Cyril83

Mais c'est aussi, en grande partie, de l'argent public.

Les nouvelles du 4 août : - les 300 000 euros attendus ont été réunis fin juillet, il n'y a plus qu'à en trouver 200 000 autres pour fin septembre ; - 1 500 "bons d'achat" ont été vendus (98 500 restent donc disponibles).

Livraison hebdomadaire.

Les gens démissionnent mais en fait ils restent. Il y a plein de pistes pour avoir de l’argent mais pour l’instant il y a toujours un trou dans la caisse. Personnellement je n’y comprends plus grand chose mais ce n’est pas très grave car cela m’intéresse finalement assez peu.

C’est mieux d’avoir un expert psy qu’un amateur psy, non ?

Je ne demande pas à Monsieur si Monsieur sait s’en servir…

Quand ça change, ça change... Faut jamais se laisser démonter.

Conditions générales de vente des bons d’achat : https://www.railcoop.fr/wp-content/uploads/2023/07/conditions-generales-de-vente-rai-lcoop-bons-de-voyage-06.07.23.pdf Il en reste donc plus de 99 000 à écouler.

À quoi bon avoir un couteau sur soi quand un policier te laisse emprunter son arme ? https://www.leparisien.fr/faits-divers/coup-de-feu-dans-le-tgv-annecy-paris-le-suspect-mis-en-examen-et-ecroue-15-07-2023-7T5RKDZFXZCHZH57O5SKBENJBE.php

La newsletter de la semaine nous apprend que 200 000 euros ont été collectés auprès de 800 sociétaires depuis le 16 juin (soit en moyenne 250 euros par sociétaire qui a remis au pot) et que 600 bons d’achat à 30 euros ont été vendus ces derniers jours. Pour l’instant il manque donc 100 000 euros pour finir l’été. Le nombre de généreux contributeurs et clients doit être rapproché du nombre total de sociétaires. Visiblement la majorité de ces derniers soit n’y croit plus, soit n’avait tout simplement pas prévu de « réinvestir » après la souscription initiale.

https://aqui.fr/article/coup-de-frein-sur-la-ligne-bordeaux-lyon-par-railcoop/

La brève du Parisien : Un chat coincé sous un TGV Paris-Nice provoque une heure de retard en gare de Lyon - Le Parisien J'ai relu trois fois ce passage avant de comprendre qu'il désigne le bogie :

S'il y a une dette à régler au fisc ou à l'URSSAF, ce n'est pas le fait d'avoir déposé les sommes sur un compte séparé qui empêchera le créancier de se servir.

Il y a une petite différence entre les personnes qui ont donné 100 euros parce que l'idée de départ leur semblait bonne et celles qui ont investi une somme plus élevée et/ou remis de l'argent alors que les parts sociales ne valent officiellement plus rien. Dans un cas comme dans l'autre c'est aux risques et périls des investisseurs, mais les personnes qui se sont mises dans la 2e situation ne sont vraiment pas prudentes, à moins d'être fortunées.

Et si je n'étais pas poli, je dirais même plus : cela équivaut à ... avec l'emballage.

Je suppose qu'il a à la fois le charbon (de bois) et la prime de charbon ?

La rhétorique victimaire (c’est la faute de la SNCF, des banques, etc.) séduit un certain public.

Je ne comprends pas ce que peut valoir l’engagement de « ne pas dépenser » le produit de cette vente de bons d’achat. Le seul moyen de tenir cet engagement serait, au moment où il ne restera plus un centime dans les caisses à part la recette des bons d’achat, de déclencher le remboursement de ces bons juste avant de déposer le bilan. Car autrement on aboutit à une situation impossible : plus de trésorerie disponible pour payer les charges courantes et impossible de déposer le bilan d’une entreprise qui a encore de l’argent.

Je voulais le faire mais bien sûr j'arrive trop tard.

Pas encore de trains, pas encore de matériel roulant, pas encore de système de réservation... mais des bons d'achat sont à vendre : Présentation du Bordeaux – Lyon | RAILCOOP (oui le titre est inexact...) Aussi : La page est essentiellement rédigée au futur de l'indicatif, par exemple : À ce propos, je signale l'article L121-4 du code de la consommation :

Sachant que le train parcourt quelques centaines de kilomètres et ne peut pas être à deux endroits au même moment…

Il y a un petit noyau qui continuera sans doute à envoyer de l’argent même après la clôture de la liquidation judiciaire.

Un article de la République du centre avec des images de ce à quoi la gare devrait bientôt ressembler : La gare d'Austerlitz, à Paris, une "belle endormie" qui s'éveille peu à peu et révèle ses trésors - Paris (75000) (larep.fr)

Certes. Cependant il n'empêche que Railcoop avait tout pour réussir mais se heurte depuis le début à des situations absurdes : refus de SNCF Réseau de fournir des sillons viables, refus de SNCF connect de vendre les billets de train, refus des banques de prêter de l'argent, refus de certaines collectivités de subventionner acheter des parts sociales et maintenant, absence de la comptable.

On ne parle pas des mêmes lignes.