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Le Web des Cheminots

Cyril83

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Tout ce qui a été posté par Cyril83

  1. A priori ça "impactera" (comme on dit de nos jours) assez peu les départs aux sports d'hiver des parigots.
  2. Discours simpliste ! Il faut en réalité distinguer les activités qui peuvent être filialisées, celles qui peuvent être privatisées, et celles qui ont vocation à demeurer publiques, mais dont la réalisation pourra être externalisée à des cabinets de conseil et prestataires extérieurs. Tel est le sens de l’histoire ! Mais on s’éloigne de l’objet de ce fil, non ?
  3. Je préfère rester dans mon pays pour résister de l’intérieur à l’islamo-gaucho-marxo-écolo-wokisme.
  4. Je te répondrais volontiers par un rappel du principe du ruissellement mais j'ai l'impression qu'on s'éloigne beaucoup du sujet initial : les grèves, leurs motifs (douteux) et leurs conséquences (catastrophiques).
  5. Je ne répondrai pas à cette question. Mais je tiens à dire que j'ai récemment ouvert quelques exemplaires de l'excellent magazine Le Point. J'ai retenu de cette lecture passionnante plusieurs constats : il y a beaucoup plus d'énormités dans ce magazine que dans ce que j'écris ici ; leurs auteurs sont payés pour les écrire, contrairement à moi ; il y a des gens qui payent pour lire cela, contrairement aux visiteurs de ce forum.
  6. Et c’est aussi ton droit de penser qu’un pays quasiment en faillite peut continuer à dépenser un pognon de dingue pour des services publics qui n’ont aucune logique d’efficacité ni de recherche de la satisfaction des clients-usagers. Je crois en tout cas que nos prises de position respectives contribuent à élever le débat sur ce fil, loin des caricatures à l’emporte-pièce auxquelles d’autres n’hésiteraient pas à se livrer sur des sujets qui sont trop importants pour que l’on fasse l’économie d’échanges nuancés et argumentés.
  7. Cela montre aussi à quel point les cheminots syndiqués détestent les clients de leur entreprise. Les appels à la grève s'inscrivent parfaitement dans ce cadre (nuire gratuitement à l'entreprise et aux clients).
  8. Évidemment, quand on a pour seul objectif de bordéliser le pays et de détruire son entreprise, on ne signe aucun accord.
  9. Le créneau s’est libéré depuis qu’une certaine société coopérative d’intérêt collectif a arrêté les frais par la force des choses.
  10. Mais voyons, la règle n’est ni nouvelle ni compliquée : les profits pour le privé, les pertes pour la collectivité.
  11. Si je comprends bien, le ministre s’étonne qu’une entreprise à but lucratif qui ne se destine pas à être financée par la collectivité adopte la comptabilité analytique et conçoit son offre de manière à ce que celle-ci ne comprenne que des centres de profit. Il est vrai qu’au cas où le doute subsisterait, l’exemple mémorable de Railcoop a démontré qu’il est difficile d’obtenir des financements pour une activité structurellement déficitaire. Il reste donc, pour ces activités, au moins deux solutions envisageables (sans préjuger de leur conformité au cadre juridique actuel) : - Le modèle dans lequel la collectivité, que l’on appelle alors l’AOT, passe des appels d’offres et finance de sa poche les dessertes concernées. - Le modèle dans lequel toutes les dessertes sont gérées par une seule entité, par exemple une société nationale, les activités rentables venant compenser celles qui ne le sont pas. En cherchant bien le ministre devrait pouvoir trouver des exemples passés ou actuels de chaque modèle.
  12. Dans mon entreprise j’ai l’impression que ça ne gêne pas plus que cela les agents d’être fort mal considérés. Donc je suppose que c’est pareil ailleurs. Et dans le contexte actuel, les agents dont l’arrêt de travail a le plus d’impact sont aussi ceux qui peuvent le moins supporter une perte de rémunération. Donc vous avez probablement raison, qu’on s’en félicite ou qu’on le regrette.
  13. Ce qui était valable en 2024 l’est-il encore en 2025 ?
  14. Cela suscite beaucoup d’inquiétude, et hélas de résignation, chez nos concitoyens. J’entendais justement cette discussion en sortant de la cantine, entre deux interlocuteurs qui paraissaient tristes et même abattus : « Ils ont prévenus, il faut s’attendre au pire et il vaut mieux avoir une voiture. »
  15. Comme disait une ancienne candidate à la présidence de la République connue pour sa bravitude, il y a des colères qui sont légitimes, ce qui implique que d’autres ne le sont pas. On peut ajouter qu’il y a des manières légitimes d’exprimer sa colère, comme déverser du lisier et des déchets un peu partout, et des modes d’action, comme la prise en otages des voyageurs, qui ne sont pas légitimes. Je fais confiance à l’opinion publique et au gouvernement pour faire preuve de discernement, et ne pas céder aux pressions d’une minorité ultra radicale et agissante.
  16. Fort heureusement nos dirigeants ne sont pas totalement irresponsables.
  17. Sans doute fais-tu référence aux actions des agriculteurs ? Étonnamment, des salariés (cheminots, fonctionnaires, etc.) particulièrement bien lotis en avantages divers sont bien moins susceptibles à la fois de se mobiliser à la demande de quelques organisations syndicales radicalisées et d'attirer la sympathie du public, que des agriculteurs qui travaillent dur pour nous nourrir et sont confrontés à des difficultés quotidiennes (bureaucratie, taxes, normes, contrôles, etc.). Finalement on ne voit pas du tout ce qu'il y a de commun entre ces différentes "luttes", et l'un des principaux syndicats agricoles l'avait d'ailleurs parfaitement relevé en début d'année : https://www.leparisien.fr/economie/il-nest-pas-question-que-la-cgt-se-rallie-a-nous-reagit-le-president-des-jeunes-agriculteurs-26-01-2024-I554XEIANNB5VM75BQXYKIEUG4.php (Pour que ce soit clair, je précise que je ne partage pas toutes les revendications des agriculteurs. Je pense qu'ils se trompent en refusant le libre échange, ce qu'il faut c'est en finir avec le trop-plein de taxes et de normes sociales, environnementales, etc. afin d'avoir une concurrence libre et non faussée. Mais ce débat n'est pas l'objet de ce fil.)
  18. Je ne connaissais pas mais je vois qu'il a un compte sur le réseau social du grand entrepreneur talentueux dont je parlais ce matin, donc ça ne peut qu'être quelqu'un de bien.
  19. Avec l'UE, on a à la fois le pire du libéralisme (avec l'injonction à une "concurrence libre et non faussée") et le pire de l'interventionnisme étatique, avec de nombreuses normes absurdes (contraintes sociales et environnementales, matraquage fiscal...) qui brident ceux qui créent des emplois et de la valeur et font fuir les investisseurs. Pendant ce temps, un grand pays a enfin compris qu'il était temps de démanteler la bureaucratie gouvernementale et de confier cette mission à un entrepreneur talentueux. Comme disent nos agriculteurs, de ce côté-ci de l'Atlantique, on marche sur la tête.
  20. En réservant ce matin un aller-retour Paris - Clermont-Ferrand à l'ouverture des ventes, je découvre que les prix planchers pour les porteurs de la carte Avantage ont sensiblement augmenté : respectivement 16,50 euros et 19,50 euros en 2nde et 1re classe contre 12,60 euros et 15 euros jusqu'à présent. Les prix restent peut-être acceptables mais c'est une hausse proportionnellement très importante (supérieure à 30 % en 2nde classe) et qui intervient alors que le service est toujours aussi calamiteux.
  21. L'article permet d'apprendre l'existence de "plateformes" qui m'étaient totalement inconnues, ce qui n'est pas très grave puisqu'on apprend que leur utilisation n'est pas spécialement avantageuse.
  22. Sachant qu'au sud, il y a les TER Saint-Chély - Millau - Béziers, et au nord il n'y a que l'Aubrac (plus le fret). Donc la partie sinistrée a pu rouvrir en début d'année pour les TER et n'a pas été "impactée", comme on dit de nos jours, par les travaux sur la seule partie auvergnate.
  23. Ce ne serait pas deux choses (et deux fermetures) différentes ? La ligne emportée par les intempéries au sud, les travaux de renouvellement de la voie au nord ?
  24. Ce n'est pas l'avis de Pascal 45.
  25. Non car il a beaucoup de travail et il a malheureusement été obligé de licencier son assistante personnelle, dans le cadre de la politique de réduction des coûts mise en œuvre par son entreprise.
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