Cyril83

Rapproche toi de l'A..C de Willy C. : il faut dénoncer ce scandale et engager une procédure.

Idem pour l'immeuble qui abrite le CNOF.

Ce n'est pas pour me vanter mais moi je connais bien l'informatique : je sais comment on allume, comment on démarre le navigateur et comment on poste un message sur cheminots.net. Et encore, hier, j'ai même installé une mise à jour de Windows !

Je ne connais pas bien le droit de la consommation mais il me semble que : - Les règles, issues notamment du droit européen, sont sans cesse plus protectrices du consommateur, et pourtant la SNCF existe toujours et est parfois bénéficiaire (en tout cas, d'éventuels déficits ne proviennent pas des indemnités versées aux voyageurs). - Les "actions de groupe" visent simplement à faciliter l'action de multiples consommateurs ayant chacun subi un préjudice provenant de la faute d'une même entreprise. Pour autant cela ne change en rien les obligations légales des entreprises qui commercialisent des biens ou des services aux particuliers. Un peu plus haut, un arrêt de la Cour de cassation est cité : je ne vois pas pourquoi le raisonnement suivi cesserait d'être valable. - Les "actions de groupe" concernent plutôt des affaires similaires où le préjudice subi par chaque consommateur est limité, de telle sorte que l'engagement d'une procédure distincte par chaque consommateur aurait un coût prohibitif. Dans le cas de vacances gâchées, où chaque cas est différent (voir message de PLANONYME ci-dessus) et où le préjudice élevé peut parfaitement justifier qu'un consommateur engage une procédure de sa propre initiative (sans préjuger du bien fondé de cette procédure), je ne sais pas si l'existence des actions de groupe aura une grande incidence. - Enfin, on parle ici d'une décision du médiateur, donc en dehors de toute action en justice. Bref, autant on peut prendre les paris sur d'éventuelles actions de groupe contre la SNCF pour des problèmes du style retards récurrents pour les abonnés (et là, tous les regards se tournent vers Willy C.), autant le catastrophisme ambiant sur ce fil n'est sans doute pas justifié et autant les actions de groupe sont très éloignées du cas de figure qui faisait l'objet initial de ce fil...

ça me semble évident que : - si le retard du premier train est imputable à la SNCF, la SNCF est intégralement responsable (y compris de l'hébergement à Paris si nécessaire), - si le retard du premier train a une cause externe à la SNCF, celle-ci doit néanmoins tenir compte ce retard et par exemple, ne pas verbaliser pour défaut de titre valide un voyageur qui se serait "recasé" dans le train à résa obligatoire suivant. "Pas de correspondance entre gares parisiennes", je pense que ça ferait rire aux éclats un juge à qui un voyageur présenterait un billet avec les deux trains mentionnés sur une seule page, c'est-à-dire un contrat de transport unique.

Tâche quand même de ne pas perdre de vue que tous les voyageurs, même jeunes et en bonne santé, ne courent pas aussi vite que toi. ;-)

La chasse à la saleté et aux infiltrations fait l'objet d'un reportage de l'AFP : http://www.dailymotion.com/video/k24jcyLy7vH7ln5uu7b

Aveyron ? Ligne Viviez - Decazeville ?

Toi aussi tu fais dans le quolibet ?

Peu importe qui est responsable (d'ailleurs, "la SNCF" ou "l'État" ça ne veut rien dire : les hauts fonctionnaires, ministres ou dirigeants qui ont pris une décision ne sont pas forcément les mêmes qui prennent la décision contraire quelques années plus tard) : ça n'en reste pas moins absurde. Je ne vois pas où il y a des quolibets dans ce qui précède.

Et que dire de la revente de la SHEM à Suez, avant que la SNCF ne découvre que produire soi-même son électricité, c'est bien pratique.

http://www.lemonde.fr/les-indiscrets/breve/2014/02/18/pour-apparu-duflot-fait-une-erreur-avec-la-vente-de-terrains-de-la-sncf-et-de-la-ratp_4368926_3523646.html

Gratuite juste le temps d'être indexée par Google ?

C'est à la fois plus simple et plus subtile qu'un complot : les médias diffusent simplement les éléments de langage soigneusement distillés par les responsables politiques. Il y a eu l'affaire d'un (ou une ? me rappelle pas) transsexuel(le) verbalisé(e) par un ASCT au motif qu'il (elle) présentait l'aspect d'une personne du sexe opposé à ce qui était mentionné sur ses papiers et sur son e-billet. Quand l'affaire est sortie dans la presse des mois après les faits, la SNCF a précisé que le PV avait déjà été annulé depuis longtemps. (Il aurait été plus élégant d'accorder en plus un geste commercial, mais bon, ce n'est pas le débat de ce fil.) Les copains ? Tu as de drôles de fréquentations !

Saône-et-Loire ?

Mais VSC dit bien "pas remboursable", et non "pas annulable" ou "pas échangeable". Sinon, l'appli Capitaine Train pour Android arrive-t-elle bientôt ?

Il faut reconnaître que la concurrence dans le domaine de la vente de billets est plutôt une bonne chose pour l'usager le client : - En 2012, l'appli VSC pour Android était à peu près aussi mal fichue que le site web. Désormais, l'appli VSC permet de réserver un billet de train "super rapidement". (Pour ce qui est du site, il n'a pas trop changé.) - Capitaine Train propose de choisir le meilleur entre les tarifs de la SNCF et de la DB sur les TGV et ICE vers l'Allemagne, et du coup quelle surprise, VSC songe à faire de même. Il ne reste plus que ce petit détail à régler :

C'est vrai, et la branche "Geodis" ne comprend que des filiales : VFLI, Calberson, SERNAM, etc... Ah, on me souffle que pour une durée limitée, Geodis comporte aussi ce qu'il reste du fret. Toutes mes excuses pour cet oubli !

Merci pour le lien mais j'avoue ne plus comprendre. Pour moi, il y avait : - les activités, qui sont une simple division d'une seule société, la SNCF, au niveau de l'organisation et de la compta analytique ; - les filiales, qui sont des sociétés distinctes. Si maintenant il y a des activités qui regroupent une partie de la SNCF et aussi des filiales... Mais l'erreur est peut être justement de chercher à comprendre.

C'est bien là où je voulais en venir. Sauf que les collectivités, la région Auvergne sous feu Giscard par exemple, ont à l'époque applaudi des deux mains la réservation obligatoire et la hausse des tarifs pour payer la rénovation du matériel (!). Aujourd'hui, la seule préoccupation de la région Auvergne est de récupérer des arrivées et des départs de la gare de Lyon. Une supposition : la région Auvergne se soucie sans doute davantage des déplacements professionnels (notamment au départ de Vichy et Moulins, où il n'existe pas de réelle concurrence aérienne), généralement au plein tarif et pris en charge par les entreprises, les bénéficiaires ne se souciant donc que de la qualité de service. Pour ce qui est de l'État, le conventionnement avec la SNCF ayant pour seul objet de maintenir des trains dont la SNCF voulait se débarrasser, il est assez logique qu'il ferme les yeux sur le YM qui augmente les recettes de la SNCF, et donc diminue la part versée par l'État. Contrairement à une région dont le nom figure sur les TER avec une livrée particulière, dont la compétence en matière de transports occupe une part importante et qui sera jugée là-dessus par ses électeurs, l'État n'a pas besoin de s'intéresser aux aspects tarifaires.

Voyages-SNCF.com est une filiale sans rapport avec SNCF Voyages. Pour IDbus, tu dois avoir raison. Ah oui, c'est vrai que ce n'est pas encore supprimé totalement.

J'en doute. Par contre, l'agence de com qui a pondu la marque Téoz (incluant la licence pour l'utilisation de la livrée à durée de vie limitée) et les campagnes qui vont avec, les designers qui ont conçu les aménagements intérieurs, les fabricants de ces mêmes aménagements "livrés en kit", le cabinet d'audit qui a relevé que "trop de marques tue la marque SNCF", et enfin l'agence de com qui a inventé le retour à la marque Intercités et les campagnes qui vont avec, ont, chacun, empoché de confortables revenus.

À Clermont-Fd, on m'a re-confirmé que c'était faisable. Pour être précis, l'intérêt était de scinder l'aller pour qu'une partie du parcours (Aurillac - Figeac) soit en période bleue, alors même que le "vrai" départ (de Clermont-Fd) tombait en blanc. J'ai finalement trouvé une solution encore meilleure : avoir un vrai aller-retour, avec départ en bleu de Clermont-Fd et correspondance à Clermont-la-Pardieu de 13 heures 30 à 19 heures. Évidemment, dans la vraie vie, je suis allé composter le vendredi un peu avant 13 heures à la gare principale mais je n'ai jamais emprunté le train Clermont-Fd - Clermont-la-Pardieu. Quand j'ai acheté 2 allers-retours de ce type, le guichetier me les a vendus en m'indiquant que ce n'était peut-être pas réglementaire de les utiliser. Aucun contrôleur ne m'a fait la moindre remarque.

On peut y lire ceci : J'aurais plutôt écrit : "la branche SNCF Voyages, dont le TGV est l'unique activité..."

Pour Prem's, la question est assez théorique, sauf en cas de contrôle sur le quai de la gare de descente (ou de montée, si emprunt du train en cours de route avec un billet dispensé de compostage). Pour IDTGV, c'est différent : même si l'UM2 de TGV (le matériel) s'arrête (quand la rame de tête s'arrête, celle de queue doit bien s'arrêter aussi...), les voyageurs IDTGV ne sont pas censés descendre, et ceux qui le feraient quand même seraient facilement repérés. ça me semble franchement tiré par les cheveux. Si le billet n'est pas composté dans la gare de départ, où veux-tu qu'il le soit ? Je ne tenterai pas une combine pareille. Si l'YM plait à certains, tant mieux pour eux. Une anecdote personnelle : - Le 28 juin 2002, j'achète un billet Paris - Clermont-Fd avec une carte 12-25, pour un voyage le 30 juin, départ en bleu, 50 % de réduction. Je ne prends volontairement pas de réservation car je veux pouvoir prendre le premier train qui me convient (sauf vendredi après-midi et dimanche après-midi) et je sais que j'arriverai en avance et m'installerai à l'une des nombreuses places marquées "M" dans les Corail Plus. J'aurais très bien pu avoir une place garantie grâce à la réservation gratuite qui était encore ouverte à la date d'achat. Tarif : 18,80 euros - Le 25 janvier 2012, j'achète le même billet avec la même carte (12-30), pour un voyage le 29 janvier. Tarif : 42 euros À ce prix-là, j'ai droit : - à une carte de fidélité qui ne sert à rien, - à réserver par internet (ce sera bientôt une obligation de fait, la boutique "CLERMONT BUREAU D" où j'avais acheté mon billet en 2002 ferme à l'automne 2012), - à la moquette défraîchie et au mobilier endommagé d'un Téoz, - à partir de la gare de Bercy, - et si je m'y prends vraiment au dernier moment, à une place au milieu d'un "carré de 6" au confort très relatif. Pendant la même période, l'inflation générale cumulée a été de l'ordre de 18 %, contre 123 % dans l'exemple ci-dessus. Mais les circuits ne s'achètent qu'au guichet, et encore, il faut que le guichetier soit au courant. Quand j'ai voulu acheter un circuit à la gare de Figeac, la guichetière m'a envoyé paître, et quand j'ai précisé que ça se faisait sans problème à Clermont-Ferrand, elle m'a ri au nez...