Aller au contenu
Le Web des Cheminots

Cyril83

Membre
  • Compteur de contenus

    3 987
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Cyril83

  1. Tout ce que cela m'inspire : ...
  2. En voyant la photo, c'est tout de suite ce à quoi j'ai pensé...
  3. On ne doit pas avoir les mêmes chiffres car je me souviens d'au moins deux bannissements en 2012 (Luc Sorg et Silvio de Nice).
  4. J'ai pris connaissance de tous vos messages. Voilà ce que je pense de cette triste affaire : ...
  5. A condition que les cathos ne se dégonflent pas dès la notification de l'interdiction de la préfecture.
  6. Mes pensées vont surtout aux automobilistes qui risquent d'être pris en otage.
  7. On dirait surtout qu'il manque un morceau de rail, non ?
  8. Evidemment, il ne s'agit pas de cheminots mais de boîtes de com' et autres consultants grassement payés. C'est curieux, si on reprend les articles cités plus haut, le débat se concentre uniquement sur le thème "c'est le POLT ou la LGV Poitiers - Limoges". Personne ne s'interroge sur la concurrence qui existe de fait entre la LGV Poitiers - Limoges et la LGV POCL. Personne ne formule la remarque judicieuse qui est la tienne. Personne ne fait la comparaison avec le barreau Montchanin - Vichy que demandait Giscard à une époque, et dont on peut mesurer aujourd'hui à quel point sa réalisation aurait été aberrante. Sont-ils idiots ou le font-ils exprès ? Et qui peut sérieusement croire qu'il y aura des sous à la fois pour Poitiers - Limoges et pour le POCL ?
  9. Ce poste existe-t-il toujours dans cet état ?
  10. Les clients demandent à l'accueil, qui leur indique le train à emprunter, ou au contrôleur du train qui précède ou qui suit, lequel accepte (que peut-il faire d'autre ?). Et les clients se placent comme ils peuvent. J'ai déjà emprunté un Paris - Lyon avec un billet Massy - Lyon, avec l'accord du contrôleur bien sûr (en cas de grève, les intersecteurs souffrent davantage que les Paris - province).
  11. Moi non plus, mais des deux professions dont on parle, l'une est sensiblement plus respectueuse de la loi. D'ailleurs, cela aurait également pu être un greffier, mais toujours pour la même raison, j'ai quelques doutes.
  12. ça me semble surprenant qu'un magistrat manifeste ainsi. Un avocat, c'est déjà plus vraisemblable.
  13. Je pense que le poste correspond à des plans et schémas de câblage qui existent. Il n'en va pas de même d'un poste utilisant une technologie différente, dont la réalisation demanderait donc une part importante d'étude qui reporterait d'autant la remise en service (sauf à ce que l'évolution ait déjà été programmée).
  14. Par contre je ne suis pas certain que la compensation en avoir uniquement pour les retards de plus d'une heure soit légale. Si la SNCF dédommage par virement, ce n'est sans doute pas par plaisir...
  15. Oui, on peut rêver d'avoir un pape africain et progressiste.
  16. Attention tout de même : on sait ce qu'on perd, on ne sait pas ce que l'on aura à la place... Il me semble d'ailleurs que le problème n'est pas tant les positions prises par le Pape (il a bien le droit de raconter ce qu'il veut) que l'importance qui leur est donnée.
  17. Accessoirement, il me semble que les motifs du bannissement ne concernent que le membre qui a été banni. Si les bannissements sont annoncés, sans explications et dans un fil dédié, c'est simplement pour informer les autres membres qu'ils ne seront plus susceptibles de recroiser un tel ou une telle. Non ?
  18. Non carte de presse ou pas, personne n'est allé en prison pour diffamation, du moins depuis le XXème siècle. Après avoir bu la tisane recommandée par Gomen, tu peux lire la loi de 1881 (la version en vigueur, pas la version d'origine). ;)
  19. La prison n'est pas prévue pour les délits de presse.
  20. Seulement 36 000 fois en 20 ans ? ça me paraît franchement léger pour s'autoriser à en tirer des conclusions.
×
×
  • Créer...

Information importante

Nous avons placé des cookies sur votre appareil pour aider à améliorer ce site. Vous pouvez choisir d’ajuster vos paramètres de cookie, sinon nous supposerons que vous êtes d’accord pour continuer.