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Le Web des Cheminots

likorn

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  1. Bien sur que nos PN peuvent être surveillé par un signal. Signal qui n'est pas forcément lié au block ni commandable par un agent-c. D'ailleurs en cas de dérangement du block on doit recevoir un buletin de franchissement du signal de block/de sortie, puis en plus un signal de marche à vue à partir dudit signal de protection de PN. Signal qui sera sans doute à voie libre alors même que le block est roujours en dérangement, un signal de protection de PN ne s'occupant que du PN. Parfois, le signal n'est pas commandable par un agent. Le PN oui, mais pas le signal. Pour finir, un PN est protégé: -Par le block de ligne ou l'enclenchement de gare, en lien avec les signaux. -par un signal de protection. -par un feu de contrôle, à distance de freinage. -par un aimant de l'arrêt automatique des trains repéré par la pancarte idoine. De manière générale la fermeture des barrières et le clignotement des feux sont contrôlés. Il y a même des PN où l'intégrité des barrières est verifiée, un cable courant en leur sein. Ceci est néanmoins totalement h.s... Pour revenir au sujet, je ne vois vraiment pas l'objet d'un si longue discussion. L'AC doit nous renseigner, il le fera; ça pourra prendre du temps dans un cas d'école mais ça ne changera rien, à un moment où un autre l'AC nous dira si le signal est ou non en service, et s'il est ou non franchissable. Il a des plans, des services techniques, une expérience et la responsabilité de le faire. Il se démerdera comme un adulte formé pour accomplir sa tâche. Anticiper ce qu'il va nous dire n'a aucun sens, il nous dira quelque chose et peu importe quoi. Et si le signal n'est sur aucun plan, il nous le dira aussi. J'ai déjà franchi un signal qui n'existait d'ailleurs nul part suite a une erreur d'impression. On s'est débrouillé avec le kilomètrage.
  2. Bin oui. De toute façon, s'il ne peut pas m'instruire, j'attends qu'il cherche et trouve les informations le permettant. Lui est responsable de la sécurité des circulations, et moi de la conduite de mon convoi.
  3. On parle d'un signal annulé, éclairé sans avis et non reconnaissable. Donc on sollicite des instructions. Si le signal n'est pas sous la supervision de l'AS, c'est une instruction. Vois pas le lien avec l'accident allemand, ni même l'intérêt de compliquer les explications.
  4. Chez les privés métriques suisses, tu as même encore des tours "Ateliers". Au final, les vrais mécanos, ce sont eux. Blague à part, avec du matériel plus léger et un personnel roulant aux conditions salariales moins agréables, on fait forcément des économies. C'est tout ce qui compte pour une AO.
  5. En plus il y a un gros proble dans ton argumentation. Beaucoup ne sont plus marocains. Ils sont français. On a fait le même boulot mais on n’avait pas les mêmes avantages que les collègues français pour la retraite, la médecine. Et quand j’ai été naturalisé, j’étais trop vieux pour avoir droit au statut des cheminots.» Mais ils risquent effectivement de se faire rançonner, ici aussi il y a des jaloux et des méprisants.
  6. Le beau cliché sur le Maroc. Ils vont se faire rançonner, car bien entendu le Maroc est peuplé de dangereux brigands sans foi ni loi. Et tu oses parler de racisme? Franchement? Quant à ton analyse juridique, n'hésites pas à écrire au président de la cour d'appel pour lui expliquer ses erreurs. Quant à défendre un salaire et un traitement différent sur la base de la seule nationalité, oui, c'est de la discrimination.
  7. Se conformer aux instructions (de l'agent sédentaire). Pas à d'autres instructions écrites comme le franchissement intempestif d'un signal fermé. (Sauf si l'instruction de l'agent contacté est de respecter ladite règle du franchissement intempestif d'un signal fermé)...
  8. Pas forcément, car ton dernier jour de boulot, tu finiras de bosser tôt. Par exemple, tu finis à 6h le jour N-1. Passé le repos de 12h (règle CFF), à 18h tu débute ton congé et tu reprends 24h plus tard, soit le jour N (ton jour de congé) à 18h. Alors certes tu auras sommeil mais le jour N-1, il est presque congé
  9. Non, le Talgo a disparu en 2014, pas en 2001, rien à voir avec la LN5. C'est surtout les portes, non verrouillables, qui posaient problèmes. De mémoire, ce sont les italiens qui les ont interdites, et comme le train était composé de deux tranches, une pour Genève-Zurich et une pour Milan ou Rome, le segment vers Genève-Zurich est devenu déficitaire. Et c'était totalement justifié, entre les fumeurs et les oublis, j'en ai vu des portes ouvertes en roulant.
  10. Sur feu nos BEM, oui. Mais le chef de gare a été pris d'un doute en ne voyant qu'une rame, malgré les rouges en queue.
  11. Me fait toujours marrer ce genre de discussion. Si tu vois l'orange ou le clignotant rouge, et que tu peux t'arrêter, tu t'arrêtes. Sinon non. Y a pas à ergoter comme n 'importe quel américain sur le texte pour savoir comment l’interpréter à son profit. Oui, ça demande un minimum d'honnêteté, et non ce n'est pas une valeur française malheureusement (mais je ne dis pas que c'est un choix personnel, plutôt une mentalité dans un cadre général peu propice). Pareille pour la distance de sécurité, c'est vraiment une maladie en France que de ne pas la respecter, alors que cela ne change aucunement l'heure d'arrivée. Que l'on dépasse un peu à l'arrache, je comprends ça bien mieux que le fait de coller comme un sauvage. (Désolé pour le ton, mais bon, s'agissant de vie ou de mort, ça m'agace vite). [EDIT] Ça me fait toujours penser au problème du dépassement par la droite. En Suisse, c'est S-T-R-I-C-T-E-M-E-N-T interdit : retrait de permis de 3 mois pour faute grave et amende jusqu'à 10'000.- La loi est claire, c'est la volonté de dépasser qui est punissable. En effet, le devancement par la droite est légal. La jurisprudence, du coups, est assez compliquée. Juger de la volonté est quelque chose de très, très particulier. Alors il n'existe que des cas particuliers. Mais comme le disait mon prof de Droit, la Loi est le principe, la jurisprudence le cas particulier et résoudre les cas particuliers par la Loi revient à codifier l'anarchie (j'aimais beaucoup mon prof de droit). https://www.ocn.ch/ocn/files/pdf56/Depasser_par_la_droite_.pdf Du coups, tu as toujours quelques petites malins qui tentent de faire recours en jouant sur le fait qu'ils ne voulaient pas, mais ils ne sont pas nombreux à avoir obtenu gain de cause car au final, la règle est claire : les dépassements se font par la gauche, point barre. Et tant pis si le type devant ne se rabat pas, ce n'est pas son droit, mais cela n'autorise pas la mise en danger d'autrui.
  12. Oui, enfin, dans le cas présent ils oublient que cela n'aurait rien changé: -Car le car n'a apparemment pas franchi en zigzag, puisque le terre-plein central empêche cette manœuvre. -Car si la barrière atteint sa position de fermeture, que la sonnerie retentit et que les feux clignotent, le PN autorise l'ouverture du signal. Or rien ne dit que le car retenait la barrière dans l'éventualité où elle se serait abaissée. Bref, blablabla, en Suisse l'accident aurait tout aussi bien pu se produire si la barrière était effectivement abaissée.
  13. Sur le PIPER (paix à son âme), je constate que l'on m'a mis un numéro de tour que je n'ai encore jamais vu. La prestation prévue est bizarre, absolument improductive puisqu'elle contient bien 50% de trajet haut-le-pied (soit comme voyageur) ce qui n'est pas dans les habitudes de la maison... Je constate qu'une ANOR, une annonce de l'Infrastructure, est liée. Elles contiennent en générale toutes les mesures relatives aux trains supprimés ou supplémentaires et sont souvent synonyme de travaux. Mais là, le titre est bien plus explicite "Fanzug", soit "Train de supporters". C'est ma première fois, je constate que le point 1 "Généralité" mentionne en gras le respect de vitesse particulière imposée par la marche, chose que je n'ai jamais vu. L'explication est ajoutée en dessous "afin d'empêcher la descente de supporters dans les voies, l'arrêt du train doit autant que possible être évité". Quelques jours plus tard, me voilà en train d'attendre à Yverdon, bon agent, je me suis enregistré sur le téléphone alors que d'habitude, en bon romand, je ne pense jamais à le faire. Dix minutes avant l'arrivée prévue, celui-ci sonne et une voie féminine s'annonce avec un fort accent suisse-allemand: -Salut, c'est Nelly la cheffe de train, le mécano il va arrêter au début du quai pour la relève. Faut pas de porte à quai et faire vite, tu as compris?". Limpide, simple, logique. Je me rends au début du quai et quelques minutes après voit apparaitre ma Re 4/4 qui tire ses Bpm vertes aux angles marquée du signe attribué à la flotte "Fanzug". Lorsqu'elle s'arrête, je vois des têtes se pencher par les fenêtres, j'entends quelques tambours, rien de plus. Le mécano me dit que tout va bien, qu'il y a 48 essieux, que c'est Grasshopper et qu'ils sont plutôt sympa. Je m'installe en lui souhaitant un bon retour et remet de suite des touches histoire de juste décoller la rame, et c'est ensuite que je commence à sortir ma marche et tout le fourbi qui va avec. Les vitesses particulières m'amusent assez vite, je constate par exemple que dès Cossonay, je devrais rouler à 15km/h, un autre secteur vers Lausanne-Triage est prévu à 20, des vitesses assez inhabituelles en sommes mais qui ne demandent aucune concentration particulière. Je contemple mon train, il y a quelques banderoles qui flottent, mais aucun projectile, c'est calme et le trajet jusqu'à Genève se déroule sans encombre. A Genève, nous voici pris sur voie 1, laquelle est totalement fermée au public. Je constate la présence de quelques agents en tenue anti-émeute sur les quais adjacents, mais rien de très impressionnant. Au passage de la gare par contre, les chants recouvrent presque le bruit des ventilateurs de ma BoBo et une bonne dizaine de gros pétards fusent, j'aperçois même une fusée éclater sur le quai des voies 2 et 3, ouvert aux voyageurs. J'aborde la tranchée couverte de St-Jean, puis le viaduc de la Jonction et c'est avec amusement que je vois un presque feu d'artifice partir des voitures derrières moi. Voici déjà le tunnel de la Batie, avec son et lumière. La traversé de La Praille se fait par les voies lac, lesquelles sont d'ailleurs presque vide. Il est vrai que les prescriptions locales de "GEPR" indiquent clairement que les soirs de match aucun produit dangereux ne doit se situer dans ce secteur. Lorsque j'arrive au bout du quai de Genève-Stade, je constate lors de mon freinage d'arrêt que la CG se vide. On m'a tiré un frein, le public est pressé de descendre. Sur le quai, une bonne cinquantaine d'agent en tenue anti-émeute encadre des supporters très bruyants et agités mais qui n'ont pas l'air de tenter quoi que se soit de violent. À ma hauteur, un agent de manœuvre me demande de baisser le pantographe pour couper et "faire le tour". Pendant qu'il s'affaire, je demande à la Cheffe de train de rechercher le frein d'alarme tiré "ho oui, je suis déjà en train de le faire, ils font ça souvent". Après avoir fait le tour puis amené la rame sur une voie de La Praille, voilà que la Cheffe revient avec l'agent de manœuvre : "écoute faudrait raccourcir ta pause, y a une bagnole sans vitre, on va la virer ici". Et nous voilà parti... Ceci fait, je profite des 30 dernières minutes de match pour aller voir les bagnoles, souillées de bières, de canettes et de bouteilles. Je constate que les gugusses sont bien organisés, dans les WC de certaines voitures je trouve des palettes entière de boissons! Les mecs sont venus avec des transpalettes pour assurer leur ravitaillement. Ailleurs, on trouve tous les instruments nécessaire pour faire un bon orchestre de gugenmusik. Partout trainent des affaires plus ou moins personnelles. Je discute aussi avec la Cheffe et ses deux agents, et tout en me défendant de tout machisme, m'étonne de savoir que trois femmes accompagnent le train. La réponse est plutôt déconcertante : -Ho mais ils sont sympa avec nous, on se met en queue et ils nous oublient. -Mais vous êtes seules? -Oui, y a deux agents de police parfois mais pas souvent, pas aujourd'hui. C'est mieux sans, ils sont moins agressifs. -Mais on t'a demandé de faire ça? -J'adore ces trains. Interloqué, je retourne à ma machine puisque l'heure approche. Nous refoulons, puis alors que les trois agentes de train viennent taper la causette à ma hauteur, le match se termine. Sur le quai, il reste une vingtaine de policiers mais d'autres rappliquent rapidement. "Ils ont perdu", me dit la cheffe. La mine des supporters est assez sombre en effet, pour ceux qui ne sont pas totalement gris on verrait même un peu de colère. Il y a toujours des pétards, des fumigènes et des banderoles. Le flot s'entasse dans le train, puis après 20 minutes de chargement la cheffe me donne le départ. Je me mets en route, et voici que la CG vidange, puis re-remplit. Je constate la même chose sur les aiguilles de sortie mais sans que la CG ne remonte, je préfère éviter l'arrêt avec la tête dans le tunnel, la queue du train étant à hauteur de la halte de Lancy-Pont-Rouge, et ponte le frein avant d'appeler la Cheffe : "Ha oui, ils essayent de pouvoir aller s'expliquer avec les fans de Genève je pense". Sous le tunnel de la bâtie, je sens qu'ils se lâchent, ça explose dans tous les sens, c'est plutôt impressionnant. Au niveau du viaduc de La Jonction, la traversée des piétons est interrompue, et avec raison vu tout ce qui vole. À Genève, on me prend voie 7, la voie internationale, mais commutable, dont le quai est bien moins emprunté. La voie 6 est aussi inaccessible aux voyageurs avec forces barrières et si j’aperçois quelques agents de la police ferroviaire, il n'y a aucune tenue anti-émeute. Fondamentalement, je pense que l'idée est que je déguerpisse et que rien ne soit pris comme une provocation. Voilà déjà le signal de sortie, que je franchis sans plus d'encombre. Ma marche prévoit un relevage à Denges-Echandens, lieux totalement inhabituel. La cheffe me rappelle pour m'ordonner à nouveau de m'arrêter au début du quai, endroit auquel un autre mécano m'attend pour reprendre la suite. Depuis Genève, rien de particulier ne s'est passé, j'annonce donc au collègue que tout va plutôt bien, qu'il y a 44 essieux et que j'ai ponté le frein. Puis je prends le temps de m'éloigner un peu et de voir passer le train qui repart, dans les voitures il y a des tambours, des gens qui dorment, au moins un fumigène allumé, beaucoup d'alcool et apparemment un tas de discussion passionnées. Finalement, ça c'est bien passé, et j'ai bien aimé.
  14. Les gares ne sont pas en paliers. On essaie quand c'est possible d'y limiter la pente pour des raisons de commodité de l'exploitation, mais c'est tout. Tiens, pensons simplement à Bellegarde, voie 1&2, très en palier avec une règle locale qui demande une dépression d'1,5 bar à la CG pour éviter les dérives. Ou même Genève dont j'ai déjà raconté l'histoire du train régional que son mécano retrouva 200mètres plus loin. Tiens même le faisceau d'arrivée de Lausanne-Triage débute par une pente de 6pour-mille. Mais la subtilité, prévue par le réglement, est qu'il s'agit d'une voie en cuvette. Comme ça on serre à l'air, et hop au pire ça ira au milieu de la voie.
  15. Les passagers d'un RER pour Lucerne ont tous dû descendre à Beinwil (AG), mardi matin, parce que le conducteur avait atteint sa durée maximale de travail autorisée. http://m.20min.ch/ro/news/suisse/story/24421773
  16. Ils ont du mal à assumer?? Et les autres? Les autrichiens, les hongrois, les polonais, les italiens, les américains (relisez leur histoire jusqu'à pearl harbor). Ils assument eux? Et je ne parle même pas des français: vichy, pétain, la collaboration, un pays entièrement occupé en 3 semaines mais soi-disant vainqueur et si admirablement résistant... Il faut arrêter de dire n'importe quoi, les allemands (de l'ouest au moins) n'ont aucun mal avec le passé de leur pays (et pas "leur" passé), très peu si ce n'est aucun autre pays au monde n'a fait un tel travail de mémoire et de remise en cause. C'était nécessaire, mais aucun autre pays impliqué et listé ci-dessus ne l'a fait, alors que cela aurait aussi été nécessaire dans leur cas. Et ne voyeuz aucun sentiment de supériorité dans ce que j'écris, en Suisse nous avons un problème avec notre passé, l'affaire des fonds en déshérences l'a bien montré et a permis au moins à une partie de ma génération de briser le mythe. Mais l'Allemagne a fait et fait toujours un travail considérable sur son histoire, au contraire de presque tous les autres pays du monde. Alors les renvoyer encore aux erreurs (monstrueuses) de leura grand-parents alors qu'ailleurs tous se voyent comme des descendants de victimes, je ne peux que m'y opposer.
  17. Légalement c'est impossible de faire autrement. Il n'a pas été prouvé que le signal aurait été ouvert et à partir du moment où il repart sur un signal fermé, étant le seul responsable du départ, il y a faute. Et comme le mécano ne peut remettre en cause une norme édictée par l'état, ça donne ça.
  18. En Suisse, on a tendance à doubler les trains. Un d'été et un d'hiver. Mais bon, ça dépend des années, déjà attendu une heure dans une gare avec 700 festivaliers qui rentraient, ça a mal fini et c'était plus que prévisible.
  19. Tout dépend. Notre retraite est à 65 ans, et les inaptes sont rares malgré la visite qui devient annuelle à 60 ans.
  20. Au premier coup de vent, les branches sont sur les voies, et la caténaire aussi.
  21. @r2d2 Ah non alors ça certainement pas. En plaine aussi, 2cm de neige paralyse la vie de nos petites cités. On en parle juste moins, mais ça bouchonne, ça accidente, ça râle contre la voirie qui ne bosse jamais et contre les autres, ceux qui ne savent pas rouler, les genevois, les vaudois, les italiens, les français, les femmes, les conducteurs de SUV, etc... Mais nos contrées sont petites et moins peuplées, alors ça traine, on rentre tous avec 15 minutes de retard et on aura toute la soirée pour rigoler des autres, ceux qui roulent plus que nous. Je viens peut être de répondre à ma précédente interrogation.
  22. C'est quand même fou que cela impacte à ce point le réseau français alors qu'ici, et malgré des rampes sympatoches et l'absence totale de train laveur, cela n'est qu'à peine un sujet et n'a aucun impact notable sur l'exploitation. Je veux bien admettre que l'on élague et abatte différement, mais quand même, si nous étions si bon dans le préventif, je pense quand même que d'autres le remarqueraient. Surtout que cela, à mon avis, n'est en tout cas pas la seule explication. Aujourd'hui, ça glissait, pas mal selon mes 10 ans d'expérience, mais pas plusque chaque automne. Et pourtant on voit des feuilles partout. Je ne pense pas que nos roues soient si différentes des vôtres. Reste le matériel, mais nos vieilles Re4/4 ne posent aucun problème particulier, ça patine, mais ça monte 1000 tonnes sur du 12, à 50 km/h au pire; et le matériel récent ne se fait pas tant remarquer que ça, on le trouve plus sensible (surtout à cause de l'électronique) mais de là à ne pas faire l'heure... Et là encore, pour robuste et cher que puisse être notre matériel, notre sable et nos logiciels antipatinage n'ont à mon sens rien de bien différent des vôtres. Il y a là un mystère que me méconnaissance du dossier ne saurait complétement expliquer. Et je suis d'autant interpellé que certains ici qui passent la frontière précisent bien que le rail suisse est bien en acier et glisse autant qu'ailleurs.
  23. Je ne miserai pas forcément sur la pollution, à Bâle. http://meteonews.ch/fr/Pollution_de_l_air/M06601000/Bâle-Binningen https://www.google.ch/amp/s/www.letemps.ch/node/988888/amphtml Par contre, je différencie les patinages gérables et permanents dû à la pluie, à la neige ou toute autre humidité d'une pollution spécifique dûe aux feuilles, impactant bien plus fortement l'adhérence selon mon expérience.
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