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On Ne Laissera Personne Sur Le Bord Du Chemin
un sujet a été posté par laconi dans Actualité ferroviaire générale
Bonjour Pas de doute les français sont solidaires (19 millions de personnes ont voté pour un programme qui favorise les 300000 plus riches).Le gouvernement issue de cet élection va s'occuper de ces petits électeurs qui ont "très bien voté" Des chiffres qui permettent de mieux appréhender l'ampleur des futurs dégats sur la santé des plus faibles (renoncement aux soins en pourcent et taux de couverture complémentaire également en pourcent pour les catégories socio-professionnelles)enquête Credes 2002 Agriculteurs : 7,6 89,6 Artisants commercants 11,6 86 Cadres et prof intellectuelle 11,9 93,4 Prof Intermédiaires 16,1 94,7 Employés administratifs 21,8 84,6 Employés de commerce 22,9 74,8 Ouvriers qualifiés 16,9 84,7 Ouvriers non qualifiés 22,9 69,6 Chômeurs 31,9 90,6 Actifs Occupés 17,6 56,5 Bénéficiaires RMI 37 5,5 En 1984 un forfait hospitalier a été crée passant de 20 francs (3 euros) à 16 euros , sans compter le montant du ticket modérateur qui à augmenté et la réduction de la prise en charge de plus en plus de médicaments .Ou encore l’instauration d’un forfait de 18 euros pour des frais dit « lourd » . Deux articles du Monde Premier article Les Français se verront imposer en 2008 quatre franchises médicales annuelles de 10 euros LEMONDE.FR avec AFP | 28.05.07 | 09h46 • Mis à jour le 28.05.07 | 09h51 Conformément aux engagements de campagne électorale de Nicolas Sarkozy, le gouvernement de François Fillon mettra en place des franchises médicales de 10 euros par an à partir de 2008 afin d'inciter les Français à "participer" à la réduction du déficit de l'assurance-maladie. Ce dernier continuant à se creuser plus fortement que prévu depuis le début de cette année, des mesures de redressement immédiates devraient toutefois être annoncées dans les semaines qui viennent. Dimanche 27 mai sur Europe 1, la ministre de la santé, Roselyne Bachelot, a reconnu que le dérapage des dépenses d'assurance-maladie s'élevait actuellement à environ 2 milliards d'euros. Sur les quatre premiers mois de l'année, les remboursements de soins de ville (médecine libérale notamment) ont augmenté de 5 %, quand le gouvernement tablait sur une progression de seulement 1,1 % en rythme annuel. Les pouvoirs publics disposent d'un mois pour annoncer des décisions. Mme Bachelot a assuré ne pas prévoir de nouveaux déremboursements de médicaments. Elle a déclaré que les objectifs de maîtrise médicalisée, comme le développement des médicaments génériques ou la baisse du nombre des arrêts de travail, n'ont "peut-être pas été suffisamment mis en œuvre". En 2006, le déficit de l'assurance-maladie a atteint 5,9 milliards d'euros, soit une réduction de 2,1 milliards d'euros par rapport à 2005. "RESPONSABILISATION DES PATIENTS" En ce qui concerne les franchises médicales – sommes non remboursées, laissées à la charge de l'assuré –, Mme Bachelot a confirmé qu'elles seront au nombre de quatre : sur les visites médicales, les examens biologiques, les achats de médicaments et l'hospitalisation. Leur montant sera de 10 euros pour chaque secteur, par foyer, a précisé Mme Bachelot, selon qui "il ne faut pas envisager ces franchises sous l'angle d'un rationnement des soins mais sous celui d'une responsabilisation des patients". L'instauration de ces quatre franchises sera inscrite dans le Projet de loi de financement de la Sécurité sociale pour 2008 que le gouvernement présentera en septembre et que le Parlement examinera cet automne. "DES GARDE-FOUS" Le Haut commissaire aux solidarités actives contre la pauvreté, Martin Hirsch, avait jugé que l'instauration de franchises n'était "pas une bonne mesure", avant de se dire "rassuré" par l'assurance que les "personnes en difficulté" seraient prises en compte. Mme Bachelot a déclaré, dimanche, que des "garde-fous" seront mis en place. Elle a évoqué le modèle allemand, où la franchise est calculée selon les revenus. La perspective d'un élargissement des franchises – aujourd'hui 1 euro est déjà retenu sur chaque consultation médicale, et un forfait de 18 euros pour les actes médicaux lourds – ne réjouit toutefois pas les Français. Selon un sondage CSA pour Le Parisien, publié lundi 28 mai, 61 % des Français considèrent "plutôt comme une mauvaise chose" les mesures prévues par le gouvernement. Deuxième article M. Hirsch conteste les franchises médicales proposées par M. Sarkozy LE MONDE | 28.05.07 | 09h54 • Mis à jour le 28.05.07 | 09h55 Le gouvernement est à peine installé que surgissent les divergences. A l'origine du premier accroc public, Martin Hirsch, Haut-commissaire aux solidarités actives contre la pauvreté, a manifesté son opposition à la création d'une franchise sur les actes de soins. Sur France Inter, lundi 21 mai, il a indiqué que cette proposition, inscrite dans le programme présidentiel de Nicolas Sarkozy, n'était pas "une bonne mesure. J'ai dit il y a quinze jours, un mois, deux mois, trois mois que ça ne me paraissait pas une bonne mesure. Est-ce que je (l)'approuverai ? La réponse est non". Et il a ajouté : "Je peux être convaincu, mais je pense vraiment que ce n'est pas ce qu'il faut faire." A l'origine, l'instauration de cette franchise devait être entendue comme "un facteur de responsabilisation des patients", comme l'a précisé Roselyne Bachelot, la ministre de la santé. Après avoir reçu M. Hirsch lundi dans l'après-midi, elle s'est efforcée de minimiser l'incident en expliquant, dans un communiqué, que "cette franchise (...) serait accompagnée des exonérations nécessaires pour tenir pleinement compte des situations sociales très dégradées". Les deux responsables ont promis de se revoir "très bientôt pour définir les conditions de mise en oeuvre de cette réforme". Alors que cette mesure n'avait pas été retenue lors de la réforme Douste-Blazy de la Sécurité sociale d'août 2004, la franchise devrait contribuer au retour à l'équilibre des comptes. Initialement évalué à 3,9 milliards d'euros dans la loi de finances, le déficit de l'assurance-maladie pourrait bien dépasser 5 milliards d'euros en 2007. Le comité d'alerte sur les comptes de la Sécurité sociale devrait d'ailleurs demander aux dirigeants de la caisse d'assurance-maladie ainsi qu'au gouvernement d'engager un plan supplémentaire de réduction des dépenses. Sur les modalités pratiques, le candidat Sarkozy est resté dans le vague. La franchise intégrale portant sur les premiers 100 euros de soins non remboursés rapporterait 2,8 milliards d'euros. Une franchise de 25 euros sur les quatre principaux actes de soins (consultations, pharmacie, biologie et hôpital) produirait un gain de 1,8 milliards d'euros. En marge d'un entretien au Monde du 23 janvier, le nouveau chef de l'Etat avait évoqué des franchises familiales et un montant de 10 euros. LE PS S'ENGOUFFRE DANS LA BRÈCHE Aucune précision n'a ensuite été apportée sur l'éventuelle substitution du prélèvement d'un euro sur chaque consultation médicale instauré par la réforme de 2004, ainsi que des 18 euros sur les actes chirurgicaux dont l'impact est assez faible. Enfin, il reste à savoir si cette franchise sera compensée par les mutuelles et les assurances complémentaires. Lors de sa rencontre avec Mme Bachelot, l'ancien président d'Emmaüs-France a insisté sur la nécessité de "connecter" la réforme du système de soins et celle sur les minima sociaux. "Il y aura une articulation entre les deux chantiers", a expliqué M. Hirsch, pour éviter que l'instauration de franchises ne provoque des effets "pénalisants" sur les populations défavorisées, notamment à propos des seuils de prise en charge lorsqu'elles reprennent un emploi. Le PS s'est engouffré dans la brèche de ce désaccord. Gérard Bapt, député de la Haute-Garonne, estime que "le problème n'est pas celui de la responsabilisation des patients mais de corriger les graves inégalités d'accès aux soins qui dissuadent les familles les plus modestes du recours aux soins primaires". Dans la soirée, Xavier Bertrand, ministre du travail et ancien ministre de la santé, a tenté de calmer le jeu : "Un gouvernement, ce n'est pas un régiment." Sans pour autant se prononcer sur le fond des interrogations soulevées. Michel Delberghe -
Bonjour Encore une casserole pour un ami à Nabot léon... Un conseiller de M. Sarkozy inculpé en Belgique LE MONDE | 19.05.07 | 14h13 • Mis à jour le 19.05.07 | 14h13 BRUXELLES CORRESPONDANT Patrick Ouart, fraîchement nommé conseiller à la justice du président Nicolas Sarkozy, pourrait prochainement être cité devant un tribunal bruxellois, a indiqué, vendredi 18 mai, le site Internet Capital.fr. M. Ouart a effectivement été inculpé - mis en examen - en Belgique pour son rôle présumé dans une affaire baptisée "l'Electragate", un piratage informatique nocturne organisé, en 2004, chez Electrabel, la filiale belge détenue à 50,01 % par le groupe Suez. Le parquet a réclamé sa comparution. La date d'un éventuel procès n'est pas fixée. Les réquisitions du ministère public visaient, en 2006, M. Ouart, ex-secrétaire général de Suez, et Jean-Pierre Hansen, patron belge du pôle énergétique et numéro 2 de Suez. Trois informaticiens français ont été également mis en examen. NOTES À ALBERT FRÈRE Le dossier de la justice bruxelloise évoque des faits d'espionnage, de piratage et d'interception de communications privées. Ils remontent à une époque où la tension était vive chez Electrabel, qui redoutait une offre hostile de rachat de l'électricien espagnol Iberdola. L'homme d'affaires Albert Frère critiquait alors la gestion de Gérard Mestrallet, le patron de Suez. Or une rumeur indiquait que le magnat belge était en possession de notes concernant Ibderdola. Elles étaient peut-être rédigées, croyait-on chez Electrabel, par un cadre de l'entreprise. En fait, ce dirigeant portait le même nom qu'un collaborateur de M. Frère, auteur de notes sur le sujet. Selon la version de M. Hansen, il convenait de vérifier l'ordinateur du cadre concerné et, plus généralement, la sécurité du parc informatique d'Electrabel. M. Ouart était chargé de recruter les prestataires de ce travail. La "simple" opération de sécurisation serait devenue, selon la police belge, une opération plus vaste : un logiciel d'espionnage a été placé sur un ordinateur, et les fichiers de trois cadres auraient été copiés. Troublant : quelques semaines plus tard, le bureau de la personne soupçonnée d'être la "taupe" d'Albert Frère était fracturé et son ordinateur détruit. Les enquêteurs belges en ont apparemment conclu que toute l'opération avait été montée par la direction du groupe Suez. Celui-ci dément, depuis 2004, toute implication et réaffirme son soutien à M. Hansen. En 2006, quand le parquet a demandé la comparution de M. Ouart devant un tribunal, la société évoquait toujours un "droit normal de vérification sur une filiale". Aux termes de la loi belge, les auteurs des faits incriminés risquent jusqu'à 1 million d'euros d'amende et cinq ans de prison. Jean-Pierre Stroobants Article paru dans l'édition du 20.05.07
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Bonjour B Kouchner à fondé avec d’autres « Médecins Sans Frontières »,a l’époque de la guerre du Biafra (Nigéria).L’idée était qu’il fallait faire connaître la vérité sur ce qui se passait vraiment pendant ces guerres en utilisant les medias. Idée qui est louable ,mais le personnage à malheureusement retourné sa veste plusieurs fois. Dans un premier temps il était communiste puis s’est transformé en socialiste quand les communistes perdaient du terrain .Quelques années plus tard ,alors qu’il était un défenseur des droits de l’homme ,il a écrit un rapport pour la société Total dédouanant la dictature Birmane de tout acte de travail forcé au profit de cette entreprise. Au début de cette année il fait partie du pacte présidentielle de la candidate socialiste ,mais n’hésite pas à demander un rapprochement avec F Bayrou . Au soir du 6 mai il demandait toujours à ce que le PS s’allie avec le centre. De plus il a critiqué assez vivement le ministère de l’immigration et de l’identité nationale ,lorsque cela à été proposé . En 2003 il s’est prononcé également pour que la France intervienne en Irak. Et maintenant il siège dans un gouvernement ou le présidant racle tous les fonds de tiroirs (De l’extrême droite aux traites centriste (cherchant à garder leur place de député) et socialiste ) . En fait nabotléon cherche à rassembler, d’une manière la plus large possible avant les élections législatives .Et si d’aventure son partie rafle la mise , il n’hésitera certainement pas remanier son gouvernement en mettant tout ses amis au pouvoir et éjectera sans aucuns scrupules les traîtres et faire passer son programme ultra libérale .C'est un excellent stratège ,il suffit de voir comme il s'est mis les vieux pour une grande part ,et une partie des salariés dans la poche .Cet électorat qui regarde les émissions de TF1(journal n'est pas vraiment le thème à employer pour ce qui passe à 13H et à 20H).
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Pilotage De Trains Spéciaux
un sujet a répondu à laconi dans Autres opérateurs ferroviaires de trains de voyageurs et trains spéciaux
Bonsoir Et comment font les salariés lorsque l'entreprise menace de délocaliser ,alors que l'entreprise est florissante. Rappelez vous l'entreprise Bosh dans le Rhone ou le patron à imposé de passer à 36 h payé 35.Mais cela ne suffisait pas ,quelques mois plus tard c'était 40 h payé 35 . Plus de la moitié des patrons ne paient pas les heures supplémentaires.Parce qu'ils abusent de leur position de dominant vis a vis d'un employé Cela s'appelle du vol ,délit sanctionné par la loi.Effectivement il reste les prud'homme mais avant que que le salarié daigne faire appel à cette "justice" ,de nombreuses couleuvres auront été avalées , beaucoup d'argent sera perdu,et il y aura eu de grosses désillusions. D'une façon plus générale ,selon les inspecteurs du travail qui doivent être moins de 500 ,assistés par moins de 1000 controleurs (chargé de faire appliquer la LOI plus de 1.2 millions d'entreprises et près de 16 millions de salariés)seul 2 à 3 % des infractions font l'objet de PV(environ 18700 pour l'année 2004)et monis de 1000 sont condamnés par la justice.C'est pas vraiment la tolérance zéro voulu par nos hommes politiques...... Une petite citation pour la fin :"la loi broie le pauvre,et elle est faite par les riches" O Goldsmith c'était en 1765 -
Bonjour Un article de Liberation Après la censure d'un article révélant que Cécilia Sarkozy n'avait pas voté, les journalistes s'insurgent. Par Raphaël GARRIGOS, Isabelle ROBERTS QUOTIDIEN : mercredi 16 mai 2007 Avec des amis comme ça, pas besoin d'ennemis ! Moins de dix jours après avoir été élu, Nicolas Sarkozy met le feu chez son pote Arnaud Lagardère. La censure du scoop du Journal du Dimanche révélant que Cécilia Sarkozy n'a pas voté au second tour de la présidentielle a déclenché une insurrection chez les journalistes du groupe Lagardère. Hier, la rédaction du JDD a adressé à Arnaud Lagardère une très ferme lettre ouverte (lire ci-dessous), soutenue dans sa démarche par les sociétés de journalistes (SDJ) des principaux médias du groupe. La traditionnelle conférence de rédaction du mardi à 11 heures au JDD s'est transformée en assemblée générale : pendant près d'une heure, le directeur de la rédaction Jacques Espérandieu, a tenté d'expliquer les raisons qui l'ont poussé à ne pas publier l'article. Face à lui, des journalistes «en colère», selon un témoin. En colère parce que c'est le propriétaire du JDD , Arnaud Lagardère lui-même, qui a passé un coup de fil au directeur de la rédaction pour lui demander de «trapper» l'article. Lagardère, qui décrit Sarkozy comme un «frère». Lagardère, qui, en juin 2006, avait tout aussi fraternellement viré Alain Genestar de Paris Match pour avoir publié des photos de Cécilia Sarkozy et de son amoureux. Verdict. Première AG, et le principe d'une lettre ouverte à Lagardère est voté. La SDJ s'attelle à sa rédaction et les termes sont choisis avec précaution. On y parle de «pressions», mais on n'accuse pas Lagardère de les avoir exercées directement. Une première version jugée trop «light» lors d'une deuxième AG hier après-midi. Une seconde lettre est rédigée, dénonçant «une censure inacceptable». Cette fois, les journalistes mettent directement en cause Lagardère : «Vous êtes intervenu samedi auprès de la direction de la rédaction pour que cet article ne soit pas publié.» Si la lettre a été musclée, c'est parce que, comme ça a été évoqué lors de l'AG, Espérandieu a reconnu auprès de certains journalistes avoir reçu un coup de fil de Lagardère. Depuis dimanche, pourtant, Espérandieu s'obstine, notamment dans l'émission i-politique sur i-télé : «Je n'ai pas reçu d'ordre ni de pression.» Il a pris «en son âme et conscience» la décision de ne pas publier cette information, jugeant qu'elle relevait de la «sphère privée», et que «le vote est une affaire personnelle.» Mais le fait d'aller voter ne l'est pas, puisque les listes d'émargement sont publiques et peuvent être consultées. C'est ce qu'a fait l'auteur de l'article incriminé, Denis Boulard, journaliste au service politique du JDD. La semaine dernière, à la préfecture de Nanterre, il constate que la signature de Cécilia Sarkozy ne figure pas sur la liste d'émargement : elle n'a pas voté. Samedi, l'article est annoncé en conférence de rédaction. «Espérandieu a fait la gueule, raconte un journaliste présent, comme à chaque fois qu'on évoque Cécilia à la "conf".» Il est alors prévu d'évoquer aussi les difficultés du couple Sarkozy. Refus d'Espérandieu, qui n'accepte que la partie étayée, celle de l'abstention de Cécilia Sarkozy. Mais «Espé» son surnom insiste : il faut un commentaire de l'épouse de Nicolas Sarkozy. Plusieurs coups de fils sont passés, dont un à Franck Louvrier, chargé de la com de Sarkozy, et un autre à Cécilia Sarkozy. Personne ne répond, mais quelqu'un appelle : Arnaud Lagardère ! A 18 heures, verdict : le papier, court et factuel, tombe aux oubliettes. Il était déjà titré : «Cécilia n'a pas voté.» Une censure inacceptable» QUOTIDIEN : mercredi 16 mai 2007 «Vous êtes intervenu samedi auprès de la direction de la rédaction pour que cet article ne soit pas publié. Nous estimons qu'il s'agit là d'une censure inacceptable, contraire à la liberté de la presse. L'ensemble des journalistes du JDD s'indigne de cette pratique d'un autre âge, d'ailleurs largement dénoncée par l'ensemble de notre profession, en France comme à l'étranger. En l'espace d'un week-end, cette intervention a donné du crédit aux graves accusations portées contre les titres du groupe, soupçonnés d'avoir favorisé la campagne de Nicolas Sarkozy. Ces derniers mois, le Journal du Dimanche s'était pourtant attaché à respecter son devoir d'impartialité. Depuis dimanche, son image est gravement mise en cause. Notre site Internet et le standard du groupe sont submergés de messages de lecteurs indignés. Au final, c'est la crédibilité du titre et de ses journalistes qui est mise à mal. Vos relations privilégiées avec Nicolas Sarkozy ne sauraient nous contraindre à renoncer une nouvelle fois aux exigences de notre métier. La rédaction du JDD , indépendante, revendique le droit de refuser toute subordination qui voudrait la priver de son devoir d'informer.» Scandale. Lagardère n'a pas donné suite aux demandes d'entretien de Libération . Et Espérandieu non plus. «Il est dans une position très difficile depuis des mois», explique-t-on au JDD. Depuis l'arrivée en décembre dernier de son vieil ennemi Christian de Villeneuve à la tête des rédactions de Lagardère. Certains journalistes du JDD redoutent aujourd'hui que leur actionnaire ne profite des remous pour remplacer Espérandieu par un «Lagardère's boy» pur jus. «Ce papier, ce n'était tout de même pas l'histoire du siècle», commente un journaliste du JDD. Mais grâce aux bons offices de Lagardère, l'histoire cocasse s'est transformée en scandale. On connaissait le Sarkozy-candidat faisant pression sur les médias ; le voilà en président de la République, avec les mêmes méthodes : amitiés avec les grands patrons des médias, qui le lui rendent bien.
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Bonjour Le terme " si les cheminots ne se plie pas aux conditions du privé " a t il été employé par cette personne ? Dans l'affirmative cela s'appelle du chantage !!!!!
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Bonsoir Deux articles du quotidien "Le Monde" 1er article Les journalistes du JDD dénoncent une "censure inacceptable" dans une lettre ouverte à Arnaud Lagardère LEMONDE.FR avec AFP | 15.05.07 | 19h49 • Mis à jour le 15.05.07 | 19h51 Dans une lettre ouverte à Arnaud Lagardère, propriétaire du Journal du dimanche (et également actionnaire minoritaire du Monde Interactif), les journalistes de la rédaction ont dénoncé, mardi 15 mai, "une censure inacceptable" après la non-publication d'un article sur Cécilia Sarkozy. "Vous êtes intervenu samedi auprès de la direction de la rédaction pour que cet article ne soit pas publié", écrivent-ils. "Nous estimons qu'il s'agit là d'une censure inacceptable, contraire à la liberté de la presse. L'ensemble des journalistes du JDD s'indigne de cette pratique d'un autre âge, d'ailleurs largement dénoncée par l'ensemble de notre profession, en France comme à l'étranger", poursuivent-ils. "ARTICLE PUREMENT FACTUEL" "Vos relations privilégiées avec Nicolas Sarkozy ne sauraient nous contraindre à renoncer une nouvelle fois aux exigences de notre métier. La rédaction du JDD, indépendante, revendique le droit de refuser toute subordination qui voudrait la priver de son devoir d'informer", ajoute le texte. Les journalistes du JDD considèrent qu'"en l'espace d'un week-end, cette intervention a donné du crédit aux graves accusations portées contre les titres du groupe, soupçonnés d'avoir favorisé la campagne de Nicolas Sarkozy". Ils estiment également que "le court article, purement factuel [révélant que Cécilia Sarkozy n'avait pas voté le 6 mai au second tour de l'élection présidentielle] était le fruit d'une enquête auprès de la préfecture des Hauts-de-Seine. Cette information ne relevait pas de la sphère privée, pas plus qu'elle ne devait être une affaire d'Etat". 2 eme article Nicolas Sarkozy inquiète les médias LE MONDE | 14.05.07 | 14h46 • Mis à jour le 14.05.07 | 14h46 La victoire de Nicolas Sarkozy pose des questions dans de nombreuses rédactions. En cause, les amitiés entretenues par le nouveau président de la République avec des hommes d'affaires présents dans les médias comme Arnaud Lagardère, dirigeant du groupe du même nom (Elle, Paris Match, Journal du dimanche, Europe 1...), Serge Dassault, propriétaire du Figaro, Alain Minc, président du conseil de surveillance du Monde, Martin Bouygues, propriétaire de TF1, Vincent Bolloré (Matin plus, Direct 8), ou Bernard Arnault, propriétaire de La Tribune... Avant même l'épisode du retrait de l'article sur le vote de Cécilia Sarkozy, des journalistes du JDD avaient fait part de leur inquiétude. "Ce serait bien de rappeler les principes d'indépendance et de non interventionnisme", déclarait ainsi au Monde un journaliste interrogé avant que cette affaire soit révélée. "Des pressions il y a en a, les coups de téléphone du samedi matin, du samedi soir, venant souvent de la direction du groupe", confirme un salarié. Les inquiétudes sont vives également chez Lagardère Active, Arnaud Lagardère (actionnaire du Monde) présentant Nicolas Sarkozy comme son "frère". La société des journalistes de Paris-Match a rappelé, le 4 mai, que "la responsabilité vis-à-vis des lecteurs est (notre) seul guide". " Cet impératif prime sur tous les autres, en particulier, sur d'éventuelles tentatives de l'actionnaire majoritaire, des politiques, des annonceurs ou des pouvoirs publics de faire pression sur le contenu". Cette prise de position intervient après qu'une partie de la rédaction eut manifesté son désaccord en découvrant le projet de couverture du numéro du 25 avril, après le premier tour de l'élection, montrant Nicolas Sarkozy enlaçant son fils Louis. Une délégation de journalistes avait alors rencontré Olivier Royant, directeur de la rédaction de l'hebdomadaire, et Christian de Villeneuve, directeur général des rédactions du pôle magazines du groupe Lagardère, pour leur faire part de leur désapprobation, mettant en avant que Paris Match n'a quasiment jamais fait sa Une sur un candidat entre les deux tours de la présidentielle, à l'exception de 2002. C'est finalement le comédien Jean-Pierre Cassel, qui venait de mourir, qui a eu droit à la couverture, Nicolas Sarkozy exigeant que la photo de son fils soit floutée. Il y a un an, Alain Genestar, directeur général de la rédaction, avait été licencié pour avoir publié en une, le 25 août 2005, une photo de Cécilia Sarkozy au côté du publicitaire Richard Attias. L'ambiance est tendue également à Europe 1, plusieurs journalistes reprochant une "trop grande proximité" du PDG Jean-Pierre Elkabbach avec le pouvoir. A ces inquiétudes, une porte-parole de Lagardère Active répond : "les maîtres mots dans les rédactions sont l'indépendance éditoriale, l'équilibre et le professionnalisme". "Tous les journalistes sont attentifs souligne François Malye, président du Forum permanent des sociétés de journalistes, qui regroupe les sociétés de 25 rédactions. Nicolas Sarkozy a montré qu'il aimait contrôler les choses. Actuellement, les journalistes ont tendance à se montrer moins résistants, et les journaux ne sont globalement pas en très bonne santé économique. L'inquiétude de fond est que les perquisitions, les instructions, les interrogatoires... deviennent la routine". M. Malye fait référence à la tentative de perquisition au Canard Enchaîné, vendredi 11 mai. Le Forum "condamne ce type d'action dont le seul but est d'identifier les informateurs des journalistes, alors que le secret des sources est l'un des principes fondamentaux de l'exercice du métier de journaliste". Dans son dernier livre Une campagne off (Albin Michel, 18 euros), Daniel Carton rapporte une conversation de Nicolas Sarkozy avec la direction du Figaro Magazine, lors d'un déjeuner. "Je sais déjà ce que je ferai sitôt à l'Elysée : je m'occuperai personnellement de Jean-François Kahn (président de Marianne)", aurait, selon l'auteur, déclaré Nicolas Sarkozy. Pendant la campagne, l'hebdomadaire a publié un numéro spécial diffusé à 500 000 exemplaires et titré : "Le vrai Sarkozy, ce que les grands médias ne veulent pas où n'osent pas dévoiler".. La direction de Marianne réagit sereinement. "Nous n'avons aucune crainte particulière, nous ne faisons pas de procès d'intention, explique Maurice Szafran, directeur du journal. En revanche, le traitement de l'élection par le groupe Hachette m'a frappé car ce n'est pas sa tradition. La campagne de Sarkozy vue par Match relève de la presse soviétique des années 1950, dans les légendes, les façons de titrer". Du côté de France Télévisions, la société des journalistes se souvient de la colère de Nicolas Sarkozy sur le plateau de France 3, le 28 mars, qualifiant de "malhonnête" un reportage sur la fabrication des passeports biométriques. Le retour à l'antenne de Béatrice Schönberg, la présentatrice des JT du week-end de France 2, pose aussi des questions au sein de la rédaction. Prévu le 18 mai, ce retour coïncide avec l'annonce du nouveau gouvernement dans lequel devrait figurer en bonne place son mari Jean-Louis Borloo. Pascale Santi
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Bonjour Encore une Qui a dit ""Je préfère l'excès de caricatures à l'absence de caricature" Réponse Notre nouveau Président de la République Francaise .
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Bonjour C'est vous qui raccourcissez mon message puisque je commence par "Qu'elle n'est pas votée ,n'est pas un problème.Mais que cela embarasse les proches du nain et qu'ils empêchent la diffusion d'un article est bien plus grave" En ce qui concerne la dernière phrase c'était du second degré (aurai je du le préciser ). Je suppose que vos raisons " - etre malade - avoir un membre de sa famille malade - faire la gueule car la veille N.S. avait fini la tablette de chocolat tout seul - ... " sont également à prendre au second degré
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Bonjour Qu'elle n'est pas votée ,n'est pas un problème.Mais que cela embarasse les proches du nain et qu'ils empêchent la diffusion d'un article est bien plus grave.C'est pas la première fois en plus .Avant 2005 ,ils (monsieur et madame sarko) ,n'hésitaient pas à faire les unes des journaux pour montrer qu'ils étaient un vrai couple comme la plupart des francais,puis Paris Match dévoile une photo où on voit madame avec un autre homme.Ceci n'a pas été apprécié au ministère de l'intérieur ,il obtiendra la tête du rédacteur en chef de Paris Match.Dans la foulée il mettra au pillon un livre d'entretien qu'a eu une journaliste avec sa femme alors que 25000 exemplaires ont été imprimé.Il jura (l'ex ministre devenu depuis peu calife) qu'on ne le reprendra plus à s'afficher avec sa femme ,manque de pot l'année dernière au cours d'un déplacement en Guyane .Il et elle feront à nouveau la une , les chargés de communications iront jusqu'à mettre sur un second bateau des photographes chargés de les photographier et montrer que l'année 2005 était bien du passé. Alors oui ,chacun à droit à sa vie privée mais lorsqu'on instrumentalise les médias pour se montrer sur son meilleur angle ,il faut également comprendre les travers lorsque cela va un peu plus mal. Les francais ont voté pour une personne dont même sa femme ne lui fait pas confiance puisqu'elle s'est abstenue de voter.
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Bonsoir Toute ressemblance avec une personnalité de premier rang n'est pas fortuite. http://www.betapolitique.fr/spip.php?article0837
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Bonjour Je sais pas pourquoi cela vous rends hilare mais tant mieux pour vous. Je ne fais pas grève par plaisir mais ce qui nous semble nous (des contributeurs dans lesquels je m'inclue) différencier de vous c'est les principes.En lisant vos différents messages j'ai l'impression que vous en êtes dénuez , que vous adhérez à la doxa actuelle tel est votre problème .Mais je pense que vous vous fourvoyer en pensant que vous et les générations futures allez en tirez les marrons du feu.Puisqu'il existera toujours plus malheureux que d'autres et qu'à en entendre certains il faudrai s'aligner sur les plus modestes. La solution serait peut être une meilleur répartition des richesses ,non. Voici une interview d'un homme admirable Bonne lecture Jean Ziegler : "Nous allons vers une reféodalisation du monde" Dans son nouvel essai, L'Empire de la honte (Fayard), qui paraît le 10 mars, le sociologue et intellectuel subversif genevois - aujourd'hui rapporteur spécial sur le droit à l'alimentation de la commission de l'ONU pour les droits de l'homme - part à l'attaque des "sociétés transcontinentales privées". Accusées d'entretenir la famine, de détruire la nature et de subvertir la démocratie, elles étendent leur emprise sur le monde et veulent réduire à néant les conquêtes des Lumières. Pour leur résister, il faut retrouver l'esprit de la Révolution française et relever la tête, comme le fait déjà au Brésil le président Lula da Silva. Votre livre s'intitule L'Empire de la honte. Quel est cet empire ? Pourquoi "de la honte" ? Quelle est cette honte? Jean Ziegler : Dans les favelas du nord du Brésil, il arrive aux mères, le soir, de mettre de l'eau dans la marmite et d'y déposer des pierres. A leurs enfants qui pleurent de faim elles expliquent que "bientôt le repas sera prêt…", tout en espérant qu'entre-temps les enfants s'endormiront. Mesure-t-on la honte éprouvée par une mère devant ses enfants martyrisés par la faim et qu'elle est incapable de nourrir? Or l'ordre meurtrier du monde - qui tue de faim et d'épidémie 100 000 personnes par jour - ne provoque pas seulement la honte chez ses victimes, mais aussi chez nous, Occidentaux, Blancs, dominateurs, qui sommes complices de cette hécatombe, conscients, informés et, pourtant, silencieux, lâches et paralysés. L'empire de la honte? Ce pourrait être cette emprise généralisée du sentiment de honte provoqué par l'inhumanité de l'ordre du monde. En fait, il désigne l'empire des entreprises transcontinentales privées, dirigées par les cosmocrates. Les 500 plus puissantes d'entre elles ont contrôlé l'an passé 52 % du produit mondial brut, c'est-à-dire de toutes les richesses produites sur la planète. Dans votre livre, vous parlez d'une "violence structurelle". Qu'entendez-vous par là ? Jean Ziegler : Dans l'empire de la honte, gouverné par la rareté organisée, la guerre n'est plus épisodique, elle est permanente. Elle ne constitue plus une crise, une pathologie, mais la normalité. Elle n'équivaut plus à l'éclipse de la raison - comme le disait Horkheimer -, elle est raison d'être même de l'empire. Les seigneurs de la guerre économique ont mis la planète en coupe réglée. Ils attaquent le pouvoir normatif des Etats, contestent la souveraineté populaire, subvertissent la démocratie, ravagent la nature, détruisent les hommes et leurs libertés. La libéralisation de l'économie, la "main invisible" du marché sont leur cosmogonie ; la maximalisation du profit, leur pratique. J'appelle violence structurelle cette pratique et cette cosmogonie. Parlez également d'une "agonie du droit". Que veut dire cette formule? Jean Ziegler : Désormais, la guerre préventive sans fin, l'agressivité permanente des seigneurs, l'arbitraire, la violence structurelle règnent sans entraves. La plupart des barrières du droit international s'effondrent. L'ONU elle-même est exsangue. Les cosmocrates sont au-dessus de toute loi. Mon livre fait le récit de l'effondrement du droit international, citant de nombreux exemples tirés directement de mon expérience de rapporteur spécial des Nations unies pour le droit à l'alimentation. Vous qualifiez la famine d'"arme de destruction massive". Quelles solutions préconisez-vous? Jean Ziegler : Avec la dette, la faim est l'arme de destruction massive qui sert aux cosmocrates à broyer - et à exploiter - les peuples, notamment dans l'hémisphère Sud. Un ensemble complexe de mesures, immédiatement réalisable et que je décris dans le livre, pourrait rapidement mettre un terme à la faim. Il est impossible de les résumer en une phrase. Une chose est certaine : l'agriculture mondiale, dans l'état actuel de sa productivité, pourrait nourrir le double de l'humanité d'aujourd'hui. Il n'existe donc aucune fatalité: la faim est faite de main d'homme. Certains pays sont écrasés, dites-vous, par une "dette odieuse". Qu'entendez-vous par "dette odieuse" et quelles solutions préconisez-vous ? Jean Ziegler : Le Rwanda est une petite république paysanne de 26 000 km2, située sur la crête de l'Afrique centrale séparant les eaux du Nil et du Congo, et cultivant le thé et le café. D'avril à juin 1994, un génocide effroyable, organisé par le gouvernement hutu allié à la France de François Mitterrand, a provoqué la mort de plus de 800 000 hommes, femmes et enfants tutsis. Les machettes ayant servi au génocide ont été importées de Chine et d'Egypte, et financées, pour l'essentiel, par le Crédit Lyonnais. Aujourd'hui, les survivants, des paysans pauvres comme Job, doivent rembourser aux banques et aux gouvernements créanciers jusqu'aux crédits qui ont servi à l'achat des machettes des génocidaires. Voilà un exemple de dette odieuse. La solution passe par l'annulation immédiate et sans contrepartie ou, pour commencer, par un audit de celle-ci, comme le préconise l'Internationale socialiste ou comme l'a fait au Brésil le président Lula, pour ensuite la renégocier poste par poste. Dans chaque poste, il y a en effet des éléments délictueux – corruption, surfacturation, etc. - qui doivent être réduits. Des sociétés internationales d'audit, comme PriceWaterhouseCooper ou Ernst & Young, peuvent tout à fait s'en charger, comme elles se chargent, chaque année, de vérifier les comptes des multinationales. Vous citez à plusieurs reprises le président Lula da Silva comme modèle. Qu'est-ce qui vous inspire cette considération dans son action? Jean Ziegler : J'éprouve à la fois de l'admiration et de l'inquiétude en considérant les objectifs politiques et l'action du président Lula : de l'admiration parce qu'il est le premier président du Brésil à accepter de reconnaître que son pays compte 44 millions de citoyens gravement et en permanence sous-alimentés et à vouloir mettre un terme à cette situation inhumaine ; de l'inquiétude, aussi, parce qu'avec une dette extérieure de son pays de 235 milliards de dollars Lula n'a pas les moyens d'en finir avec cette situation. Dans votre livre vous parlez également d'une "reféodalisation du monde". Qu'entendez-vous par là? Jean Ziegler : Le 4 août 1789, les députés de l'Assemblée nationale française ont aboli le régime féodal. Leur action a eu un retentissement universel. Or, aujourd'hui, nous assistons à un formidable retour en arrière. Le 11 septembre 2001 n'a pas seulement fourni à George W. Bush l'occasion d'étendre l'emprise des Etats-Unis sur le monde, l'événement a aussi justifié la mise en coupe réglée des peuples de l'hémisphère Sud par les grandes sociétés transcontinentales privées. Dans votre livre, vous faites très souvent référence à la Révolution française et à certains de ses protagonistes (Danton, Babeuf, Marat…) : en quoi estimez-vous qu'elle a encore quelque chose à apporter, deux siècles après et dans un monde bien différent? Jean Ziegler : Lisez les textes! Le Manifeste des Enragés de Jacques Roux fixe l'horizon de tout combat pour la justice sociale planétaire. Les valeurs fondatrices de la république, mieux, de la civilisation tout court, datent de l'époque des Lumières. Or l'empire de la honte détruit jusqu'à l'espérance de la concrétisation de ces valeurs. Dans votre livre, vous reprochez à la guerre globale contre le terrorisme de détourner des ressources nécessaires à d'autres combats plus importants, comme celui contre la faim. Pensez-vous que le terrorisme soit une fausse menace, cultivée par quelques Etats ? Si oui, qu'est-ce qui vous le fait penser ? Pensez-vous que cette menace n'est pas réelle ou qu'elle mérite un traitement différent? Jean Ziegler : Le terrorisme d'Etat des Bush, Sharon, Poutine… est aussi détestable que le terrorisme groupusculaire du Djihad islamique ou d'autres fous sanguinaires de ce type. Ce sont les deux faces d'une même barbarie. Elles sont bien réelles l'une et l'autre, puisque Bush tue et que Ben Laden tue. Le problème est l'éradication du terrorisme : il ne peut se faire que par un bouleversement total de l'empire de la honte. La justice sociale planétaire seule pourra couper les djihadistes de leurs racines et priver les laquais des cosmocrates des prétextes de leurs ripostes. En 2002, vous avez été nommé rapporteur spécial de l'ONU pour le droit à l'alimentation. Quelle réflexion avez-vous tiré de cette mission ? Jean Ziegler : Mon mandat est passionnant : dans une totale indépendance - responsable devant l'Assemblée générale de l'ONU et la commission des droits de l'homme -, je dois rendre justiciable, par le droit statutaire ou conventionnel, un nouveau droit de l'homme : le droit à l'alimentation. C'est un travail de Sisyphe ! Il progresse millimètre par millimètre. Le lieu essentiel de ce combat, c'est la conscience collective. Longtemps, la destruction des êtres humains par la faim a été tolérée dans une sorte de normalité glacée. Aujourd'hui, elle est considérée comme intolérable. L'opinion fait pression sur les gouvernements et les organisations interétatiques (OMC, FMI, Banque mondiale, etc.) afin que des mesures élémentaires soient prises pour abattre l'ennemi : réforme agraire dans le tiers-monde, prix convenables payés pour les produits agricoles du Sud, rationalisation de l'aide humanitaires en cas de brusques catastrophes, fermeture de la Bourse des matières premières agricoles de Chicago, qui spécule à la hausse sur les principaux aliments, lutte contre la privatisation de l'eau potable, etc. Dans votre livre, vous apparaissez comme un défenseur de la cause "altermondialiste", voire comme un porte-parole de ce mouvement. Comment se fait-il que vous interveniez si rarement dans les manifestations "alter" et que l'on ne vous considère généralement pas comme un intellectuel "alter" ? Jean Ziegler : Comment donc ? J'ai parlé devant 20 000 personnes au "Gigantino" de Porto Alegre en janvier 2003. Je me sens comme un intellectuel organique de la nouvelle société civile planétaire, de ses multiples fronts de résistance, de cette formidable fraternité de la nuit. Mais je reste fidèle aux principes de l'analyse révolutionnaire de classe, à Jacques roux, Babeuf, Marat et Saint-Just. Vous semblez attribuer tous les malheurs du monde aux multinationales et à une poignée d'Etats (Etats-Unis, Russie, Israël…) : n'est-ce pas un peu réducteur ? Jean Ziegler : L'ordre du monde actuel n'est pas seulement meurtrier, il est également absurde. Il tue, détruit, massacre, mais il le fait sans autre nécessité que la recherche du profit maximal pour quelques cosmocrates mus par une obsession du pouvoir, une avidité illimitée. Bush, Sharon, Poutine ? Des laquais, des auxiliaires. J'ajoute un post-scriptum sur Israël : Sharon n'est pas Israël. Il est sa perversion. Michael Warshavski, Lea Tselem, les "Rabbins pour les droits de l'homme" et maintes autres organisations de résistance incarnent le véritable Israël, l'avenir d'Israël. Ils méritent notre totale solidarité. Pensez-vous que la morale a sa place dans les relations internationales, qui sont plutôt dictées par les intérêts économiques et géopolitiques ? Jean Ziegler : Il n'y a pas le choix. Ou bien vous optez pour le développement et l'organisation normative ou bien vous choisissez la main invisible du marché, la violence du plus fort et l'arbitraire. Pouvoir féodal et justice sociale sont radicalement antinomiques. "En avant vers nos racines", exige le marxiste allemand Ernst Bloch. Si nous ne restaurons pas de toute urgence les valeurs des Lumières, la République, le droit international, la civilisation telle que nous l'avons bâtie depuis deux cent cinquante ans en Europe vont être recouverts, engloutis par la jungle. Depuis le départ des talibans, le Moyen-Orient et le monde arabo-musulman semblent parcourus par une vague de démocratisation plus ou moins spontanée (élections en Afghanistan, en Irak, en Palestine, ouverture de la présidentielle à d'autres candidats en Egypte…). Comment jugez-vous cela et pensez-vous que la démocratie puisse s'exporter dans ces pays ? Ou croyez-vous qu'ils sont condamnés à avoir des régimes despotiques ? Jean Ziegler : Il ne s'agit pas "d'exporter la démocratie". Le désir d'autonomie, de démocratie, de souveraineté populaire est consubstantiel à l'être humain, quelle que soit la région du monde où il est né. Mon ami le grand sociologue syrien Bassam Tibi veut une existence en démocratie et y a droit. Or, depuis trente ans, il vit en Allemagne, en exil de la dictature effroyable qui sévit dans son pays. Elias Sambar, écrivain palestinien, un autre de mes amis, a droit à une Palestine libre et démocratique, non pas à une Palestine occupée, ni à une vie sous la férule d'islamistes obscurantistes. Tibi, Sambar et moi voulons la même chose et y avons droit : la démocratie. Le problème: la guerre froide, l'instrumentalisation des régimes en place par les grandes puissances, enfin la lâcheté des démocrates occidentaux, leur manque de solidarité active et réelle font que les tyrans du Moyen-Orient, d'Arabie Saoudite, d'Egypte, de Syrie, du Golfe, d'Iran ont pu durer jusqu'à aujourd'hui.
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Bonjour Dans un autre domaine ,en tant que ministre de l'intérieur n'a t-il pas concédé à Oberthur (Société privé) la réalisation des passeports biométrique ,alors que l'imprimerie nationale détenait le monopole par une LOI depuis 1993.
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Bonjour Il est bien possible qu'un conducteur gagne plus en salaire NET par rapport à un cadre et encore que.Mais n'oubliez pas que ce sont les primes qui font le salaire d'un conducteur. Alors comparons .Pour ma part cela fait pratiquement 10 ans que je suis à la SNCF (je fais du TER et du marchandise de nuit),ma position est 13 ,mon salaire de base est de 1646 euros ,puis on ajoute les primes de traction ,EVS,travail de nuit,travail de dimanche et jours de fêtes ,ce qui 1200 euros bruts en plus ,et on enlène les cessations concertés de travail.Il me reste en salaire net environ 2400 euros. Alors oui ,je suis correctement payé ,mais est ce que je suis bien payé par rapport aux responsabilitées (si j'ai un problème en gare ou en ligne je suis le seul à prendre les décisions).Je trouve comme vous que les agents des autres filières sont très mal payés ,c'est même honteux quand on voit ce qu'ils touchent.Comme je trouve honteux le nombre très important de cadres qui sont pour la plupart payé à rien faire et je maintiens ce que je dis.Effectivement il existe des cadres et des maitrises qui sont dans les services opérationels et ils ne sont pas la cible de mes attaques.Par contre pour les autres ( ceux qui gravitent dans des bureaux et qui ne savent même pas quel est leur rôle dans cette entreprise mis à part participer à des forums payés par la boutique et faire des graphiques et des notes à ne plus savoir quoi en faire) sont bien trop nombreux et sont un poids important dans cette entreprise.J'ai entendu dire qu'il y avait plus de 15 % de cadres et plus de 25 % de maitrises.Ces dernières années un grands nombres de postes de cadres et de maitrises ont été cré au détriments des postes d'exécutions (un petit nombre d'éxécutions ont passé des examens et sont de l'autre coté de la barrière mais la grande majorité viennent de l'extérieur et sont recrutés en tant que "manager" sans savoir comment roule un train). Je souhaiterai savoir à quelle position démarre le cadre ,et quels sont les horaires qu'ils font (pas ceux en 3 x 8) .Le poids "des responsabilités" fait certainement que les cadres ont un meilleur traitement à la retraite et c'est tant mieux pour eux . Que voulez vous dire à salaire/service rendu ? Service rendu ----> casser les grèves en remplacant les agents qui défendent leur emplois. Ne vous étonnez pas que le fossé se creuse.
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Berlusconi Conseiller De Sarkozy ?
laconi a répondu à thesofasurfer situé dans Actualité ferroviaire générale
Bonsoir Il aime bien les italiens Deux de ses livres ont été préfacé par Gianfranco Fini pour les éditions italiennes. Cet individu c'est fait remarqué pour quelques déclarations fracassantes au sujet du fascisme italien. -
Bonsoir Est ce que Blum faisait des croisières de luxe ? 5 ans de campagne électorale ,5 ans de mensonges ,5 ans de présidence et encore 5 ans de mensonges. Ce quinquennat commence très fort .
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Bonsoir Lorsqu'on accède à la présidence rien n'est trop beau, surtout quand on est à l'écoute de la France qui se lève tôt. Article du Canard Enchainé)
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Bonjour Pouvez vous développer s'il vous plait. Je veux bien illustrer les différentes mesures ,je commence par - "Baisse des impôts pour les riches et pour les entreprises, creusant encore plus le déficit public et l'endettement de la France, une mesure purement idéologique et totalement irresponsable." Source SNUI Le bouclier fiscal : Qu’est-ce que c’est? Le remboursement du montant des impôts (impôt sur le revenu, taxe foncière, taxe d’habitation, ISF) qui excède 60 % des revenus (salaire, revenus locatifs, plus-value sur la revente d’actions…). Il a été instauré dans le cadre de la réforme fiscale 2005 et s’appliquera sur les revenus de 2005 : le contribuable pourra demander le remboursement de l’excédent versé en 2006 sur ses revenus 2005. Qui est concerné ? 93.000 personnes selon la Direction générale des impôts (DGI), sur 34 millions de foyers fiscaux (dont 17 millions imposables). Parmi ces 93.000 personnes, figurent deux catégories : - 77.000 personnes qui perçoivent peu de revenus mais assez pour être imposables à la taxe d’habitation ou qui possèdent un bien immobilier et sont donc également redevables de la taxe foncière. Le montant de ces impôts locaux excède ainsi facilement 60% de leurs revenus. Le surplus versé leur sera donc remboursé. «Il peut aussi bien s’agir d’une prostituée qui ne déclare pas ses revenus que d’un étudiant qui a hérité de l’appartement de son grand-père et qui n’est plus sur la déclaration de ses parents, explique Henri Sterdyniak, fiscaliste à Sciences-Po. On ne sait donc pas quelle proportion de ces 77.000 personnes vont demander un remboursement, la DGI étant susceptible de mettre le nez dans leurs affaires pour vérifier s’ils perçoivent ou non un revenu». Si toutes en font la demande, un montant total de 50 millions d’euros sera reversé (soit 650 euros par contribuable). - 16.000 personnes qui ont un patrimoine très important, bien au-delà des 750.000 euros de biens (maisons, bateaux, actions, meubles précieux…) requis pour être imposable à l’Impôt sur la fortune. Le montant de l’ISF (1,8% maximum au-delà de 15 millions de patrimoine), ajouté à celui sur le revenu, à la taxe d’habitation et à la taxe foncière dépasse donc 60% de leurs revenus annuels. D’après le ministère des Finances, 350 millions d’euros seraient reversés dans le cadre du bouclier fiscal, soit 22.000 euros par foyer fiscal. Ce que propose Nicolas Sarkozy: le ministre de l’Intérieur a proposé de ramener le seuil de ce remboursement à 50% de la totalité des revenus déclarés et d’inclure dans le calcul la CSG et la CRDS, prélevés à la source et représentant 8% du salaire brut. Cette mesure va surtout profiter aux 16.000 personnes au patrimoine élevé qui dans certains cas pourront voir leur remboursement, déjà conséquent, être multiplié par deux. Le nombre de bénéficiaires du bouclier fiscal va aussi augmenter. Ainsi, alors qu’un salarié célibataire déclarant 100.000 euros de revenus annuels devait disposer d’un patrimoine imposable à l’ISF de 3,65 millions d’euros pour atteindre le seuil de 60%, il ne lui faudra «plus» qu’un patrimoine de 2,82 millions d’euros pour être concerné par le bouclier fiscal de Nicolas Sarkozy. Conclusion: la mesure continue de profiter à une minorité de contribuables très aisés et coûterait 2 milliards d’euros à l’Etat selon le Snui, soit près de la moitié des recettes de l’ISF (plus de 3,6 milliards d’euros en 2005). 2ème mesure : déduire jusqu’à 50.000 euros du montant de l’ISF pour ceux qui investissement dans une PME L’ISF : Qu’est-ce que c’est ? L’impôt de solidarité sur la fortune (ISF) concerne les contribuables qui disposent d’un patrimoine d’une valeur supérieure à 750.000 euros au 1er janvier de l’année de déclaration des impôts. Il s’agit aussi bien de biens immobiliers (maisons, appartements, terrains, terres agricoles…) que de meubles, de placements financiers (contrats d'assurance-vie, créances, bons du Trésor), de voitures automobiles, de bateaux de plaisance, d’avions de tourisme, de chevaux de course, de bijoux etc. Environ 450.000 foyers fiscaux sont assujettis à l’ISF. Le taux d’imposition se situe entre 0,55% et 1,8% du montant total du patrimoine. Le montant moyen de cet impôt se situe autour d’un peu plus de 7.500 euros, mais 86% des assujettis à l’ISF sont dans les deux premières tranches et ne paient que 1.100 euros en moyenne. Ce que propose Nicolas Sarkozy : «Donner à ceux qui paient l’ISF la possibilité de déduire une somme de cet impôt, par exemple jusqu’à 50.000 euros, à condition de l’investir dans une PME.» S’il s’agit bien du montant de l’impôt et non du montant du patrimoine, cela revient à exonérer totalement la quasi-totalité des redevables de l’ISF puisque le plafond de 50.000 euros correspond à un patrimoine taxable de 6 millions d’euros. Or, entre 95 et 98% des contribuables à l’ISF ont un patrimoine compris entre 750 000 et 6 millions d’euros. Une part importante de l’ISF est payée par les 2 à 5% de contribuables restants: la réduction de 50.000 euros ferait donc baisser le rendement de l’ISF. Additionnée au bouclier, elle aurait pour résultat de supprimer l’ISF. L’objectif du candidat UMP est de transformer cet impôt en investissement dans l’économie et dans l’emploi, en dirigeant ces recettes vers les entreprises. Il a pourtant déclaré dans un entretien au «Monde» daté du 23 janvier : «Il n’y aura pas de suppression de l’ISF si je suis élu président de la République.» 3ème mesure : baisser de quatre points les prélèvements obligatoires Qu’est-ce que c’est : Il s’agit de l’ensemble des impôts, taxes et cotisations sociales. Ils représentent actuellement 43,5% du PIB . Ce que propose Nicolas Sarkozy : De baisser de quatre points le montant de ces prélèvements obligatoires par rapport au PIB, pour se rapprocher de la moyenne des Quinze européens. «Si on réduit de 4 points nos prélèvements obligatoires, on rend 68 milliards d'euros aux Français: 2.000 euros rendus par foyer et par an, y compris les retraités, et 4.900 euros par foyer si on s'en tient à la France qui travaille», calcule le ministre de l’Intérieur dans son entretien au «Monde». En estimant que cette mesure sera mise en œuvre sur les cinq ans de la prochaine législature, elle coûtera donc 13,6 milliards d’euros par an à l’Etat. Comment Sarkozy parviendra-t-il? Notamment en supprimant les cotisations sur les heures supplémentaires pour les entreprises et les impôts sur ces mêmes heures pour les salariés. 4ème mesure : déduire les intérêts d’emprunt de l’impôt Qu’est-ce que c’est ? Il s’agit des intérêts d’un emprunt réalisé pour l’acquisition de la résidence principale. Ce que propose Nicolas Sarkozy : mettre en place un crédit d'impôt au bénéfice des classes moyennes, c'est-à-dire des ménages dont le revenu disponible est inférieur à celui des 20% de Français les plus riches, soit à environ 40.000 euros annuels. Cette mesure, mise en place par la gauche au début des années 1990, avait pourtant été supprimée par Alain Juppé fin 1996, à l'occasion d'un toilettage de l'impôt sur le revenu dans la loi de Finances pour 1997. Son coût, à l’époque, se situait entre 1 et 1,5 milliard d'euros. Aujourd’hui, il serait de plus de 2 milliards d’euros selon le Snui. 5ème mesure : la fin de l’impôt sur les successions Qu’est-ce que c’est ? Un impôt prélevé sur une partie des biens transmis par une personne à une autre, généralement au moment du décès. Son montant est plus ou moins élevé selon le lien de parenté. Entre parents et enfants, un abattement de 50 000 € est actuellement appliqué, entre époux, un abattement de 76 000 euros… Ce que propose Nicolas Sarkozy : le supprimer. Selon le Snui, l’impôt sur les successions concerne là encore une minorité de contribuables puisqu’en 2005, «sur 537.000 décès, seules 140.000 déclarations de succession imposables ont été enregistrées». Mais la recette de cet impôt n’est pas des moindres puisqu’elle s’élève à un peu plus de 7 milliards d’euros. A vous d'argumenter sur ce sujet .
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Bonjour Je vais vous rafraichir un peu la mémoire sur certaines déclarations du nain (elle ne sont pas exhaustive) -"On va vous débarasser de cette racaille" -" Les voyous vont disparaître, je mettrai les effectifs qu'il faut mais on nettoiera la Cité des 4000 au Karcher. On va envoyer des équipes spécialisées et éventuellement, s'il le faut, des CRS " -"On égorge par le mouton dans la baignoire" -"Tous les droits-de-l'hommistes de la création passent devant la porte de Saint-Ouen en disant : 'Mon dieu, les pauvres' puis s'en vont pour aller dîner en ville" -"Il n'y aura pas de privatisation de EDF et de GDF,c'est clair ,c'est simple ,c'est net" -"...Dans cette élection, il s'agit de savoir si l'héritage de Mai 68 doit être perpétué, ou s'il doit être liquidé une bonne fois pour toutes»." -"Le travail libère l'individu."; " Le travail est une valeur de libération." (A l'entrée des camps pendant la seconde guerre mondiale ,il y avait marqué "Arbeit mach frei") -" Avant la fin du mois de juillet, nous aurons profondément changé le pays. Il est terminé le temps où les gens qui se lèvent à midi et vivent de l’assistanat font la loi. Ils vivent aux dépens de ceux qui se lèvent tôt. " -" Société où l’on punit ceux qui travaillent une heure de plus et où tellement d’enseignants font une règle de l’absentéisme. " -" J’inclinerais pour ma part à penser qu’on naît pédophile, et c’est d’ailleurs un problème que nous ne sachions soigner cette pathologie-là. Il y a 1200 ou 1300 jeunes qui se suicident en France chaque année, ce n’est pas parce que leurs parents s’en sont mal occupés ! Mais parce que génétiquement ils avaient une fragilité, une douleur préalable. Prenez les fumeurs : certains développent un cancer, d’autres non. Les premiers ont une faiblesse physiologique héréditaire. Les circonstances ne font pas tout, la part de l’inné est immense " etc ...... Voici le programme de Sarkozy (Récupérer sur un site) Certaines sont déjà bien engagés - Baisse des impôts pour les riches et pour les entreprises, creusant encore plus le déficit public et l'endettement de la France, une mesure purement idéologique et totalement irresponsable. - Démantèlement du droit du travail, CPE pour tout le monde, précarité généralisée, avec un licenciement possible pendant 2 ans, sans justificatif ni recours. - Retraite à 70 ans, et encouragement des retraites privées (fond de pension) pour ceux qui souhaitent partir plus tôt à la retraite et dans de meilleures conditions - Semaine de 48 heures (alignement sur la norme européenne), et autorisation des heures supplémentaires jusqu'à 70 heures par semaine (opt-out, comme en Angleterre) - Suppression des charges sociales sur les heures supplémentaires, ce qui encouragera les entreprises à recourir aux heures supplémentaires plutôt qu'embaucher - Obligation d'effectuer un "travail d'utilité collective" (des travaux forcés payés moins que le SMIC) pour les bénéficiaires de minima sociaux - Restauration du service national obligatoire pour les jeunes - Adoption de la constitution européenne par le parlement, sans consulter les Français par référendum - Privatisation d'EDF, de la SNCF, de la Poste. ANPE remplacée par des agences privées pour le placement des chômeurs. - Autorisation des OGM. (Nicolas Sarkozy est le seul candidat à la présidentielle à ne pas s'être engagé à un moratoire sur les cutures d'OGM). - Discrimination positive et encouragement du communautarisme - Immigration choisie, c'est à dire appel à l'immigration quand le rapport entre l'offre et la demande sur le marché du travail est défavorable aux entreprises, risquant ainsi de les obliger à augmenter les salaires - Suppression de la séparation des églises et de l'état, pour permettre aux lieux de culte d'être financées par l'argent du contribuable - Réduction du nombre d'enseignants, réduction du budget de l'éducation nationale, l'argent restant devant être partagé avec les écoles privées (suppression de la loi Falloux) - Augmentation du budget militaire pour renforcer les capacités de la France à participer aux guerres des Etats-Unis, au grand bénéfice des multinationales de l'armement, notamment Dassault (dont le PGD Serge Dassault est député UMP et sarkozyste convaincu), et Lagardère (dont le PDG Arnaud Lagardère est le parrain d'un fils de Sarkozy). - Extension des pouvoirs présidentiels, au détriment du premier ministre et du parlement - Généralisation des machines à voter, afin de pouvoir truquer les futures élections - Modification probable du jeu électoral en autorisant à nouveau les entreprises à financer les partis politiques, et en légalisant les publicités politiques à la télévision (comme aux USA), afin de donner l'avantage au parti le plus riche, c'est à dire le plus favorable aux intérêts des multinationales afin de bénéficier de leur "générosité" - Généralisation de la vidéosurveillance "intelligente", avec détection automatique des comportements interdits ou jugés suspects y compris pour les infractions anodines, comme allumer une cigarette dans un lieu public. La vidéosurveillance "intelligente" aura pour effet de multiplier les bavures policières (comme l'assassinat d'un jeune brésilien par la police à Londres après les attentats) - Fichage des enfants dès la maternelle, pour repérer les "futurs délinquants". (En tant que ministre de l'intérieur, Nicolas Sarkozy avait prévu de faire adopter cette mesure début 2007, mais il l'a finalement retirée à cause de la polémique qu'elle pouvait susciter avant l'élection présidentielle) - Création de prisons privées, comme dans le film "Fortress". Aux Etats-Unis, un tiers des prisons sont déjà privées, et l'un des buts de la répression est désormais de gonfler les profits des sociétés qui gèrent ces prisons et qui sont rémunérées en fonction du nombre de prisonniers.
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Bonsoir On touche le fond avec une telle réponse. Soyez imapartial et faites un petit effort de mémoire depuis 5 ans vous y verrez un peu plus clair derrière le rideau de fumée.
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Bonjour Vous êtes un "Self made Man" Vous terminerez peut être président C'est tout ce que je vous souhaite Peut etre que la population aspire à la propriété. Mais défiscaliser les intérets pour devenir propriétaire est surtout interessant pour les ménages ayant déja de l'argent. Plus vous avez d'argent ,plus vous pouvez faire un pret important ,plus les intérets à deduire sont important. Une fois de plus ,la personne ayant de la caillasse sera avantagé. Je pense que vous savez également que l'immobilier à augmenté ces dernières années ,ca m'étonnerait fort qu'un ménage ayant deux fois le smic voir moins, puisse devenir propriétaire.D'autant plus que la moitié des francais ne sont pas assujetis à l'impot sur le revenu et c'est pas un crédit d'impot de quelques centaines d'euros qui va arranger les choses. Encore de la démagogie . C'est le baron Seillière qui disait que sarkozy était le zidane de la politique, d'autres disent qu'il est énergique ...... Bon courage pour les 5 ans avenir avec l'instauration de quatre franchises médicale ,une TVA sociale (impot le plus injuste qu'il soit), augmentation des impôts locaux (puis qu'il a parlé de s'occuper des impots sur le revenu et pas du reste) , etc ..... Sous le dernier gouvernement les prélèvements obligatoite (total de tous les impots ont augmenté),augmentation des droits d'entrée à l'université.
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Bonjour Bloc notes de Bernard Langlois « Mais pourquoi tant de haine ? » J’vais vous dire, M’sieur Sarkozy, laissez-moi vous expliquer, c’est très simple. Certains commentateurs de vos amis cherchent à brouiller les pistes, et les esprits. Ils nous expliquent que la « sarkophobie » (le mot est d’eux, on le trouve par exemple sous la plume de Franz-Olivier Giesbert, le distingué directeur du Point) ne serait au fond qu’une variété de racisme, due à vos origines étrangères. Le fait que vous soyez « fils de Hongrois et descendant de juifs de Salonique », comme écrit votre récent ami Max Gallo dans ce même hebdomadaire, où l’on ne vous veut que du bien. Et l’ancien disciple de Chevènement de vous comparer à de Gaulle, en butte à la haine de l’OAS, ou à Blum, harcelé par celle des cliques antisémites. (Rien que ça, Max ? Ah, le zèle des convertis !) Ceux qui vous critiquent auraient sombré dans le lepénisme. « De gauche », précise Giesbert. Je vais vous dire, M’sieur Sarkozy, ne croyez pas à cette explication simpliste, vous vous égareriez. Certes, Jean-Marie Le Pen a utilisé l’argument (votre, selon lui, trop récente appartenance à la nation française) pour contester la légitimité de votre candidature à la charge présidentielle. Mais il est à peu près le seul. Et en tout cas aucun de vos adversaires de gauche ne lui a emboîté le pas. Vos zélateurs et griots sont au demeurant assez culottés de venir nous chercher des poux lepénistes au moment même où vous n’hésitez pas, vous, sans crainte d’en attraper les puces, à caresser l’électorat frontiste dans le sens du poil ; oh, pour la bonne cause ! Il ne s’agit que de l’arracher à son vieux chef pour « le réintroduire dans le débat républicain », chacun l’a bien compris. Ce n’est jamais que l’application du vieux principe maoïste : « Qu’importe que le chat soit noir ou blanc, pourvu qu’il attrape la souris ! » L’opération a du reste plutôt réussi, comme l’a noté un ancien fidèle de Le Pen (Simonpieri, l’ex-maire de Marignane, aujourd’hui rallié à votre bannière) : « Beaucoup d’électeurs FN ont constaté que Nicolas Sarkozy disait les mêmes choses que Le Pen, mais que lui avait une chance de les mettre un jour en application. Ils ont donc voté utile. » CQFD. Si lepénisation il y a, donc (et il y a, d’évidence), elle n’est pas à chercher dans notre camp, n’en déplaise à Giesbert, Gallo et compagnie. Croyant voler à votre secours, ces fidèles supporteurs vous égarent, M’sieur Sarkozy ! Ils vous condamnent à ne rien comprendre à cette « haine » qui vous accable. Laissez-moi vous expliquer. C’est vrai que nous sommes nombreux à ne pas trop vous aimer. À redouter de vous voir élu. À tenter de tout faire pour vous barrer la route de l’Elysée. Il y a des tas de bonnes raisons à cela, M’sieur Sarkozy. Et croyez bien que vos origines n’ont rien à y voir : seriez-vous berrichon ou auvergnat depuis dix générations que nous aurions envers vous la même aversion. — Elle est d’abord politique et relève de votre programme : on doit reconnaître que vous l’assumez comme foncièrement de droite. Ce qui veut dire, sur le plan économique et social, une rupture nette avec ce qu’on appelle encore « l’exception française », un ensemble de dispositions, de protections, de garanties, de droits, d’arbitrages hérités de l’Histoire — le Front populaire, la Résistance, le gaullisme, les meilleures années du mitterrandisme —, déjà bien grignotés, rognés, édulcorés au fil des ans, mais pas encore assez du point de vue du marché mondialisé et des classes possédantes qui en goûtent les fruits juteux. Votre programme, M’sieur Sarkozy, est une gâterie pour le Medef, une douceur annoncée pour les banques et les bourses ; la promesse d’un régal pour votre clientèle huppée, déjà cousue d’or : l’assurance de garder le beurre et l’argent du beurre, avec en prime le cul de la fermière. Des courageux s’époumonent à alerter leurs concitoyens, en pure perte. Votre programme nous promet à la fois Thatcher, Reagan et Berlusconi ; sans compter Bush, votre grand homme, qui saura bien vous entraîner dans quelque aventure militaire, où vous pourrez donner toute votre mesure. Mieux vaut le savoir : certains des fils des braves couillons qui s’apprêtent à voter pour vous risquent fort, si vous êtes élu, de rentrer d’escapades exotiques les pieds devant, dans de grands sacs à fermeture éclair. — Dans le même temps (et il faut que vous sachiez comme ça suscite du mépris), vous n’hésitez pas à varier vos discours en y introduisant des thèmes, des références, des hommages aux grandes figures du passé (de préférence se situant à l’opposé de vos appartenances — j’allais dire de vos convictions, mais je ne suis pas sûr que vous en ayez, hein, M’sieur Sarkozy ?) —, en fonction des publics divers programmés sur votre feuille de route électorale. Ah, vous ne manquez pas de talent ! Tout à la fois Vichnou et Frégoli, dieu des avatars et prince des déguisements. Homme intelligent, mais de petite culture, vous vous êtes adjoint un talent en mal d’emploi chargé de truffer vos envolées des citations, des paraboles, des symboles qui vous font défaut. Sous le balcon de la Roxane républicaine, il est votre Cyrano, vous êtes son Christian. Vous récitez bien, faut vous reconnaître ça. — Politique encore, c’est votre parcours qui donne les boules, M’sieur Sarkozy. Je ne parle pas tant de cette ascension, parfois contrariée (il vous est arrivé de vous tromper de cheval, imprudent jockey !), mais toujours poursuivie avec une détermination sans faille ; ni des cadavres (politiques) qui jonchent votre chemin, ni de la constance avec laquelle vous avez trahi amis et protecteurs : en la matière, vous n’avez jamais fait que suivre d’illustres exemples et je connais peu, hélas, de carrières politiques vraiment franches du collier, dès qu’on atteint un certain niveau. Non, je veux évoquer ces cinq ans qui viennent de passer, où nous vous avons vu œuvrer, véritable patron des gouvernements successifs, maire du Palais d’un roi fainéant, vous mêlant de tout, imposant vos choix et vos oukases, personnage récurrent de tous les programmes et sur toutes les antennes ; ces cinq ans où vous imposâtes au vieux monarque qui ne vous aimait point (par où donc le teniez-vous M’sieur Sarkozy ?) votre présence aux affaires ; ces cinq ans marqués de tant d’injustices, de brutalités, de dénis, d’accusations sans preuve (la Ligue des droits de l’homme en tient l’accablante comptabilité), de mensonges, de rodomontades, de provocations, jusqu’à ces flambées de violences débouchant sur un régime d’exception que la République n’avait pas connu depuis près d’un demi-siècle. Pensiez-vous que la racaille, le Kärcher, le mouton dans la baignoire, les deux p’tits gars — pauvres gosses —, du transformateur de Clichy, les rafles aux portes des écoles, toutes ces vilenies (j’en oublie) ne laisseraient pas de traces ? Vous êtes bien dur avec les faibles, M’sieur Sarkozy, c’est rarement le signe de la grandeur d’âme… — Un mot de l’environnement. Non, pas avec un grand E — le réchauffement, l’épuisement des ressources naturelles, tout ça (dont il ne me semble pas que vous soyez très préoccupé, ou si j’me trompe, M’sieur Sarkozy ?) —, je veux parler de votre environnement rien qu’à vous, votre entourage quoi, vos proches, vos potes, vos soutiens ; c’est pas pour dénigrer, hein, mais reconnaissez que c’est pas vraiment le haut de gamme : entre les voyous politiques, les renégats emblématiques, les girouettes philosophiques, les acteurs de série B, les chanteurs pô-pô-pô-dit, les rockers en exil fiscal, les sportifs retraités, et ce brave Steevy en raton laveur pour compléter l’inventaire, ça fait un peu Cour des Miracles, non ? On a connu des parterres plus reluisants. Dis-moi qui tu fréquentes … Pardon, j’oubliais : les grands patrons, les vieilles dames reconnaissantes de l’immobilier, les cadres sup’ gavés aux stock-options, les parachutistes dorés, les retraités à chapeau, tous ces sacs d’or que vous avez (ou avez eu) la chance d’administrer dans votre belle commune de Neuilly-sur-Gratin, là où le HLM reste une curiosité (au même titre que le facteur trotskiste) : tous avec vous, M’sieur Sarkozy, ça aide pour financer les campagnes ; mais êtes-vous vraiment crédible, pensez-vous, quand vous allez lever le poing dans les cours d’usine ? PROFIL. Il resterait beaucoup à dire. Et nous n’avons pas évoqué encore votre personnalité. L’inquiétant profil psychologique qui se dégage de tant de témoignages, évoqués à demi-mot sous le sceau de l’anonymat par ceux qui craignent pour leur carrière, ou clairement énoncés par ceux qui n’ont à préserver ni un siège, ni une charge, ni un job ; ou qui jugent courageusement que c’est leur devoir de dire la vérité, dussent-ils en pâtir. J’vais vous dire, M’sieur Sarkozy, je crois comme beaucoup d’autres observateurs ou acteurs de la vie publique, que vous n’êtes pas en état de gouverner ce pays. Votre ego surdimensionné, votre hyperactivité, votre boulimie de pouvoir font de vous un homme dangereux pour la paix civile et la démocratie. Vos colères d’enfant gâté, qui n’épargnent pas même vos proches, révèlent un être mal fini, fracturé de l’intérieur, enclin à compenser sa souffrance, son mal être, par un autoritarisme qui ne connaîtra plus de limites s’il devient Président, avec tous les pouvoirs que la Constitution met entre les mains du chef de l’Etat. Déjà, simple (!) ministre, vous avez fait tomber des têtes (notamment de journalistes) et interdire des livres qui vous déplaisaient. Vous n’hésitez pas à menacer, à insulter, à soudoyer. La liberté d’une presse prise en tenaille entre vos alliances patronales bétonnées et les connivences que vous entretenez avec les journalistes les plus influents (ceux qui ne s’y prêtent pas risquant des représailles), déjà pas bien brillante (la liberté), on l’a mesuré pendant toute la campagne à bien des occasions, pourrait bien n’être plus qu’un souvenir. Ne parlons pas de l’usage que vous ferez de la police, vous en avez déjà donné un aperçu ; ne disons rien de l’indépendance de la justice ni de la séparation des pouvoirs en général. J’exagère ? Vous n’êtes pas si mauvais homme, dites-vous ? Je ne sais plus qui disait (Saint-Exupéry, peut-être) que dans tout homme, il y avait au moins 5 % de bon. Allez, je vous accorde les 5 % réglementaires. Vous savez, M’sieur Sarkozy, à qui vous me faites penser ? Je ne devrais pas vous le dire, ça va vous faire rosir de plaisir ; je vous le dis quand même : à George Dubbleyou lui-même, le maître du monde, votre modèle. Quand, après les attentats contre les Twin Towers, il se lamentait, comme vous aujourd’hui : « Mais pourquoi nous déteste-t-on tant ? » A lui, comme à vous, il n’est au fond qu’une réponse : parce que vous vous comportez comme des êtres détestables. B.L. PS — Il n’échappera pas à mes lecteurs qu’il n’est qu’un moyen pour barrer la route à Nicolas Sarkozy : le bulletin Ségolène Royal. Il serait irresponsable de ne pas s’en servir pour je ne sais quelles pudeurs de rosière. [ Bloc-notes de Politis du 3/5/07 ]
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Bonjour Vous vous offusquez qu'on emploie un mot blessant selon votre terme.Mais vos mots "adapter ,réactif" ou "nous n'avons pas d'autre choix" peuvent également choquer un cheminot défendant le service public et doivent faire retourner dans leur tombe plus d'un cheminot. Peut être employez vous ces mots par banalité ,ce que je peux comprendre puisque cela fait des dizaine d'années qu'on essaie de nous lobotimiser le cerveau ,avec des opinions toutes faites ,distiller par la propagande. C'est peut être votre opinion personelle murit d'une longue réflexion ,ou peut être très courte. Mais en tout cas cela n'est pas la mienne ,car je sais d'où je viens ,(monde ouvrier héritier de mai 68 que certains veulent solder)et celle de beaucoup de personnes défendant un service publique malgré tout les coups portés à ses fondement. Mais c'est ces MERCENAIRES ou ces personnes prêtent à marcher sur père et mère pour obtenir de petits gains qui mettent le ver dans le fruit et qui déstabilisent un édifice acquis de haute lutte par nos ainés. Vous avez le droit de les défendre comme nous avons le droit de défendre le service public. Nous sommes encore en démocratie,mais pour combien de temps encore (réponse ce soir) .
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Bonsoir Il y en a qui ont déja les pleins pouvoirs !!!!!!!!!!! http://www.liberation.fr/actualite/politiq...7/251943.FR.php http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-...1-906027,0.html Rien n'est perdu http://www.3cetudes.com/
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Bonjour En espérant que plus de 50 % des francais fassent la même chose.