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Le Web des Cheminots

Cyril83

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Tout ce qui a été posté par Cyril83

  1. Le bug n'était pas lors de la transaction, mais ensuite : un message d'erreur s'affichait après la page de confirmation, et dans les minutes suivantes, l'espace client ne montrait aucune trace de commande. Du coup, j'ai pensé que ça n'avait pas abouti et j'ai tout recommencé. Toute la difficulté est de prouver que la double opération n'a pas été autorisée en tant que telle (qu'il ne s'agit pas d'une double commande passée le même jour pour un même montant, par exemple). Le risque me semble de se retrouver avec un litige avec la banque ("contestation abusive" et les frais qui vont avec) en plus du litige avec le commerçant. Pour 15 euros, je n'étais pas pressé au point d'écrire et de téléphoner tous azimuts, et je préfère n'avoir qu'un seul interlocuteur (le commerçant), moins il y a de monde, plus c'est simple.
  2. Avec plein de variantes : - Je fais 56 choix dans les menus, et finalement, on m'indique qu'aujourd'hui, c'est fermé. - Je fais 56 choix dans les menus, et en fait, on m'indique que mon problème ne peut pas se régler par téléphone. - Je fais 56 choix dans les menus, je me trompe au 57ème, je suis bon pour tout recommencer. Le "must", c'est quand un fournisseur d'accès internet (Free, pour ne pas le citer) te coupe ta ligne par erreur, que tu envoies un recommandé pour réclamer, et que tu veux téléphoner pour savoir où ça en est. On te demande de saisir ton numéro de client pour pouvoir parler à quelqu'un, et la réponse est : "Désolé, ce numéro correspond à un contrat qui a été résilié."
  3. Les clients ne sont pas toujours faciles, mais que dire des entreprises ? Il y a celles chez qui le client a toujours raison : telle chaîne de lingerie rembourse ainsi les culottes pleines de ##### rapportées par des clientes grincheuses au motif qu'"elles ne conviennent pas" (véridique). Ce qui est très valorisant pour les salariés de l'entreprise ! Il y a celles chez qui le client est un gêneur potentiel dont il faut à tout prix se débarrasser : numéro de téléphone surtaxé, absence d'adresse électronique... Il y a celles chez qui, entre l'afflux de réclamations dont certaines n'ont pas lieu d'être et le traitement expéditif qui leur est réservé (en clair, réponses à côté de la plaque), les vrais problèmes ont bien du mal à trouver une solution (exemple récent : un mois d'attente et plusieurs relances pour obtenir le remboursement d'une transaction CB effectuée en double à cause d'un bug sur le site de l'entreprise). Tiens, un article édifiant sur le sujet : http://bigbrowser.blog.lemonde.fr/2014/03/20/attente-les-francais-passent-28-heures-par-an-a-tenter-de-joindre-les-services-clients/ Conclusion : mieux vaut écrire, en plus, ça laisse une trace. Mon Dieu ! 3 minutes d'attente ! Comment peut-on supporter ça ? Et il faudrait qu'on m'explique en quoi adopter un "ton conflictuel" dès le début de la conversation (donc avant l'exposé du problème, et encore avant que l'interlocuteur ait pu répondre !) simplifie les choses.
  4. En même temps, tout ça est très logique : qui dit moins vite, dit consommation moindre ; qui dit consommation moindre, dit réduction de la production de pétrole raffiné ; qui dit moins de raffinage, dit moins de pollution à cause des torchères de la raffinerie...
  5. Tout à fait, c'est très différent du cas où le contrat n'a pas été exécuté (perturbations, quelle qu'en soit la cause). ça peut paraître un peu choquant (si l'usager avait su à temps, il n'aurait peut-être pas opté pour l'abonnement), mais du point de vue juridique, je ne vois pas bien en quoi c'est contestable. On peut faire l'analogie avec les opérateurs de télécom (et plus généralement les vendeurs d'abonnements divers) qui proposent des offres du style "-50 % pendant 6 mois pour les nouveaux clients". À part remarquer que c'est très sympathique pour les clients fidèles, que peut-on dire ?
  6. Tu voulais sans doute parler des quidam qui sont dans les emprises du chemin de fer ? Rappelons que s'introduire dans les emprises est toujours une entreprise risquée !
  7. Uniquement pour les trajets "commerciaux" soumis à concurrence, non ?
  8. Pas faux mais je pense que le refus de remboursement vient du caractère indivisible de l'abonnement, de même que tu ne payes pas moins cher l'abonnement du mois de février au motif qu'il y a moins de jours dans le mois.
  9. Par définition, il ne peut y avoir de fraudeurs. Le fait qu'il n'y ait ni paiement ni titre de transport ne signifie pas qu'il n'y ait pas de contrat entre l'usager et l'exploitant. L'usager est donc assuré du simple fait de l'usage d'un moyen de transport. Le refus de remboursement peut se comprendre pour les abonnés mensuels (je ne pense pas qu'il y en ait beaucoup qui auraient renoncé à l'abonnement uniquement pour 2 jours ouvrés de gratuité), mais pour les abonnés hebdomadaires, c'est un peu plus limite (voir l'exemple que je donne plus haut).
  10. Ah ben moi, c'est le ticket jeune dont j'ai découvert l'existence... la dernière année au cours de laquelle j'y avais encore droit. Dans le cas que je citais, mon ticket Mobilis a été rejeté à l'entrée mais pas à la sortie (curieusement, la contremarque, elle, ne fonctionnait plus à la sortie). J'en déduis qu'on ne peut plus rentrer sur le réseau après minuit mais qu'un délai est accordé pour terminer le trajet.
  11. Le Conseil constitutionnel a validé les actions de groupe. Sauf mauvaise lecture de ma part, ces dispositions de la loi "consommation" sont d'application immédiate, à compter du lendemain de la publication au JO, c'est-à-dire... demain.
  12. Tiens, en lisant les conditions d'utilisation de Mobilis sur le site de la RATP, je lis que tous les forfaits sont valables de 0 heure à minuit, et non du début à la fin de service. Ayant un jour voulu entrer sur le quai à Cité U à minuit et quelques, le tourniquet a logiquement rejeté mon ticket Mobilis composté la première fois la veille. Mais la personne au guichet m'a affirmé qu'il était valable jusqu'à la fin de service et m'a remis (indûment, donc) une autorisation de passage. Je dois donc un ticket Paris - Bourg-la-Reine à la RATP, qui m'en doit un. En voilà une bonne raison de classer cette affaire !
  13. Mais n'oublie pas d'en restituer la moitié à ton employeur... Il me semble que la gratuité a été décidée jeudi dans la journée. Il y a donc peut-être des gens qui ont acheté un passe Navigo hebdomadaire jeudi matin, alors qu'un ticket Mobilis leur aurait suffi. Pour un forfait zones 1-5 ça fait quand même presque 20 euros d'écart.
  14. Ce qui est très vrai, mais c'est un autre débat que celui que nous avons ici...
  15. Non, ça dépend de l'échelle à laquelle tu te places : http://www.lemonde.fr/planete/article/2014/03/17/quelle-est-la-responsabilite-de-la-voiture-dans-la-pollution-de-l-air_4384198_3244.html Les graphiques montrent bien cela. Quand on parle de l'air pollué en Île-de-France, ce qui compte n'est pas de savoir quelle est la part réelle des transports dans la production totale des particules fines en France, mais quelle est l'origine des particules fines que tu respires en marchant dans la rue. Et ces particules viennent en majorité des véhicules qui roulent dans le quartier, pas de l'usine du département voisin ou des voitures qui circulent à Marseille. Ce serait faux, au moins s'agissant des particules : http://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2014/03/17/quatre-intox-sur-la-pollution-a-paris_4384662_4355770.html
  16. Tu es sûr que c'est éclairé la nuit ? Et la coulée verte passe plus à l'ouest de Bourg-la-Reine.
  17. Sur le premier point, je ne suis pas convaincu car je paye un ticket pour me déplacer, pas pour accéder au quai. C'est un peu comme si, en cas d'annulation d'un train, la SNCF ne remboursait pas le billet au motif que les voyageurs ont pu s'installer dans la salle d'attente. La deuxième partie du raisonnement se tient, mais avec deux limites : - Si à 23 heures l'exploitant annonce l'"interruption du trafic" sans précision sur l'heure de reprise et la mise en place d'un moyen de substitution éventuelle, alors que chacun sait qu'un accident de personne ça ne se règle jamais en 10 minutes, implicitement ça signifie que ça ne sert à rien d'attendre la reprise. - Dans le cas des usagers qui entrent sur le quai alors que l'incident est déjà connu et annoncé (mais pas sur les écrans), c'est un peu facile de leur dire "on ne vous a pas prévenu, mais bon maintenant que vous êtes sur le quai, soit vous attendez un certain temps soit vous perdez le prix du trajet".
  18. Accessoirement ça ressemble à du 25 kV.
  19. Voire l'entrée du désert ?
  20. Quand je pense que certains doutent encore des effets nocifs de la pollution de l'air...
  21. Le texte dit bien "heures de début ou de fin de service".
  22. Il est écrit "véhicules des agents d'exploitation" et non "véhicules d'exploitation des agents", ce qui est différent. Bien sûr, la question que tu poses ensuite est pertinente.
  23. Non car la mesure est levée de minuit à 5 heures 30. Les véhicules pairs peuvent circuler à partir de mardi à 0 heure, et même en cas de reconduction mardi, les véhicules impairs peuvent circuler jusqu'à mardi 5 heures 30. Le mode d'emploi : http://www.prefecturedepolice.interieur.gouv.fr/Nous-connaitre/Actualites/Prevention/Circulation-alternee-mode-d-emploi La liste des dérogations : http://www.prefecturedepolice.interieur.gouv.fr/content/download/8225/46439/file/derogation.pdf Notamment :
  24. Moi je dis que ça justifierait que les autres participants t'envoient une réclamation.
  25. À ce propos et pour revenir à des choses sérieuses, dans l'album d'Hergé, il s'agit d'un jet privé et déjà, la piste d'atterrissage est trop courte et il y a quelques problèmes techniques. Avec Boeing, un scénario pareil semble très peu probable, non ?
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