Et ça, désolé, mais ça me semble plus grave que le Covid, parce que se sont des choix humains et pas une calamité.

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  14. Bah, pour l’avoir eu, bah…

    Non franchement, sur 20 personnes qui l’ont eu :
    une de 85 a nécessité une nuit avec oxygène et 7 jours d’hospitalisation car elle partait en EMS (EPhAD) après cette date, de manière prévue d’avance.
    une de 30 a nécessité une nuit d’oxygène à la maison, et souffre encore de fatigue deux mois après.

    Les autres, dont moi, bah on a eu un rhum ou une crève selon l’appréciation.

    Faite gaffe, okay, mais bon… Je rappel que l’objectif initial c’était de lisser la vague.

    Enfin moi ça fait trois mois que je ne porte plus le masque, de toute manière c’est plus obligatoire et je fût victime du drame. Quand au vaccin, je ne l’ai pas refait alors qu’il est échu.

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  15. Il y a 3 heures, BAISIN a dit :

    @likhorn, bonjour,

     

    Bonne décision !

    Les Allemands, les Polonais, ont pris les mêmes décisions de gratuité. Peut-être, viendront les Ibériques, et les Italiens.

     

    Et la France ?

    Si la SNCF ne prend pas une telle décision, le conseil d' administration de ce groupe, est composé d' égoïstes😬

    Et tu as ouvert une de tes chambres à des réfugiés (pas forcément blanc, orthodoxe ou ukrainien, les syriens aussi fuyait une guerre menée par des soldats russes)? Sinon c'est que ton logement est composé d'égoïstes.

    Je ne suis pas contre cette décision, évidemment, mais l’accueil à géométrie variable commence à m'emmerder pas mal, même s'il est tristement humain. Ah, et oui ma maison sert très régulièrement, presque tous les jours, à des espèces de paumés malheureux qui utilisent l'ordinateur sur lequel je suis pour contacter leur famille, resté dans un pays quelconque et lointain.

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  16. Ce n'est pas la question, quand un chef t’engueule parce que tu as refusé de venir du matin quand on t'avais mis des horaires du soir la veille sans rien te demander, sous prétexte que tu dois ta vie à la boite et que tu dois je cite "faire preuve de flexibilité", et qu'ensuite il t'envoie un avertissement parce que tu l'as envoyé pété en lui demandant s'il aurait gardé ta fille, alors que ce n'est pas de sa compétence que de te menacer de licenciement et que le règlement est assez clair sur les délais de modification d'horaire et la codécision qui va avec , bah t'as des raisons de pas hyper l'apprécier, ni de l'accepter.

    Les accepter... mes fesses je les acceptes, pas les doigts dans le cul.

    C'est lui qui l'a eu son blâme, à la fin.

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  17. Il y a 17 heures, capelanbrest a dit :

    on voit tellement de choses, comportements  bizarres aux réveillons que ce soit de Noël ou de la St Sylvestre...pour le meilleur et pour le pire...

    Oui, comme dans les films catastrophes us. T'as toujours des gens qui pillent un magasin et embarquent la télé.

    C'est la fin du monde, donc on pille les télés. C'est logique pour survivre.

    Et l'air de rien, faut pas croire que cela n'aurait aucune influence. Les films ont une influence sur ce que nous sommes et ce que nous faisons. Y a qu'à voir l'impact de "Scarface", alors même que le film n'est clairement pas une apologie.

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